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J'apprends qu'un petit immeuble de 5 étages va être construit sur le terrain voisin, après démolition de la maison actuelle (1 étage standard)...
Forcément, cela engendre certaines craintes vis-à-vis de mon immeuble.
Servitude de vue : j'entends que seule la distance d'1m90 prévue au code civil compterait.
De ce fait, ils seraient en droit de prévoir des balcons et fenêtres à seulement 2 mètres de mes fenêtres actuelles des chambres, alors que précédemment il n'existait aucun vis-à-vis ?
J'ai bcp de mal à croire que ça puisse passer aussi facilement, sans autre contrainte...
(Je ne compte absolument pas sur la commune pour s'y opposer. Le propriétaire est échevin...)
Ombrage :
L'immeuble sera à l'est du mien. De ce fait, il y aura un ombrage important chaque matin.
L'urbanisme me dit qu'ils ne tiennent compte de la perte d'ensoleillement que lorsque l'immeuble impacté est au sud.
Là aussi, je m'en étonne, mais ne trouve aucune donnée utile pour appuyer mes arguments.
Hauteur :
J'ai envoyé mes réclamations quand au permis demandé, même si c'est sans grand espoir.
La hauteur dépasse de 2 étages la hauteur normale autorisée. L'obtention de la dérogation ne fait aucun doute.
Je passe les détails, mais j'ai appris aussi que le fonctionnaire délégué de la RW ne sera jamais d'aucun secours et est déjà acquis au projet...
Ce n'est certainement pas pour placer une annonce que ca m'interesse, plutôt pour me faire une idée du marché et de ce que les gens recherchent / sont prêts à payer
Les 2 sont évidemment possibles.
Mais attention à bien interpréter ce que vous y lisez. Comme je le disais, vous y trouverez bcp de personnes qui n'arrivent pas à se loger (hors réalité budgétaire ; hors réalité des contraintes locatives ; familles avec 8 enfants, 7 chiens et 13 chats noirs, SDF divers, chevaliers blancs en croisade pour Unia, etc.)
Il faut lire beaucoup.
Cependant, c'est instructif. Et voir les autres bien en location aussi.
Bonjour,
Merci à tous pour vos réponses
J'ai recu des informations complémentaires:
L'appart du RDC est finalement vendu avec un jardin privatif de 20m2. j'imagine que cela change un peu la donne
Et celui avec terasse n'est plus disponibleLe RDC est en effet moins cher (-4%) et un peu plus petit (-4%) que les 2 autres
Au niveau sécurité, ce n'est pas un quartier problématiqueJ'élimine celui sans terasse, mon choix est donc redevenu simple. Reste à voir si c'est un bon investissement, mais là c'est une autre discussion...
@Himura, vous parlez de groupes spécialisés (A louer sur Liège, etc.), pouvez-vous m'en dire plus? Quels sont ces groupes? Facebook?
Merci
Ben voilà.
Sincèrement, un jardin privatif, même de 20m², ça fait une belle différence en location.
Tout le monde veut pouvoir faire un bbq chez soi. Et le Covid n'aura fait qu'augmenter cette tendance.
Pour les groupes spécialisés, oui, c'est souvent sur Facebook.
Il y en a une bonne dizaine rien que pour Liège, que vous trouverez facilement avec qq mots clés habituels (location, à louer, appartement, ...). Certains très fréquentés.
Après, sur ces groupes, il y a 90% des personnes qui s'expriment qui sont le genre typique de locataires indésirables. Mais il y a aussi régulièrement des candidats locataires très bien qui y passent et ne s'expriment que très peu.
Il est bien, votre juge... Clair et net.
Ils sont visiblement bien plus frileux ou partiaux, à Liège.
Pffff. Pourquoi je dois me farcir tous les tarés de la terre? A la base, il n'avait pas ce profil. C'était un locataire supposé "normal": travail, sa bmw, "chef" d'entreprise, une femme, un gosse arrivé depuis. Bref, pas le profil d'un locataire à problème, parce qu'il m'en faut aussi des normaux, sinon je ne tiens pas la distance...
