forum Vous n'êtes pas identifié(e) : Inscription :: Identification | Recherche Forum
Acte de Base date de 1976 sans aucune modification ni avenement a ce jour. Il ne pas conforme avec la loi ( qui prime probabl;ement ). Le syndic ( copropriete ) est il oblige de modifie ( change ) Acte de Base pour etre conforme avec la loi ??
En théorie il ne faut pas adapter l'acte de base aux changements de la loi et aux décisions de l'AG. Mais ... une coordination au moins officieuse est nécessaire si on veut s'assurer que la gestion soit transparente et surtout efficace.
Un des trucs d'un pouvoir en place non transparent est d'empècher une coordination sous le motif "Cela coûte trop et n'apporte rien [que trop de trasnparence]".
Si Mr et Mme X sont les propriétaires d’un appartement, peuvent ils tout les deux participées et débattre a l’AG. Qui vote Mr. ? Mme ? les deux ? ou une fois Mr et une fois Mme ? A qui les paroles ?
Les biens de deux personnes mariés ne sont pas en indivision, mais en principe en "communauté des biens". Celui qui est présent représente automotiquement la communauté de marriage.
Ce qui fait que:
1. contraire aux copropriétaires en indivision d'un appartement ils ne doivent pas désigner celui entre eux qui va les représenter
2. mais qu'ils ne peuvent pas être ensemble à l'AG.
Dans ce dernier cas le président doit suspendre leur droit de participation (= délibération é& vote) jusqu'au moment un des deux sort. J'ai fait appliquer ce point contre un membre du conseil de gérance et cela a fonctionné. Il le savait très bien.
Mais si le couple n'a pas mis la propriété en communauté, alors ils doivent jouer le jeu comme toute autre indivision volontaire: désigner celui des copropriétaires qui va les représenter. Le plus facile est de le faire dans l'acte notariel d'achat. Et de demander au notaire de mentionner ce fait dans sa lettre au syndic lors de l'acahat.
Toute ceci est du type "controlleur controllé par lui-même" et fait penser à la Cour Royale de Louis XIV. La Révolution Française a cassé en théorie cette méthode.
Mais j'avoue qu'en pratique cette méthode continue à exister. On ne sait casser ce pratique illicite qu'en exigant d'appliquer la thèorie.
Quands il n'y a aucun problème, alors il n'y a pas de problèmes.
Mais si vous autorisez ce cumul illicite quand le temps est beau et des problèmes surgissent plus tard, vous allez voir que tout se gâche rapidement sans possibilité de trouver un terrain neutre de rencontre entre les copropriétaires, ce que l'AG doit être.
N'oublions pas que le président de séance est le garant que l'AG se passe objectivement sans lèser les droits d en'importe quel participant.
Mais il devra quitter lors de la délibération de sa décharge comme membre du conseil de gérance.
Pour éviter tout problème il est conseillé, pour éviter un confilt d'intérêts, qu'une autre personne préside.
Une solution est naturellement, comme dans mon ACP, de jamais voter la décharge des membres du consiel de gérance ... il ne doit pas quitter.
Mais les conseil de gérance ne se rend pas compte que le syndic pourra dans mon cas les utiliser comme bouc émissiaire en cas de problèmes pour payer les pots cassés, puisqu'ils n'ont pas eu une décharge.
...
Selon le Code il n'est pas charger de "conseiller"...Ca c'est le probleme de pas mal de Syndics: estimer que l'AG est en erreur alors qu'elle est simplement souveraine. Donner ses demission c'est un mencae classique parce que on sait bien que le demission d'un Syndic "bloque" la gestion alors que l'ACP a besoin d'un Syndic....Bien sur il peut demissioner comme il peut etre revoqué selon le Code ou lui adjoindre un'autre Syndic.
Vous savez bien qu'une AG est tallment souverain qu'une decisione illegale ou abusive comme vous le dite devient reguliere si elle n'est pas attaqué dans le 3 mois. Et c'est ne pas au Syndic de le juger...
