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Bonjour,
Je vous confirme la réponse de Grmff.
Pas d'indemnité à payer car vous avez actuellement un bail de 9 ans en cours depuis plus de 3 ans.
Il suffit de respecter un préavis de 3 mois prenant cours le 1er jour du mois suivant celui au cours duquel vous annoncez votre intention de mettre fin au bail.
Bonne journée!
Et si on y a derogé par ecrit, come dans un contrat de l'Office du proprietaire, et on mentionne seulment le 3 mois à payer en cas de resiliation?
Votre contrat s'est effectivement transformé en contrat de 9 ans. Si cet appartement était votre résidence principale, ce qui semble être le cas, les conditions légales sont d'application.
La loi stipule:
"§ 5. Il peut être mis fin au bail par le preneur à tout moment, moyennant un congé de trois mois.
Toutefois, si le preneur met fin au bail au cours du premier triennat, le bailleur a droit à une indemnité."Vous avez passé le premier triennat, votre bailleur n'a donc pas le droit de demander une indemnité.
Le seul arrangement amiable, selon accord entre les parties, serait que vous partiez plus tôt, pour convenances personnelles du nouvel entrant. Bref, un arrangement qui arrangerait tout le monde...
Peut on deroger par ecrit à cet article? Mon copin m'a montré un contrat où il est marqué faisant toujours referance à l'article 1760 du CC que en cas de resiliation il y a 3 mois d'indemnité tout court. Et lui il est à la 4eme année!
Si vous signez un bail de 9 ans et que le preneur affecte le bien à sa résidence principale les effets de ce qu'on appelait "dans le temps" la clause diplomatique, s'y retrouvent automatiquement : le preneur a faculté de résiliation anticipée avec indemnité de 3, 2 ou 1 mois (outre le préavis) selon que son départ a lieu pendant la 1e, 2e ou 3e année. Si départ après 3e année, pas d'indemnité.
Comme dans les "clauses diplomatiques"Mais, effectivement, lisez l'article publié dans le lien donné par Grmmf pour compléter votre info.
Pourriez vous me dire si cette article de la loi du 13 mai 1997 peut etre sujet à un derogation? Dans un contrat "Ofice du Proprietaire 9 ans" signé il y a 4 ans on parle d'indemnité de 3 mois tout court quoi que il soit le prevais, le motif et le triennat du bail.
Grave erreur... cependant, pour qu'il y ait vente, il faut un accord sur la chose et sur le prix.
Un compromis qui mentionnerait que la vente se fait sans la main-levée (donc pas pour quitte et libre) serait à mon avis tellement biaisée que l'accord sur la chose n'est pas réalisé...
L'immeuble de kots qui se vend sans les accord administratifs, et avec l'impossibilité d'obtenir ceux-ci se trouve dans la même situation.
Le fait que la vente se fait par l'intermédiaire d'une agence immobilière peut donner l'impression d'une situation légale. Si ce n'est pas le cas...
On connaît des agents immobiliers condamné pour avoir vendu des immeubles avec des vices cachés, ou pour avoir caché des vices...
La responsabilité de l'agent immobilier intermédiaire est donc engagée.... cela devrait l'inviter à réfléchir.
Le probleme est que en theorie on pourrait passer de l'offre, où il y a un accord sur la chose et le prix, à l'acte. Donc il me semble d'avoir compris que la redaction de l'offre avec tous les details possibles est fondamental! Dans un cas recent le notaire du vendeur a signalé à l'agence intermediaire son comportement un peu leger parce que il a fait accepter aux proprietaires une offre avec garantie des vice cachés alors que la plupart des formules standard l'excluent (par defaut la loi prevoi la garantie).
Le notaire semble penser que la certification est loin d'être garantie et je n'ai pas le budget pour effectuer des transformations, j'ai donc peur que ce soit un gros problème. D'autre part, le vendeur et l'agence ont prouvé par leur attitude qu'ils n'étaient pas vraiment des plus honnêtes (ils ont essayé de me faire signer un compromis où j'acceptais n'avoir aucune garantie sur l'état fiscal et hypothécaire de l'immeuble et que j'en supporterais les éventuelles conséquences, m'assurant qu'il s'agit d'une clause classique!) et j'ai maintenant peur de ce que je pourrais découvrir d'autre. Est-il possible de faire annuler cette "vente"? Je m'étonne également que l'offre par email et donc non signée soit considérée officielle et qu'ils me réclament un tel montant d'indemnités alors qu'l n'y a pas eu de signature de compromis ni de perte de revenus (kots encore loués)... je trouve aussi irrégulier de me demander de payer les frais de l'agence puisque si je ne me trompe, l'agence n'est payée que lorsque la vente est conclue, et ce par le vendeur, non l'acheteur! Bref, rien n'est régulier dans cette vente à mon avis!