C'était peut-être aussi la raison de choisir un bailleur extra-terrestre 
mounix a écrit :Bonjour,
J'ai un jugement en ma faveur pour l'expulsion d'un locataire qui est condamné par défaut pour défaut de paiement de 150,00 € restant du loyer de novembre 2020, défaut d'assurance habitation et d'insalubritè. On passe le 16/09/2021 pour le surplus.
Son avocat m'envoie un courrier en me demandant toutes les pièces du dossier.
Le locataire est en possession de tous ce que je lui ai envoyè ainsi que la lettre comminatoire du huissier.
Est ce que je suis obligé de collaborer avec lui ou je l'ignore?
Merci.Je n'ai pas encore l'expédition pour procéder à la signification.
Pour les degats locatifs surtout vider la cave.
Pour les pièces du dossier je n'ai pas plus que le locataire à part les photos de la cave.
Il faut juste vous assurer de communiquer les pièces que vous pourriez encore produire à l'audience à venir.
Même si votre locataire a sa propre copie (oui, c'est anormal...). Si vous ne le faites pas, l'avocat jouera la procédure et fera retarder l'audience.
Mais si vous n'avez rien, ben... vous n'avez rien.
A moins d'un gros soucis de vue dans l'appartement du rez, je partirais plus vite sur celui-là !
Une terrasse, c'est toujours mieux qu'un balcon. Bcp de personnes veulent ça, pour recevoir, bbq, ou pour les animaux.
Je sais que ça dénote des avis précédents, mais il ne faut pas non plus perdre de vue que les rez-de-chaussée sont les biens les plus recherchés en location, quand on lit les demandes sur les groupes spécialisés (A louer sur Liège, etc.).
La sécurité, sauf si c'est à Bressoux, n'est pas un élément qui intervient dans les choix de locataires. Ils regardent le quartier, pas l'étage.
La luminosité non plus. Je ne connais pas vos plans, mais généralement, un rez n'est pas moins lumineux que les étages supérieurs. Parfois l'inverse même.
Il y a tout de même un événement récent à Pommeroeul
Ce serait si simple que les réseaux soient bien séparés chez les particuliers...
Pommeroeul ?
C'est pas dans mon coin ça :-)
Il faut tout de même reconnaître qu'on parle très peu d'accident en la matière...
Ca, c'est sûr !
Dans ma région entière, on parle d'1 accident en 10 ans... et provoqué par les agents de la SWDE eux-mêmes.
Les problèmes de reflu de citerne dans le réseau, c'est presque une légende urbaine, me disait un inspecteur de la même société, il y a quelques années.
Les différences de pression dans les réseaux rendent par ailleurs cela presque impossible.
Donc leurs systèmes de non-contact au remplissage, l'interdiction des anti-retours, etc. C'est avant tout pour se conformer à la mode administrative de déploiement de parapluie, sous le parasol, dans une veranda.
Pompe à fric ? Bien évidemment!
C'est toujours le cas dès que l'argent doit être sorti par les autres, et que cela donne du pouvoir à celui qui le décide.
Le SPF a édité un contrat type pour la rénonciation au loyer, et la réduction fiscale associée.
(Ils oublient cependant de préciser l'exercice fiscal auquel cette réduction sera liée ! Il semblerait que ça soit pris en compte sur cette année, assez bizarrement - mais tant mieux si c'est le cas)
RÉDUCTION D’IMPÔT EN CAS DE RENONCIATION AU LOYER
date:
30 avril 2021
Les bailleurs qui renoncent au loyer des mois de mars, avril et/ou mai 2021 pour des locataires qui ont été obligés de fermer leur entreprise en raison des mesures corona, ont droit à une réduction d'impôt de 30% pour le loyer annulé. À l’impôt des sociétés, l'avantage est accordé sous la forme d'un crédit d'impôt non remboursable.Quelles sont les conditions ?
Un maximum de 5 000 euros par mois et par bail peut être éligible à la réduction d’impôt et un maximum de 45 000 euros par bailleur.
Le bailleur doit renoncer au loyer de manière définitive et volontaire.
