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Ok merci bcp pour l'info
.
Et (admettons) que le propriétaire me fournisse une preuve justificative pour un élément (la tonte de pelouse par exemple) qui n'est pas dans le bail, et dont on ne m'a pas parlé à l'entrée: dois-je m'en acquitter ou le propriétaire était-il tenu de m'en informer au préalable?
Etant donné que j'ai un bail d'étudiant, suis-je également obligé de payer les entretiens (chaudière et boilers) qui sont prescrits par la loi? Ou cela ne concerne-t-il que les baux à résidence? Je préfère demander vu que j'ai entendu les 2 versions...
Si le propriétaire me fourni une facture d'entretien du tracteur tondeuse, est-ce à moi de la payer (étant donné que je n'étais pas prévenu, etc...)
D'avance grand merci à vous.
A vous lire, on peut se demander qui est de mauvaise foi? Je doute fort que vous puissiez affirmer ne pas avoir vu qu'il y a une pelouse. Si elle n'est pas privative, il va de soi que l'entretien est à charges des locataires.
Par ailleurs, votre qualité d'étudiant, ne vous interdit pas de vous chauffer, de puisser de l'eau sanitaire. Dès lors, me semble t-il vous devez participer au frais d'entretien de la chaudière et du boiler. Reste à fixer la clé de répartition.
Que spécifie le bail?
On doit vous remettre un décompte et vous êtes en droit de consulter les pièces sans déplacement de celles-ci. Pas de pièce, pas de paiement.
Un bail court peut être prolongé au mêmes conditions que le bail initial. Prolongé de deux ans un bail d'un an, est-ce les mêmes conditions?
Le pire dans cette histoire (en plus de ce que j'ai raconté plus haut), nous sommes 2 locataires dans cet immeuble, elle nous adresse après 2 ans 1/2 des factures des communs (l’électricité) sans même dire qui doit payer quoi. En gros, je dois me débrouiller avec mon voisin pour le calcul et elle ce qui l’intéresse est de recevoir le montant total sur son compte en banque.
Ce n'est pas aux locataires à faire des décomptes. Par ailleurs, est-il précisé dans le bail quelle est la clé de répartitions des charges communes?
Ce n'est pas explicitement précisé mais je suppose que vous êtes locataire.
Je ne crois pas qu'il y a une réponse certaine à chacune des deux questions. Tous dépend des usages locaux. Cependant plusieurs éléments militent en votre faveur.
Le fait que les mentions portant sur les charges communes ont été biffées pourraient être considéré que le bailleur prend à sa charge les frais communs ou qu'ils soient inclus dans le loyer. Ce n'est pas une certitude pour autant. Attendre, deux ans et demi, ne plaide pas en faveur du bailleur non plus.
Quant au garage, il est certain que vous n'avez pas à supporter les frais d'électricité. Il est impossible de connaître avec certitude les consommations du garage et donc des parties communes. On pourrait faire un forfait. Mais sur quelle base?
Qu'elle est l'usage de l'électricité du garage? Qui sait ce que l'on fait dans ce garage. Il pourrait y avoir une machine à laver mise à disposition de tout le quartier.
Bref, je dirais qu'aucune somme est due.
- qu'il apporte la preuve qu'il a avisé le distributeur, au plus tard dans un délai de quinze jours ouvrables après le changement d'occupation du bien, de l'identité de l'usager sortant et, le cas échéant, entrant, au moyen du formulaire prévu par le distributeur, ainsi que de l'index du compteur;
Hydrobru me réclame une somme d'argent car je n'ai pas communiqué l'index au moyen du formulaire prévu par le distributeur
.
Pour pouvoir remettre un formulaire à Hydrobru, il faut qu'Hydrobru le remette au propriétaire. Ce qui n'est pas le cas ici.
Le formulaire doit comporter deux signatures. Où chercher la deuxième signature si le locataire est parti avec la clé des champs. Le formulaire doit être remis dans les quinze jours. Quand est-il s'il y a expertise judiciaire? Il faut que l'expert remette son rapport dans un délai de 15 jours ce qui est rarement le cas (oserais-je écrire jamais le cas).
