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Filmer "les gens qui passent dans la rue" est strictement interdit, même depuis votre balcon
Je ne sais pas si l'on s'est bien compris ?
Pour filmer les gens qui passent devant sa porte, il y a une législation qui impose une obligation de déclaration de la caméra à la police avec un pictogramme à afficher devant la porte.
La formalité de déclaration caméra "privée" est à renouveler chaque année, vous avez sûrement déja vu ce pictogramme.
L'alarme est +efficace mais vous préférez la caméra ?
un syndic judiciaire ? en place depuis 10 ans ou plutot simplement un syndic désigné par le juge mais sans contrôle du juge, c'est ce que j'ai cru comprendre
@GT merci et à la réflexion, je pense que Me Jauniaux écrivait cela par opposition à l'article CC qui prévoit expréssement l'abus de minorité et un abus peut -il être autre chose qu'un abus de majorité ? Pour renforcer l'antienne de l'AG souveraine maîtresse de ses intérêts, Me Jauniaux a écrit cela et lorsque je retrouverai mais dans combien de temps, j'y reviendrai parce que c'est important ce que la doctrine écrit et fait dure aux juges.
la prescription en matière d'assurance est de 3 ans pour l'indemnisation "amiable" d'un sinistre à compter de la date à laquelle on a eu connaissance du dommage et ça passe très vite.
https://www.ipi.be/kb/ipi/assurance/las … -expliquee
La prescription de 3 ans provient à mon avis du Code général des Assurances...
(le syndic refuse notamment de donner la liste des coordonnées des copropriétaires, il faut donc la faire soi-même, etc.).
Je croyais que sur base d'une plainte IPI tout syndic s'éxécutait immédiatement depuis 2010.
Mais j'ai déja entendu cela il y a qqs années pour un grand immeuble ( 250) où ils ont installé un bureau dans le hall et récolté la liste exactement comme vous.
Et pourtant les feuilles de présence ont des données nominatives afin que les PVs soient valables....
Les habitants ont à peine 20% des quotités
Cela me rappelle cet argument juridique sous la plume de Me Olivier JAUNIAUX : l'abus de majorité ? Cela n'existe pas dans le droit commun de la copropriété ,
il n'y a que l'abus de minorité qui est prévu dans le Code civil sur la copropriété forcée 
Le syndic est complètement inactif et n'a pas récupéré les charges pendant des années au profit de certains commerçants de la galerie, dont une grosse partie ne peut maintenant plus être récupérée (on parle quand même de plus de 180 000 euros d'impayés).
Et l'assurance RC dudit syndic ?
syndic judiciaire,
Vouliez-vous dire un simple syndic "ordinaire" désigné par un juge ?
Le cas échéant voir peux-être ceci piur info :
Interpellation de Mme Schepmans à la chambre :
Bulletin n° : B095 - Question et réponse écrite n° : 1408 - Législature : 54
Auteur Françoise Schepmans, MR (01083)
Département Ministre de la Justice
Sous-département Justice
Titre Le contrôle de la mission du syndic judiciaire provisoire.
Date de dépôt 05/10/2016
Langue F
Publication question B095
Date publication 16/11/2016, 20162017
Date de délai 08/11/2016
Question
En cas d'empêchement ou de carence d'un syndic (par exemple lorsqu'il reste en défaut de procéder aux réparations), un juge peut désigner un syndic judiciaire provisoire afin d'administrer les parties communes d'une copropriété. En ce cas, le juge est saisi par le dépôt, par un copropriétaire, d'une requête contradictoire à l'égard du syndic incriminé et de l'association des copropriétaires. Mais, le législateur n'a pas organisé le contrôle de la mission du syndic judiciaire provisoire qu'un juge a désigné et la nouvelle loi sur la copropriété de 2010 n'y remédie pas.
Tout est individuel. Pour l'anecdote, plus de système de chauffage, supprimé car trop d'impayés à Sibelga, pour plus de 100 000 euros.
Je ne suis pas sûr de bien comprendre et apprécierais davantage d'informations en MP ou ici comme vous voulez mais ma curiosité m'empêche de ne pas les demander.
Sinon, il existe un casse-tête tel celui que vous décrivez avec 2 syndics au lieu d'1 ( c'est quoi l'intérêt) : les étages sont principalement des bureaux d'avocats et les garages ( avec des soucis d'infriltations des canalisations des appartements) sont gérées par Baltimmo, de mémoire , mais j'ai pas le temps ces jours-ci de rechercher davantage avant le mois prochain. Je parle d'un casse-tête car je me souviens encore que les (nouveaux) copropriétaires des garages ont fini par s'interroger sur leur numéro à la BCE qui ne serait pas en ordre et les deux SPF finances concernés ( pour la transcription des AB et l'inscription dans la BCE) se renvoyaient la balle car l'immeuble a des entrées sur des communes différentes.
