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- je ne crois pas que ce soit vraiment le travail d'un notaire de vérifier un simple bail.... A moins que ce ne soit un ami.
- prenez le bail de Pim et comparez avec celui que vous avez reçu
- lisez la brochure informative sur les loyers disponible ici sur Pim
Rien ne dit - au stade actuel de votre exposé - que le bail qui vous est proposé n'est pas correct.
Suite du Yoyo
Le Soir du 1er septembre 2010
Le marché de l’immobilier s’est contracté durant l’été
Le marché de l’immobilier en Belgique s’est encore contracté durant les mois d’été. Par rapport à juillet 2009, la baisse est encore de 8 %.
Le marché de l’immobilier en Belgique s’est encore contracté durant les mois d’été, ressort-il mercredi de la présentation du Guide de l’Immobilier Trends 2010. Le mois de juillet a enregistré un nombre particulièrement faible de transactions. La tendance est basée sur les données que les notaires enregistrent électroniquement avant la passation d’un acte. Il s’agit donc des chiffres les plus récents.
Les transactions ont baissé de 18 % en juillet par rapport à juin. Par rapport à juillet 2009, la baisse est encore de 8 %. Le mois d’août a été légèrement meilleur, avec une baisse d’1 % par rapport à août 2009. Pour septembre, le président de la Fédération Royale des Notaires de Belgique, Bart Van Opstal, prévoit une baisse trimestrielle.
Les prix des appartements ont baissé de 4,2 % durant l’été par rapport au premier semestre. Les prix des maisons ont quant à eux encore augmenté, principalement en Flandre (+7,5 %).
Selon M. Van Opstal, cette baisse n’est pas une raison de paniquer. Le Belge a probablement réagi prudemment aux fortes augmentations de prix des premiers mois de l’année. « En outre, le baromètre est plus ou moins stable depuis un an, ce qui indique un marché stable. Le Belge a digéré la crise financière bien plus rapidement que ses voisins. »
(Belga)
"mardi 31 août 2010 - (pv) - L’archivage de chaque bâtiment doit être mis à disposition de tous les copropriétaires. La loi est claire: tous les documents non-privatifs doivent être mis à disposition via un site Web. Du travail sur la planche pour le syndic.
L’article 577-8-§4-11° de la nouvelle loi du 2 juin 2010 sur la copropriété définit qu’il “doit être possible pour les copropriétaires de prendre connaissance de tous les documents non-privatifs ou données sur la copropriété, et ce de toutes les manières possibles qui sont définies par le règlement de la copropriété, ou par l’assemblée générale et, notamment, via un site Internet.”
Le législateur est clair: tous les documents non-privatifs doivent être accessibles via un site Internet.
Là où le législateur est sensiblement moins clair, c’est la manière dont cela doit se passer. Dans quel format ces informations doivent-elles être stockées? Certes, il est clair que les informations ne peuvent être placées simplement sur Internet.
Dès lors le syndic se voit attribuer une tâche supplémentaire: la numérisation de l’archivage de tous les documents non-privatifs et, en outre la gestion de tous les droits d’accès.
Le caractère urgent de la loi ne laisse aucun choix: il faut établir un site qui, par bâtiment, mette les documents nécessaires à disposition. Selon certains, l’accord de l’association des copropriétaires est nécessaire pour les coûts de la construction et de l’entretien du site Web. Selon d’autres pas, précisément en raison du caractère urgent. "
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Moi, je n'interprète pas l’article 577-8-§4-11° comme une obligation de faire un site web: il faut que chaque coproprio dispose d'un accès aux archives selon modalités définies par le règlement de copropriété. L'une de ces modalités peut (mais ne doit pas nécessairement) être un site web.
Je me trompe ?
Ici dans La Libre
Les prix de l'immobilier sont repartis à la hausse au premier semestre 2010
Et la même info, mais de manière + circonstanciée dans Trends ici (lien)
avec ce commentaire:
"Sur les six premiers mois de l’année, il s’est échangé en Belgique quelque 65.000 biens sur le marché immobilier, soit 56.211 logements et 8.572 terrains exactement, selon les derniers recensements fédéraux. Comparativement aux 130.579 ventes recensées l’an dernier sur le marché secondaire (revente), l’activité se maintient, même si, depuis 18 mois, elle a fondu de près de 8 %. On est loin, sur base annuelle, des 141.000 échanges enregistrés en 2008 encore, alors que la crise frappait déjà l’esprit des consommateurs.
Globalement, les propriétaires vendeurs ont fait le gros dos et gardé plus longtemps leur bien en vente, histoire de soutenir les prix. Ces derniers, globalement, se maintiennent partout. Seules les villas piquent du nez là où leur prix avait anormalement gonflé ces dernières années, poussés par une demande débridée par endroits, comme dans certaines communes bruxelloises ou luxembourgeoises, proches de la frontière grand-ducale."
