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Bonjour,
Dans le salon "Divers" j'ai trouvé un lien très interessant, qui indique qu'on est enfin conscient de l'existence des copropriétés.
Pour "dossier intervention ultérieure", il faudra effectivement en remettre un lors de la revente.
Infos disponibles sur ce thème notamment sur BIB-Co
Vérifiez aussi auprè de votre notaire s'il y a une "échapatoire" dans l'hypothèse invoquéetexte
Après quelques clicks j'ai trouvé le fichier PDF (F) qui suit:
Communiqué gouvernement du 01/07/2005
Cherchant un peu plus j'ai trouvé Question réponse sur Bib-Co
Mais il me reste un problème.
L'AG a voté le 28/04/2005 des travaux terrasses, entre autre pour 3 niveaux les plus hauts de ma colonne d'appartements et mon niveau (1er). Les autres sont déja faites en 2003, et ont des problèmes techniques, avec des dègats chez moi, que le syndic ne veut pas reconnaitre.
J'ai introduit le 14/07/2005 une demande d'annulation des décisions AG 2005, ceci avec d'autres copropriétaires.
La procédure suivi pour les travaux terrasses n'a pas respecté l'arrêt de la Cour de Cassation du 01/04/2004 (cas de travaux mixtes commun-privatif).
L'entrepreneur a affiché le planning des travaux vers le 22/07/2005. Il annoncait qu'il commencait le 01/08/2005.
Il n'y pas d'architecte, ni coordinateur de sécurité, ni autre chose que l'entrepreneur qui est aussi "l'expert". Surface globale: environs 250 m2. Montant global des travaux de la tranche 2005: 115.000 euros. En total +1 million euros pour l'ensemble. Le syndic refuse de diffuser la liste des terrasses avec la situation actuelle de la rénovation, bien qu'il l'a promis lors de l'AG 2005.
Mais lors l'exécution des travaux je constate sous ma fénètre que deux CP du rez-de-chaussée avaient planifié et ont exécuté lors le mois d'aout des travaux de rénovation assez importantes (sanitaire, cuisine, ...). Il s'en suivait parfois un "dèsordre" entre le matériel, les voitures et les gens des entrepreneurs. Ils avaient probablement tous crus pouvoir disposer de toute la place devant le RdC.
Le même entrepreneur de l'ACP va ensuite (le 15/10/2005) entamer des travaux toit non spécifié sur une surface de +1000 m2 pour un montant de 25.000 euros.
Ma question:
Aurait-on du nommer dans ce contexte un coordinateur de sécurité, pour entre autre planifier l'usage des lieux.
Si oui, qui doit le nommer, avec facture à charge de qui ?
Qui est maintenant probablement responsable si une infraction est constaté par l'autorité compétente?
Cérise sur le gâteau: le mandat en cours (01/12/2004-30/11/2005) du syndic a été annulé par le Juge, en même temps que toutes les décisions de l'AG 2004. Il doit convoquer une AG avant le 24/10/2005 (avec astreinte de 100 euros/jour en cas de "retard").
Bonjour,
A titre d'information: un article de hier sur le site de Livios a confirmé mon opinion que l'ACP est le gardien des parties communes.
Voir: Hot news 05/09/2005
Ceci en contradiction avec un article sur le site de la Fédération des copropriétaires:
Voir: Trib Civ Liege 28/06/2004
Le dernier jugement dit que ce sont tous les CP qui sont gardien des parties communes, parcequ'ils en sont les propriétaires. Ceci nie le fait qu'il ne peuvent, sauf en cas d'extrème urgence, éxécuter aucune tâche qui appartient au gardien de la chose. Ils doivent demander l'autorisation à l'AG de l'ACP (ou au Juge). Cet AG est un organe légal de l'ACP qui n'a pas de personnalité propre en dehors du contexte de l'ACP.
Je suis certain que d'autres CP ont besoin de références pour prouver aux autres CP, que ceux qui refusent de réparer paieront finalement les dégats causés par ce refus d'entretien.