La question a été largement debattué voir
Mon lien
Moi meme je m'etais retrouvé devant la renonciation du vendeur, et je dois dire ex post hereusement.....
La loi dit:
"Dès que l'option de vente ou l'offre d'achat est acceptée, la vente est définitive. En théorie, un compromis ne sera plus indispensable puisque le vendeur et l'acquéreur se sont mis d'accord sur le bien vendu et son prix".
Acceptation de l'offre engage le deux parties et vaut vente meme si il n'y a pas eu d'acompte et/ou paiement de prix...
Pour le reste il faudra toujours voir la bonne fois des parties et surtout voir exactement sur quoi on s'est mi d'accord....meme oral et le prouver.
Avez vous recu l'e-mail de retour imprimé et contresignée? Que est le contenu de votre e-mail? Avez vous mentionné des clauses standard comme par example pour vous couvrir contre le vices cachées?
Il m'echappe la relation avec l'immobilier....
Voilà une excellente question!
La première chose à faire est de consulter votre acte de prêt. Celui-ci mentionnera les conditions d'adaptation du taux.
J'ai pris un de mes actes, pour l'exercice. L'indice E des Oblogations linéaires était de 4.952 (selon l'acte de prêt. Vérifier si c'est le même pour vous, bien sûr)
Pour connaître l'indice actuel, j'ai trouvé ce site:
Commission Bancaire, Financiaire et des Assurances Une simple règle de trois vous donne votre nouveau taux.Il faut ensuite vérifier votre solde restant dû à la date de changement de taux (voir votre acte) et utiliser l'outil de pim.be pour connaître votre nouvelle mensualité (renseigner le solde restant dû, et le nombre d'années restant à courir)
Que donne votre calcul? Revenez nous le dire, la joie a cette particularité d'augmenter quand on la partage...
L'indice de reference E est normallment utilisé pour le revision quinquennale 5-5-5. L'organisme financier est tenu à vous donner le nouveau pla d'amortissement.
"§ 4. Lorsqu'il y a variation du taux d'intérêt, la
modification doit être communiquée à l'emprunteur
au plus tard à la date de prise de cours des intérêts au
nouveau taux d'intérêt. Elle doit être, le cas échéant,
accompagnée, sans frais, d'un nouveau tableau
d'amortissement reprenant les données visées à
l'article 21, § 1er, pour la durée restant à courir."
Bonjour,
Nous avons souscrit un prêt hypothécaire avec taux révisable chaque année. Nous arrivons à la date anniversaire du prêt, où pourrais-je vérifier si mon taux va augmenter ou diminuer (on peut toujours rêver non?)
merci mille fois
L'organisme financier est contracteulment tenu à vous communiquer par lettre le nouvau taux applicable.
Pour l'adaptation des taux d'intérêt, les institutions financières sont liées aux indices de référence (normallement A = bon du tresor 12 moi, mais il faut voir le contrat) qui paraissent chaque mois au Moniteur belge. Le nouveau taux d'intérêt sera calculé comme suit :
nouveau taux d'intérêt = taux d'intérêt initial + (nouvel indice - indice initial)
Sur la base de l'evolution des taux à courte terme (1 an), mais sans avoir lu votre contrat, vous pourriez avoir une petite variation voir diminution de quelques centieme/dixieme de %. Mais il fau savoir le mois exacte d'entrée en viguer du tarif auquel vous avez souscrit le pret hypotecaire car entre aout et decembre de l'année passé il y a eu quelque petit fluctuation du taux de bons du tresor.
Où je peux trouver sur Internet les baremes/prix des travaux de parachèvements (example pose de carrelage m², demolition, peinture, etc. ).
