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#461 Re : Copropriétés forcées » Accès aux listes des copropriétaires » 30-08-2005 09:52:42

PIM a écrit :

Saxo a écrit :Un fournisseur (entrepreneur) -  qui a un problème avec un copropriétaire précis au sujet de travaux qu'il effectue -  peut-il recevoir du syndic la liste des copropriétaires afin qu'il puisse mettre ces copropriétaires au courant de son point de vue - ceci directement, rapidement et en direct (par lettre) ?

Pour moi, non.

La situation est en effet tout à fait différente de celle où le syndic transmet des données à caractère personnel relatives à des copropriétaires à d'autres copropriétaires.

En effet, en l'espèce, il s'agit d'un tiers à l'association des copropriétaires.

Or, à l'égard de tout tiers, la seule personne habilitée à représenter l'association est le syndic. Le cas échéant, il appartient à ce dernier de prendre ensuite lui-même contact avec les copropriétaires.

On pourra envisager une situation où l'entrepreneur ecrit à l'ACP, donc à son Syndic, et ce dernier serait obligé à porter la lettre en AG.

#462 Re : Copropriétés forcées » Accès aux listes des copropriétaires » 30-08-2005 09:52:42

PIM a écrit :

giannigianni a écrit :sur quel base un syndic pourra donner mon domicile si mon adresse n'est meme pas marqué sur ma carte d'identité...

Votre adresse n'est pas mentionnée sur votre carte d'identité ?

No, quand il s'agit d'une carte d'identité special. et on peux chosir si l'avoir ou non. De tout facon le probleme des adresses a quelque chose à voire avec la loi sur le respect de la vie privée.

#463 Re : Copropriétés forcées » Accès aux listes des copropriétaires » 30-08-2005 09:52:42

kaplan a écrit :

Comprend vraiment RIEN DE RIEN aux propos de GIANNIGIANNI

Pas de propos, est il vrais ou non? Grmff est d'accord ou non je n'ai pas compris non plus. Je ne vois pas par example sur quel base un syndic pourra donner mon domicile si mon adresse n'est meme pas marqué sur ma carte d'identité...

#464 Re : Copropriétés forcées » Accès aux listes des copropriétaires » 30-08-2005 09:52:42

Saxo a écrit :

Un fournisseur (entrepreneur) -  qui a un problème avec un copropriétaire précis au sujet de travaux qu'il effectue -  peut-il recevoir du syndic la liste des copropriétaires afin qu'il puisse mettre ces copropriétaires au courant de son point de vue - ceci directement, rapidement et en direct (par lettre) ?

Il est fort probable que pour des raison de confidentialité le Syndic ne soit pas tenu à communiquer la liste des coproprietaires à un tiers. Toutefois un coproprietaire a le droit de l'obtenir sans probleme. Normallment la liste des coproprietaires d'un ACP pourra etre obtenu, sur paiement, au cadastre mais pas leur adresses ou domicile.

#465 Re : Copropriétés forcées » Modification de répartitions des charges » 31-08-2005 12:34:02

Grmff a écrit :

Merci pour toutes ces explications.

Dans notre cas, le problème s'est posé bien avant la loi de 95. Et au vu du peu d'exemple, nous avons décidé en conseil de gérance, basé sur un avis de notre avocat, d'enterrer le dossier. Nous avions en effet conclu qu'il fallait la signature de tous les propriétaires pour modifier l'acte de base, ou qu'un jugement devait être signifié par huissier aux récalcitrants.

Vu le cout potentiel, et le manque d'intérêt de cette modification de l'acte de base, nous avons décidé de laisser tomber.

Visiblement, vous avez opté pour l'action, et vous y êtes arrivé à moindre frais.

Vu la multiplicité des interventions, j'ai bien peur de ne pas m'y retrouver. Pourriez-vous raconter l'histoire depuis le début, avec le rôle de chacun (syndic, acheteur de la partie commune, juge, huissier, greffier, etc...)? Je suis sûr que je ne suis pas le seul intéressé...