Le locataire doit être un travailleur indépendant qui :
soit exerce une activité professionnelle d’indépendant en tant qu'activité principale,
soit peut être considéré comme une petite entreprise ou une petite association conformément à la législation applicable.
La renonciation doit être consignée dans un accord écrit conclu entre le locataire et le bailleur.
En tant que bailleur, que devez-vous faire ?Préparez un accord écrit de renonciation au loyer. Utilisez ce contrat type (PDF, 254.84 Ko)(This hyperlink opens a new window) à cet effet. De cette manière, vous pouvez facilement vérifier si les conditions de la réduction d'impôt sont remplies. L'utilisation du contrat type est facultative, mais recommandée, car le contrat type contient toutes les informations nécessaires. Vous pouvez également rédiger votre propre contrat avec votre locataire, mais sachez que si les informations fournies sont insuffisantes, votre demande de réduction d'impôt risque de ne pas être traitée.
Complétez et signez le contrat (type) avec le locataire. Envoyez l'accord écrit au SPF Finances au plus tard le 15 juillet 2021. Cela peut se faire par voie électronique ou par courrier ordinaire, à l'adresse indiquée sur le formulaire. Conservez une copie de l'accord complété et signé pour vos propres dossiers.
Si les conditions sont remplies, vous pouvez demander la réduction d'impôt pour l'exercice d’imposition concerné dans votre déclaration.
C'est d'autant plus simple à présenter sans avocat que lorsqu'une partie ne comparait pas, on obtient légalement et facilement un jugement par défaut.
Donc, sauf pour des demandes exagérées, le juge est tenu de donner droit à vos demandes.
En somme, les conseils donnés (que vous qualifiez de "jugements" très erronément) ne visent qu'à vous éviter des frais tout à fait inutiles, et que vous ne récupérerez pas.
En justice, les avocats sont souvent les seuls gagnants.
Les platistes mangent-ils de la soupe dans des assiettes profondes ?
S'ils mangeaient de la soupe, ils auraient grandi, non ?
Une généralité = la définition des cas les plus généraux et communs.
Ca me semble bien plus intelligent de discuter des cas généraux, que des particularités, exceptions et cas rares.
Ils existent, bien entendu, mais à force de chercher la petite bête là où elle n'est pas, on termine vite sur des sites de plattistes.
Avant de vendre des analyses thermographiques (qu'on espère réalisées correctement, car comme dit plus haut, il y a expert et expert), sans même poser la question principale d'une aération normale des locales... On en est presque là.
Bonjour,
Je fais appel à ce forum dans l'espoir d'avoir un bon conseil sur le cas suivant :
Je bénéficie depuis quelques années des chèques habitats (qui étaient repris automatiquement dans ma déclaration d'impôt). Au cours de l'année 2020, j'ai mis en location le bien pour lequel je recevais ces chèques-habitats. Le bail a débuté le 1er octobre 2020. Mon locataire a donc passé 3 mois dans mon bien en 2020 et moi-même 9 mois (de janvier à septembre inclus).
Du côté de ma situation, je suis moi-même devenu locataire (je n'ai donc pas contracté de nouveau prêt hypothécaire qui m'aurait d'office fait perdre les chèques).
Ma question : est-ce possible et bien légal de déclarer dans ma prochaine déclaration d'impôt (Exercice 2021 - revenus 2020) la "partie" pour laquelle j'habitait mon bien afin de bénéficier en partie des chèques-habitats .? Dans la positive, une bonne âme pourrait-elle m'aguiller sur le remplissage de ma déclaration sur ce point ?
D'avance, un tout grand merci à la personne qui me répondra. Je ne trouve nulle part de réponse à cette question.
Bonjour,
Je ne connais pas ce point spécifique, mais la logique fiscale dans ces cas-là prévoit généralement que la situation prise en compte est celle du 1er janvier ou du 31 décembre de l'année fiscale.
Dans votre cas, je mettrais un petit billet sur le 31/12...
Vous trouverez très certainement l'information sur le guide complet, accompagnant la déclaration.
