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A faire constater par le syndic...mais c'est lui le copropriétaire gérant le AirB&B si j'ai bien lu le 1er message
Exact !
Dans ce cas, exiger une réadaptation des comptes et avoir les preuves du détournement (photos, témoins, rapport de l'électricien...) et menacer de déposer plainte au pénal. Dans une copro de 3 apparts, j'imputerais la totalité de la conso commune au fraudeur, et ce sur le nombre d'années de consommation anormale pour les communs (limité à 5 ans).
Et faire nommer un autre syndic asap !!!
Ceci dit, si le raccord a été sans conséquences mesurables et n'a été fonctionnel que durant une période limitée et transitoire entre deux occupants, pas la peine non plus d'en faire un drame.
La quote-part du grenier est bien inférieure aux quotes-parts des appartements en effet. Les appartements ont une quote-part d'environ 2800/10.000 tandis que le grenier est aux alentours de 1100 (alors que sa surface est légèrement supérieure à la surface des appartements).
Si vous avez un appart par étage, le grenier n'est pas plus grand que les apparts... de plus, sur une surface importante, la hauteur sous toit est trop réduite pour être comptabilisée en surface habitable.
D'autant plus que les feuilles de présence des syndics mentionnent trop rarement l'identité du propriétaire et/ou indiquent parfois une identité erronnée.
Dans la mesure où personne ne conteste dans les 4 mois qui suivent l'AG, cela ne porte pas à conséquence si une petite erreur s'est glissée dans la liste. Par exemple Mr Dupont en lieu et place de Mr et Mme.
Et non, je ne sais absolument pas qui est le 3ème copropriétaire... Mais il faudrait que j'entre en contact avec lui absolument!
Macabre découverte encore hier... j'ai fait venir un électricien, et il a remarqué que le logement airbnb était relié au compteur des communs !!
Ce n'est pas macabre, mais c'est gênant quand même ! C'est du vol d'électricité. A faire constater par le syndic. Faire des photos. Vérifier la conso des communs et imputer au fraudeur la différence de consommation constatée... voire même la totalité de la conso des communs sur la période de sur-consommation. Si pas content, menace de plainte au pénal. (Je dis menace parce qu'à Bruxelles, ce genre de dossier est classé verticalement) Inutile de perdre votre temps, votre argent et votre énergie à essayer d'ester en justice.
je ne sais absolument pas qui est le 3ème copropriétaire... Mais il faudrait que j'entre en contact avec lui absolument!
Certains se réfèrent au cadastre, mais perso ayant obtenu du cadastre des données (fausses) au Congo, je préfère payer +cher et prendre copie de l'acte d'achat via le principe de la publicité foncière instaurée depuis Colbert et dont le service est assuré par l'AGDP via le SPF finances du lieu du bien. Le renseignement me coûte 65 euros mais c'est un document valable et dont le contenu, notamment la lettre de réponse du syndic au notaire pour la vente, est utile pour clarifier qui est propriétaire de quoi et dans quelles conditions financièrement et concrètement.
D'autant plus que les feuilles de présence des syndics mentionnent trop rarement l'identité du propriétaire et/ou indiquent parfois une identité erronnée.
Au Congo ???
Bonjour à tous,
Il s'agit du point 9 de l'ordre du Jour signé par un "gestionnaire" connu à l'IPI.
Le point à voter est libellé ainsi :
https://forum.pim.be/uploads/988ebf292b … 8f3cad.jpgJe m'en étonne. Comment un syndic professionnel IPI ose mettre à l'ordre du jour un mandat à voter afin que le monsieur qui s'est imposé comme "conseil de copropriété" puisse gérer tous les contrats hors assemblée générale.
N'est-ce pas illégal de proposer de priver l'assemblée générale et ses membres de leurs prérogatives de propriétaires depuis 1994 ?
Connaissez-vous d'autres syndics qui font pareil ?
Et vous proposez quoi ? Une AGE ? Cela implique des frais, vous ne l'ignorez pas. Votre syndic est pragmatique et se contente de PROPOSER.
