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Merci bcp pour ces recherches.
Ce serait le cas. Bonne nouvelle, merci.
Si je peux abuser, vous avez un lien web ou un document qui indique cette exception ? (J'ai regardé sur le site de la RW ,mais sans succès).
Pour la taxation, elle n'existe que si ce sont des kots, mais pas pour un appartement.
D'où mon interrogation sur "comment sait-on si c'est des kots ou un appartement de plusieurs chambres en colocation". J'ai des craintes sur le conflit d'intérêt évident vis-à-vis de l'autorité communale, qui souhaite taxer comme possible,
Un logement collectif, c'est un logement avant tout. Isolé au niveau de l'urbanisme comme un logement. Avec la particularité qu'il partage certains pièces avec d'autres logements.
....Si vous avez un appart 4 chambres, loué à des étudiants, en Wallonie (à Bruxelles je ne sais pas) vous pouvez vous passer du permis de location, et louer les chambres individuellement.
Pourtant, ça correspond bien à la définition d'un logement collectif.
J'avoue que je n'y vois pas très clair - sûrement parce que la définition ne l'est pas et/ou n'existe pas vraiment non plus.
Je cherche surtout à évaluer le risque. Surtout à Liège, où ils sont vraiment pénibles.
Les domiciliations (ou non) ont une influence ?
Merci pour la réponse.
Je ne suis pas dans le cas - mais j'y songe car j'ai un appartement situé très près de l'université, et il y a des demandes.
Dans le même bâtiment, j'ai déjà un petit studio, avec permis de location.
Un inspecteur du service prévention est un jour passé (normal). Et il en a profité pour visiter toute la maison.
Je n'ai rien dit, car rien à cacher, mais soit.
Mais dans son rapport, il a indiqué que l'appartement du dessus était un logement collectif - ce qui est totalement faux car c'est une jeune maman avec son fils, mais soit.
Ca n'a pas été plus loin, et je n'ai pas réagi sur le coup.
Mais à présent, je me pose la question.
J'aurais tendance à penser comme vous, Grmff, mais l'administration communale liégeoise pourrait le voir d'un autre oeil. (Bien sûr, ils pourraient alors taxer cet appartement de 3x190 € dans ce cas !)
Comment prouver qui a raison ?
Car en général, la charge de la preuve n'est pas à charge de l'administration.
(Et en conclusion, j'hésite à me lancer vu les problèmes potentiels que ça peut engendrer).
Je me pose de plus en plus la question.
La RW prévoit des règles spécifiques (et permis de location avec tout le toutim qui suit derrière) pour les logements collectifs.
Prenons le cas d'un appartement 2 ou 3 chambres.
Si des amis viennent y habiter en colocation : c'est une location "standard".
Si ce sont des étudiants, on considérera cela plus vite comme un logement collectif, soumis à permis de location, etc.
Qu'est-ce qui fait réellement la différence ? (la domiciliation des personnes ? Leur âge, profession, etc ?)
Comment et qui peut juger de l'appellation ?
Vu que j'habite au numéro 1 d'une rue à nom évocateur, j'ai souvent des fausses domiciliations à mon adresse (allez savoir comment ils s'y prennent... mais c'est facile on dirait).
Il me suffit d'un coup de fil à l'agent de quartier, et il les raye. Apparemment, c'est rapide.
Appellez l'agent de quartier et demandez-lui où ça en est. Un peu de pression ne fait pas de mal pour certains.
La police ne se déplacera pas. Il ne peut qu'appeler un serrurier et faire changer lui aussi le barillet.
Je ne connais pas les conditions exactes, mais il doit pouvoir prouver que c'est chez lui bien sûr.
Ce n'est pas une mauvaise manière de faire selon moi - à partir du moment où le dialogue constructif est rompu.
Mais notez qu'il peut faire venir un serrurier (à ses frais) tant qu'il arrive à prouver qu'il y est tjs domicilié...
Mais j'imagine mal qu'il en arrive là.
Avez-vous suivi les conseils précédents ?
Si vous avez un accord avec votre propriétaire, vous pouvez tous les deux téléphoner à l'agent de quartier pour qu'il soit rayé du domicile.
L'ombudsman est totalement inéfficace. C'est tout simplement une boîte aux lettres.
Pour un autre cas, j'ai eu à faire avec le Médiateur de la Région Wallonne --> même constat ! C'est totalement inutile.
J'en ai déduis sur le coup que ces services de médiation était plus marketing que réellement efficaces.
Ils n'ont absolument aucun pouvoir, et si on leur dit non, ou que quelqu'un les envoit paître, ils n'ont qu'à s'exécuter.
Super...
Sentiment inverse (mais sans cas de vente à mon actif :-))
Pour moi, ce n'est pas le fait d'avoir un gouvernement qui change les sentiments.
Le fait qu'il soit de centre-droit et n'ait pas lancé de taxe supplémentaire sur l'immobilier atténue les choses, mais ça n'a rien d'un signal fort.
Ils ont quand même jeté l'idée en pature dans les médias... Donc tentés le coup.
De plus, la Région Wallonne n'est pas dans le même bâteau.
Et ils sont en train de créer de l'insécurité en veux-tu en voilà, sans aucune gêne ou presque.
Vous êtes la plus à même d'estimer le risque pris.
Personnellement, je laisserais la porte ouverte, vu qu'il propose une solution. Mais je ne le ferai pas sous cette forme.
Je préfère dire : OK j'accord un délai de paiement étalé, mais on ne peut pas toucher à la garantie locative.
Cela revient au même pour le locataire financièrement, mais il conserve le statut de "locataire en retard de paiement" jusqu'au remboursement de sa dette.