Si l'AG prend en pleine connaissance des décisions qui sont irrégulières, abusives et/ou frauduleuses, alors le syndic n'a pas seulement le droit mais le devoir de donner sa démission. Si non il en est complice et en devra subir les conséquences.
Concrètement: le syndic doit prendre à sa charge les frais d'une nouvelle AG, suite à l'annulation d'une AG organisé par lui, sauf s'il a notifié ses réserves au PV ou s'il a donné sa démisison suite à cette AG.
Je vous rappelle en plus que la décision irrégulière peut devenir de facto regulier si on ne la conteste pas, mais elle est assez souvent pas applicable, puisque l'application de cette décision pourra assez souvent être contesté comme étant irrégulière, ...
Les coproriétaires sont des membres forcées de l'association. Mais le syndic n'est pas forcé de rester syndic. Il peut démisisonner quand il veut, sous condition de convoquer une AG avec le point de sa démisison et l'élection d'un noiuveau syndic. Avec suffisament de temps entre l'envoi de l'invitation et la date de l'AG pourque les copropriétaires puissent chercher des candidats.
Citation :Il n'appartient pas au Syndic de juger incorrect les decisions de l'AG mais de les executer. Par contre dans mon experience l'AG a été "poussée" souvant de facon subtile par le Syndic à prendre des decisions soit irreguliers soit de mauvaise gestion pour l'ACP. La facon de presenter les choses, les devis, de mener la discussion influence beacoup les decsision d'un AG.
Faux!!! Le syndic professionnel se doit de conseiller l'AG.Si' l'AG prend des décisions inutiles, mauvaises, abusives, illégales ou contraires à la déontologie, le syndic professionnel se doit de les informer complètement, et de donner sa démission si l'ACP persiste dans son erreur.
D'accord. mais selon moi c'est valable tant pour le syndic professionnel que bénévole.
immorp a écrit :giannigianni a écrit :
Ici on parle des dossiers en justice, pour lequel un Syndic peut "engager" un avocat à condition que l'ACP et l'AG en soient informé et aient donné un'autorisation. Cette mission propre au Syndic serait donc completement delegué.
Moi je veux parler des décisions annulées, des comptes approuvés puis à refaire, des travaux faits puis l’obligation de remettre dans l’état initial etc… Un enfer !Etes vous sure que la responsabilité de l'enfer soit la loi? Dans mon experience dans un' autre domaine, on avait toujours tendence à dire que les reglements et la loi etaient mal faite ou on pouvait toujours les interpreter alors que le probleme etait simplement mauvaise gestion et interet personel.
Il se peut aussi qu'un syndic correct doit exécuter des décisions incorrects de l'AG et qu'il n'arrive pas à les persuader de changer de cap, mais en doit subir les conséquences matérielles. Si au moment opportun on n'avait pas voulu suivre son avis, alors il est selon moi déontologiquement et légalement correct qu'il donne sa démisison après avoir corrigé la situation comme le Juge le demande et convoque une AG dans ce sens.
Voir le code civil et l'acte de base de votre copropriété. Ce sont les deux sources fondamentales du droit. Ce sont les deux textes que vous devez lire pour avoir réponse à 95% des questions que vous posez.
Le code civil se trouve ici. Voyez l'article 577. C'est un lien vers le site du moniteur, donc un texte officiel.
Lisez-le, et venez nous poster la réponse à votre question.
Ce lien du texte du Code Civil vers Juridat est un grand pain, mais celui de FiscoNet est coupé en tartines plus petites ...
Dans ce contexte j'ai un cas concret.
Des installations de la copropriété peuvent être soumis à une procédure de permis d'environnement. Cas classiques sont les chaufferies et les parkings souterrains.
