Vous auriez peut-être intérêt à demander au plombier de tirer une lettre de créance, qu'il vous cède.
Celà facilitera la discussion éventuelle, et indiquera bien qu'il était en devoir de payer, et que vous êtes à présent en droit de récupérer cette créance (rachetée au plombier).

Pas faux, mais pas forcément vrai non plus
Personnellement, plutôt que de créer un soft de toute pièce (sur un bubble ou qqch du genre), j'ai finalement trouvé mon bonheur en suffisance via un site web américain - gratuit et disposant même d'une app.

Bien sûr, ça ne prend pas en compte les côtés législatifs belges, qu'il faut de toute manière connaitre. Mais l'outil de gestion est franchement maléable et bien utile pour mon dashboarding.

Bref, tout ça pour dire qu'un logiciel qui n'est pas parfaitement adapté peut rester utile, s'il est suffisamment flexible. Fonction du coût que l'on veut bien y mettre aussi, la solution belge connue étant tout de même assez chère.

C'est tout à fait standard, en effet.
Pour le reste, c'est sûr qu'un vendeur qui a le choix des offres priviligiera généralement l'offre qui lui donne le plus de garantie...

Les avocats que j'ai fréquenté ne m'ont jamais aidé en pratique, et typiquement sur ce genre de question.

En avez-vous discuté avec le locataire ? N'y a-t-il pas moyen de trouver un arrangement, comme "réparation pendant congés annuels", ou autre ?
Pouvez-vous montrer que ces réparations sont impérieuses et nécessaires, et/ou menacent la sécurité dans ou à l'extérieur du bâtiment ?

Je ne comprends toujours pas la référence. Vous pouvez partager ce que vous pensiez ou ce qu'est un "notaire hollandais" ?

Vous sauriez m'expliquer la référence ? (sans ironie aucune)

Tout travaux que vous faites ou payeriez dans la maison d'un autre lui sont acquis.
Vous seriez donc mal avisé de pratiquer de la sorte. Effectivement, en cas de rupture, vous n'auriez pas vraiment droit au chapitre et en seriez totalement pour vos frais (sauf accord entre vous, bien sûr, mais c'est un peu risqué de compter uniquement là-dessus).

De mon point de vue, la solution pourrait être :
- elle finance seule les travaux. C'est à elle, ça reste à elle. Très simple.
- Vous estimez la valeur de ces travaux, et la valeur réelle de la maison. Le montant que vous injectez vous est ensuite ré-attribuer sous forme de nue-propriété de la maison. Exemple : maison de 300.000. Travaux de 100.000, financés 50/50, ça ferait un ratio de 50.000/400.000 de nue-propriété à vous donner (donation notariée).
Ca coûte un peu, et c'est pas super idéal comme solution tout de même.
Mais à part la première solution, je n'en vois aucune d'idéale non plus.

Pour les contributions, les intérêts d'un crédit à but immobilier peuvent être déduits (chez l'emprunteur) en intérêts à long terme. Pas énorme, mais c'est tjs ça.

C'est une chose qui doit être réglé dans l'accord de vente.
Il n'est pas interdit - ni rare - de voir des maisons vendues avec panneaux, mais dont le bénéfice des certificats verts reste acquis au vendeur. Bien sûr, ce n'est pas le plus simple, mais ça arrive.

Le principe étant qu'ils ont payé l'installation et doivent la rentabiliser - soit dans le prix de vente sur la valeur résiduelle, soit autrement.

Les avocats, c'est bien quand vous êtes perdus.
Mais ça coûte beaucoup trop cher quand vous savez déjà la voie à suivre.

Calculez correctement, mettez-vous d'accord avec votre ex (sur base de calculs écrits, c'est sûrement plus facile), et séparez bien chaque chose.
A votre place, je suivrais l'indication de Grmff.