Mais vous êtes parfaitement libre de proposer une autre solution. En fin de compte, c'est l'AG qui décide.
Personne ne s'impose au CDC. Le CDC a été élu dans le passé et lui ou un autre sera élu lors de l'AG. prochaine. Et il ne s'agit pas de gérer "tous les contrats" mais un contrat spécifique d'entretien.
Je fais pareil. J'ignore si c'est légal ou non. Et je m'en fous. Quand c'est utile, il importe de garder un esprit pratique en vue des intérêts de la copro. Je ne suis pas IPI, je suis un simple CP qui fait ce qu'il peut pour gérer sa copro dans l'intérêt de tous.
rexou a écrit :mvhl a écrit :Voilà pourquoi chez nous, nous avons aligné les dates :
- la clôture Caloribel est le 28 février
- le relevé des compteurs (gaz, élec) se fait dans la 1e quinzaine de mars
- la facture de régularisation (gaz, élec) arrive en avril
- la clôture des comptes de l'ACP est le 30 avril.Nous pouvons ainsi imputer le coût exact du chauffage pour l'exercice (l'acompte gaz-élec d'avril étant systématiquement reporté à l'exercice suivant)
Oui, c'est bien... sauf si comme moi vous devez aussi prendre en compte le relevé annuel d'eau et qu'il y a un écart de six mois entre le relevé gaz et celui de l'eau.
Mais l'idée générale est d'attendre d'avoir les chiffres de consommation(s) sur base annuelle pour établir le décompte de Caloribel. Le faire en se basant sur des acomptes payés est une ineptie.
Pour l'eau, c'est un faux problème !
Le prix de l'eau au m³ est assez stable pour être utilisé sans avoir reçu la facture annuelle.
Et c'est le prix de l'eau au m³ qui doit être communiqué à Techem pas le total des factures VivaquaUne erreur (à mon sens) que font souvent les syndics, c'est de donner le montant total d'eau facturé par Vivaqua pour que Techem le répartisse en fonction des consommations privatives. Techem réparti donc à un prix moyen uniquement basé sur les relevés de compteurs de passage : total Vivaqua divisé par total index relevés par Techem.
Et cela donne généralement un prix au m³ tout à fait incohérent car cela ne tient pas compte de l'eau utilisée dans les communs, les compteurs non relevés, les fuites avant compteurs de passage, les estimations d'index, les rectifications des estimations des années précédentes, les compteurs bloqués ou défaillants, ... Sans oublier le fait que, parfois, Vivaqua aussi facture une estimation de consommation quand ils n'ont pas eu accès au compteur !
Je communique au syndic la facture totale d'eau, oui. En ce qui me concerne, l'erreur est volontaire. La base de calcul est en effet la consommation annuelle totale d'eau. Oui, ça inclut la consommation des communs... mais après tout, pourquoi pas ? Concernant les compteurs bloqués, je demande à Caloribel de facturer un forfait sur base des consommations précédentes. Et si le problème subsiste l'année suivante (ben oui, ça arrive!) je demande que le forfait soit doublé. Il est impossible d'établir un décompte parfaitement exact alors l'idée est de faire simple et pratique tout en restant cohérent.
Mais jamais au grand jamais je n'ai envisagé une seule seconde la possibilité de faire établir le décompte de Caloribel sur base de factures d'acomptes ni connu dès lors de problème de note de crédit à régulariser. Pour moi, c'est une totale ineptie.
Le système même des calorimètres comporte une marge d'imprécision. C'est inévitable, surtout avec les calos à évaporation. La période de facturation ne correspond pas précisément à celle de consommation mais l'incidence est minime et ne touche qu'un habitant en début ou en fin de location... et encore, uniquement si les périodes d'occupation ne sont pas des années complètes.
Facture eau : de janvier à décembre
Facture gaz : de aout à juillet
Facture Caloribel : de mai à avril. (relevé des compteurs et calos deuxième quinzaine d'avril, réception des décomptes en septembre vu la nécessité d'attendre juillet pour avoir les chiffres du gaz... et AG début octobre)
Les consommations d'eau sont linéaires toute l'année et celles de gaz sont sensiblement identiques en période non hivernales.