Je cherche quelque chose du stile
Mon lien
Merci
giannigianni a écrit :Il est claire que si chaque fois au lieu d'executer la decision de l'AG on pert du temps et à l'AG suivant on en parle encore et à la fois on re-vote, avec de nouveaux coproprieteres, les choses peuvent changer...Demander l'execution forcée de la decision en justice?
Toiut dépend du type et de la nature de la décision ...
Un peu plus d'information est nécessaire, comme déja demandé par copro.
Pourqoi ca changerais selon le type de la decision? Une decision est une decision soumise aux differentes majorité mais peux importe quand elle est prise.
giannigianni a écrit :Quel 'est la possibilité de recours pour un point à l'ordre du jour d'un assemblée generale qui ne devrait pas y figurer mais que le Syndic continue à remettre à la discussion/decision de l'assemblée chaque fois en faisant changer la decision meme. Bref quel est le droit d'un coproprietaire d'eviter de rediscuter à nouveau une decision deja prise alors que le point est à l'ordre du jour. Quel procedure pour attaquer un ordre du jour?
Résumé:
1. le syndic met un point à l'ordre du jour
2. le PV fait par le sydnic ne réflète pas selon vous la décision de l'AG
3. ce point est en fait refusé, mais le syndic essaie de le faire voter à l'AG suivante
Correct ?Une solution possible dans ce cas:
1. Dés réception du PV il faut par lettre recommandé contester le PV.
Demande à remplacer le texte "aaa ...bbb" par "ccc...ddd".
Faite signer cette lettre si possoble par quelques co-propriétaires (au moins un).
2.Mettez une motion à l'ordre du jour, qui spécifie ce que vous voulez.
Prenez garde que le maximum possible de période de quarantaine est probablement 5 ans, si aucun élément nouveau n'intervient. Un nouveau CP est un nouveau élément ... .
3. Lors du vote sur l'acceptation du PV de l'AG précédente, votez pour l'acceptation
4. Lors du vote de votre motion, votez pour l'acceptation, en n'acceptant aucun changement de votre texte proposé, vu l'attitude du syndic.
Il est claire que si chaque fois au lieu d'executer la decision de l'AG on pert du temps et à l'AG suivant on en parle encore et à la fois on re-vote, avec de nouveaux coproprieteres, les choses peuvent changer...Demander l'execution forcée de la decision en justice?
Un syndic peut toujours mettre à l'ordre du jour quoique ce soit en rapport avec la copropriété et l'AG peut revenir sur des décisions acquisent précédemment. Un point peut également être ajouté à l'ordre du jour sur demande d'une partie des copropriétaires ( voir la loi et l'acte de base).
Si l'on veut éviter de revenir sur une décision de l'AG, il faut fixer un délai au syndic pour la faire exécuter.
Dificille de dire plus en absence de détail.
Bon Week-end.
Je ne suis pas sure sur la réformation des decisions de l'AG à defaut de devoir renoncer à toute securité juridique. Si une decision est prise il faut l'executer et je n'ai jamais vu des delais impartis aux Syndic pour executer les decisions de l'AG. Je ne trouve pas correcte revenir toujours sur le meme point à l'ordre du jour et inviter l"AG à voter quelque chose à defaut de cibler un AG que change avis tout le temps.
Merci à tous pour les informations même si celles-ci recoupent quasi entièrement les miennes.
Pour le cas de Luc , je suis d'accord avec sa position.
Mais comme le disait Grmff, je pensai évidemment à une situation particulière.
Les répartitions de charges dans une copropriété ont fait l'objet de plusieurs modifications votées en AG, à la majorité requise, pendant plus de 20 ans mais jamais reprises dans un acte notarié.
Un nouveau propriétaire d'appartement, en possession de l'acte de base initial et du règlement général de copropriété initial, conteste la grille de répartition actuelle et demande le retour à la grille initiale. Il demande également que les décomptes soient refaits sur cette même base et ce pour les 2 années écoulées, soit depuis son achat. Il est demandeur de cela depuis le premier décompte de charge qu'il a reçu.
Il est évident que la copropriété aurait du régulariser la situation mais, comme indiqué par d'autres intervenants, les modifications font très rarement l'objet d'un acte notarié.
Quelqu'un aurait-il vécu une situation pareille et quelle en a été le dénouement?
Merci à tous.