Faire acter cela n'est pas une mauvaise idée. Au minimum à signer entre vous.
Je viens un peu dans la soupe, mais la vente ne peut-elle pas se faire par agence plutôt que par notaire ?
(La majorité n'y accorde pas l'attention nécessaire)
Ce que je conseille, c'est quoiqu'il arrive de laisser quelques jours (~15) pour qu'il s'acquitte des choses jugées.
2 mois me parait excessif.
Ca m'a déjà réussi une fois. Je pense que le locataire a compris qu'il était préférable qu'il arrête là les bêtises, et les frais.
Mais ça semble assez rare... (raison de plus pour ne pas attendre 2 mois avant de signifier + 15 jours pour que ça soit signifier + 1 mois de délai...)
Je me doutais bien que les conclusions du juge etaient redigees et deposees au greffe. Il est en outre possible au requerrant d'en recevoir copie. La solution de contact direct avec le propriétaire est bonne. Je vais essayer cela dans un premier temps. Est il possible de negocier: exemple ne pas exiger l'expulsion si les dettes sont payées intérêts compris?
Et on en revient à ma première réponse...
Vous avez vraiment envie de laisser quelqu'un chez vous, alors que vous avez été cherché un jugement d'expulsion !?
Si ça recommence, le juge va vous regarder d'un drôle d'oeil... et vous l'aurez cherché.
Quand je vous lis, il me semble à moi que vous avez fait ce qu'il fallait, et même avec correction.
Il est bien sûr anormal que votre propriétaire vous laisse ainsi en plan.
Ca me semble assez naturel de chercher activement, locataire et propriétaire ensembles, la meilleure solution et la plus rapide pour que vous puissiez jouir entièrement du logement loué.
Si ça traine à ce point, je pense que vous pouvez continuer à mettre la pression de tout côté, assureur en premier. Car il est facile de se renvoyer la balle ; mais logiquement, ils pourraient couvrir les besoins, et ensuite se retourner contre l'autre compagnie, par exemple.
Pour votre propriétaire, vous pourriez lui demander une diminution temporaire de loyer, vu l'impossibilité de jouir entièrement du bien loué.
Au besoin, un juge de paix serait à même de l'y contraindre.
Si j'étais à sa place, j'accepterais, et j'activerai méchamment les réparations ; tout en vous tenant au courant étape par étape régulièrement.
Et à partir du moment où vous avez directement signalé à votre propriétaire un défaut constaté, il est bien évident que ça n'est pas de votre responsabilité.
S'il était présent, il n'est pas nécessaire de le faire signifier.
S'il n'était pas présent, il faut le faire signifier par un huissier. Les frais sont alors à la charge du locataire, en sus.
C'est tjs préférable de prendre qq jours et d'envoyer un courrier simple au locataire, lui intimant de régler selon les conditions du jugement ; et sous 7 jours.
Si ce n'est pas fait, vous n'avez d'autre choix que d'utiliser la procédure légale (couteuse, et longue).
Donc huissier de justice, en effet, pour faire exécuter le jugement de force si nécessaire.
... et surtout, à faire que s'il est sovable !!
Il peut faire appel dans le mois qui suit la signification du jugement.
Vous (votre fille) est clairement dans son tord. Vous ne devriez pas essayer de contre-attaquer et montrer les dents, mais plutôt de négocier pour un mieux.
Le point déterminant, c'est que votre fille n'a jamais dit au propriétaire qu'elle quittait le logement, et encore moins dans les délais impartis.
Elle n'a même pas encore rendu les clés.
Vous devez respecter les règles, si ce n'est pas la politesse élémentaire.
Je répète ce que j'ai dit au départ : regardez ce qui est prévu dans le bail pour les résiliations.
(Je vois d'ailleurs que vous ne répondez qu'à une question sur deux... ce qui n'aide pas à vous aider pour y voir clair).
Qu'est-ce qui est écrit dans le bail pour la résiliation de celui-ci ?
Quoiqu'il arrive, elle a intérêt à ne pas trainer et prévenir au plus vite le propriétaire.
(Mieux vaut tard, même quand c'est trop tard)
Pour info, je sais qu'à Liège, ils requalifient très vite les colocataires en "koteurs", car dans le second cas, il y a une taxation importante à leur avantage... mais pour le bailleur, il y a surtout un permis de location à obtenir (avec tout ce que ça implique en conformité, frais divers de procédures, etc.).
Dommage que ça ne soit pas mieux défini.
Comme pour toute colocation, un seul loyer doit être payé. Pas question que chacun paie séparément sa quote-part.
Francis, pourrais-tu préciser la raison ?
Je vois le pourquoi, mais pas l'utilité. Le versement du loyer n'est regardé que par le propriétaire.
Trouver un locataire me semble compliqué. S'il lit le bail, il ne voudra jamais être potentiellement redevable des dégâts des autres.
Je ne connais pas le cas Bruxellois, mais en ce qui concerne la RW :
c) la ventilation des loyers se faits entre colocataires. Si vous ventilez le loyer, vous ventilez les affectations privatives. Donc les logements sont séparés.
Vraiment, je crois que vous vous exposerez inutilement si vous jouez sur les mots. Le bail est une chose. Les Régions et autres instances peuvent très bien le requalifier malgré tout.
Pour la domiciliation, c'est bien plus compliqué.
Si un locataire s'y domicilie, et même si le bail l'interdisait, vous devrez quand même faire avec.
De plus, la justice requalifie presque automatiquement les baux des étudiants en "résidence principale", car le juge indique qu'il y passe la majorité de son temps.
C'est assez logique.