Ne serait-ce pas plus simple réviser l'acte de base comme on le fait classiquement pour les quotités ascenseurs selon l'étage et focaliser sur le fond du problème plutot de d'essayer de divorcer ?
Le système de chauffage et production d'eau chaude de cette copropriété est-il individuel ?
Il est INTERDIT de filmer les gens à leur insu.
Il est INTERDIT de filmer la voirie.
Il est PERMIS d'essayer de sécuriser son habitation ( une alarme est tout de même +efficace ) avec une caméra privée à condition d'afficher CLAIRMENT l'auto-collant prévu par les autorités et de respecter cette formalité de déclaration annuelle :
https://www.police.be/5341/fr/questions … rveillance
Justice de paix de Bruges, Jugement du 20 mars 2024
Copropriété par appartements – Démolition et reconstruction – Violation de l’article 3.88, § 1, 2°, h), C. civ. – Justification d’un quorum de vote inférieur aux 4/5 requis
La simple constatation que les copropriétaires sont uniquement invités à décider de la démolition et de la reconstruction de la résidence à la majorité des 4/5 des copropriétaires présents ou représentés, sans indiquer les raisons ou circonstances particulières mentionnées à l’article 3.88, § 1, 2°, h), C. civ., ni la justification ou la référence à des documents à cet égard, implique en soi – indépendamment du fait que cette décision soit ou non de principe – une violation de l’article 3.88, § 3, quatrième alinéa, et§4,C.civ.
La décision de démolir et de reconstruire doit en effet, en raison de la nature, de l’objet et de la portée de ce point de l’ordre du jour et de sa profonde ingérence dans les droits de propriété des copropriétaires, être prise en principe à l’unanimité de tous les copropriétaires.
SOURCE :
https://copropriete-ejuris.be/
En tombant sur cette jurisprudence qui ne vous servira à rien sauf à savoir qu'à Bruges, il y a un projet similaire,
j'ai repensé à votre sujet " immeuble des années 70 à la côte belge. La copropriété a le projet de faire abattre l'immeuble et de le faire reconstruire"
et je songe que c'est du côté des promoteurs que vous pourriez en apparendre davantage,
et nous tenir informés 
des frais communs durant les travaux?
votre question m'amène à penser qu'il faut savoir qui sera le "Maître d'ouvrage" ?
La copropriété qui passe commande au promoteur ?
C'est logique qu'il y ait une règle administrative pour essayer d'éviter une fraude aux subsides et vous avez raison !
J'ai corrigé remplacé l'asbl renomachin par ceci :
J'ai déjà essayé d'expliquer au syndic les dommages qu'il nous a causés, mais cela ne l'intéresse pas du tout. Je pense qu'il ne fera absolument rien sans une « menace » juridique
Pourrait-on conclure que ledit syndic pourrait éventuellement être blamé par son Institut professionnel pour avoir trainé à se faire connaitre à la BCE et pour ne pas avoir demandé la prime Renolution avec diligence ?
Et si le syndic était un avocat c'est à son Batonnier que l'on peut s'en plaindre ?
L'un et l'autre ont aussi une assurance professionnelle RC justement pour gérer cela à l'amiable, non ?
On peut être syndic, sans être Ipi
Il parait aussi que des avocats exercent parfois comme syndic et donc ils n'ont pas de numéro IPI ?
Sinon, je voulais juste dire que pour Renolution 
qui a besoin d'avoir l'assurance de verser l'argent sur un compte bancaire dont le bénéficiaire effectif sera la copropriété / les copropriétaires en personne physique, in fine.
Qui sait si l'exigence d'un syndic mentionné à la BCE ( en application de l'AR entré en vigueur le 1er avril 2017) est précisé expréssement dans les conditions d'octroi de la prime ou seulement contextuellement dans la lettre.
En tout état de cause, cette prudence administrative pour Renolution est compréhensible afin de se prémunir d'une éventuelle fraude aux subsides dès lors que ce n'est pas un syndic - à fortiori un professionnel IPI - qui lui formule une demande de prime.
Je ne sais pas si c'est mieux formulé ainsi, mais je l'espère.
C'est vous les experts !
@GT "Quand parle-t-on de fautes graves d’un syndic pouvant entraîner sa révocation ?"
MA Réponse : je n'ai pas de jurisprudence et de doctrine de référence à citer pour répondre sur la faute d'un syndic ,
et vous ? Va-t-on en justice comme on jouerait le hasard avec un bandit manchot alors qu'il n'existe peux-être pas de jurisprudence favorable à ce sujet ?