Les factures de gaz prises en compte correspondent à la période de chauffe : relevés Techem fin octobre, factures gaz du 1er novembre au 31 octobre et forcément ces factures de 12 mois incluent une régularisation (débit ou crédit).
Pour le calcul Techem il faut encore ajouter l’entretien de la chaudière.Mon problème était que le syndic refusait de faire faire le décompte Techem sur base d’un montant négatif (à cause d’une note de crédit pour la facture de régularisation plus élevée que la somme des 12 factures annuelles).
J’ai contacté Techem qui m’a confirmé que cela ne posait pas de problème et qu’ils rencontrent d’ailleurs ce cas de temps à autre.Pour éviter ce problème, il faudrait que le fournisseur d’énergie envoie rapidement sa facture de régularisation pour coïncider avec le relevé de Techem, c’était le cas auparavant mais avec le fournisseur actuel il y a un gros décalage qui oblige à reporter cette facture dans les comptes de l’année suivante.
L'entretien de la chaudière, c'est le syndic qui voit la date à laquelle il faut l'effectuer annuellement. Ce n'est pas un problème.
Par contre, vous devez avoir la facture de régularisation annuelle (gaz/eau) pour que Caloribel puisse établir les décomptes individuels. Ne pas attendre cette facture et inclure la régularisation de l'année précédente est un non-sens. Autant minimiser autant que faire se peut le décalage entre la période d'exercice et les consommations effectives. La répartition ne sera jamais parfaitement exacte. Mais faut essayer de limiter les décalages. Si ce n'est pas très important pour un occupant à long terme, il en va autrement en cas de changement d'occupant, notamment de locataire. Celui qui va rester un an paiera les consommations en grande partie sur base de l'année précédente... où il n'était pas occupant.
Voilà pourquoi chez nous, nous avons aligné les dates :
- la clôture Caloribel est le 28 février
- le relevé des compteurs (gaz, élec) se fait dans la 1e quinzaine de mars
- la facture de régularisation (gaz, élec) arrive en avril
- la clôture des comptes de l'ACP est le 30 avril.Nous pouvons ainsi imputer le coût exact du chauffage pour l'exercice (l'acompte gaz-élec d'avril étant systématiquement reporté à l'exercice suivant)
Oui, c'est bien... sauf si comme moi vous devez aussi prendre en compte le relevé annuel d'eau et qu'il y a un écart de six mois entre le relevé gaz et celui de l'eau.
Mais l'idée générale est d'attendre d'avoir les chiffres de consommation(s) sur base annuelle pour établir le décompte de Caloribel. Le faire en se basant sur des acomptes payés est une ineptie.
QRieuse a écrit :max11 a écrit :Si la note de crédit est de décembre 2023 (donc pour la période 2022-2023), cela n'a aucun sens de la répartir dans un décompte Techem avec les consommations de 2023-2024 !
Vous devez donner à Techem la valeur de la consommation de gaz de octobre 2023 à octobre 2024 et ce sera bien un montant de charges à répartir !
Pour la note de crédit 2022-2023 reçue en décembre 2023, il faut faire un choix :
1. Le plus correct : faire refaire la répartition Techem 2022-2023 en incluant la note de crédit dans le montant des frais de chauffage
2. Le plus "simple" mais ne tenant pas compte de la consommation trop payée par chacun en 2022-2023: laisser cette note de crédit se répartir sur la quotité des frais de chauffageLa note de crédit (ou éventuellement débit) est toujours reçue en décembre car la facture annuelle se fait en décembre. Donc le crédit dont on est informé en décembre est bien repris chaque année dans les factures gaz du 1er novembre au 31 octobre.
Ne recevant la facture annuelle de régularisation qu’en décembre, il est impossible de la reprendre dans le compte chauffage de l’année écoulée.Le fait d’être en négatif parce qu’on a payé beaucoup trop de provision perturbe le syndic. Mais ces provisions excessives doivent être prises en compte pour le compte Caloribel 2023-2024.