Dans mon ACP on applique déja le critère d'utilité pour la chaufferie et le parking souterrain depuis le début (prévu dans l'acte de base). Tant pour les frais de fonctionnement, d'entretien que pour les frais de rénovation (brûleur, porte basculante du parking, ..).
Il y a eu des frais de permis pour la chaufferie, le parking et d'autres instalaltions en 2004. ils ont été imputé sur l'ensemble. Tout el monde paiera donc en 2005/2006 pour les frais, qui sont estmimés à au moins 100.000 euros, dont 80% pour le parking (il n'y a eu aucune rénovation du parking souterrain depuis 1977).
Cérise sur le gateau: le syndic est copropriétaire pour 2% à 10% du parking souterrain, selon qu'on compte seulement lui-même ou des investisseurs externe (= non-copropriétaire d'appartements) qui ont acheté des lots de parkings en même temps que lui lors du faillite du promoteur/syndic dans les années 80.
Ma question: sont les frais de rénovation (inclus le permis) du parking souterrain à charge de tous copropriétaires ou seulement ceux de ce parking ?
Dans notre copropriété il y a :
- suivant l’Acte de Base au rez-de-chaussée 3 lots : flat résidentiel, un restaurant, un café-club prive et les appartements au étages
- en réalité : 2 restaurants au rez-de-chaussée et les appartements au étages
Ou puis je trouver les documents actuels concernant ces commerces ? Syndic peut il les fournir ?
Il faut aller au service d'urbanisme de votre commune, et demander à pouvoir consulter le dossier du permis d'urbanisme du lot (= la copropriété). Le dossier est public.
S'il a lieu il faut aussi consulter le dossier du lotisement, etc ... J'ai appris à ce service que ma copropriété faisait partie d'un lotisemnt de deux copropriétés. Et que certaines contraintes de l'acte de base venaient du permis de ce lotissement.
Consulter d'abord les 4 cartes pour votre adresse au site du PRAS. Cela vous donnera une idée de la situation théorique et pratique de votre immeuble sur le plan d'urbanisme.
macjanu a écrit :Dans le cas de vote a l’AG la majorité est acquise suivant le nombre de vois ou les quotités ?
Art. 577-6.
....
§ 4. Chaque copropriétaire dispose d'un nombre de voix correspondant à sa quote-part dans les parties communes.
Correct, mais il y a une exception: le nombre des voix du copropriétaire présent (inclus les procurations) sera limité au total des autres présents ou représentés.
Dans une ACP avec 10 copropriétaires, avec chacun 100 quotités, 8 membres sont présent ou représentés lors de l'AG. Au total donc 800 quotités. Un membre A en représente 4 autres, en tout 500 quotités. Les trois autres en ont chacun 100.
Le nombre de voix de A (avec 500 quotités) sera limité 300. Il y a donc au total 600 voix présents ou représentés. Pour obtenir la majorité absolue (301 voix) il lui faudra donc convaincre au moins un des trois autres copropriétaires.
La deuxième exception sont les mandataires. Lors de certains points ils ne peuvent pas participer aux délibérations et aux votes. En pratique leur nombre de voix est pour ce point réduit à 0, pour le calcul de la majorité nécecessaire.
Le nombre des voix est égal aux nombre des quotités, réduit pour la personne avec le plus grand nombre de quotités présents ou représentés pour toute la séance et/ou réduit pour les mandataires lors de certains points.
macjanu a écrit :On trouve rien danse cette site. Recherche sur theme ''boulangeries'' ne donne rien.
Il est vrai que le lien indiqué par Luc n'est pas très explicite...
Pourrait-il être plus précis ?Merci, de la part de tous.
ED
Je sais que le site n'est pas aisé pour le citer explicitement. Mais c'est une mine d'informations. Il faut en pratique savoir comment naviguer dans ce site.