Ma question est assez simple: connait quelqu'un d'autre références à des jugements sur ce sujet, qui rèfèrent à des faits qui datent d'après 2001. Cette année est importante, parcequ'à ce moment les différentes réglementations qui appliquaient les changements légales des années nonante étaient finalement en place (quoique parfois pas à 100% correcte comme à l'IPI).
J'entends que les détecteurs de fumée (d'un certain type) sont devenus obligatoires dans les logements loués à BXL depuis le mois de juillet. Très bien. Mais où trouver les règles en matière d'incendie et de prévention d'incendie dans les immeubles, à savoir par exemple : escaliers de secours, portes palières dégagées, extincteurs, etc. Qui fait quoi ? Il y a tellement d'immeubles à appartements, je suppose qu'on y a pensé ?
Ce type de renseigements est repris dans le permis d'urbanisme. Le permis initial fait en principe partie de l'acte de base.
Les lois peuvent avoir changé de fait ce permis. Je prends un exemple: depuis 1999 il est obligatoire à Bruxelles de demander en plus périodiquement un permis df'environnement pour certaines parties communes (parkings souterrains, ...). Visitez le site Internet approprié, selon la région où votre copropriété est situé.
Certaines obligations, repris dans le permis d'urbanisme, sont souvent copié du permis de lotissement. Ce dernier est consultable au service d'urbanisme de votre commune, ainsi le dossier du permis d'urbanisme et d'environnement de votre copropriété.
Bonjour,
Mon offre d'achat vient d'être acceptée par le propriétaire vendeur et je vais donc l'accompagner à ma première réunion de co-propriétaires... après-demain !
Un des sujets est le choix d'un syndic. Pourriez vous me donnez des conseils à ce sujet afin que je puisse participer et voter de manière intelligente à cette réunion ?
Il s'agit d'une ancienne maison de maître reconvertie il y a plusieurs années en 5 appartements (5 propriétaires différents). Jusqu'à présent, chacun s'occupait de gérer la co-propriétée ("faire le syndic") à tour de rôle, et les charges communes étaient donc très limitées (pas d'ascenseur, chacun nettoie l'escalier devant sa porte, paie l'électricité d'éclairage correspondant à son palier, etc.) mais il y a eu plus de travail récemment (problèmes d'infiltrations qui ont occasionné des travaux etc.) ce qui fait que plusieurs co-propriétaires ne veulent plus se charger de cela.
J'ai parcouru le sujet concernant la certification SNP mais je ne sais pas très bien quoi en penser. Quels autres critères pour choisir un syndic ? Combien peut couter raisonnablement un syndic à la co-propriété (fourchette) ? Quel est son boulot, son intérêt (peut-être avez vous un site web de référence à me conseiller) ?
Merci
Ayant fait moi-même une prospection pour ce type d'appartement en 2002/2003, je crois que la question du choix du syndic est secondaire. Ce qu'il faut est de savoir comment votre votre ACP veut réaliser son but légal (gestion et conservation de la copropriété).
Je crois percevoir dans votre commentaire que les copropriétaires croient que la copropriété se compose de cinq tranches privatives. Et ont privatisé, en ce qui concerne les charges, certaines parties communes. C'est faisable pour les frais d'exploitattion (electricité, ..), cela devient plus difficile pour les frais de réparation, mais délicat dès qu'on parle de rénovation (supprimer les causes de l'infiltartion, ...). Les problèmes actuels de votre ACP pointent dans cette direction.
Ma prospection n'a pas eu un résultat positif pour d'autres raisons, mais je suis convaincu que ce type d'investissemnt est rentable (soit pour y résider soit pour la mettre en location), mais il faut être certain qu'une majorité stable des copropriétaires ne considère pas son appartement comme un produit de consomation, mais comme un produit d'investissement.
Cetet majorité doit donc être prêt à approuver des investissements logiques dans les parties communes (toit, ...) pour conserver la copropriété, sans qu'il y a un rendement concret à court terme (= rénovation préventive).