Je suis en train de la vivre pour la trasformation d'une partie de commun en partie lot privatif dont je suis acheteur. Depuis 4 ans , le jugement du Tribunal de Paix et l'avis du notaire les status n'ont pas encore été modifiés. Entretemps des coproprietaires se reveillent et voudraient changer leur charges...Le jugement du Tribunal de Paix n'a pas encore éte excuté ni formalment ni pratquement (dans le decompte trimestriel) depuis 9 mois.
Quel 'est la possibilité de recours pour un point à l'ordre du jour d'un assemblée generale qui ne devrait pas y figurer mais que le Syndic continue à remettre à la discussion/decision de l'assemblée chaque fois en faisant changer la decision meme. Bref quel est le droit d'un coproprietaire d'eviter de rediscuter à nouveau une decision deja prise alors que le point est à l'ordre du jour. Quel procedure pour attaquer un ordre du jour?
réponse à giannigianni:
On parle notamment des acquéreurs, voire des créanciers de la copropriété qui peuvent récupérer leur dette à l'égard des copropriétaires au proratas de leurs quotités...
Dans quel mesure un jugement du Tribunal de Paix qui modifie les quotites est donc oposable aux tiers?
La modification et l'attribution de milliemes (répartitions des quotes-parts et des charges) peut etre faite par le Juge de Paix conformement à l'article 577-9 § 6 du Code Civile du fait que il sont devenues inexactes en raison de la modification de l'immeuble.
Dans un cas vecu (voir aussi Mon lien
pour la vente de l'ex-conciergerie que dure depuis 4 ans le probleme n'est pas la modification de l'acte de base pour laquelle le Syndic peut intervenire mais apparement les recherches hypotecaires, les mainlevées et les procurations de tous les coproprietaires qui ont cedé quelques petits milliemes de partie commune. Le probleme est l'acte de vente tandis que pour le reste l'execution du jugemenet du Tribunal de Paix devrait suffir.
Très honnêtement, je n'ai pas vu la maison personnellement. Les conseils que j'ai donné directement sont du même ordre que ceux que vous m'avez donnés, avec des nuances qui permettront sans doute de donner des idées.
Si j'ai bien compris, le fait que la facade se barrait n'était pas apparent, et n'a été découvert que lorsque le gyproc a été enlevé. Peut-être y a-t-il eu d'autres travaux... qui auront touché à la structure.
Je sais que le forum sera lu ce soir par l'acheteur (salurt au passage, on ne se connaît pas!) qui y trouvera des avis de personnes différentes, mais dans une voie convergente:
-prendre un avocat (un courrier d'avocat fait parfois se délier bien des situations.)
-prendre un expert compétent (peut-être la maison n'est-elle pas à abattre... peut-être que deux tirants de chaque côté remettront le tout d'aplomb, ou empêcheront-ils que cela ne devienne vraiment grave. Sais pas, moi.)
-obtenir un rapport d'expert ou d'architecte d'instabilité du batiment
-faire annuler la vente pour vice caché
-l'idée de la HotLine est excellente en ce cas: HOT LINE: 0903-99-003 (cher à la minute, mais beaucoup moins cher qu'un avocat à la consultation. En plus, la legal hotline n'essaie pas de faire durer les procès pour toucher plus d'honoraires, si j'ai bien tout compris...)
D'abord il faudra verifier ce que vous avez ecrit dans le compromis au sujet de vices cachés. Après il faudra etablir, si la garantie de vices cachés est applicable, si il s'agit d'un tel cas de figure. Voir:
http://www.notaire.be/info/acheter/432_acte_notarie_etat_vices_caches.htm
Le fait que vous avez touché à la structure (sans ou avec autorisation ecrite avant la passation de l'acte?) pourra rendre le chose plus compliqué à demontrer quoique selon la description semble beacoup plus que vice caché... 
Pourquoi vous continuez à prendre des examples theoriques sans evaluer les options et la variabilité du taux et don indiquer une fourchette cout minimale/maximal selond de scenario que dans tout etat de cause son propre à chaque emprenteur?