(suite dans le lien supra)
Ici dans La Libre
Les prix de l'immobilier sont repartis à la hausse au premier semestre 2010
La commune la plus chère est Lasne (prix moyen de 350.846 euros) et la moins chère est Florenville (74.455 euros).
Par rapport au premier semestre 2009, les prix des maisons et des appartements ont augmenté d'environ 5% et ceux des terrains à bâtir ont bondi de 14% en Belgique sur les six premiers mois de l'année 2010, annonce vendredi le SPF Economie dans un communiqué.
En Belgique, au premier semestre 2010, une maison d'habitation ordinaire coûtait en moyenne 177.775 euros, contre un prix moyen de 169.310 euros à la fin de la même période en 2009. Les villas ont augmenté de 5,4% et coûtent désormais en moyenne 314.852 euros, tandis que le prix moyen des appartements a progressé de 5,5% pour atteindre 184.598 euros.Pour les terrains à bâtir, les prix ont grimpé de 14,4% et s'élèvent en moyenne à 103,6 euros/m2, contre 90,5 euros/m2 un an plus tôt.
Selon le SPF Economie, les tendances sont "à peu près similaires" en Wallonie et en Flandre.Ainsi, une maison d'habitation ordinaire se vendait en moyenne, au premier semestre, à 135.774 euros (+3,4%) en Région wallonne et à 188.630 euros (+4,1%) en Région flamande.
En Wallonie, le Hainaut est la province la moins chère avec un prix moyen de 117.856 euros pour une maison d'habitation ordinaire et le Brabant wallon est la plus chère avec un prix moyen de 213.097 euros. La commune la plus chère est Lasne (prix moyen de 350.846 euros) et la moins chère est Florenville (74.455 euros).
, se ruent sur les ATM de la banque américaine pour tirer des liasses de dollars.
ATM = ??
Le futur propriétaire de ma maison souhaite la louer avant la passation de l'acte notarié ( 2 mois ).
Par "la louer", vous entendez "la présenter en location" ou "signer un bail" dès à présent ?
La nuance est d'importance.
(...)
- renforcer la transparence dans la gestion des ACP
- (...)Et voilà - déjà - que les syndics de l'ABSA se rebiffent : ils veulent augmenter leurs tarifs !
.... en toute transparence !
ok, je sors...
Dans L'Echo
Un article qui illustre bien le niveau de qualité & qualification des "experts".....
Immobilier: ING rejoint les rangs des optimistes sur le marché belge
"De manière générale, on peut dire que les acheteurs sont revenus sur le marché (résidentiel belge) beaucoup plus tôt que ce que nous avions pu anticiper l’an dernier compte tenu de la violence de la crise économique", lit-on dans la dernière édition du "Focus Immo" de la banque ING (1). Un retour qui a eu "un effet stabilisateur (…) sur les prix", ce qui explique que "le creux de la vague ait été atteint (…) après seulement un an". Et que donc "la correction du marché aura finalement été nettement plus modérée que ce qu’il était possible d’anticiper".
Ce faisant, ING rejoint les rangs des optimistes. C’est un euphémisme, il serait sans doute plus exact de dire que la banque néerlandaise fait une croix sur le pessimisme qu’elle affichait il y a un peu plus d’un an. Un pessimisme dont l’exacerbation avait ému le marché et suscité de nombreux remous (voir "L’Echo" du 20 février 2009).
Il y avait de quoi : les analystes immobiliers d’ING prévoyaient rien moins que des diminutions de prix de 15 à 25 % dans les quatre ans, soit à l’horizon 2013. Ces prévisions ont rapidement été démenties par les faits puisque dès l’été dernier, plusieurs sources indiquaient que les prix des biens immobiliers étaient plutôt en voie de stabilisation, ce qui été confirmé depuis. On sait depuis que les prix du résidentiel n’ont baissé que de 2 à 4%, selon les sources. Les analystes d’ING le reconnaissent d’emblée puisque dès les premières lignes de l’étude publiée hier ils font état " d’une correction totale (qui) a atteint tout au plus 4,2% ".
On notera par contre que la banque néerlandaise persiste dans le constat que l’écart se creuse entre les prix de l’immobilier et le revenu des Belges. Un écart comblé jusqu’ici par le recours croissant aux apports personnels (des parents).
J.Bl.
(1) "Focus on the Belgian Real Estate", 25 mai 2010, ING."
Prenons un peu de hauteur...