Dès que l'ACP a déterminé la politique à longue terme, elle peut faire un cahier des charges pour la fonction du syndic. Celui du SNP est un bon exemple et convient certainement à au moins 90%. Il ne faut pas chercher des syndics qui sont certifié, mais des syndics qui veulent travailler dans le cadre de votre cahier des charges.
Demandez des offres à au moins 3 candidats. Cherchez des candidats qui ont des bureaux près de chez vous. Demandez des références. Renseignez vous sur le syndic professionnel de vos voisins. Soyez attentif à ce qui n'est pas écrit dans l'offre écrit du candidat.
Mais attention, dans le marché de l'offre et demande, il est un fait qu'une ACP avec moins que 10 appartements à des problèmes à trouver un syndic qui ne coûte pas trop par appartement et qui donne un service satisfaisant.
Une solution serait qu'un copropriétaire reste le syndic bénévole, qui se limite aux missions légales. Les autres missions seraient alors attribué à un syndic adjoint professionnel, avec une tarification horaire ou forfaitaire par misison spécifique.
Ex: exploitation et entretien pour le syndic bénévole, la rénovation (après décision explicite de l'AG cas par cas) pour le syndic adjoint (= mandat spécifique).
Cette méthode est selon moi légale, mais je ne suis pas certain que la déontologie de l'agent immobilier professionnel (et son assurance RC) l'admet.
Dans un flat que je souhaiterais acheter dans une copropriété figure le point suivant :
Charges communes + chauffage + eau chaude = 50euros/mois.1/Est ce que ces 50 euros signifie tant une provision pour les parties commune que pour la partie privé ?
2/Pourquoi une provision pour l'eau chaude et pas une provision pour l'eau ?Bien à vous.
Charges communes: provision pour la partie commune pro rata de vos quotités (comptes de l'ACP)
Chauffage: provison du "compte individuel" pour les frais de consomation de la chaufferie (pas d'entretien ni renovation) - elle est en principe aussi pro rata de vos quotités, si le règlement de copropriété ne prrévoit pas autre chose
Eau chaude: si l'eau chaude est produit par la chaufferie, les frais se ventilent comme le chauffage.
Eau froide: comme l'eau froide est probablement distribué directement chez vous (= lecture du mètre par votre société "eau"), cette consommation n'apparait pas sur votre compte individuel.
Le compte individuel tenu par l'ACP au nom de votre lot privatif contient les dépenses et récettes suivantes:
1. en récette:
- le provisions que vous avez versé sur le compte de l'ACP
- votre quote part du solde des comptes annuels ou trimestériel de l'ACP (qui devrait toujours être positif - le syndic ne peut engager une dépense que quand de l'argent est disponible sur le compte)
2. en dépense:
- l'appel de votre provision périodique (souvent trimestérielle)
- les intérêts dus par vous, suite à une retard de paiement de provisions
- votre consommation de chauffage, eau chaude et/ou eau froide après chaque passage de la société responsable pour votre décompte individuel
- les frais dûs à des interventions d'urgence du syndic pour votre lot privatif (ex: fuite d'eau quand vous êtes absent)
- les frais imposés à votre lot par le règlement de la copropriété (= letrre de rappel en cas de non-paiement, frais de copies, frais de déménagement, ...)
3. en dépense ou récette
- des sommes à payer (franchise) ou à recevoir (si les montants remboursés passent par l'ACP) suite à des incidents couvertes par l'assurance de l'immeuble (= des parties privatives et communes)
- le solde annuel ou trimestériel du votre compte individuel reporté à la période suivante et en principe à payer par vous (en dépense) ou éventuellement à recevoir (en récette).
J'ai un peu détaillé, puisqu'on oublie souvent que l'AG n'approuve annuellement que les comptes de l'ACP. L'approbation des comptes individuelles est une affaire entre chaque propriétaire et l'ACP.
Certains ACP ont une tendance à utiliser la partie provision "compte individuel" à d'autres fins quand les frais de chauffage diminuent. Ce sont les ACP ou les provisions annuels n'augmentent qu'avec l'index.
Ces ACP auront des problèmes, si les frais de chauffage vont augmenter les mois qui viennent.