Dans la pratique il se passe qu vou devez comparer les taux offerts aux meme conditions (quotite, durée, risque, etc.) Ca sert à rien de dire est moin cher si le taux que vous avez pris comme example n'existe pas pour la meme durée et quotité ailleurs (par example il y a peut d'organismes qui font du 30 ans°
giannigianni a écrit :Je ne peux pas partager l'idée que options, flexibilité, risque, etc. "ne sont pas des avantages" financiers. De plus l'example fait n'est pas pertinent et ne reflet pas la realité des taux offert pour des condition et obligations comparable. Dire que le pret classique est moins chere n'est pas correcte, qui est different oui. De plus il ne faut pas oublier que on parle du cout total (et meme pas total parce que vous considerez seulment le plan d'ammortissement) estimé ex-ante et pas ex-post. Bien evidement si vous allez pas profiter des differents options peut etre que vous allez payer plus cher à la fin. Toutefois si vous prenez le cas de taux variable dans la periode de prefinancement vous pouvez dans le cas de hausse de taux vous covrir et essayer de passer à la deuxime phase en fixant le taux alor que dans un pret classique vous continuez à subir la hausse et sur 30 ans ca peut changer les choses...
C'est vrai qu'en prenant un taux révisable annuellement (historiquement bas), on peut peut-être être gagnant avec la BHW. Mais de toute façon avec un prêt classique, ce sont dans la première moitié du prêt que les révisions de taux à la hausse coûte le plus cher et c'est à ce moment-là que le prêt BHW est variable...
D'autre part, le prêt BHW coûte plus cher dans les premières années du prêt alors que le poids du remboursement est plus important dans votre budget, inflation oblige.
Pour terminer, j'ai pris un petit exemple :
J'ai fait une petite simulation concernant un cas concret : prêt BHW de 100000 € au taux de 5.59%
Passage contractuel en phase II à 5.12% si 40% du capital reconstitué
Passage contractuel en phase II à 4.07% si 55% du capital reconstitué
Passage contractuel en phase II à 3.04% si 60% du capital reconstituéCe sont les paliers qui existait il y a deux ans. Ils ont légèrement baissé actuellement mais on peut refaire les calculs avec les taux contractuels actuels, cela ne changerait pas grand chose car ce qui "coûte" à la BHW, c'est le fait que les intérêts courent sur l'entièreté du capital emprunté durant toute la phase I. C'est aussi grâce à cela qu'ils peuvent se rénumérer.
Remboursement mensuel de 862 Euros
Je vous épargne les eurocents, voici le coût total du crédit selon le fait que vous choisissez de passer en phase II à 40%, 55% ou 60% du capital emprunté.
Si, après avoir remboursé 40% du capital, vous décidez de passer en phase II, votre taux contractuel fixe est de 5.12% et le coût total de votre crédit est de 149 460 Euros.
Si, après avoir remboursé 55% du capital, vous décidez de passer en phase II, votre taux contractuel fixe est de 4.07% et le coût total de votre crédit est de 154 612 Euros.
Si, après avoir remboursé 60% du capital, vous décidez de passer en phase II, votre taux contractuel fixe est de 3.04% et le coût total de votre crédit est de 153 923 Euros.
Etonnant non ?
Pour comparaison, un crédit classique à 5.59% fixe coûte 142 383 Euros.
Avec la BHW, dans ce cas, on est entre 7000 et 12000 Euros plus cher, soit, rapporté au crédit classique, entre 5% et 8,6% plus cher. C'est ce qu'il faut pour rénumérer un service...
Une indemnité de réemploi coûte en général 3 mois d'intérêts soit 3*862 = 2 586 Euros...bien inférieur à 7 000 Euros. Même si on ajoute 1% pour frais d'actes, cela ne fait que 3 586 Euros.
Bref, la "souplesse" de la BHW est déjà bien rénumérée par le système qu'ils ont mis sur pied.
Dernière chose, quitter le "système" BHW en cours de contrat peut s'avérer intéressant dans les premières années. Mais par la suite, autant essayer de passer en phase II le plus vite possible sinon vous payerez 2 fois. Il faut faire un nouveau crédit hypothécaire ce qui entrainera d'office des frais...c'est à calculer au cas par cas.
Je ne peux pas partager l'idée que options, flexibilité, risque, etc. "ne sont pas des avantages" financiers. De plus l'example fait n'est pas pertinent et ne reflet pas la realité des taux offert pour des condition et obligations comparable. Dire que le pret classique est moins chere n'est pas correcte, qui est different oui. De plus il ne faut pas oublier que on parle du cout total (et meme pas total parce que vous considerez seulment le plan d'ammortissement) estimé ex-ante et pas ex-post. Bien evidement si vous allez pas profiter des differents options peut etre que vous allez payer plus cher à la fin. Toutefois si vous prenez le cas de taux variable dans la periode de prefinancement vous pouvez dans le cas de hausse de taux vous covrir et essayer de passer à la deuxime phase en fixant le taux alor que dans un pret classique vous continuez à subir la hausse et sur 30 ans ca peut changer les choses...
freddy a écrit :Penser que le taux de 2,27 % est une arnaque est légitime.