Dans Le Courrier International
Le studio de vos rêves
Si vous êtes un artiste et que vous ayez besoin d’espace pour créer, vous choisirez plutôt Berlin – une ville très étendue, donc moins chère que Francfort ou Hambourg – ou bien vous vous installerez à Madrid, où les prix de l’immobilier ont fortement chuté depuis deux ans, pour revenir à leur niveau de 2005. A Paris, en revanche, où l’espace est compté, vous aurez toujours du mal, sauf si vous allez en lointaine périphérie. Fin 2008, on pensait que le krach allait faire baisser les prix du mètre carré de 40 % en France : il n’en a rien été. Après s’être tassés en 2009, ceux-ci repartent à la hausse ce printemps, notamment au cœur de Paris !
Si vous êtes un simple particulier et que vous vouliez un pied-à-terre à Londres, il vous en coûtera 6 000 euros du mètre carré, soit trois fois plus qu’à Bruxelles, capitale cosmopolite très agréable, comme le note le Financial Times. Reste une autre solution : investir en Grèce, où la cure d’austérité devrait avoir un effet à la baisse sur les prix –ou carrément outre-Atlantique : à Manhattan, en raison de la crise et de la parité des monnaies, vous aurez à débourser “seulement” 400 000 euros pour un studio.
Et, au fond, lorsque vous faites un bail écrit qui "régularise" un bail verbal, vous indiquez quel montant dans ce bail écrit ?:
- celui qui est en vigueur au moment de la dite régul (cad un montant qui a éventuellement déjà fait l'objet d'indexations)
ou
- le montant initial (convenu au début du bail verbal) ?....
Pour illustrer mon propos:
J'ai fait un contrat écrit de bail en février 2010 avec une locataire entrée dans l'appartement en septembre 2008.
Le loyer initial était de 435€.
Loyer initial de 435 € = février 2010 ou septembre 2008 ?
Screening linguistique (RTBF 04.04.2010)
Des bourgmestres flamands de la périphérie bruxelloise s'assurent que les nouveaux logements privés dans la commune seront bien attribués à des néerlandophones ou à des personnes prêtes à s'intégrer. C'est ce que révèle un reportage de la VRT.
(suite dans le lien ci-dessus + la video)
Dans Le Soir
Les maisons en moyenne 8% moins chères
Le prix moyen des maisons vendues au quatrième trimestre 2009 est environ 8% plus bas qu’en 2008. Une baisse qui s’observe principalement en Wallonie (-8,8%) et à Bruxelles (-9,3%).
Le prix moyen des maisons vendues au quatrième trimestre 2009 est environ 8% plus bas qu’en 2008, ressort-il de chiffres de la Fédération royale du notariat belge.
On observe cette baisse principalement en Wallonie (-8,8%), où le prix moyen d’une maison s’élève à 123.559 euros, et à Bruxelles (-9,3%), où les maisons se vendent en moyenne à 288.335 euros. En Flandre, une maison coûte en moyenne 171.219 euros, soit une diminution de 5,8%.
Cette diminution de prix est moins visible pour les appartements, où on parle plutôt d’une stabilisation. En Flandre, un appartement coûte en moyenne 180.084 euros, une augmentation de 1,1%. A Bruxelles, il faut débourser 192.872 euros, une augmentation de 2,6%. En Wallonie par contre, le prix des appartements enregistre une baisse de 1,2%, avec 136.588 euros en moyenne.
Les chiffres de la Fédération royale du notariat belge montrent une stabilisation du marché immobilier à la fin de l’année, après un très bon mois d’octobre.
Le niveau d’octobre est comparable aux meilleurs mois de 2007, bien avant la crise économique.
Sur l’ensemble de l’année, seule Bruxelles enregistre une baisse des ventes. Elles ont progressé de 14,8% en Flandre, de 17,8% en Wallonie mais ont diminué de 2,6% à Bruxelles.
(Belga)
04.01.10 - 12:41
Le marché belge de l'immobilier va connaître une reprise durant la deuxième moitié de 2010 avec une augmentation probable des prix, selon des prévisions du groupe Trevi. Cette tendance sera "sans doute plus marquée en 2011", selon le groupe immobilier.
Trevi énonce cette prévision sur base de l'index Trevi qui a légèrement augmenté, en passant de 108,19 fin septembre à 108,39 au 31 décembre 2009.
Selon Trevi, les prix ont baissé en moyenne de 5 à 10 pc en 2009. Mais les prix se sont stabilisés au cours du 2e semestre 2009.
Trevi estime que le marché immobilier a maintenu sa position au sein d'une économie plongée dans le malaise, grâce au taux élevé d'épargne des Belges et la "maturité du secteur immobilier résidentiel". "Il n'y a eu ni surstock important ni panique généralisée", selon Trevi.
Le groupe immobilier prévoit que la probable augmentation des prix à partir de la deuxième moitié de 2010 aura pour conséquence que l'acquisition d'un bien sera plus difficile pour les personnes disposant de faibles revenus.
(Belga, sur divers sites, dont rtbf)
Ce système (7 jours de réflexion et de rétractation) existe en France depuis 2001, "pour protéger le consommateur" (on oublie que le vendeur est consommateur aussi...)