Remarque: 50 euros/mois n'est pas cher. J'en suis actuellement à 235 euros/mois pour un 3 chambres (eau froide inclus).
Je rappele l'existence d'un arrêt de la Cour de Cassation du 01/04/2004 qui donne priorité au privatif, si les travaux concernent des éléments mixtes.
Comme on va détruire ma terrasse lundi (pendant mon séjour à la côte), pour un motif justifié (manque de couche d'isolation ce qui cause des dégats en dessous), mais en le faisant d'une manière non-justifié, je sais que l'entrepreneur doit être en possession d'une autorisation explicite de chaque copropriétaire directement concerné, en plus de l'autorisation de l'AG.
J'ai entrepris des actions appropriés, ensemble avec d'autres. Je conteste, puisqu'il n'y pas de garantie de la part de l'entrepreneur, puisque le travaux de 2003 ne donnent pas satisfaction (infiltration chez moi + un an après), puisque la décision d'origine fait part d'une AG annulé, puisque j'ai été prevenu du planning le 25/07/2005 par un voisin, etc ...
Le maître d'ouvrage est le copropriétaire, mais il doit avoir l'accord de l'ACP en qui concerne les travaux à faire pour ce qui est commun et aussi avoir l'accord de l'ACP, pour remboursement des travaux au privatif, qui sont nécessaire pour les travaux au commun.
L'ACP peut être le maître d'ouvrage, s'il a un accord préalable de chaque copropriétiare. Cet accord peut-être en pratique le fait qu'aucun des CP ne s'oppose endéans les trois mois à la décision de l'AG.
J'attends un jugement dans les semaines qui viennent, qui confirme mon point de vue dans mon cas concret (enfin, je l'espère).
Tout ceci pour vous indiquer que c'est très important de déterminer d'abord ce qui est privatif ou commun. Cela détermine qui fait quoi aux frais de qui.
PS Sorry, mais j'ai effectivement oublié d'utiliser option lien HTML. J'ai mis un sticker en haut de l'écran pour ne plus l'oublier.
Rénovation:
http://www.prime-renovation.irisnet.be/Pages/Reno/FR/Accueil.asp
Les textes officiels se trouvent sur le site du PRAS:
http://www.pras.irisnet.be/
La terrasse change en principe la structure. Il faut probablement faire une demande de permis d'urbanisme avec architecte, mais tout dépend du contexte, du permis d'urbanisme original, éventuellement du permis de lotissement, etc ... .
http://www.brunot.be/F640.htm
et surtout http://www.brunot.be/F643.htm
Il vaut mieux consulter un spécialiste. Commence par exemple avec le notaire qui a écrit l'acte de base, surtout si c'est un logement récent. Vous avez de toute façon besoin d'un notaire.
Voir: http://www.notaire.be/info/acheter/630_copropriete_acte_de_base.htm
C'est plus facile à vous informer si on connait la région dans laquelle votre copropriété est situé.
Je compatis et attend avec de connaitre la position du juge de paix.
Francis,
Un jugement a été rendu le 22/07/2005 pour ma demande d'annuler la réunion de l'AG du 12/03/2004 et d'avoir un accès à tous les documents de la copropriété.
Le juge vient de m'accorder ce que j'ai demandé, sauf quelques détails, avec lesquels je sais vivre. Et il m'a d'autre part accordé de fait plus que j'avais demandé.
Le Juge a constaté que l'ACP était probablement géré par une minorité active. J'estime que cette minorité se compose de 20% des CP.
Il a décidé que les deux séances sont annulées (AG 12/03/2004 et 30/03/2004) et qu'une AG doit être reconvoqué. Le syndic est obligé de mettre une synthèse du jugement dans l'invitation même. Mais il ne devra pas joindre une copie intégrale du jugement dans les deux langues.
Ceci n'est qu'un premier pas. Je m'efforce maintenant de trouver avec le syndic un compromis loyal, correct et honnète dans l'avantage de la copropriété. C'est pas évident, mais j'espère y réussir. On verra dans quelques jours.