1.Les comptes 2022-2023 de Caloribel qui reprenaient la régularisation de décembre 2022 sont clôturés depuis un an et intégrés aux décomptes individuels de 2023.
2.J’avais pensé faire le compte Caloribel sans ce crédit et en le remboursant aux CP selon leurs quotités mais cela fausserait le prix individuel du chauffage, certains chauffant plus que d’autres.Je vais voir demain avec Caloribel s’ils peuvent faire les décomptes individuels sur base d’un montant négatif. Je ne vois pas pourquoi ce ne pourrait pas se faire
Vos répartitions de frais de chauffage sont donc toutes fausses, chaque année !!!!
Vous répartissez des consommations réelles d'unités à un prix provisionnel basé sur rien de fiable !J'aimerais être un occupant 2023-2024 dans votre immeuble et j'aurais été "volé" si j'avais été un occupant 2022-2023....
Il faut accorder les dates de calculs de répartitions de Techem avec la date de relevé du compteur de gaz s'il n'est relevé qu'une fois par an !
Les répartitions de chauffage par calorimètres (surtout à évaporation) sont toujours un peu fausses, par la force des choses. Mais au moins, il convient de se baser sur les chiffres de consommation réelle. Pour cela, il faut attendre la facture annuelle de régularisation d'eau et de gaz.
Il faut prendre en compte la consommation de gaz pour le chauffage, mais aussi d'eau -pour l'eau froide et chaude- si la chaudière commune chauffe l'eau privative. Les compteurs sont relevés par TECHEM
Par exemple dans ma copro : Décompte annuel de gaz en juillet. Décompte annuel d'eau en janvier. Et relevé des calorimètres deuxième quinzaine d'avril. Période de facturation de TECHEM : du 01.05 au 30.04. Décomptes en septembre et AG début octobre. Sur base de chiffres gaz de juillet à fin juin et de l'eau pour décembre à janvier, la facture TECHEM porte sur la période 01.05 au 30.04.
Mais chaque année, les chiffres remis à TECHEM sont les consommations effectives relevées sur une base annuelle. Même si la période de référence des consommations n'est par la force des choses pas celle qui correspond avec la période de facturation. Ce n'est pas l'idéal, mais au moins c'est régulier et simple.
En cas de changement de (mon) locataire, je propose toujours un forfait estimatif sur base d'un relevé que j'évalue très approximativement ou de la consommation antérieure de ce locataire. Ceci pour clôturer les comptes sans attendre le décompte annuel. Jamais un seul refus ni aucune critique.
En cas de vente/achat d'un lot, en tant que syndic, j'invite le vendeur à faire faire un relevé intermédiaire par TECHEM (c'est payant) OU de convenir avec son acheteur d'un forfait à imputer au vendeur. A défaut, j'établis simplement un décompte au prorata.
Avez-vous déjà pensé à conserver une seule entité et louer en colocation ?
Le rendement serait sans doute plus attrayant et vous n'auriez pas de problèmes urbanistiques ni de répartition de compteurs...
Dans le centre, il me semble que ce serait intéressant et la demande devrait être plus forte que pour de grands duplex...
C'est juste une idée, je suis de Bruxelles et ne connais pas Liège.
C'est déjà un peu plus clair ainsi. On avance peu à peu.
Concernant les élections passées du CDC, oubliez ça. Vous n'étiez pas propriétaire en ce moment. Il est prévu d'élire un CDC et tout va bien. Demandez juste au syndic de de pas oublier de mentionner cette élection dans le PV.
Pour ce qui est de vos odeurs, vous êtes si je comprends bien le seul CP réellement incommodé. Une solution assez simple serait d'installer un extracteur en haut de la cheminée. Rien de bien onéreux ni compliqué à première vue. Votre plombier a-t-il fait une proposition concrète et chiffrée pour solutionner le problème ? Avez-vous une proposition à remettre en AG ? Avez-vous demandé un vote à ce sujet ?
rexou a écrit :Nous ignorons si le syndic est IPI ou non.
Le syndic est effectivement IPI.