Bref, Hydrobru essaie d'avoir le propriétaire.
et peindre une pièce n'est pas compliqué, on met les meubles au milieu , on les bâche si nécessaire, on peint les murs, on remet les meubles au milieu et hop
et pour peindre le plafond on bâche les meubles, le sol et hop
juste un peu d'organisation, de jugeotte et oui pendant 2 ou jours on "campe" un peu.....mais est ce si grave ?
Si ce n'est que si on a beaucoup de meuble, le "milieu" occupera pratiquement toute la pièce. Si en outre on a une bibliotèque en bois dur remplie de livres, bonne chance pour la déplacer.
C'est assez amusant. Quoiqu'étant propriétaire, je comprends mieux les soucis du locataire que ceux du propriétaire.
L'appartement que j'occupe n'a plus été repeint depuis près de vingt ans. J'ignore comment je ferais pour repeindre ne fut-ce qu'une seule pièce?
Conclure un nouveau bail est strictement interdit. Après trois années d'occupation, le bail existant devient automatiquement un bail de 9 ans.
Pour avoir quelque chose de solide, je ne vois qu'une seulle solution. Faire un requête en justice de paix demandant une prolongation du bail pour raison exceptionel pour une durée déterminée avec éventuellement une clause d'expulsion et la désignation d'un expert judiciaire. Par exemple trois mois. Avant de passer au tribunal tenter d'avoir avec le propriétaire un accord sur ces points et faire avaliser cet accord par le tribunal.
phenixgirl a écrit :Je peux comprendre si un locataire a pas de bonne volonté, c'est pas sympathique et oui donc je peux comprendre qu'on veuille le faire attendre s'il y a des soucis.
Mais tout les locataires ne sont pas de mauvaise volonté. Pour moi c'est pas ça la vie. Si c'était comme ça, on en finirait plus.
Je ne suis pas tatillon, je n'ai juste pas envie de devoir stocker mes affaires juste pour refaire une peinture. Si c'était des travaux ok.
voilà vous admettez que vous n'avez juste pas envie ! ce dont je me doutais !
Et pourquoi, devrait-elle avoir envie? Ces travaux lui apportent que des désagréments.
Il faut aussi savoir se mettre dans la peau du locataire. Vider ou dégager un local n'est pas peu de chose. Aussi faut-il avoir un lieu de stokage. Le tout pour finalement sans que celà apporte quelque chose.
Pour revenir au message à l'origine, à mon sens Laurence est libre d'accepté ou de ne pas accepté un repreneur.
Elle est en droit d'exigé l'excécution du bail et donc de réclamer une indemnité de deux mois.
Si elle accepte un repreneur, libre à elle de conclure un nouveau bail ou de convenir d'une cession de bail. Dans ce dernier cas, elle peut exiger que le cédant reste solidaire du cessionnaire. C'est conforme aux usages.
Ci dessous ma clause de résiliation:
"Le bailleur peut mettre fin au bail pour cause de travaux qui portent sur plusieurs logement du même immeuble. Le bailleur peut mettre fin au bail pour autant que le bail ne soit pas résilié pendant la première année.
Le preneur peut à tout moment mettre fin au contrat moyennant un congé de trois mois. Le preneur sera redevable d’une indemnité égale à deux mois si le bail prend fin au cours de la première année. Aucune indemnité est due si le bail prend fin après la première année.
Le bailleur peut à tout moment mettre fin au contrat moyennant un congé de trois mois. Le bailleur sera redevable d’une indemnité égale à deux mois si le bail prend fin au cours de la première année. Aucune indemnité est due si le bail prend fin après la première année.
Le bailleur ou le preneur peuvent mettre fin au bail lorsque l’autre partie ne respecte pas ses obligations. Le Juge de Paix jugera du non respect du contrat."
C'est me semble t-il 100 % équilibré.
.. et si vous ne mettez pas fin au bail pour non payement, je suppose que c'est parce que que le locataire est un casse-pied.
C'est bien celà.
J'ai cependant commis une erreur. Celle de ne pas avoir demandé un expert et une expulsion au cas où le jugement ne serait pas respecté.
D'habitude, quand j'ai un avocat en face de moi, je fais appel à un avocat. Mais bon, ce matin à 8 hrs, une heure avant l'audience, c'était un peu tard.