Je sais qu'un appel est fort probable, mais j'espère que le pouvoir en place retrouve le bon sens. Je suis peut-être trop optimiste, mais c'est le seul moyen à résoudre les problèmes, sans causer trop de clivages au sein de la copropriété.
Il reste une citation à juger (annulation explicite des décisions AG 30/03/2004, avec les mesures d'exécution) et une à traiter (idem pour les AG de 2005).
Donc rien de nouveau pour les AG 2005, mais il est un fait que le Juge a admis qu'une réunion fictive peut donner lieu à une annulation des deux séances.
Les deux séances doivent donc être organisé de la même façon. Les frais de la 2ème séance sont causés par les CP absents et personne d'autre.
Il n'y a qu'une solution pour les éviter: persuadez votre voisin à venir ou à donner une procuration à quelqu'un qui vient. C'est dans l'intérêt commun.
A titre d'information. l'AG de mon ACP a eu finalement lieu. J'y étais avec un huissier. Cela a été très houleux. Et j'ai perdu sur tous les points. J'avais raison. Ils ont entre autres d'abord voté le renouvellement du contrat du syndic sortant, avant d'entamer le point "propositions d'autres contrats de syndic". Sur ce fait mon collège a refusé de préesenter ces candidats.
Un petit détail: le huissier s'était présenté quand il entrait dans la salle au syndic. Aucun problème. Pendant l'AG le président de l'AG a cru devoir dire que le huissier ne s'était pas présenté. Le syndic ne l'a pas contredit. La salle "unanime" a "décidé" que le huissier quitte. Ce qu'il a noté et ce qu'il a refusé.
Le syndic a admis de propre initiative qu'une action pénale de l'IBGE court contre lui pour l'évacuation illégale de l'amiante, ... .
L'action en justice continuera et j'espère que le Juge comprendra la gravité. Je suis d'acoord que la situation dans mon ACP n'est pas un cas typique (enfin je l'espère).
Il va de soi que les mandataires ont refusé de quitter la salle lors du débat sur leur gestion ... .
Je vais être un peu plus précis.
L'ordre du jour prévoit entre autre pour le syndic les points suivants.
3. Rapport 2004 du syndic.
4. Décharge du syndic pour les comptes et la gestion 2004
5. Election d'un syndic
Les mêmes points prévoiunet aussi le rapprot, décharge et émection des autres mandataires. On ne peut voter que sur l'ensemble d'un point, sauf pour le point 5.
Un point d'un ordre de jour se traite selon moi en principe comme suit:
a. énoncé du point par le président de la séance
b. explication pour la personne qui a mis le point à l'ordre du jour (en principe le syndic ou le membre qui l'a proposé).
c. point de vue d'autres mandataires et/ou membres, avec replique de la personne mentionné ci-devant
d. délibération
e. vote
C'est au sous-point d et e que je demande que le syndic sort, pour le point 3 et 4 de notre ordre du jour. Il est évident que le syndic peut rester au point 5, s'il est copropriétaire en posssesion d'un mandat valable en cas d'indivision volontaire du lot privatif.
Je n'ai pas parlé du point 5, puisque l'AG va probablement constater lors de la délibération du point 3 ou 4 que l'AG ne sait pas prendre des décisions puisqu'il a été convoqué irrégulièrement.
L'AG de mon ACP se tient le 28/04/2005. C'est une 2me séance selon le syndic et une 1re séance selon moi. Le syndic a déja annulé 4 autres séances avant qu'ils ont eu lieu. La séance du 31/03/2005 a eu lieu dans un contexte irrégulier selon moi. Constats fait par un huissier. Le Juge décidera ultérieurement.
Le syndic professionnel (qui est aussi régissseur de quelques appartements et copropriétaire de quelques parkings souterrains) refusait les années passées de sortir lorsqu'on délibère sur sa gestion. Mais cette année je crois qu'il va sortir.