La page d'acceuil pour le permis d'environnement est:
http://www.ibgebim.be/francais/contenu/ … sp?ref=634
A gauche vous voyez les liens suivants:
Permis d'environnement
Introduction
Quand et comment
En pratique
Pour les citoyens
Guide du permis
Etudes d'incidences
Installations classéest
Clickez un par un sur ses liens et lisez la page conerné, plus les liens supplémentaires qui deviennent disponibles à gauche. Cela vous donnera une idée d'un permis, les règles et à quoi sa sert.
Puis à la dernière page "Installations classées", vous pouvez faire deux choses:
1. chercher pour le mot "boulangerie" '(sans "s") et vous trouverez les deux possibilités.
2. ou bien clickez sur le lien en bas "télécharger". Vous allez recevoir un fichier PDF qui donne une liste de toutes les possibilités existantes.
J'ai oublié de dire que tout ceci n'est valable qu'en Région Bruxelloise.
Le système de permis est d'application pour toutes les installations, commerciaux ou pas.
Depuis 2 mois un nouveau commerce vient de se installer au rez-de-chaussée : un snack, traiteur, pâtissier a la place de l’ancienne snack ( dans l’Acte de Base : restaurant ). Il a commancer a faire le gatgeau et comme le proprietaire a encore trois patisserie a Bruxelles il fait les gateaux pour tout ses commerces chez nous. Donc nous avons les odeurs des gateaux dans les escalier, terrases et le bruit des machines et fours de bulangerie. Faut-il une permission speciale ( de la commune ou copropriete ) pour commencer ce gendre d’activité dans l’immeuble ?
Oui, si la force motrice utilisé est plus grand que 2kW (permis classe 2) ou 20 kW (permis classe 1B). Contactez le service d'urbanisme et d'environnement de votre commune pour consulter le dossier.
Plus d'info sur le site de l'IBGE. Téléchargez la liste en bas de la page et cherchez la rubrique 23 (boulangeries).
J'ai demander au syndic de mettre a l'ordre de jour les points a discuter et voter ( importants : irregularite avec acte de base, repartitions de charges ) deux mois avant AG, et bien avant que syndic envoi les invitations. Syndic n'a pas mis ces points a l'ordre du jour ! Que fair ? Peux je demander annulation de AG ?
NON, mais vous pouvez aller chez le Juge pour demande la convocation d'une AG avec des points à l'ordre du jour, si le syndic refuse de le faire. Demandez que vos points sont mis comme premiers points, qu'une astreinte soit imposé et que la convocation et l'organisation se fasse aux frais du syndic. Dans ce dernier cas vous devez probablement aussi citer le syndic.
Article 577/9
...
§ 3. Tout copropriétaire peut également demander au juge d'ordonner la convocation d'une assemblée générale dans le délai que ce dernier fixe afin de délibérer sur la proposition que ledit copropriétaire détermine, lorsque le syndic néglige ou refuse abusivement de le faire.
...
Mais demandez d'abord un conseil à un avocat pour l'ensemble de votre litige.
Merci, mais ce pas la reponse a mes questions :
1) syndic est-il obliger de suivre la demande de 20% et convoquer l'AG extraorinaire ?
2) Dans quelle delai ?
3) Fautil 51% de presance pour que AG extraordinaire est valable ?
4) Si oui et si il n’a pas 51% de présence que faut il faire ?
Merci pour la reponse au p.4, qqn peux repondre au p.1 - 3 svp ?
Merci
1. Oui. ordre du jour à déterminer par le groupe
2. Au moins 30 jours. Deux mois me parait raisonablement le maximum,. Mais il faut vérifier vos statuts. Il se peut que certaines périodes sont exclus (vacances, ..)
3. Oui (50% + 1 des quotoités, mais aussi des membres)
4. Convoquer une 2ème AGE
On peux convoquer une AG extraordinaire avec au moins de 20% de millièmes, mais : syndic est il oblige de convoquer l’AG, qui fixe la date et dans quelle délai, faut il avoir 51% de présence pour que AG est valable, si oui et si il n’a pas 51% de présence que faut il faire ?