L'histoire est très longe mais vous en avez le resumé dans mon message du 26/10/2004 (inclus hyperlien) et suivants. L'histoire n'est pas encore terminée et j'attends encore la passation de l'acte de vente mais tous les elements sont là pour y arriver smile . Quant au role des differents parties le probleme est que sur le dossier ont travaillé 3 notaires, 3 Syndics, une dizaine d'AG, avis des differents avocats alors que à la fin j'ai decidé pour l'action tout seul... wink En resume après les decisions de l'AG je suis partis en Justice de Paix où j'ai eu gain de cause neutral . Après j'ai decoverte simplement téléphonant au Conservateur que je pouvais deposer et transcrir mon jugement (la loi parle bien d'acte notarié ou jugement deposé). Une fois l'acte de base modifié par le jugement et transcrit il est simplement opposable aux tiers comme on m'a dit ici sur le forum...(merci tongue ). Le gros probleme est l'inertie des differents parties et pas mal de manque de savoir faire et competence.
PS: il se peu encore que dans mon cas la signature des coproprietaires est necessaire pour l'acte de vente de l'ex-conciergerie mais pour l'acte de base il me semble chose faite. Meme la loi me semble claire quant au role d'un Syndic sur la base de ses pouvoirs et mandats d'AG. sad
A la fin de l'histoire j'amene une champagne virtuel ici! kiss

#466 Re : Copropriétés forcées » Modification de répartitions des charges » 31-08-2005 12:34:02

Grmff a écrit :

Suite à la division d'un lot entre divers autres lots, l'acte de base n'a jamais été modifié. Un lot a pourtant disparu, ses quotités ayant été réparties entre les propriétaires des lots qui ont intégré le lot feu disparu.

Ceci a eu lieu il y a bientôt 15 ans. Malgré les interventions de notaires, avocats et autres, nous ne sommes jamais arrivé à réunir toutes les procurations notariées. Il s'agit d'un copropriété avec plus de 100 lots, et personne ne s'en porte plus mal.

Les répartitions actuelles des charges tiennent compte des quotités effectives, et non des quotités mentionnées à l'acte de base.


Dans un autre cas, un commun transformé en lot privé en échange d'un lot privé transformé en commun (pour d'excellentes raisons qu'il est difficile d'expliquer ici), nous avons poursuivi l'exercice jusqu'à se retrouver devant un lot sans propriétaire. En effet, ce lot fait partie d'une succession relativement compliquée, qui ne trouvera sans doute jamais d'issue.

Le syndic avait pourtant obtenu les signature notariées de tous les propriétaires (plus de 100 lots également). Il avait même obtenu la signature devant l'ambassadeur d'un propriétaire perdu en Afrique, pourtant propriétaire d'un quart de la moitié de la nue propriété du bien suite au décès de sa mère.

J'en connais qui ont essayé, mais des mineurs étaient propriétaires suite au décès de leurs parents. En ce cas, le juge doit autoriser le tuteur à signer la modification de l'acte...

Bref, il semble bien que la modification d'un acte de base soit bien complexe, très onéreuse, fort longue et passablement inutile.

Je connais par contre une copropriété (de petite taille) qui a fait modifié son acte de base à 3 reprises en 10 ans. Comme quoi...

Et je connais des dizaines de copropriété qui utilisent des clés de répartition différentes des clés mentionnées à l'acte de base: les surfaces (répartition du chauffage), les quotités en exceptant les garages (qui n'ont pas de chauffage ni d'eau), les quotités multipliées par l'étage (pour les ascenceurs!), etc.

Il faut savoir qu'une certaine jurisprudence existe quant à l'imputation de charges sur un lot qui ne profite pas de la dépense (ascenseur pour les rez commerciaux sans accès à un sous sol, chauffage pour les garages non chauffés, etc) En ce sens, il est intelligent de voter une modification des répartitions. Cette modification peut aussi résulter de l'usage dans la copropriété, dans le cas où les répartitions sont effectuées d'une certaine manière depuis de nombreuses années

Pensez-vous à une situation particulière?


Pourquoi le Syndic aurait besoin des signatures notariées des tous les coproproprietaires (procurations?). La loi me semble claire dans le sens que elle a attribué la capacite de disposer, modifiér et administrer les biens immobiliers communs à l'association des coproprietaires, donc l'AG, qui sont representées par les Syndic en vertu de l'art. 577-8 §4,3° et 6°c.c.  A mon sens le Syndic aura recu le pouvoir et mandat pour signer les actes.

#467 Re : Copropriétés forcées » Modification de répartitions des charges » 31-08-2005 12:34:02

SNP a écrit :

giannigianni a écrit :
Dans quel mesure un jugement du Tribunal de Paix qui modifie les quotites est donc oposable aux tiers?