En fait la façon dont on "vend" ce produit peut en effet laisser transparaître une "arnaque".
Mais la personne qui est un tant soi peu informé , voit tout de suite ou peut résider son avantage.
Personnelement je l'ai choisit parceque ce sont les euls qui m'acceptait le prêt sans trop de difficulté, ce sont aussi les seuls qui me permettent de ne rembourser que les intérêt en cas de pépins (pdt maximum 3ans).
Maintenant dans mon cas, la différence de conditions entre BHW et une autres institutions financiéres , n'était pas énorme (+- 7.500 eur sur le total à rembourser).
Cette différence (selon moi!!) est largement compenser par la flexibilité octroyé (au plus vite je rembourse au moins je paye).
Voilà ce que je pense de ce prêt tout en précisant que mon but n'est pas de convaincre mais de démontrer que chacun peut éventuellement y trouver un avantage , sans pour autant penser que ce prêt est "magique" ou est une arnaque..
Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit Le prêt BHW n'est pas une arnaque car il a des avantages mais ceux-ci ne sont pas financiers (ou alors dans de très rares cas : écourter un maximum la phase I et prolonger un maximum la phase II).
J'ai démontré que le système BHW était un système plus cher qu'un taux classique du marché. Je l'ai démontré pour 5% et a fortiori pour 6% (et donc partiquement tous les taux intermédiaires). Si vous avez un taux inférieur à 5%, cela devient un peu plus intéressant mais néanmoins plus cher ==> en fait, ce n'est que si vous avez un taux de 2% que ce genre de prêt hypothécaire devient intéressant : logique, c'est le taux auquel est rénuméré la phase I (ou reconstitution) du prêt BHW.
Mais si vous avez un taux de 2% fixe en prêt hypothécaire, signez tout de suite avec cet organisme de crédit car c'est plus intéressant que celui la BHW car la BHW vous mettra à 2.27% en phase II
D'un autre côte, il n'y a pas les indemnités de réemploi en cas de remboursement et une partie plus importante des intérêts peut être récupéré fiscalement si ce prêt entre dans le cadre d'une déduction complémentaire des intérêts. Donc la facture ne sera peut-être pas aussi élevée qu'annoncé mais elle sera plus élevée, c'est un fait certain.
Si vous choisissez la BHW comme un prêt hypothécaire classique où vous payez pendant 20 ans la même somme, oubliez le système car il est plus cher. A titre d'exemple, je vous conseille un calcul du genre : quel serait le taux du marché auquel un taux fixe de 6% chez la BHW pendant la première phase et un taux de 2.27% pendant la seconde correspond...
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<table border="0" align="center" width="95%" cellpadding="3" cellspacing="1"><tr><td class="cadre">pim a écrit :</td></tr><tr><td class="quote">Waw ! Belle démonstration !
Qui pourrait se résumer à ce que je dis depuis toujours sur PIM: pour comparer valablement, ne pas se fier aux taux annoncés : uniquement comparer les montants totaux à rembourser.td></tr></table>
Faux! Dans le monde de la finance il faut evaluer correctement le prix des options offerts, de la flexibilite et du risque et comparer pommes avec pommes (e.g. taux par rapport au quotité). Par example comme on le vois l'example, très theorique (ne sont pas les taux publiés), ne considere pas ce que peut arriver dans le cas de hausse de taux quel que soit la variabilité choisi dans un pret à taux variable. De plus si il y a comme il est vrai une difference de 7-8000 ceci est, seulment à elle, vite recuperée avec les conditions et prix des banque qui t'offrent un bon taux sauf t'imposer leurs conditions, police incendie et solde restant du, indemnité reploi, etc..
J'ai toujours de copains qui se basent seulment sur le taux, sans meme considerer la durée, quotite et risque pour lesquel ce taux est offert. Il n'est pas seulment un question de taux et ammortissement du pret...