Il est intéressant de savoir que cette façon de faire est considérée comme un grief par l'IPI.
Sans vouloir me faire juriste loin de la, ni expert en matière de copro, la loi sur la copro (Cc livre 3 - les biens - art 3.87§10) stipule§ 10. Le syndic rédige le procès-verbal des décisions prises par l'assemblée générale avec indication des
majorités obtenues et du nom des copropriétaires qui ont voté contre ou qui se sont abstenus.
A la fin de la séance et après lecture, ce procès-verbal est signé par le président de l'assemblée générale, par le
secrétaire désigné lors de l'ouverture de la séance et par tous les copropriétaires encore présents à ce moment
ou leurs mandataires.et donc c'est une obligation pour le syndic d'autant que le code de déontologie de l'IPI dans son article 1 précise
Dans le cadre de l'exercice de la profession, les agents immobiliers se conforment également aux principes de dignité et de probité inhérents à la profession et respectent les dispositions légales et réglementaires qui concernent cet exercice, et notamment :
...
3° les dispositions du Code civil en matière de copropriété forcée d’immeubles ou de groupes d’immeubles bâtis et les arrêtés pris en exécution de ces dispositions ;
....Outre ce problème, j'expliquais dans mon autre post que le syndic n'avais probablement pas noté dans le PV de l'AG de 2024 la réélection du conseil de copropriété ce qui serait une négligence grave de sa part car le PV de cette AG ne reflète pas la décision des copro, ses mandants !
Toujours dans le cadre de la négligence de ce syndic j'y apporte aussi le fait suivant. Très rapidement après avoir emménagé dans notre nouvel appartement (mi-aout 2024) j'ai demandé au syndic copie du contrat liant l'ACP et le syndic. Déjà que j'ai du envoyer 3 mails pour l'obtenir j'ai reçu un document non daté et non signé de sa part ni d'un CP. Un nouveau contrat a été signé en 2024 alors que le syndic était déjà en poste. Personne ne peut m'expliquer pourquoi le contrart n'a pas simplement été prolongé, mais soit
La dernière ligne du contrat accepté en AG renvoie au PV de l'AG 2024 dans lequel l'AG aurait mandaté un CP pour la signature du contrat. Or, dans le PV il n'est pas fait mention de ce mandat. Après consultation du ROI, celui-ci indique qu'en l'absence de tout autre décision, c'est le président de l'AG dans laquelle le contrat a été accepté qui est d'office mandaté pour signer le contrat au nom de l'ACP. Or dans le PV de 2024 le syndic ne mentionne pas quel CP était président !La copro est constituée d'un immeuble de 9 appartements auquel a été adjoint quelques années après sa construction 9 garages individuels (1 par appartement). Chacun de ces garages est équipé d'un compteur électrique individuel. Un jour, j'ai constaté qu'un habitant de l'immeuble chargeait son véhicule depuis son garage. Je me suis renseigné auprès du "conseil de copro" sur la manière dont était imputée la consommation électrique des garages. Pour avoir la réponse "ben ca devrait être réparti dans les charges mais le syndic ne le fait pas". Moi direct, ca c'est point à mettre à l'ordre du jour de la prochaine AG pour faire voter le point que les index des compteurs doivent être communiqués pour une certaine date et pour le commissaire au compte inscription d'un point pour qu'il fournisse à la demande la ventilation des consommations électriques des garages. J'en arrive au fait qu'un jour, en organisant les divers documents reçus du notaire je tombe sur le PV de l'AG de 2019 ou une décision a été prise à la majorité que les habitants devaient communiquer au syndic les index des compteurs des garages pour le 15/12. Après vérification des décomtpes de charges, cette ventilation n'a jamais été faite ! Non exécution d'une décision d'AG. !
Je peux admettre que ce n'est pas un métier facile et qu'un syndic fait toujours face à des gens qui râlent et qui le prennent pour "leur bon à tout faire", ce qui n'est pas le cas mais ici il me semble que c'est quand même la base du métier et que ce sont des obligations légales !Donc à voir à la prochaine AG ce qu'il en adviendra.