Pour être opposable aux tiers, mention du jugement doit être inscrite en marge du registre du Conservateur des Hypothèques. Il faut demander au Notaire de faire procéder à cette formalité ou de constater dans un acte en bonne et due forme - qui sera alors transcrit et non inscrit - les modifications décidées par le jugement devenu définitif par l'écoulement des délais de recours.

Pour en savoir plus: le service juridique du SNP est de plus en plus compétent en matière de copropriété! Toutes infos sur notre site, lien ci-contre.

Le notaire n'ayant pas procedé encore par son acte, j'ai deposé moi-meme le jugement, au sens de la loi hypotecaire, pour trascription. Il me semble de comprendre que les statuts en resultent modifiés. En theorie plus besoin d'un acte de base modificatif et ces frais mais j'attends la position du notaire.

#468 Re : Copropriétés forcées » Modification de répartitions des charges » 31-08-2005 12:34:02

Grmff a écrit :

Un jugement modifiant l'acte de base peut -etre enregistré sans soucis (si même on parle d'enregistrement en la matièreà

Le problème pour un jugement, c'est que l'ensemble des propriétaires doit être partie à la cause. En clair, cela veut dire frais d'huissier importants pour contraindre les récalcitrants de participer aux débats.

Et cela veut dire frais d'huissier importants pour signifier le jugement.

En clair, le jugement parait simple, mais est encore plus couteux qu'un notaire...

Voila la suite de ce dossier: le jugement du Tribunal de Paix a été deposé pour trascription en marge donc l'acte de base est modifié!. Il n'y a pas lieu de signifier le jugement par huissier car le greffier à adopté l'alternatif de la notification art. 792 du C.J. par lettre simple (soit il y a signification soit notification).

#469 Re : Prêts hypothécaires/assurances » courtier ou banque ? » 23-08-2005 14:46:04

dahm a écrit :

Bonjour,

Je viens de faire une offre d'achat d'appartement à Bruxelles et elle a été accepté par le vendeur, je vais donc maintenant devoir choisir une formule d'emprunt.

Etant d'origine française et en belgique que depuis 7 ans, je ne connais pas le système des courtiers financiers (ça n'existe pas en France).

Est ce intéressant de faire appel à eux par rapport à faire une recherche soi-même auprès de différentes banques ? Comment sont ils rémunérés ? Qu'est ce qui garantie leur impartialité (pour me proposer la meilleure offre pour moi et pas celle qui lui rapporte le plus) ? A t'il accès à toutes les offres du marché ou seulement celles des organismes avec qui il est en partenariat ?

Je pensais demander une (meilleure) offre à un tel courtier (à un agent ou bien voir les simulations sur un site tel finshop ou creditteam), puis aller voir mon banquier pour lui demander s'il peut faire aussi bien.
Qu'en pensez vous ? Que risque d'être la réaction du banquier ?

merci d'avance pour votre aide !

Le courtier avec access à une large pallette de produits emanants des banques et assurances (qui ici offre aussi des credit hypotecaires par le biais de leur banque) est moin biasé d'une banque. Le courtier est remuneré par la banque/assurance. Sur Internet il y a plusieurs sites des banques, assurances et courties proposants des choses interessantes. N'hesitez pas à comparer (pour autant que la comparaison soit faite pour produits et caracteristiques exactement les memes). Après avoir fait votre choix sur Internet allez voir votre banquier et comparez encore parce que n'est pas seulment une question de taux. Il y a toute une serie "d'options" (assurances, obbligations, rembursements, penalités, etc.) qui ont quand meme une valeur pas negligeable!

#470 Législations régionales » Porte coupe-feu maison unifamiliale » 17-04-2005 18:17:38

giannigianni
Réponses : 2

Qui pourra me renseigner sur la reglementation en objet notamment pour une porte qui separe le garage de la bounderie/salle de jeu. Y-a-t-il une difference is on est en renovation ou nouvelle construction?

#471 Copropriétés forcées » Constructions garages sous terrain coproprieté » 17-03-2005 18:35:04

giannigianni
Réponses : 1

Dans le cas en objet, comme seront repartis et/ou vendu les nouveux garages construits? Pourra avoir un droit de prelation pour les coproprietaires avec x milliemes? En d'autes mots comme sera fait la repartition/vente/attribution des garages? Quel majorité faudra-t-il pour voter le projet de consuction en AG?