Explications dans ce dossier du site français http://www.mon-immeuble.com/Dossiers/do … lexion.htm.
Cher quasi-homonyme,
Pour les néophytes, merci d'expliquer la nuance "Le cas présent ne concerne pas une saisie mobilière conservatoire mais une saisie-arrêt conservatoire".
Dans les 2 cas, il faut que la dette soit certaine, liquide et exigible, non ?
ps: comment va notre ami commun, Namas Pamousse ?
Notamment sur rtbf, sur base d'une dépêche Belga
25.08.09 - 12:16
Le marché de l'immobilier est confronté à une baisse des prix moyens de vente pour la première fois depuis des années, indique mardi le SPF Economie, sur base de données issues du cadastre du ministère des Finances.
Après un pic au troisième trimestre 2008, les prix se sont effrités pendant plusieurs trimestres consécutifs à partir du quatrième trimestre 2008.
C'est surtout dans le segment le plus cher (villas) que les diminutions de prix ont été importantes. Les prix des maisons d'habitation moins chères ont baissé dans une moindre mesure.
Cette évolution ne se manifeste pas pour les terrains à bâtir où la hausse des prix s'est légèrement accélérée au fil des dernières années.
Les appartements présentent une évolution différente: leurs prix semblent s'être stabilisés au cours des derniers trimestres passés.
Les seuls prix du premier semestre 2009 étant connus, le SPF Economie établit des comparaisons entre les 1er semestres 2009 et 2008.
Pour les six premiers mois de 2009, le prix moyen d'une villa, d'un bungalow ou d'une maison de campagne était de 315.592 euros, soit une baisse de 5,6%. Les deux années précédentes avaient enregistré des hausses de 3,7% (2008) et 8,6% (2007).
Le recul des maisons ordinaires est moins net: de 171.138 euros à 168.852 euros, soit -1,3% après des hausses de 6,9% (2008) et 10% (2007). Contrairement aux prix des villas qui ont continué à baisser, un léger redressement est perceptible entre le premier et le deuxième trimestre 2009.
Le prix moyen des appartements et studios était au premier semestre de 174.564 euros, soit une légère hausse de 0,9% après des hausses de 4,9% (2008) et 6,9% (2007).
Les terrains à bâtir ont continué à augmenter: ils coûtaient en moyenne 91,2 euros le m2, en hausse de 7,8%, qui s'ajoutent aux hausses de 7,1% (2008) et de 5,8% (2007).
"On peut se demander maintenant comment cette baisse des prix évoluera dans les années à venir. Les années 2009 et 2010 seront particulièrement intéressantes à suivre à cet égard", note le SPF Economie.
Région Wallonne
En Région wallonne, il faut dépenser en moyenne 131.154 euros pour une maison d'habitation (-1,4%) après des hausses de 8,2% (2008) et de 11% (2007).
Le Hainaut est le moins cher (113.363 euros) et le Brabant wallon le plus cher (207.132 euros). La commune la plus chère est Lasne (315.623 euros), suivie par Grez-Doixeau, La Hulpe, Waterloo et Rixensart.
A l'inverse, les communes les moins chères pour une maison d'habitation sont Meix-Devant-Virton (74.500 euros), devant Tellin, Colfontaine, Momignies, et Trois-Ponts.
Le prix moyen de l'appartement wallon est de 141.174 euros, en hausse continue: +12,4% (2007), +6,1 (2008) et +4,5% (2009).
Région de Bruxelles-Capitale
Les records wallons sont cependant en-deçà des chiffres enregistrés en Région de Bruxelles-capitale où le prix moyen d'une maison d'habitation est de 300.618 euros (-5,5%) après des hausses de 10% (2007) et de 4,9 % (2008).
Sept communes bruxelloises dépassent Lasne et se retrouvent dans le "Top 7" belge: Woluwe-Saint-Pierre (398.579 euros), Uccle, Ixelles, Woluwe-Saint-Lambert, Etterbeek, Watermael-Boitsfort et Auderghem.
A Bruxelles, l'appartement moyen coûtait 183.889 euros au premier semestre 2009 (-0,7%), après des hausses de 7,4% (2007) et de 5% (2008).
Région Flamande
En Flandre, une maison d'habitation ordinaire coûtait en moyenne 180.923 euros.
(Belga)
Je ne souhaite pas les bousculer .

Bref, encore un bazar qui ne fonctionne pas comme il faut.
En l'espèce, faut-il réellement s'en plaindre ?.... 
si je tombe sur lui, comment le reconnaître
Facile !
Il porte à la boutonnière de sa veste un badge (biffer les mentions qui ne vous conviennent pas) Cnic - Snp - Absa - Ipi - Cib - RI - syndic bénévole