Le syndic doit convoquer une 2ème AG dans les délais prévues (+15 jours, ...)
Ceux qui convoquent l'AG sur base de ce principe peuvent en déterminer l'ordre du jour. N'oubliez pas d'être précis et complet.
macjanu a écrit :1) Peut on se faire acompagner par un avocat ( notaire ) a l'AG ?
2) Peut on donner la procuration a son avocat ( notaire ) pour participer a l'AG et venir avec lui ?Oui aux deux questions. Certains Syndics formels dans le premier cas demandent que soit le coproprietaire soit l'avocat à parler...
Certains associations permettent aux copropriétaires d'un même lot de participer aux délibérations, quand ils sont à plusieurs, mais n'admettent qu'un copropriétaire qui vote. Ce qui est une interprétatioin légale de la loi.
Si c'est le cas chez vous, alors vous pouvez donner mandat à votre conseiller (avocat, notaire, ..), lui votera et vous pouvez tous les deux participer aux délibérations.
L'autre interprétation n'admet que les personnes ayant droit à participer au vote, peuvent participer aux débats.
Bonsoir,
Je remercie les deux intervenants pour leur avis. Ils décrivent les deux solutions possibles.
D'abord je suis du même avis que Grmff. C'est la solution à appliquer dans le cas d'un troublion. Mais vous allez constater que le Juge trouvera vite un vice de forme pour le débouter lui-même, si nécessaire.
Mais dans ce cas concret c'est un peu différent, pour ceux qui connaissent la situation sur place ou qui ont été présent à une des AG après le décès de notre cogérant en 1999.
C'est simple: j'étais volontairement seul tant que je cherchais un règlement interne du problème, qui est en fait l'existance d'une méthode de cogérance, qui a dégénéré lorsque le cogérant a été remplace par un conseil de cogérance lors de son décès.
Pour rappel: il m'a été interdit de fait depuis l'AG de 2001 et de droit depuis l'AG 2003 de participer à la délibération (et au vote en 2003).
J'ai commencé à accepter des procurations dans la phase judiciaire (= externe), qui a commencé mi 2004.
Sans faire de grands efforts j'ai maintenant réuni un groupe actif de 7 copropriétaires (sur 260) qui osent dire publiquement qu'ils s'opposent au pouvoir en place. Tous les 6 bâtiments sont représentés, tous les générations, etc ... . Une dizaine d'autres ne veulent pas encore s'afficher publiquement, pour des motifs compréhensibles. Il faut oser s'opposer, vu l'initimidation réelle, les AG très houleux et manipulé, le fait que le syndic ne fait plus rien pour les opposants, ....
Il m'est impossible de valablement contacter les copropriétaires non-résidents (+120 sur 260), puisque le syndic refuse de donner accès à la liste des copropriétaires, malgré un jugement exécutable. Mais certains sont déja présent dans le groupe moins actif.
A la réception du jugement en juillet mon avocat et moi ont fait la liste des actions possibles du syndic, et notre réaction probable dans chaque cas.
On a directement demandé une réunion de compromis, pour arriver à une exécution loyale, sans provoquer trop de problèmes. Malgré deux essais supplémentaries, il n'y a eu aucune réaction loyale. J'étais à ce moment à la côte et je suis retourné trois fois pour les rendre possible! Chaque fois sans résultat.
Le syndic n'acceptait qu'un compormis: abandonner mes actions intégralement. J'ai finalement demandé à l'avocat de faire signifier les jugements mi septembere. Ce qui a été fait le 30/09/2005.
Pendant l'AG 2004 personne n'est intervenu dans les débats que les membres du pouvoir en place. L'AG annulé était rapidement fini: 2 heures en tout, sans compter la pause et l'enregistrement des présents. Normalement il faut 3 à 4 heures.