#472 Re : Locations et baux » Garanties en cas de location » 01-03-2005 15:39:23

espadon a écrit :

Bonjour,

je vais habiter à Bruxelles et suis à la recherche d'un appartement (2ch) à louer en centre ville ou à proximité directe.
Etant demandeur d'emploi indemnisé, il s'agit là de mes seuls revenus...hormis le fait que je dispose d'un capital de +/- 170.000€ placés en banque et libérables rapidement.
Dans divers cas, le propriétaire exige des revenus fixes "prouvés" via e.a. feuilles de salaire sur les trois derniers mois.

Quelle pourrait être l'attitude/tolérance du proprio en termes de démonstartion de ma fiabilité financière?

Je crois que la chose plus "facile" est de convaincre votre banquier, qui voit bien votre dossier titre et vous connait, à emettre la garantie locative demandé par le proprietaire et eventuellment fair couvrir contractuellment par la meme garantie les loyers impayées et le reste

#473 Re : Ventes et achats » Projet d'achat d'une surface commerciale » 24-02-2005 00:01:36

PATSOUS a écrit :

Voici intégralement le projet que j'ai fait parvenir à une Agence Immobilière :

Concerne : Projet d'achat d'une surface commerciale - sis ..........
Monsieur,

J'ai le plaisir par la présente de vous transmettre mon offre en vue de l'acquisition du bien susmentionné. Mon offre s'élève à ........... euros.
Durée et condition de l'offre : 15 jours à dater de la présente, et à condition de l'obtention d'un crédit hypothécaire auprès d'un organisme bancaire.
Vous serait-il possible de me tenir informé dans les plus brefs délais des réactions de votre client face à cette proposition.
Dans l'attente, je vous prie ........

a) L'agence Immobilière a dans un premier temps voulu négocier mon prix vers le haut
    je n'ai pas réagis à la contre-proposition
b) Le lendemain l'agence me signale par téléphone  être d'accord avec le prix proposé
c) L'agence transmet directement sans me tenir informé toutes les informations à notre notaire. Je ne reçois à ce stade aucun écrit de l'agence immobilière.
d) Après réflexion je décide de ne plus acquérir ce bien ( l'emprunt trop chèr - charges de l'immeuble trops élévé )
L'agence me signale que sur base de mon projet mon engagement est ferme et que je dois respecter ce dernier.

Pouvez-vous m'informer si OUI ou NON
l'agence immoblière n'aurait-elle pas dû me confirmer par écrit le déroulement des différentes opérations ?
Le délai de l'offre étant largement dépassé à ce stade. Aucun compromis de vente n'a encore été signé.

Merci du suivi qu'il vous plaira de réserver à la présente.

L'acceptation de l'offre doit etre communiquée, mieux si par ecrit mais un coup de telephone, donc orale et difficile à prouver, suffirait à marquer l'accord sur la chose et le prix, dans le delais, à l'acquereur et pas seulment au notaire. Au moins que le notaire ne soit pas lui meme intermediaire/mandataire de l'acquereur. Toutefois le fait que le notaire instrumentant etait dejà nommé me fait penser que le notaire lui meme pourrait etre chargé de recevoir l'acceptation de l'offre et donc poursuivre les demarches. La signature d'un compromis de vente ne serait meme pas necessaire et le notaire pourrait, en theorie, passer à l'acte. Quant à la clause suspensive de l'obtention du pret hypotecaire, celle-ci ne semble pas avoir une date...

#474 Re : Locations et baux » marché à bruxelles » 15-02-2005 20:35:22

mat a écrit :

Merci pour votre réponse.

une gestion plus lourde concernant les meublés ne me fait pas peur. ce qui m'ennuie c'est effectivement le risque de vide locatif. Ma capacité de remboursement reposant fortement sur ces revenus, cela risquerait de poser problème en cas de vide locatif trop important.

Vous personnellement, vous ressentez des difficultés à trouver des locataires? sur ce même forum, j'ai lu qu'en s'y prenant 2 mois à l'avance, cela ne devrait pas poser de problème. c'est ce que vous constatez?

2 mois ne sont pas suffisants. très difficile faire toujours rapprocher date de sortie et date d'entrée. Pour le meublé le turnover peut etre plus elevé et donc le risque de vide locatif plus elevé. La demande de meublé ne garantie pas des bonnes affaires. Si votre capacite de remboursement repose sur les revenus du bien loué  l'operation me semble très risqué. Il suffit des travaux extraordinaire à faire, un vide locatif de 3-4 mois pour differentes raisons (inclus un simple preavis du locataire) et votre operation se revele comme un achat en bourse, c'est à dire vous avez transformé votre investissement en faible rendement et risque elevé, ce que n'est pas de la bonne gestione financiere...

