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Sherlock a écrit :600€ la cuisine!! électro ménager compris? c'est incroyable! chapeau
Eh! Oh! On est dans un studio, pas dans un appartement ou une villa à Lasnes!
Pour votre référence
Mobilier: Un meuble sous évier, un meuble de 60 avec 4 tiroirs (10+10+20+40cm), un plan de travail, deux meubles haut de 60 de haut, une meuble haut de 40 avec une hotte: 400€ (modèle avec la porte Veddinge blanche)
Evier et siphon: 37€ chez Brico-dépot
Taque double de cuisson: 100€ chez Eldi
Robinet mitigeur Isifix chez Makro: 18€
Four à micro-onde Electrodépot: 39€Hors montage et outillage, évidemment...
Une kitchenette comme cela, c'est vraiment pratique et fonctionnel pour un studio ! Je n'avais même pas ça quand j'étais étudiant et que je kotais (pas de hotte, ni de plan de travail).
Pour une petite plaque électrique 2 feux telle que cela-là, faut-il aussi un circuit électrique spécialisé (32A, 3G6mm2) ? J'imagine que ça doit moins consommer qu'une plaque 4 feux.
Oui, pour l'anonymat, c'est plus compliqué. De part l'impossibilité d'héberger les photos sur le site, notamment.
Quoi que d'une part, celle-ci est bien anonyme, ce que serait beaucoup moins la façade par exemple. Et d'autre part, un lecteur averti a quand même reconnu l'immeuble...
Je dois avouer que ce n'était pas très difficile de le reconnaître sur base de la description que vous avez faite (mais il faut bien connaître Charleroi et son actualité).
Mais rassurez-vous, vous êtes toujours parfaitement anonyme 
Alors, le titre, c'était "Boire et déboires". Commençons pas les déboires du jour: Pour ce qui est de la réduction pour improductivité, je l'aurai dans l'os à 99.9% de chance. Très mauvaise nouvelle à 8000€ d'imprévus.
Pour ce qui est de boire, nous fêtons ce soir la location (contrat signé, pas encore entré) du 19e studio. Fiesta!
On en profitera pour refaire fiesta quand les clefs seront remises.Puis fiesta pour la location des deux derniers, et fiesta pour la remise des clefs des deux derniers.
Mon compte doit encore descendre un coup ce mois-ci, puisque le précompte est à payer. Et ensuite, il va commencer à remonter. Enfin. Fini de renflouer....
Fiesta! (Et du coup, je lirai vos messages demain, en mode gueule de bois...) Belle soirée à toustes!
Ouille ! J'espère pour vous que vous pourrez obtenir la réduction pour improductivité quand-même !
Fiesta bien méritée après autant de labeur 
Bonjour,
A partir du moment où votre offre est acceptée, le bien vous est vendu. Le vendeur ne peut plus vendre à autrui.
Bien-sûr, si l'acceptation est verbale, c'est votre parole contre la sienne... Si vous disposez de votre offre contresignée pour acceptation par le vendeur et que vous avez reçu cette acceptation dans le délai de validité de votre offre, la vente est incontestable. S'il ne tient pas ses engagements et qu'il annule la vente, il vous est redevable d'une indemnité.
Un lecteur me disait cet après-midi que cette aventure était un repoussoir pour les candidats investisseurs. Lui n'était pas repoussé, au contraire. Mais il me disait que les débutants pouvaient s'effrayer de cette aventure.
Alors, un petit mot complémentaire: il ne faut pas être effrayé par mon récit. Au contraire. Ce n'est certes pas nécessaire de se lancer dans une telle aventure, mais il y en a plein d'autres beaucoup plus simples, très rentables également, accessibles à des débutants.
Etant aussi débutant en investissement immobilier, je ne vois pas votre aventure comme un repoussoir. Au contraire, je trouve que cela illustre bien ce qu'on peut être capable de réaliser lorsque l'on a la motivation, qu'on est méthodique et qu'on réfléchit avec bon sens 
Ceci dit, un investissement de cette ampleur n'est à mon sens pas vraiment "accessible" pour un débutant qui n'a pas encore les moyens financiers pour envisager un achat si "gros". J'imagine le montant des frais de notaire qu'il faut apporter soit en fonds propres soit en hypothéquant d'autres biens. Il faut donc qu'un investisseur dispose déjà d'un certain patrimoine à mettre sur la table (capital dispo, revente d'un immeuble comme vous l'avez fait pour avoir des liquidités ou mise en hypothèque).