Et que pensez-vous de l'assurance RC du syndic auprès de l'IPI éventuellement ?
Ce ne sont pas les copropriétaires qui sont gardiens des parties communes.
C'est l'association des copropriétaires qui est gardienne des parties communes.
L'association des copropriétaires est gardienne des parties communes mais ce ne sont pas les copropriétaires qui sont gardiens des parties communes, c'est précis et subtil mais est-ce juridiquement utile pour que l'ACP remplisse effectivement sa mission ?
Car ce n'est pas une faute du syndic, si l'ACP est une gardienne défaillante de ses parties communes, exact ?
Systématiquement foncer sur le recours aux avocats et aux juges alors que l'Ombudsman pourrait instruire rapidement (et gratuitement)
L’affaire est actuellement dans les mains des avocats respectifs pour suite attendue : tribunal ou transactions.
Donc votre avocat a estimé qu'il n'y a pas matière à déclarer un sinistre auprès de l'assurance RC dudit syndic ?
@GT "Quand parle-t-on de fautes graves d’un syndic pouvant entraîner sa révocation ?"
Réponse : je n'ai pas de jurisprudence et de doctrine de référence à citer pour répondre sur la faute d'un syndic ,
mais vous peux-être ?
Pas très déontologique entre syndics !
Oui la déontologie voit les choses tout autrement avec la règle impérative de l'iPI qui est "la confraternité" entre syndics.
Une décision d'AG de 2021 demande la rénovation de cette toiture et les moyens financiers sont disponibles
Qu'en disent les assemblées générales suivantes en 2022, 2023, 2024 ?
La copropriété a-t-elle des devis pour ces travaux ?
Qu'a dit l'architecte ami du syndic ?
Avez-vous les coordonnées de contact de tous les copropriétaires ( gardien de la chose)
Il est malsain de présumer sans aucun élément probant
Ben oui d'accord mais sauf information contraire le promoteur ne vient pas à l'AG pour convaincre les CP.
L'auteur courageux de ce post n'a visiblement pas reçu autre chose qu'une convocation sinon il nous l'aurait dit.
En 2024, il est irréaliste de croire que des conditions sont encore discutées en AG et négociées, ce temps-là est révolu car les CPS ont tous les outils de communication qui leur permettent de se concerter s'ils veulent se parler, sinon c'est cuit pour eux :
- Les AGS servent à voter.
Alors comment voter lorsqu'on n'a pas de texte de résolution précis votable par oui/non ?
On donne mandat
PS: si ça existe des copropriétés où le syndic ne se déclare pas automatiquement le secrétaire, je vais me chercher des exemples et merci pour l'idée que je retiens !
@GT parce que c'est toujours ainsi dès que l'ODJ est flou de nombreux syndics en qualité de secrétaire inscrivent dans le PV "mandat à ...pour..." même si c'est un peu illégal.
Pourquoi l'ensemble des copropriétaires devraient être "privés" d'information et d'explication et accepter de mandater un trio de copropriétaires pour discuter du sort de leur patrimoine sans leur présence.
Une assemblée générale doit se se convoquer seulement quand tous les copropriétaires ont été largement informés et pû se contacter les uns et les autres et se renseigner et sont prêts à se réunir pour "voter".
Il ne semble pas que vous soyez conviés à une réunion d'information...Mais l'on n'est plus comme dans les années 70 où les moyens de communication moderne et instantanée n'étaient pas présents dans tous les foyers.
L'article 3.87, § 3 C. civil prévoit que la convocation à l'AG indique les modalités de consultation des documents relatifs aux points inscrits à l'ordre du jour mais sérieusement les copropriétaires ne défilent jamais à la à la queue leu-leu chez les syndics pour quémander la consultation de documents papiers prévue par la loi démodée et à actualiser depuis 2012. Souvent les documents n'existent pas encore la veille et le jour de l'AG elle-même et même après, c'est fréquent avec les devis par exemple.
J'ose donc espérer que ce syndic a prévu de faire venir l'expert et le promoteur à la réunion qu'il convoque pour informer ses clients des raison qui l'ont amené à mettre cette proposition à l'ordre du jour ?
La "corrosion inquiétante" de quoi précisemment ?
Les fers du béton ??
Stabilité de l'immeuble en danger ?
Avez-vous reçu des rapports techniques qui objectiveraient cette situation mise à l'ordre du jour par initiative personnelle du syndic ??
A la demande de qui ?
Un membre du conseil de copropriété " intéressé" ?
une corrosion inquiétante des matériaux
Les fers du béton armé ??
Quel est la date de construction de ce bâtiment pour information ?