Je connais une bonne agence immobilière pour l'aider à vendre.
Je vous donne les coordonnées en MP 
(Edit : zut, Grmff avait déjà eu la tête presque aussi pourrie)
Pour vider les lieux, je sais que certains villes ont des "Ressourceries", donc des ASBL avec qui travaillent la ville, qui viennent collecter les encombrants divers gratuitement et les revaloriser si possible. Ils font les vide-greniers avec.
Peut-être à Bxl également ?
Himura a écrit :Demander un témoignage (dans les formes de l'article judiciaire) à ces visiteurs, et deposez une requête, avec indemnisation et astreintes.
J'ai les témoignages de refus de visites.
Quelle indemnités et astreintes puis-je demander (de préférence formule en fonction du prix de vente).
Je n'ai pas l'habitude de ce genre de demande, et n'en connait pas les montants usuels.
A votre place, je laisse cela au juge, et je demande ce qui me parait possible :
- 1 mois d'indemnité pour le temps perdu et les démarches avortées
- Astreinte journalière correspondant asusi au loyer
J'ajouterais la demande de pouvoir visiter sans la présence dérangeante ou négative du locataire.
Et je fixerais aussi déjà des horaires de visite fixes dans la requête, que le juge pourra valider.
Himura a écrit :Pensez-vous vraiment avoir le monopole de la réalité de terrain ou de l'expérience de celle-ci ?...
En tout cas, je suis bien content d'avoir un expert en problème de bâtiment (un de plus: n'oublions pas Francis qui a donné pas mal d'avis)
Alors, je lui souhaite la bienvenue et tentons de ne pas le dégoutter trop vite...
Vous oubliez aussi panchito.
Je suis toujours content de voir des experts. Forcément, j'attends d'eux une expertise supérieure au commun, à l'instar de Francis, sans démarchage commercial trop évident...
Je suppose qu'ils espéraient, en lui coupant les vivres, le forcer à rentrer chez lui (réfugié...) ou à le rendre SDF afin qu'il ne puisse plus continuer son action contre le Cpas. Ben non. Par contre, j'ai eu un an de loyer d'un coup, avec un grand sourire et une bouteille de cognac arménien...... Boarf, à défaut de chocolat...
Pour info, les SDF ont également "droit" à l'aide sociale. Du moins, ils en reçoivent une, à hauteur forfaitairement de 1060 € à Liège - et selon mes informations, la somme est reçue en liquide.
(On dit bravo au CPAS pour la démarche, assurément totalement constructive et utile pour les SDF)
Changer de sujet face à des éléments factuels est habituel lors d'expertises...
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Je dis juste qu'il faut parfois aller plus loin que ses certitudes et les statistiques... et que, ce n'est pas toujours de la faute aux locataires ni à un manque d'aération comme vous l'affirmez si aisément et avec force.
Vous dites beaucoup de choses, mais vous ne semblez pas avoir conscience que vous changez votre fusil d'épaule, après quelques échanges. Et ensuite vous venez inverser les rôles sur les affirmations et certitudes ? Soyons sérieux...
Je rappelle, une fois encore, que vous indiquiez initialement que le propriétaire était responsable d'une faute dès qu'il y avait de l'humidité et qu'un locataire vivait "normalement"...
Sans plus de nuance, plein de certitude et jugeant pleinement.
Dans la réalité, si le locataire vit normalement, si il n'y a aucunes fautes déterminées (production excessive d'humidité dans l'air), si le lieux n'est pas en surnombre, c'est le propriétaire qui est responsable.
Je vous indiquais par ailleurs, à la suite, que :
Notez que je ne généralise pas les cas, et que bien sûr, bien d'autres éléments sont à prendre en compte. Mais il semble justement que je sois le seul à ne pas généraliser aussi étroitement.
Que vous ayiez revu votre jugement, et au final tourner votre conclusion suivant les remarques données, tant mieux à nouveau. Mais sans faux-semblants.
Pensez-vous vraiment avoir le monopole de la réalité de terrain ou de l'expérience de celle-ci ?... 