Comme vous dites, il y a des biens avec beaucoup moins de complications qui peuvent être de belles affaires, y compris des biens de rapport "clé en main" (déjà loués, en ordre urbanistiquement parlant, quasi pas de travaux,...).
Waow, ça c'est du projet ! L'affaire est bonne, même très bonne mais il fallait oser, avec toutes les surprises qui vont avec ! J'ai toujours trouvé ça fou de voir des biens immobiliers pareils qu'on laisse aller en ruine... Mais le malheur des uns fait le bonheur des autres
En tout cas, félicitations pour cet investissement ! Et merci pour votre récit très détaillé !
Pour les travaux de rénovation des studios, avez-vous géré vous-même le chantier (en faisant parfois appel à des pros pour certaines choses) ou êtes-vous passé par un entrepreneur ?
Connaissant bien Charleroi (même si je ne suis pas spécialement son marché immobilier), je pense voir de quel immeuble il s'agit et dans quelle rue il est situé (Chocolat si je gagne ?
)
Et oui! Vive le tout "Internet".
C'est en effet une toute nouvelle activité d'une banque en ligne dont le nom commence par K...et qui essaie à tout prix de gonfler le nombre de ses clients emprunteurs.
C'était donc le bon moment et le bon endroit!
Banque dont le nom commence par K et où je suis déjà client depuis un moment et où mes modestes avoirs boursiers sont gardés. Cela a peut-être aidé !
A la base, je n'étais pas chaud pour les demandes en ligne, préférant avoir un interlocuteur en face pour bien expliquer et argumenter le projet.
J'avais déjà tenté dans une autre banque en ligne pour mon premier achat et j'avais été envoyé sur les roses, sous prétexte qu'ils ne finançaient que les résidences principales vu les taux "compétitifs" qu'ils proposaient. Du coup, ce genre de processus m'avait bien refroidi.
Bim a écrit :Financement trouvé pour mon acquisition ! Comme quoi, il ne faut jamais désespérer. Prêt à 100% sur 20 ans avec un taux de 1,99 %. Le tout chez une banque en ligne. L'aventure continue
Ben vous voyez qu'il ne faut pas désespérer. Vous avez bien fait de venir chercher de bons conseils et encouragements sur Pim.be. N'oubliez pas les honoraires.
Pour moi, des manons blancs svp.
Oui, il faut s'accrocher, même quand ça semble désespéré
On peut avoir de belles surprises !
Le pire c'est qu'ici, vu que c'est une banque en ligne, je n'ai eu aucun contact avec personne. Je me suis contenté de compléter le formulaire en ligne et de joindre les documents justificatifs demandés (j'achète un bien déjà loué à 100%, j'ai donc la "chance" d'avoir des justificatifs des loyers générés par le bien)... Pas d'argumentation, pas de business plan à expliquer, ... Et c'est passé (réponse en quelques jours en plus) !
Le chocolat, c'est la vie !
Voici les Manons 
Financement trouvé pour mon acquisition ! Comme quoi, il ne faut jamais désespérer. Prêt à 100% sur 20 ans avec un taux de 1,99 %. Le tout chez une banque en ligne. L'aventure continue 
Je compatis pour vos problèmes avec l'administration qui peut parfois être d'une lenteur...
A Mons, touchons du bois, pour l'instant la cellule logement est relativement efficace en matière des permis de location. Ils vérifient eux-même la conformité urbanistique (si division non connue de l'urbanisme, il faut néanmoins présenter soi-même les preuves de l'existence des logements avant 1994 : un petit tour au service population pour avoir une liste des domiciliations ou une attestation de pose de compteurs d'eau/gaz/électricité fait l'affaire), ils envoient rapidement un "technicien" qui visite les logements pour voir s'ils sont salubres et respectent le code wallon du logement. Vous avez le rapport de visite rapidement et les permis suivent aussi assez vite.
A Charleroi, on dirait que la ville essaie de laver plus blanc que blanc...
Honnêtement, je pense pas que passer d'emblée par un expert pour des états des lieux apporte vraiment quelque chose. Le seul cas où cela me paraît intéressant est lorsque les 2 parties ne s'entendent pas à l'amiable. A ce moment, le recourt à un expert agréé des tribunaux peut être utile.
panchito a écrit :BIM a écrit :J'avais potassé ce point avant de me lancer dans l'immobilier de rapport. Il semble que ce sont les plus-values sur reventes de biens qui sont visées par une requalification en revenus divers ou professionnels. Sont donc surtout visés les investisseurs qui font de l'achat-revente style marchand de biens.