Ma question:
Est-ce le nombre des quotités du syndic doit être inclus pour calculer lors du vote de ce point
1. la majorité absolue (50%+1) pour la délibération et vote de ce point
2. le majorité requise par la loi et les statuts pour la validité d'une premiére séance (50%+1 des membres et 50%+1 des quotités)
Une mesure de sécurité de ce type n'est en principe nécessaire qu'entre un local habité et un local avec contenu potentiellement dangéreux (chaufferie, garage, ..). La norme exacte dépendent de la région dans lequel cette maison est situé. Et si c'est une nouvelle construction ou non.
A Bruxelles il faut, en cas de rénovation soumis à une demande de permis d'urbanisme et/ou d'environnement, aller dans le sens de nouvelles normes sans devoir les atteindre à 100% dans tous les cas.
Beaucoup dépend de la stuation concrète et la réglementation locale. Renseignez vous auprès du service d'urbanisme de votre commune.
Je précise un peu mon message précédent.
Il ne suffit pas de se présenter chez moi ( ou de téléphoner) en se présentant simplement comme candidat acquéreur pour que je lui donne toutes les informations.
Un syndic ne peut communiquer ces renseignements à un quelconque quidam.
Suivant les acp, leurs sensibilités et leurs situations, je demande une autorisation du vendeur ( écrit ou verbal), un courrier de notaire etc...Mais jamais je ne donne de renseignements sans précaution.
Je crois que si la vente se fait par l'intermédiaire d'un agent agréé IPI, qu'il est obligé (selon la déointologie) de demander des documents au syndic. Dans ce cas aucun acheteur potentiel ne peut venir chez le syndic.
Reste que l'accès au registre des décisions de l'AG (et le réglement d'ordre intérieur) doit être assuré sans déplacement à tout le monde sans qu'il doive le motiver.
Les autres documents sont en effet à demander par la voie du propriétaire actuel (ou de son régisseur, ...).
Bonjour,
Je cherche à acheter un appart sur Bxl. Qu'ai-je à part la bonne foi du vendeur pour être certain qu'aucun gros chantier couteux (ravalement...) n'est prévu dans l'immeuble de mon futur appart? Merci d'avance pour vos réponses
Si vous achetez une maison, vous faites en principe une 2me visite avec un expert réel (architecte, ...) pour estimer la valeur réelle ET les travaux futurs (= points faibles = dépenses futures). Cela coute plus que 150 Euros, mais cette dépense vaut de l'or.
Faites la même chose avec un appartement. Mais n'oubliez pas de visiter avec lui les lieux communs (ascenseur jusqu'en haut, caves, garages, couloirs, ..). Un expert verra rapidement les points faibles. Les parties communs représentent facilement 2/3 de la valeur de votre achat.
Les PV des AG sont une bonne indication, si:
1. ils sont complets (chez nous la remarque du syndic concernant la vétustité des ascenseurs n'a pas été mis au PV)
2. y sont joint la liste des factures et le bilan approuvé
3. y sont joint les liste de présence (combien de CP y vont réellement, ... )
Une autre indication importante: la présence d'un plan d'amortissement périodiquement mis à jour. Il n'est pas obligatoire, mais la présence est une bonne indication pour une gestion saine des finances à longue terme.
Si l'on prend la loi sur la copropriété dans son ensemble, la volonté du législateur est bien de rendre le syndic, seul gestionnaire responsable de la copropriété, sous la surveilance du CC éventuellement et pour appliquer les décision de l'AG.
Je suis +- du même avis que Luc pour le reste.
Francis,
Je crois qu'on y est presque.
Selon moi appartient au sein de l'ACP:
- le pouvoir législatif (= souverain) à l'Assemblée Générale, seulemnt ens ession pendant disons une séance de 4 heures chaque année
- le pouvoir exécutif au syndic
- le pouvoir judiciaire au Juge de Paix
Et on peut comparer le Conseil de Gérance avec une commission parlementaire.
En n'oubliant pas la séparation des pouvoirs.
C'est cette comparaison simplifiée que je voudrais utiliser lors de l'AG prochaine, pour situer le rôle de chacun.