Vous avez débarqué dans une copro depuis moins d'un an. Vous en êtes déjà à décortiquer les actions du syndic, à chercher des "négligences graves" et à chipoter sur plein de détails.
Avez-vous communiqué avec les autres CP pour savoir quelle était leur degré de satisfaction ou non des services de ce syndic ?
Concernant la compta, dans un immeuble de moins de 19 lots (ou jusqu'à 19 lots, je ne sais plus) la compta peut être "simplifiée". Nul besoin d'une comptabilité double par exemple. (voir autre post)
Il y a pénurie de syndics. De plus, les candidats pour gérer une copro de 9 lots ne se bousculent pas. Et vous êtes aussi déjà en conflit avec l'(ex) unique membre du CDC. Que ferez-vous si le syndic décide de ne pas renouveler sa candidature à la gestion de votre copro ?
Quand est prévue votre prochaine AGO ? (vous évoquiez le mois de mars, vous avez reçu/devriez recevoir la convocation.)
Quel est l'ordre du jour concernant votre problème d'odeurs ?
A propos de "nous" : Votre épouse et vous même formez un seul lot. Ce qui veut dire que si vous êtes normalement admis tous deux à être présent lors de l'AG (c'est une tolérance généralement admise, mais pas une obligation), un seul d'entre vous pourra s'exprimer et prendre la parole.
Combien d'appartements dans cette ACP ?
Combien d'habitants dérangés par les odeurs ?
Quand est prévue la prochaine AGO ?
A-t-il été fait un devis ou une estimation de prix et de la nature des travaux qui seraient nécessaires ?Il serait intéressant d'avoir réponse à ces questions...
Je remarque que vous évoquez une AGO de MARS 24 dans un autre post. Mentionner ce détail aurait été utile !!!
J'imagine que votre problème d'odeurs sera un des points à l'ordre du jour lors de l'AGO de mars 2025. Si ce n'est pas encore fait, vous devriez recevoir votre convocation dans les tout prochains jours...
Revenez nous dire ce qu'il en est, et quel est l'ordre du jour concernant le problème d'odeurs que vous avez évoqué.
hachem a écrit :Bonsoir à tous.
Nous avons été invité à participer à l'AGO de notre copropriété. A l'agenda figure la validation du PV qui a été réalisé lors de l'AGO de mars 2024 et qui concernait l'exercice du 01/01/2023 au 31/12/2023.
Cela me parait fort étrange puisque le Code civil stipule que le PV doit être lu et signé par le président de l'AG et les copro encore présents à la fin de la réunion.
Pour moi nous sommes complétement hors la loi. De plus, à la date de l'AGO de mars 2024 nous n'étions pas encore propriétaire de l'appartement !
Quelle attitude adopter ? Pour moi il est évident de s'abstenir, est-ce correct ?
Quelle est la validité des décisions prises lors de cette AGO puisque le PV n'est pas "validé" en fin d'AGO ?Merci
Le 23/06/2016 à 14:02:06 j'écrivais :
Dans un article instructif intitulé "Vers plus de professionnalisme" publié dans le n° 2016/1 de la revue" res et jura immobilia", son auteur Yves VAN ERMEN (actuel président du bureau de l'IPI) écrit que les chambres de l'IPI ont retenu comme grief le fait de mettre à l'ordre du jour "l'approbation du procès-verbal de l'assemblée générale précédente alors que ces procès-verbaux sont devenus définitifs à défaut de recours introduit dans le délai légal, et avoir ainsi donné aux copropriétaires la fausse illusion que les décisions prises ne deviennent définitives qu'à l'assemblée générale suivante".
Bref, il semble que la mise à l'ordre du jour par un syndic d'un point concernant l'approbation du PV de l'année précédente serait susceptible de constituer un manquement déontologique dans le chef du syndic concerné ouvrant la porte à une sanction disciplinaire prononcée par l'IPI.
https://forum.pim.be/topic-276600-order … age-2.html
Nous ignorons si le syndic est IPI ou non. La pratique est pourtant très répandue de faire valider un PV qui de fait est déjà validé depuis 8 mois. On peut débattre du sujet, mais pour un CP qui n'était pas propriétaire à la date de rédaction de ce PV, l'attitude à adopter (puisque c'est la question posée) est de ne pas intervenir parce que pas concerné.