Non détrompez-vous! Il y a déjà eu de très nombreux cas (aussi des gens qui sont venus se plaindre sur ces forums) et c'est surtout le fait d'emprunter qui pour le fisc est déterminant pour juger qu'il s'agit d'une occupation lucrative, et qui dès lors, considère les loyers comme des revenus du travail (avec le taux de taxation qui va avec, donc souvent +/- 50%).
Les taxes sur les plus-values sont une tout autre domaine ....
Et que les personnes exercent un tout autre métier à temps plein est sans incidence pour le fisc.
Il est vrai que certains ont déjà été requalifié dans ce genre de situation. Mais très peu.
Je pense que ces cas sont assez rares en effet. Je cite le blog de Me Carnoy :
"L’arrêt considère que « le caractère répétitif des opérations résulte de l’acquisition de 33 immeubles au cours d’une période de 13 ans ; que le lien de connexité résulte de l’objectif poursuivi, consistant à acheter des immeubles à bas prix pour les restaurer et les donner en location ; qu’il a été démontré que lesdites opérations étaient exorbitantes de la gestion normale d’un patrimoine privé ; que le caractère professionnel de ces opérations se trouve confirmé par le recours quasi systématique à l’emprunt impliquant, dans chaque cas, la démonstration de la rentabilité du projet, par l’importance des travaux d’aménagement et de restauration, par l’inscription au registre du commerce de 1987 à 1992 du chef d’une activité qualifiée ’affaires immobilières’ et par la gestion administrative d’un ensemble de biens donnés en location ; qu’il s’agit bien d’un ensemble d’opérations suffisamment fréquentes et liées entre elles pour constituer une occupation continue et habituelle et ne consistant pas en la gestion normale d’un patrimoine privé ; qu’autrement dit, il s’agit d’une occupation lucrative au sens de l’article 27, alinéa 1er, du Code des impôts sur les revenus, générant des profits au sens de l’article 23, § 1er, du même code."
Je suis très loin d'être en situation d'acquérir 33 immeubles en 13 ans (ce qui fait en moyenne 2,5 acquisitions par an)... Dans mon cas on serait plutôt à une acquisition tous les 2-4 ans. J'imagine que dans des cas pareils, la question de requalification peut se poser. Quoique si on y réfléchit... N'est-il pas meilleur "bon père de famille" que celui qui utilise le crédit pour acheter des biens en location afin de profiter d'une part de l'effet levier sur les fonds propres investis et d'autre part de la déduction fiscale qui incite à emprunter ?
Personnellement, j'ai des tas (mais des tas) de crédit en court, pas de revenu professionnel, j'ai eu droit à un contrôle approfondi, et il n'a jamais été question lors de ce contrôle de requalifier mes revenus immobiliers en revenus professionnels.
J'imagine aussi que ça doit être comme les banques, selon la personne sur laquelle vous tombez. Après tout, les limites de la gestion d'un patrimoine privé en bon père de famille ne sont pas clairement définies et sont sujettes à interprétation.
Les banquiers m'ont toujours indiqué que les crédits pour investissements étaient limité à 15 ans/80%. J'ai toujours (sauf pour le dernier) fait des crédit en 20 ans, entre 90 et 100%. Mon dernier est un peu particulier, puisque la banque m'a prêté 90% du prix d'achat sur 15 ans, l'équivalent de 20% de plus en travaux, et donné une ouverture de crédit sur compte courant pour financer les frais de notaire...
Pour le dernier, après deux refus chez des banquiers qui étaient supposés me connaître (et en tout cas où j'étais client), j'ai été dans une banque où je n'étais pas client, chez la bonne personne. Et on m'a déroulé le tapis rouge.
Ahhhh les paroles des banques ! Pour mon premier achat, on m'avait d'abord dit (dans ma banque principale) : "Pour un investissement locatif, nous pouvons financer jusqu'à 80% du prix d'achat maximum et sur maximum 20 ans, avec un taux d'intérêt plus élevé pour que pour une habitation propre et vous devez prendre l'assurance habitation/solde restant dû chez nous (à tarif élevé)" Chez mon courtier (où j'ai mes assurances), j'ai été accueilli, comme vous, avec le tapis rouge : financement sur 25 ans, 80% de quotité, taux préférentiel (réservé aux clidents "fidèles"), assurances à prix très correctes...