Ce qui fait que dans ma situation il n'y plus eu de contrôle réel depuis 01/09/1999. Avec les excès de plus en plus visible en conséquence.
Francis a écrit :Tout à fait, tout à fait....
toutefois, avec la législation actuelle, seul le syndic représente la copropriété et est donc responsable...
Ce que vous dites n'est pas tout à fait complet. Voyez très précisément :
art. 577-8 § 5 CC
Oui et non .... cet article refère au syndic adjoint (appellé dans une vie antérieure le co-gérant). C'est une création des promoteurs style Etrimo, ... dans les années 60 pour leur permettre à gérer à bas prix leurs nouveaux complexes (= sans entretien complexe). Comme dans mon complexe (acte de base de 1975).
Le syndic conventionnel (= classique) peut être d'accord que l'AG nomme un syndic adjoint pour certaines missions limité dans le temps. S'il n'est pas d'accord alors cette construction n'est pas possible.
Exemple classique: la double signature ou la surveillance de la chaufferie (règlage chauffage, ..). Assez souvent ils existent dans des complexes avec concierge et contrôlent ce dernier de fait.
Je suis d'accord avec Serge Winnykamien (président ABSA) et d'autres que cette construction est très dangereux pour l'ACP, mais surtout pour le syndic adjoint lui-même. Et qu'elle est à èviter à tout prix, sauf dans des cas très rares.
En effet ni la caution légale du syndic ni l'assurance RC du syndic doivent intervenir en cas de problèmee puisque le syndic adjoint n'est pas soumis aux mêmes obligations professionelles que le syndic. En plus, étant le plus souvent le président du CG et le président de l'AG, ce syndic adjoint est en fait l'émanation du mandant du syndic. Ce qui le décharge complètement, si le syndic adjoint approuve les dépenses du syndic au moment du paiement. Si le syndic adjoint n'obtient pas décharge, alors il peut être mis responsable pour les dégats ... si l'assurance du syndic n'intervient pas. Mais il demande assez souvent pas la décharge ... d'où un problème réel en cas de pépin.
En plus cette construction permet au syndic d'abaisser sa prime RC et caution, et ainsi réduire ses charges réelles. Ceci fausse la concurrence, s'il répercute cette diminution dans ses honoraires. Il faut donc comparer non seulement les prix, mais surtout les conditions et le contexte. Je préfère payer plus à un syndic avec une bonne assurance et mes charges sous contrôle que moins à un sans assurance et avec des charges qui sont hors contrôle.
Revenant sur mon cas, je suis certain que si le système de cogérance aurait été aboli en 1999, au moment du décès du cogérant en fonction, l'ACP aurait pris le virage normalement et n'aurait pas connu les problèmes actuelles. On a maintenant un comité de plus en plus petit qui exerce la fonction de cogérance en collège ET le contrôle du syndic en même-temps. Avec tous les dérives possibles et classiques du genre.
cher Luc,
Une razzia chez 150 personnes dont des experts immobiliers, .... J'ai du être endormi dans ma tour d'ivoire ( y voir pas du tout ), car cela ne me dit rien du tout.
Donnez moi une petite explication, svp.
C'était en fait un groupe de 3 personnes bruxellois qui achetait des maisons ou appartements et les faisait renover en noir. Mais en plus il faisait surestimer la maison (2 ou 3 experts immobiliers impliqués) pour obtenir un prêt hypothécaire pour un montant plus grand que la valeur réelle. Ils ne payait aucune mensualité et rachetait la maison en vente publique par un homme de paille.
Il n'avait pas 150 personnes impliqués, erreur de ma part, mais bien 150 propriétés sur une période de 15 ans je crois.
Par ailleur, je suis ravi que nos opinions se rejoignent et je vous souhaite un maximum de réussite dans votre entreprise envers votre copropriété.
Ici je ne suis pas d'accord avec vous. Bien que mon action est formellement dirigé contre l'ACP, je la mène pour préserver la conservation de la copropriété. Si j'aurais voulu gagner de l'argent dans cette situation, je l'aurais déja longtemps pu faire sans aucun problème. Il y a, selon le syndic, un copropriétaire qui a réussi à faire retapisser son living au frais de l'ACP une fois par an depuis 2000, sans que le syndic a pu l'empècher.