Les décisions prises sont valables, puisque non contestées dans un délai de 4 mois.
L'attitude à adopter quand on débarque dans une ACP, c'est de découvrir, de s'informer, de s'intégrer, de communiquer et de ne pas chercher à refaire le monde.
Combien d'appartements dans cette ACP ?
Combien d'habitants dérangés par les odeurs ?
Quand est prévue la prochaine AGO ?
A-t-il été fait un devis ou une estimation de prix et de la nature des travaux qui seraient nécessaires ?
Il serait intéressant d'avoir réponse à ces questions...
rexou a écrit :Les points "nouveau syndic et dédommagement financier" me semblent tout à fait excessifs, surtout de la part d'un nouveau CP qui débarque.
C'est ce que j'ai fait dernièrement, avec le soutien unanime de l'AG...
Désolé, ce n'est peut-être pas d'application ici, je ne sais pas depuis combien de temps le syndic ne fait pas le job...
Avec le soutien unanime de l'AG, dans d'autres circonstances, avec un syndic qui "ne fait pas le job" (ce qui n'est pas démontré ici)
Un vieux bricard comme vous ne peut être comparé à un CP inexpérimenté qui débarque dans une copro...
Bonjour et bienvenue sur le forum.
Une fois n'est pas coutume, je ne suis pas tout à fait d'accord avec Rexou.
1. Le Conseil de copropriété n'a aucun pouvoir légal. Il a juste la responsabilité de surveiller que le syndic fait bien son boulot.
2. Si le point "Election du conseil" n'a pas été mis à l'ordre du jour, vous pouvez demander qu'il soit mis à l'ordre du jour de la prochaine AG. Cela ne réglera pas le problème d'odeur, mais clarifiera certaines choses pour l'avenir. N'hésitez pas à vous porter candidat
3. Si vous estimez que des travaux sont nécessaires, vous demander de mettre ce point à l'ordre du jour de la prochaine AG.
4. Si vous estimez que c'est une urgence (et supprimer une source d'odeurs pestilentielles, c'est effectivement une urgence...), indiquez le au syndic, qui a un devoir de gestion de ce problème s'il rend la copropriété impropre à l'usage prévu: loger des gens et pas des rats
5. Si le syndic refuse d'agir, invitez le sur place. S'il refuse de venir, il vous reste à convaincre les propriétaires voisins, jusqu'à 20% des quotités, pour demander au syndic de convoquer une AGE. S'il convoque, c'est bien. S'il ne convoque pas, vous pourrez convoquer vous-même. Mentionnez à l'ordre du jour le budget pour régler le problème de canalisation, l'obligation de laisser les accès aux parties privées pour régler les problèmes de canalisations communes, rajouter un point avec des indemnités à charges des propriétaires dont les occupants refusent l'entrée pour régler les problèmes techniques communs, n'oubliez pas de joindre un point "élection du conseil de copropriété", et tant qu'à faire, demander de pouvoir voter pour un nouveau syndic. Si vous voulez être plus vache, rajoutez un truc du style "mandat au conseil de copropriété pour négocier un accord de dédommagement financier avec le syndic concernant son inaction qui a rendu les appartements inhabitables pendant des mois "
La richesse est dans la diversité
Tout à fait d'accord avec les points 1, 2 et 3. Sauf que pour ma part, le p'tit nouveau qui débarque et demande à se faire élire au conseil me semble inapproprié, sauf s'il possède des qualifications tout à fait particulières en matière de copro. Mais c'est en effet le droit de tout CP de présenter sa candidature.