Bim a écrit :Elles jugent surement le business risqué, même que j'argumente que je garde une réserve de cash disponible couvrant 12 mois de remboursement.
12 mois? Mais c'est bien trop peu! Pour chaque bien mis en location, vous perdez déjà 3 mois de loyer:
- un pour le précompte
- un pour l'assurance incendie
- un pour le supplément d'impôt à l'IPPVous aurez aussi du chômage locatif, des dégâts, des grosses réparations, des travaux, des locataires indélicats, etc...
Et vous avez encore votre propre loyer à payer en plus des mensualités.
Avez-vous aussi expliqué ce que vous feriez si vous perdiez votre travail? Vous pensez en retrouver un autre en combien de temps?
Il faut aussi garder au moins 6 mois de salaire en réserve en plus des 12 mois de remboursements d'emprunts (loyer compris?)
La réserve de liquidés dont je parle est une réservé dédiée uniquement pour mes biens en location. A côté, j'ai aussi une réserve couvrant 6 mois de salaire. Le reste est placé sur des placements liquides (actions, ETF).
Vous parlez de 3 mois de loyer pour le précompte, l'assurance et l'IPP... Mais personnellement, je ne paie rien à l'IPP car les intérêts déduits annulent l'impôt, l'assurance habitation représente un tiers d'un loyer mensuel (abandon de recours compris contre les locataires), le précompte deux-tiers d'un loyer mensuel.
Evidemment, ce n'est pas de l'immobilier neuf...
Attention aussi au fisc qui a déjà requalifié des loyers en revenus taxables, suivant le nombre d'opérations et surtout le nombre de demandes de prêts.
Car ils estiment que cela sort totalement de la gestion en bon père de famille qui se limiterait, d'après le fisc, à gérer des biens reçus en héritage où payés en cash sur base de revenus du travail déjà hyper taxés, ou revenus de placements boursiers surtaxés eux-aussi...
J'avais potassé ce point avant de me lancer dans l'immobilier de rapport. Il semble que ce sont les plus-values sur reventes de biens qui sont visées par une requalification en revenus divers ou professionnels. Sont donc surtout visés les investisseurs qui font de l'achat-revente style marchand de biens.
Je suppose qu'ici aussi, les banques estiment que les revenus professionnels sont insuffisants surtout si on est locataire et qu'on a encore un loyer à payer en plus des prêts hypothécaires...
Certaines banques refusent d'ailleurs de prendre la totalité des loyers existants et/ou potentiels en comptes pour calculer les mensualités supportables par l’emprunteur.
Elles jugent l'ensemble des revenus trop aléatoires et donc ce business est bien trop risqué pour des banques belges...
Les banques prennent en considération 80% des loyers. Du coup je ne m'intéresse qu'aux biens qui permettent d'être financés à 100% du prix d'achat (hors frais) sur 20 ou 25 ans avec une échéance mensuelle de remboursement < 80 % des loyers.
Elles jugent surement le business risqué, même que j'argumente que je garde une réserve de cash disponible couvrant 12 mois de remboursement.
Il fait la distinction entre le marché immobilier "réel", qui n'était pas le problème, et le marché immobilier "titrisé", qui est devenu un problème suite aux prêts accordés à des personnes ne disposant pas de revenus suffisants, des hypothèques en cascade, et de la mise de ces actifs dans des fonds spéculatifs sur-vendus.
Oui, des établissements de crédits ont accordés des prêts à taux variables un peu à n'importe qui (en gros à des clients qui n'ont pas la solvabilité nécessaire pour payer si les taux remontent) et ont revendus ces actifs pourris à d'autres institutions financières/banques, emballés comme vous le dites, dans de jolis fonds spéculatifs... Evidemment tout a capoté quand les taux ont remonté....
Du coup maintenant, nous, investisseurs immobiliers utilisant le crédit prudemment pour profiter d'un effet levier sommes pénalisés... à cause de ces erreurs commises par des sois-disant professionnels de la finance qui, aveuglés par leur cupidité et leur avidité, ont perdu leur bon sens...
e persiste à croire que vous n'êtes pas tombé sur la bonne personne. Persévérez. Accrochez-vous. Vous trouverez. Quitte à financer 90% plutôt que 100% et à ralentir le rythme.
Vous pouvez aussi indiquer que vous réservez votre cash pour les travaux envisagés...
Je tente une dernière fois cette semaine ! Qui sait, cela sera peut-être la bonne 
Merci à tous pour vos avis !