#475 Re : Divers (hors achat/location) » laxisme du syndic » 09-02-2005 14:24:25

lorenzo271175 a écrit :

Parce que lors l'agent immobilier qui a été mandaté par la propriétaire pour conclure le contrat de bail a bel et bien stipulé que le syndic se chargerait de l'apposition de plaquettes à ses frais, ce qui a été fait mais les plaquettes reprennent un nom erroné. Ils se doivent donc de rectifier le tir à mon sens.
Si ceci n'avait pas été explicitement énoncé lors de la conclusion du bail, je n'aurais jamais apposé des plaquettes de ce style.
Je suppose que les rétributions que perçoit le syndic comprennent ce type de frais.

Selon moi la plaquette sur la boite au lettre est un element privatif qui doit suivre le style decidé par la coproprieté (comme parfois rideau, chassis, porte garage, etc.). Si il est etablie que le Syndic est chargé du placement ca ne veut pas dire que soit à charge de la copropriete. J'insiste, par ecriture sur le bail, que moi je ferais payer le locataire car à la limite il s'agit d'une depense courante ordinaire. Si le locataire a par example besoin d'ecrire trois noms parce que d'origine noble ou espagnole c'est pas à la coproprietaire ou au proprietaire de payer la gravure d'une tel belle plaquette....

#476 Re : Divers (hors achat/location) » laxisme du syndic » 09-02-2005 14:24:25

lorenzo271175 a écrit :

Bonjour,

Dans le cadre d'une locationd e flat meublé, le syndic était censé apposer un plaque reprenant mon nom sur la boîte à lettres ainsi que la sonnette du hall d'entrée, ce qui fut fait. Le nom étant complètement estropié, mon courrier risque de ne plus arriver. J'ai demandé au syndic de s'exécuter et d'apposer une plaque conforme, ce qu'il tarde à faire.
Puis-je moi-même procéder à la fabrication de nouvelles plaquettes et en déduire le montant du prochain loyer qui sera versé au propriétaire ?

Que dois-je faire ?

Merci.

Moi je me rappel avoir changé moi-meme les plaquettes à mes frais. Pour autant qu'on garde le modele de l'immeuble et on ne detruit pas les sonnettes ou boites...Mais c'est vrais en principe c'est le syndic chargé de le faire...Il m'echappe la raison pour laquelle serais votre proprietaire qui devrait payer le changement des plaquettes Moi je metterais ca à charge du locataire, d'ailleurs il s'agit de son nom...

#477 Re : Locations et baux » marché à bruxelles » 15-02-2005 20:35:22

mat a écrit :

tout d'abord, bonjour à tout le monde !

j'ambitionne de me lancer dans l'achat d'un bien d'investissement. mais, au vu du marché actuel, peut-on encore profiter correctement des rentrées locatives? avec les taux d'intérêt très bas que l'on connaît, beaucoup passe le pas et deviennent propriétaire. ce mouvement réduit certainement le nombre de candidat locataire. quelles sont ou seront, selon vous les conséquences à venir? on a l'habitude de dire qu'investir dans la brique est un moyen sûr de ne pas perdre de l'argent mais est-ce que ce sera toujours vrai?

comment voyez-vous cette évolution? est-ce qu'il faut s'attendre à davantage de vide locatif? et donc, est-ce que l'achat d'un immeuble de rapport se verra négocié à la baisse?




ps: en consultant les annonces, je vois qu'il fait parfois écrit x% de rentabilité. Pouvez-vous également me dire comment vous calculé ce taux de rentabilité.