Pour le point 4, ces odeurs sont perceptibles par qui ? A quelles occasions particulières ? Les autres CP ne se plaignent apparemment pas, ce qui est pour le moins surprenant. Si seulement UN (nouveau) CP (on ignore par ailleurs sur combien) estime qu'il y a urgence, il me parait cohérent que le syndic prenne l'avis du conseil, ou à défaut (si ce CP n'est pas vraiment nommé par vote à la dernière AG) à un CP "expérimenté" qui s'est déjà impliqué dans la copropriété.
Point 5 : J'évoquais aussi la possibilité de faire convoquer une AGE en réunissant 20% des quotités pour en exprimer la demande. Si d'autres CP se joignent à la demande, jusqu'à réunir ces 20%, cela apportera déjà plus de légitimité à la demande de solutionner rapidement un problème réel et urgent. Les points "nouveau syndic et dédommagement financier" me semblent tout à fait excessifs, surtout de la part d'un nouveau CP qui débarque.
Combien d'appartements dans cette ACP ?
Combien d'habitants dérangés par les odeurs ?
Quand est prévue la prochaine AGO ?
A-t-il été fait un devis ou une estimation de prix et de la nature des travaux qui seraient nécessaires ?
Bonsoir
Dans le PV de l'AGO de 2024 un point de l'agenda concernait la réélection du Conseil de Copro et du Commissaire au comptes. Dans le PV proprement dit, le syndic a notifié la réélection du Commissaire à l'unanimité mais n'a rien notifié concernant le Conseil de Copro.
Je n'étais pas encore copropriétaire dans cet immeuble au moment de cette AGO en 2024 donc je ne peux dire si effectivement il y a eu réélection du Conseil ou pas. Selon moi, même si effectivement une réélection aurait eu lieu il n'y a pas de Conseil de Copro dans l'immeuble et les décisions qui ont été prises sont elles valides (au sens de la loi) ?
Il faut savoir que la personne qui a été élue au conseil de Copro en 2020 (jusqu'en 2022 première AGO post-covid) pense toujours être "présidente" (sic) de la copro mais que dan sles PV des AGO de 2022, 2023 et 2024 il n'est jamais fait mention d'une réélection du conseil ni des voix exprimées lors de la réélection.
Actuellement cette personne bloque des travaux de réparations dans une gaine technique (colonne d'évacuation des WC poreuses qui laisse échapper une odeur pestillentielle et problème d'extraction d'air dans la gaine technique) en donnant des informations incomplètes ou erronées au syndic qui lui refuse de venir constater par lui-même la situation. L'acte de base stipule bien que les canalisations, la ventilation et les locaux techniques font partie des communs.
J'ai écrit au syndic pour lui expliquer la situation en lui demandant de procéder à des travaux conservatoires en attendant l'AG mais celui-ci refuse d'accéder à ma demande.
Avons nous un recours quelconque contre cette personne ou contre le syndic ?Merci
Vous êtes nouveau dans cette copro. Il serait sage de vous intégrer sans commencer à contester la validité légale (ou pas) des décisions prises (ou pas).
Le CP qui est -n'est pas/serait/ne serait pas membre du conseil n'a pas de pouvoir de par cette fonction. Donc peu vous importe qu'il soit ou ne soit pas membre du conseil. Il a par contre une expérience dans la copro que vous n'avez pas encore acquise.
Le syndic par ailleurs n'est pas à vos ordres. Si des travaux sont nécessaires, le point sera porté à l'ordre du jour de la prochaine AGO et une décision sera prise quant à l'opportunité de faire les travaux, quant à la nature exacte des travaux à effectuer, et quant au choix du prestataire de service à qui confier ces travaux.
Quand vous demandez "avons-nous un recours... " Qui est "nous" ? Et quel pourcentage de quotités représente ce "nous" que vous représentez ? Si vous disposez de 20% des quotités vous pouvez demander la tenue d'une AGE et le syndic sera tenu d'accéder à votre demande... mais je vous invite à relire la première phrase de mon message avant de chercher à refaire le monde de votre copro.
Le PV est déjà valide. Et comme vous n'étiez pas propriétaire en date de cette AGO, vous n'avez pas à voter dans un sens ni dans un autre. Vous actez la décision des CP qui étaient propriétaires à cette date.