La loi est muette sur les baux de court terme (1,2 ou 3 ans). Cela veut dire que c'est le bail qui fait office de loi entre les parties et que les baux de court terme ne sont jamais résiliables sauf clause expresse prévue par les parties dans le bail.
J'ai résilié un bail court avec clauses de résiliation. Je suis propriétaire. Le locataire refuse sous prétexte que la loi est impérative. J'ai fait une requête en validation. L'affaire passe ce matin. Ce matin, peu avant de me rendre au tribunal, je reçois un email d'un avocat avec ses conclusions. Cet avocat cite toute une jurisprudence; bien entendu celle en sa faveur.
Pris de court, par prudence, au tribunal, j'ai proposé un jugement d'accord consistant à prolongé le préavis de 3 mois. Proposition acceptée.
Le tribunal de première instance de Huy relève à ce propos que ce genre de clause n'est licite
que si elie est stipulé-e à la faveur du preneur: « Les baux de résidence principale d'une durée
inférieure a trois ans ne peuvent être rêsiliés anticipativement que parle preneur a l'exclusion du
bailleur. il (Civ. Huy, 03.02.1999, JJP, 2000, p. 68)
Le tribunal de première instance de Gand va dans le même sens : << La validité d'une clause de
résiliation insérée dans un contrat de bail de résidence principale de courte durêe dépend de
Vinsertion de la clause dans l"intérêt du preneur ou du bailleur. La possibilite de resiliation par le
preneur assortie de Vobiigation de payer une indemnité de résiliation conformément aux
dispositions applicables au bail de résidence principale de 9 ans peut être admise lorsque le
locataire en fait usage et que le bailleur accepte le congé. Le locataire doit respecter les
consequences de cette resiliation et est dès lors tenu de payer Findemnitê forfaitaire de
résiliation de trois mois. ›› (Civ. Gand, 11.12.2009, JJP, 2013, p.33)
Par decision du 16.08.2010, le juge de paix de Westerlo reconnaît également la nullité des
clauses de résiliation anticipée, sur base d'une part de Fartícles 3§6, précisant que les
paragraphes relatifs à la resiliation anticipée ne s'applique pas aux baux de courtes durées et
d*autre part, l'articIe 12 octrovant un caractère impératif a cette loi en faveur du preneur (l.P.
Westerlo, 16.08.2010, Huur, 2011, liv. 1, p. 32).
l.e même raisonnement est poursuivi par le juge de paix de Zomergem, lequel juge: rr Vu
l"article 12 de la loi du 20 février 1991 sur les baux cr loyer, la réglementation relative au bail de
courte durée de Particle 3 § 6 de ladite loi est de droit impératif en faveur du locataire. Les
parties ne peuvent y déroger contractuellement parce que Fautonornie de la volonté est mise
hors jeu. La duree du bail de résidence principale de courte durée protege le locataire. Un droit
de résiliation conventionnel en faveur du bailleur, qui prendrait eet 6 rrrois après le debut du
contrat de bail de résidence principale de courte durée, est par conséquent de nullité relative. ››
(J.P. Zomergem, 18.01.08, R. W. 2008-O9, liv. 21, 887)
Je ne crois pas qu'on puisse vous imposer des travaux qui ne sont pas nécessaire. Mais par après vous serez en mal pour demander de repeindre le living.
Il me semble que tant qu'il n'y a pas de décès, il n'y a pas d'héritier.
Par ailleurs, tant que le propriétaire, n'est pas déclaré incapable de gérer ses biens, seul lui gère son bien dans les limites légales.
N'oubliez pas que cette assurance prise par votre propriétaire ne couvre pas votre contenu.
Ni d'ailleurs, le recours d'un tiers.
Deux affaires, dans les deux cas, un calendrier des conclusions; dans les deux cas les locataires ont un avocat; dans les deux cas, l'avocat du locataire ne respecte pas le calendrier.
Si vous avez un jugement intermédiaire avec une fin de bail, vous pouvez l'exécuter!
C'est bien ce que je compte faire. Cependant à Etterbeek, les délais d'expulsion sont de quatre mois. On sera donc au mois de juillet et peut-être même août tenant compte du délai pour avoir l'expédition et ensuite de la signification du jugement.