Pour le residentiel, il faut considirer que il y a, ou peut etre a eu, un'augmentation de l'offre et par consequence du vide locatif ou chomage tecnique du bien. Les loyer suffrent de cette situation et donc la rentabilité du bien depends surtout de sa revalorisation futur. Actuellment si tu a un bien qui vaut 300-400.000 € tu pourra le louer pour 1200-1500 par moi. Donc dans la situation plus optimiste et statique tu aura (1500x12)/300.000 par an soit 6% brut. Il faut en deduire les depenses d'entretien et ajouter la revalorisation du bien. Si tu as des contrat de court durée tu augmente le risque de vide tecnique et de travuaux a faire pour chaque locataire. Par contre pour le long terme tu devra compter une faible indexation qui probablmente ne couvrira pas les couts des depenses d'entretien extraordinaire. Different est la situation où tu pourras te permettre d'emprunter de l'argent à 3-4% et avoir la rentabilite mentionnée. La difference, au net des depenses et revalorisation, donnera ton benefice pur....
Conclusions: si tu aime le brique, tu l'a dans ton ventre, et tu doit diversifier ton portafeulle et son risque et tu est liquide oK, ou bien tu peut faire un leverage financier (emprunter pour investir) autrement il me semble le rendemment comparable a des asstes semblebles.

#478 Re : Locations et baux » indemnité de rupture » 26-01-2005 11:15:12

SNP a écrit :

Grmff a écrit :Citation :Donc vous confirmez qu'on ne peut pas faire 9+1, soit 9 ans plus un courte durée, et que l'ancien bail s'etait en effet trasformé en 9+3
Moi oui... mais vu la réponse du SNP qui est généralement bien informé en la matière, je vais me renseigner un peu plus et je reviens vers vous.

Merci pour votre appréciation!
Je confirme pour ma part qu'après un bail de neuf ans ou à l'issue de chaque renouvellement pour 3 ans d'un tel bail, le bailleur, pour peu qu'il ait respecté le préavis de 6 mois, retrouve son entière liberté.
Dans le cas présent, la question est sans doute, et j'avoue ne pas y avoir pensé tout de suite, que le congé n'a peut être pas été donné dans le délai ou même pas du tout, mais il y a contrat écrit de courte durée ce qui peut, le cas échéant, couvrir cette irrégularité.
Je rappelle au passage que la nullité du contrat ne pourrait de toute façon être invoquée que par le locataire car il s'agit d'une nullité relative.

Pour nous résumer et compte tenu des considérations contenues dans ma première réponse (caractère éventuellement abusif de l'indemnité), je conseillerais à nos interlocuteur d'accepter l'indemnité d'un mois puisque le locataire a également respecté le préavis de 3 mois.
Et ce d'autant plus que le locataire habite dans les lieux depuis 20 ans!

Il me semble un peut bizarre que si, par analogie, un contrat de courte durée, après deux prolongations ou renouvelément au delà de 3 ans, devient automatiqument un bail de 9 ans avec effet rétroactif, un bail de 9 ans puisse revenire à un bail de courte durée. Quid des formalites à accomplir en fin de location de 9 ans avant d'entrer, le cas echeant, dans un bail de courte durée?

#479 Re : Locations et baux » indemnité de rupture » 26-01-2005 11:15:12

Grmff a écrit :

A mon sens, le contrat d'origine est toujours d'application. Pour un bail de 9 ans, le préavis est de 3 mois (il doit vous prévenir 3 mois à l'avance) et aucune indemnité n'est due.

Dans son cas, aucun nouveau bail n'était nécessaire. L'ancien bail pouvait simplement continuer.

Bref, la situation est encore pire (pour vous) que ce que votre locataire pense...

Donc vous confirmez qu'on ne peut pas faire 9+1, soit 9 ans plus un courte durée, et que l'ancien bail s'etait en effet trasformé en 9+3.

#480 Re : Locations et baux » indemnité de rupture » 26-01-2005 11:15:12

philux a écrit :

Bonjour,

Mon locataire loue depuis plus de 20 ans un appartement (bail de 9 ans).
A la fin de son bail de 9 ans, il m'a demandé de refaire un contrat de 1 ans car il pensait bientôt partir.
Nous avons donc refait un contrat de un an (novembre 2004).
J'ai reçu sa lettre de préavis et donc son préavis de 3 mois se termine le 1 mai 2005.
Le contrat stipule que si il ne reste pas jusque la fin de son contrat de 1 an, une indemnité de 3 mois sera due.

Il conteste l'indemnité de 3 mois et dit que c'est 1 mois. Qui a raison ?

Merci

Avez vous prolongez le contrat de 9 ans (normallment pour une periode de 3 ans, resiliation possible à tout moment, delai de préavis de 3 mois et aucune indemnité) ou bien vous avez envisagez un contrat de court durée, justement d'un an après les premiers 9 ans. Je ne suis pas sure que on peut faire 9+1 et donc je pense que le premier cas est d'application. Juristes?

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