Juste un petit conseil, la politique des petits pas dans ce genre de problème est, bien que lente, la meilleure pour modifier les opinions des gens et les amener à accepter parfois un virage à 180 ° mais en plusieurs fois.
Je le sait et je le savait, mais le syndic est un excellent manipulateur et a su me maneouvrer en mai 2001 dans cette situation.
Mais en plus je dois dire que le syndic sait ridiculiser des opposants petit à petit. Il l'a fait avec mon "prédécesseur", qui a appliqué la politique des petits pas.
Sans le soutien de minimum 20% des CP il est très dificille de s'opposer à la fois au syndic et au CG.
Bonne chance.
Il y a a eu 20% des CP qui n'avaient pas payé leur charges 6 semaines après l'AG 2004. 8% est le niveau normal. Tout était rentré dans l'order normal en aout. Les gens savait à ce moment que j'avais cité l'ACP devant le Juge de Paix en juin.
J'ai donc un petit espoir ...
Il me semble que c'est le président de l'AG qui peut interdire ou autoriser l'usage de techniques particulières de présentation à l'AG.
Une solution de forcer la main est d'obtenir la signature d'autres CP demandant au président d'autoriser cette présentation.A défaut demandez à l'assemblée de vous autoriser à cette utilisation.
Que cela appartient au président de l'AG me semble logqiue. Votre idée de faire soutenir ma manière de présenter par d'autres CP est très bien. Cela me permet de contacter d'autres CP d'une façon assez positive (je ne parlerai pas de l'interdiction par le syndic) et de les sensibiliser pour la bonne conservation du complexe.
De plus en plus, à vous lire, ici et ailleur, j'ai l'impression que votre copropriété est un sacré sac de noeuds. Le syndic qui s'engagerai dans la gestion de cet immeuble a intérêt à être compétent, disponible, précis, bilingue, et très, très masochiste....
Le metier de syndic n'est certainemant pas facile. J'ai été syndic bénévole dans un petit immeuble (8 appartements) où mon prédécesseur avait été attaqué en justice. J'ai su calmer l'affaire. Donc j'ai été à l'autre coté de la barrière..
Le nouveau syndic devra surtout être un bon manager, un diplomate, sans qu'il se laisse faire (ni par moi ni par les autres CP). Et il devra faire son calcul de l'honoraire demandé correctement.
Mon ACP est effectivement un sac de noeuds, mais la situation est telle que cela peut être très vite résolu. N'oublions pas que le CG 2000 de 8 personnes à déja été réduit à 3 personnes. Ce conseil a été composé par le syndic directement après le décès du co-gérant. En manipulant il a réussi d'imposer sa méthode, qui était tenu en échec jusqu'à ce moment par le cogérant. De cette réunion deux versions de PV existent. Un diffusé aux membres et un pour les memebres du CG.
C'est pour cela que moins que 10 CP sur 250 sont contre moi. Ils observent en effet si je réussi. Je suis le 3° qui l'essaie depuis 2000.
Tôt ou tard en arrivera.
De tout coeur , bonne chance
Merci.
Une petite remarque suplémentaire: pour décoincer le débat, faire expliquer le sujet par une personne extérieure à la copropriété.
Un expert, un comptable, etc...
J'y avais pensé. Il suffisait de lui donner ma procuration.
Mais j'ai constaté dans d'autres ACP que cela n'a pas l'effet voulu. On n'accepte pas facilement des avis venant de personnes externes, qui ne sont pas désigné par l'AG.
La solution serait d'avoir un président externe (notaire, avocat, sociologue, ... ou simplement un médiateur). mais nos statuts l'interdisent. Et cela a été confirmé pendant un des premiers AG de notre syndic actuel.
La nomination d'un président d'AG judiciaire est donc exclu. Bien que ce serait la solution dans au moins 50% des cas de ma catégorie.