Je n'avais pas compté sur une annulation complète, mais plutôt une annulation des 4 décisions importantes (terrasses, assurance, réglement d'ordre intérieur et contrôle des comptes). C'est probablement l'interdiction de parler pendant les AG et le refus du syndic de me donner accès aux documents de l'ACP qui a fait pencher la balance.
Le syndic savait que j'étais absent le 14/10, partiellement le 15/10, et le 25/10 à partir de 16h. Il a donc envoyé le recommandé tel qu'il arrivait le 14/10 sans que je puisse le voir le jour même et convoqué la réunion pour le 25/10 à 16 heures. Ce genre de tracasseries sont routinier dans mon ACP. Dans ce cas je ne pouvait pratiquement contacter mon avocat que trois jouirs plus tard (= demain).
En lisant le code civil ce WE, je crois qu'il m'est impossible d'aller chez le Juge avant l'AG. On n'a qu'en pratique que 4 jours disponible pour une action. Si j'avais reçu la letrre du 12/10 le 13/10 il était possible d'être chez le Juge avant le 25/10 en abréviation des délais.
La solution de Grmff est la bonne, si on permet une délibération dans un contexte neutre et objective de la part du président de l'AG avant de voter la ratification point par point de l'ordre du jour de l'AG annulé.
Les deux AG 2004 de mon ACP ont été annulé par le Juge.
Mais j'apprends maintenant qu'il parait que le syndic a convoqué pour le 26/10 à 16 heures une AGE qui devrait ratifier les décisions prises à la 2ème AG en 2004. Je n'ai pas encore reçu l'invitation officielle, mais je dois chercher un recommandé à la Poste lundi 17/10.
On aurait joint à l'invitation une procuration et un bulletin de vote. Les deux sont à remplir et à remettre au mandataire (et par ce dernier à l'AGE), le cas échéant. Il s'agit d'un bulletin de vote secret (pas de nom ni indication des quotités). Ce dernier info (quotités) sera probablement mis sur le bulletin de vote par l'employé du syndic.
Une astreinte de 100 Euros par jour est due dés le 30/10/2005, si une nouvelle AG n'est pas tenu "moyennant considération et observation des dispositions légaux et statutaires.".
Question 1:
Peut-on mettre à l'ordre du jour un point qui dit qu'on vote (sans information ni délibération) pour ou contre la confirmation, avec effet rétroactif, de tous les décisions d'une AG annulée par le Juge ?
Sera cette décision en principe régulier?
Question 2:
Le fait de joindre à l'invitation le bulletin de vote et exiger la remise du bulletin de vote rempli en cas de procuration rendra elle le vote irégulier, puisque le mandataire ne vote pas en personne ?
Saxo a écrit :Est-il admis qu'une copropriété soit gérée par un syndic stagiaire, sans qu'on connaissance son maître de stage ?
Un agent immobilier agréé IPI stagiaire ou effectif = un agent immobilier à part entière.
Le stagiaire n'a aucune obligation légale de devoir indiquer aux tiers qui est son maître de stage.
L'association des copropriétaires a la liberté de prendre contact avec l'Ipi pour disposer de ce renseignement.
D'accord avec le principe. Mais l'ACP, qui peut poser la question, est représenté dans ce cas par ce syndic stagaire. Et c'est probablement la personne qui refuse de donner la réponse.
En plus cette question est à mon avis pertinente si un ou plusieurs autres agents immobiliers, maitre de stage agréé par l'IPI, sont dans cette ACP copropriétaire et aussi membre du conseil de gérance, vérificateur des comptes ou président du CG. cela directement ou indirecteemnt épouse, enfant, ..)
Je pense qu'une réponse de l'IPI est selon moi nécessaire si le copropriétaire, qui pose la question, prouve qu'au moins un maitre de stage est copropriétaire dans la même ACP, où le stagaire est syndic.
Et je pense que dans ce cas (maitre de stage qui occupe un mandat au sien de l'ACP où son stagaire est syndic) a un conflit d'intérêt et qu'il doit abandonner un des deux fonctions.