Pour moi : bail étudiant.
Vous pourriez quitter moyennant préavis de 3 mois et 1 mois d'indemnité, dans certaines conditions.

Mais je vous engage à tenir compte des avertissements.
Sans compter qu'il faut savoir aussi vivre avec certaines décisions ensuite. Et personnellement, j'ai bcp plus de facilité avec des histoires passées qui m'ont coûté un peu d'argent, mais où j'en suis sorti la tête haute, que l'inverse.

C'est toujours possible,... dès l'instant où l'urbanisme de la ville l'y autorise.
Et dans les villes qui n'ont pas périclité (et encore), ils préfèrent souvent des commerces à tout autre chose, donc c'est régulièrement une tâche ardue.

Il vous faudra les contacter dès que possible et poser la question.

Sur le même sujet (étendu), n'oubliez pas que l'AER du précompte immobilier sera envoyé au 1er nu-propriétaire (si vous êtes à parts égales, ce sera à l'un de vous, au vogel pick).
Il recevra le précompte total à payer, néanmoins, vous en serez tous redevables à parts égales. Donc ne pas s'alarmer ou s'étonner de la méthode de perception.

Sauf erreur, c'est une division en fonction des quotités de l'immeuble, et non des entités à parts égales.

Ca n'a rien de curieux.
La demande de visite n'est manifestement pas dans le cadre d'une relocation, mais juste d'une vue des lieux. Assez normal si la personne (une fille du propriétaire, si je lis bien) reprend la gestion des biens.

@Lagashell :
Votre question est justifiée.
A cet effet, je pense que le plus simple est d'écrire un simple mail au propriétaire et à la gestionnaire, demandant un écrit officiel entre eux, et demandant également si des modalités changent comme le compte bancaire.
Bien souvent, ça n'est pas le cas, étant donné que c'est juste un enfant qui s'occupe de la gestion pour un vieux parent, mais ça reste sa propriété et son usufruit.

Sans réponse officielle, il sera toujours préférable d'adresser votre renom au propriétaire inscrit au bail. A sa charge de transmettre à son mandataire.

En fonction de la région, regardez les règles relatives au bail de colocation, et les pactes de colocation à dresser.
Les templates disponibles règlent cette question.

A la différence que seul votre droit à l'indexation est clairement établi.
Le droit au refus d'un animal dans un bien locatif existant aussi, par ailleurs (même s'il est moins absolu).

Le vendeur est-il ici en droit de vendre au prix qu'il négocie ?
Ou la banque fixe-t-elle le prix ?

En gros : qui est le véritable vendeur et avec qui cela se discute ?

Car d'une façon ou d'une autre, cela diminue d'autant la valeur de votre achat, et il doit y avoir compensation.
Je doute que la banque refuse de lever pour une différence de 2500 €, alors même qu'elle a un acheteur et qu'elle sera assurée de récupérer sa créance...

La banque peut dire ce qu'elle souhaite, néanmoins, elle ne pourra jamais saisir que le solde restant de la vente...
Le notaire instrumentera, et les différentes parties s'y plieront.

Je l'utilise toujours aussi, mais une autre version, vu que PIM ne souhaitait plus diffuser la sienne.
Un super outil de sélection, pour moi ! Mais j'admets qu'il faut l'utiliser correctement, par ailleurs.

- Sous médiation ou administrateur : je ne vois pas ce qui vous empêche de demander. Cela pourrait se justifier, et je vois mal ce qu'on vous reprocherait. Cependant, ça ne peut normalement pas être un critère d'exclusion, donc juste à demander par soucis pratique de communication.
- Casier judiciaire : non, c'est interdit.

Copie de carte d'identité : ça me parait plutôt nécessaire, mais normalement une fois le candidat sélectionné (pour la rédaction du bail). Je le fais automatiquement, pour m'assurer de l'identité, de son statut, et de sa signature.