Je pense que même si vous n'étiez pas locataire, c'est le fait que vous voulez emprunter à 100% qui fait que toutes les banques rejettent votre demande.
L'esprit d'un banquier est insondable, c'est peut-être en effet juste une façon diplomatique de m'envoyer sur les roses. Parfois s'ils ont atteint le quota de crédits hypothécaires à faire sur l'année, il recalent les dossiers les plus "risqués". J'ai eu cas pour mon 1er bien. Les demandes que j'ai rentrées en fin d'année ont toutes été refusées, et celles rentrées en janvier quasi toutes acceptées...
Vous disiez que vos placements en bourse avaient été tellement fructueux les dernières années, c'est donc le bon moment pour vendre quelques fonds/actions, la bourse est en train de se retourner...
Mieux vaut sécuriser vos gains dans l'immobilier.
C'est vrai que le climat boursier devient un peu plus incertain maintenant. Je redeviens plus liquide et c'est pour ça que j'envisageais un achat d'un 2eme bien de rapport.
Vous ne savez pas payer les 20% qui vous permettrait de descendre à 80%?
Si je pourrais les payer mais je préfères garder du cash pour pouvoir saisir les opportunités boursières qui vont se présenter dans les mois à venir et ainsi régénérer un capital à placer dans l'immobilier d'ici 2-3 ans. Si je mets les 20% maintenant en apport, je ne pourrais plus envisager d'achat immobilier avant 5-6 ans. Or le temps est un allié précieux en investissement...
C'est sur que l'appellation "effet de levier" fait paniquer les banquiers. Il est formellement interdit d'acheter des véhicules de placement via un prêt.
Donc normal qu'ils ne comprennent pas qu'il y des investisseurs qui le font pour de l'immobilier....
C'est d'ailleurs cet effet de levier qui a déclenché la crise des subprimes aux Etats-Unis, la faillite de Lehman Brothers, et la crise financière mondiale en 2008.
Tout à fait ! Au final, les investisseurs immobiliers prudents, gérant leur patrimoine en bon père de famille et utilisant l'effet levier avec prudence paient pour ces erreurs commises par des gens aveuglés par la cupidité et l'avidité...
300€ pour un flotteur? Arnaque. Encore un de ces soit disant plombier chauffagiste carreleur peintre déménageur déboucheur qui facture 4x le prix annoncé au téléphone.
Ils devraient être pendus en place publique...
Je plussoie ! Certains abusent vraiment en matière d'arnaque...
J'ai fait appel à une société de dépannage plomberie pour panne d'eau chaude (boiler au gaz). Au téléphone, on ne m'annonce pas les tarifs (j'étais pressé et j'ai oublié de demandé aussi), on place l'intervention une semaine plus tard. Le jour J, les 2 ouvriers arrivent avec 2 heures de retard, l'intervention dure 20 min (au final le boiler n'avait rien, c'était les vannes d'arrêt de l'eau chaude qui étaient entartrés... Facture de 340 euros (220 euros de main d'oeuvre, 120 euros de déplacement).
Depuis, je me suis mis à apprendre la plomberie...
Bonjour
Parfois, c'est une question de personne.
J'ai eu dernièrement deux refus de financement. Vu les circonstances, j'ai redéposé une demande, et elle est passée. Changement de personne de contact...
C'est clair que la personne qui est en face peut changer la donne. Mais après avoir tenté plusieurs banques et courtiers, j'ai renoncé, n'ayant pas non la possibilité de prendre des RDV n'importe quand, boulot oblige.
Ce qui me "choque" à chaque fois, c'est que ces interlocuteurs ne comprennent pas grand chose à l'investissement immobilier, qui est , fondamentalement, simple (combien n'ont pas compris mes calculs de rentabilité.... Vous avez dit effet levier ? késako ?)
Bonjour,
Je trouve votre proposition correcte. En allant en justice, vous risquez de pas récupérer grand chose si le locataire n'est pas solvable et cela va vous engendrer des frais qu'il sera aussi difficile de récupérer. Autant tenter un arrangement à l'amiable qui vous permet de toucher le loyer de manière continue entre son départ et l'entrée du locataire suivant.
rodes a écrit :Si j'etais le locataire je payerais maximum 50 EUR, le bailleur n'avais qu'a obtenir mon accord sur le chirurgien-toilettiste qui est intervenu.
D'accord, mais c’est le locataire qui a fait appel au bailleur pour une réparation qui lui incombe.
Deux choses à faire : D'abord contacter le plombier et contester le montant de la facture pour qu'elle soit ramenée à un montant raisonnable. Ensuite, diviser le montant en deux parties égales à payer par le bailleur et le locataire.
Ceci dit, nous émettons des avis, des idées... et les parties restent libres d'en tirer ce qu’elles veulent.
Il faut voir aussi si la réparation incombait bien au locataire. Si celui-ci a reçu au départ le logement avec un flotteur en état d'entartrement avancé, c'est pas vraiment un défaut d'entretien de sa part. Il faut voir depuis combien de temps le locataire dispose du logement et si l'état de la chasse est mentionnée dans l'état des lieux. Sachant aussi que l'état d'un robinet flotteur est rarement décrit dans un état des lieux.
J'ai eu cette blague en tant que locataire : j'entre dans l'appartement et constate après quelques jours que la chasse du WC fuit légèrement. Lors de l'état des lieux d'entrée, cette fuite n'a pas été relevée car difficile à voir (pièce sombre et fin filet d'eau qui coule tout doucement) et donc pas mentionnée dans l'état des lieux. Je m'en suis rendu compte car la chasse faisait parfois du bruit pendant la nuit. J'ai contacté le proprio après une semaine, expliqué la situation, et nous nous sommes arrangés de la sorte : j'ai remplacé moi-même la chasse d'eau et le flotteur en remettant un équivalent en terme de marque et le proprio m'a remboursé la chasse et le flotteur sur base du ticket d'achat.
Comme propriétaire, mes états des lieux ne reprennent jamais l'état précis des chasses d'eau et de leur mécanisme (ils sont faits par une agence qui assure la gestion de mes logements). J'ai dû une fois remplacer un flotteur qui était fort entartré et qui fuitait, coût de l'intervention (par mes soins) : 30 €, temps passé : 10 min. Relation très correcte avec le locataire, j'ai pas réchiné... Surtout que le flotteur avait déjà de l'âge et que le locataire (bail avec le proprio précédant), était là depuis quelques mois quand le problème s'est présenté.
D'accord avec Himura.
Perso, si la relation est correcte avec mes locataires, je prends ces petites réparations à ma charge en leur rappelant de détartrer de temps en temps.
Par contre l'attitude de ce bailleur ne me semble pas correcte, dans la mesure où il n'a pas averti le locataire au préalable qu'il lui refacturerait le remplacement du robinet flotteur et surtout que cela couterait 300 euros (pour une pièce de 20-30 euros qu'on peut remplacer très facilement soi-même). Le prix de la main d'oeuvre me parait même excessif contenu du temps que prend le remplacement d'un flotteur (10-15 min de travail). Si j'étais locataire concerné par le problème et que celui-ci résulte d'un défaut d'entretien de ma part, je proposerais de prendre à ma charge la pièce et une heure de main d'oeuvre à un tarif normal (disons 45 euros/h) soit 45 + 20/30 = 65/75 euros., sachant que le tarif ne m'a pas été soumis avant ouvrage et m'a été imposé...
Ah les souris.... La joie....
S'il y multiplication de ces rongeurs, c'est qu'il y a abondance de nourriture pas loin. Vous pouvez peut-être aussi voir s'il y a moyen de leur empêcher l'accès à cette source (par ex : local poubelle) en plaçant des grillages métalliques au niveau des points d'entrée, selon la bonne volonté du syndic/copropriété. Le poison et les pièges (et souvent même la dératisation) sont efficaces pour contenir l'invasion mais ne règleront jamais le problème à la source. Bon courage !
Ce n'est pas votre projet initial, mais c'est peut-être plus sage aussi.
En attendant, la bourse ne se porte pas mal, cela permet de ne pas laisser les fonds dormir, c'est un moindre mal
Disons que le problème (en tout cas à Mons) est que les immeubles de rapport intéressants ne courent pas les rues et qu'il faut parfois patienter pendant de longs mois avant qu'un bien intéressant n'apparaisse. Le marché est inondé d'immeubles de rapport qui ne sont pas en ordre (division illégale de maison unifamiliale) et qui sont quasiment impossible à régulariser d'un point de vue urbanistique, vu ce que les normes actuelles de la ville exigent pour des immeubles à plusieurs logements. Souvent, beaucoup de ces biens sont aussi dans en état proche de l'insalubrité... Bref, les occasions intéressantes ne sont pas fréquentes et de ce fait, la concurrence peut parfois être rude... (Mais j'aime le challenge heureusement
)