forum   Vous n'êtes pas identifié(e) : Inscription :: Identification | Recherche Forum

#581 Re : Locations et baux » Bail de courte durée et prolongation .. » 30-04-2009 13:43:10

Gof
PIM a écrit :

... raison pour laquelle j'écrivais "sous réserve de voir le contenu précis de la clause de durée"....

Je l'avais bien compris  smile

#582 Re : Locations et baux » Bail de courte durée et prolongation .. » 30-04-2009 13:43:10

Gof

La loi est claire sur la question, puisqu'elle précise que ce type de bail "ne peut être prorogé qu'une seule fois, et seulement par écrit et sous les mêmes conditions, sans que la durée totale de location ne puisse excéder trois ans."

Il existe par contre une controverse sur la question de savoir si l'écrit doit être distinct du bail et postérieur à celui-ci, ou si une clause du bail qui proroge d'office celui-ci à défaut de congé, est valable.

#584 Re : Législations régionales » Bruxelles: instaurer une prescription pour infractions urbanistiques ? » 06-02-2012 17:28:49

Gof

@Saxo : je ne suis ni notaire ni collaborateur dans une étude notariale. Mes conseils sont ont été donnés en qualité de tiers à la convention de vente.

#585 Re : Législations régionales » Bruxelles: instaurer une prescription pour infractions urbanistiques ? » 06-02-2012 17:28:49

Gof

Lorsque l'on analyse le tissu urbanistique bruxellois, qui n'est d'ailleurs pas le plus atteint par le n'importe quoi de certains possesseurs immobiliers, cela me gênerait que l'on efface le tout sans autre mesure que l'écoulement du temps.

Pour reprendre l'exemple de Pim, concernant la division d'immeubles. Si cette division n'est que purement juridique, il ne me semble pas qu'il y ait quelque problème. Mais lorsqu'il s'agit de reconstituer de nouveaux espaces d'habitat, voire d'entreprise, la question me parait plus délicate.

Combien de fois n'ai je pas vu des divisions avec des appartements au 4e, voire 5e étage, sans ascenseur, sans cage d'escalier de secours, sous combles, sans aucune possibilité d'évacuation, si ce n'est une fenêtre de toiture, et encore en versant arrière. Lorsqu'une telle division se fait à l'initiative de quidams qui se prétendent professionnels de l'immobilier, cela me laisse plus que songeur.

Il me semble juste que l'on veuille rentabiliser ses biens, mais il y a, comme en toute chose, des limites, qui une fois franchies, font verser non seulement dans l'illégalité, mais aussi dans l'immoralité.

Comment combattre de telles pratiques, lorsque nos tribunaux sont encombrés et asphyxiés par des querelles intestines, et que la justice est (trop) chère ?

Chaque fois que j'ai été confronté à de telles opérations, même anodines, j'ai toujours conseillé l'acquéreur de s'enquérir directement auprès de l'autorité urbanistique, aux fins de savoir s'il y avait quelque inconvénient à l'achat projeté. Je dois avouer que l'administration est frileuse lorsqu'il s'agit de coucher sur le papier, avec le nombre de sceaux et tampons qui s'imposent en pareille circonstance, sa vision des choses.

Comment faire lorsque l'administration devient incompétente, voire démotivée ?

Toujours est-il que l'un fera les démarches, l'autre non. Mais lorsque telle administration, à l'occasion de telle revente, fait (enfin) observer ses objections quant à la régularité de l'affectation, les journaux en font leurs choux gras pour dénoncer la question.

Le droit devient trop complexe pour que le citoyen, voire le professionnel, puisse encore l'apprécier à bon escient. C'est un constat général, qui affecte aussi le droit de l'immobilier, dans tous ses aspects. La mise sous tutelle de l'individu qui s'opère depuis plusieurs décennies conduit à cet étonnant constat qu'il devient victime des propres mesures qu'il réclame.

Il me semble que nous sommes tous d'accord pour apprécier qu'il faut une juste mesure en toute chose et que les exactions du passé ne sauraient justifier les actuelles.

Est-ce que j'ai la solution ? Certes non. Faudra-t-il du courage politique ? Beaucoup !

#586 Re : Ventes et achats » attendre une régularisation urbanistique pour vendre » 25-04-2009 20:04:37

Gof

Je ne connais pas votre dossier, cela dépasserait le cadre de ce forum d'ailleurs.

Mais je soupçonne que la transformation d'une habitation unifamiliale en habitation bi-familiale est une condition suffisante pour affecter la partie non transformée, en ce qu'elle fait l'objet également de l'infraction de par le changement de destination du tout.

Il est un fait que certains notaires sont plus frileux que d'autres, mais je comprends la position du vôtre, d'autant plus qu'aujourd'hui, lorsque rien ne vas plus, on cherche souvent le responsable en dehors de soi-même (genre titre de l'article : "famille menacée d'expulsion : qu'ont fait les autorités au moment de la vente ?").

#587 Re : Législations régionales » Bruxelles: instaurer une prescription pour infractions urbanistiques ? » 06-02-2012 17:28:49

Gof

La délivrance d'un permis d'urbanisme est un acte administratif unilatéral à portée individuelle, c'est-à-dire un acte de l'administration qui s'adresse à un citoyen et destiné à produire des effets juridiques.

Voyez à ce propos la loi du 29 juillet 1991 relative à la motivation formelle des  actes administratifs. Cette loi est brève (tiens, pour une fois) et fort compréhensible. Elle pose des principes élémentaires pour un état de droit

Art.  2. Les actes administratifs des autorités administratives visées à l'article premier doivent faire l'objet d'une motivation formelle.

  Art. 3. La motivation exigée consiste en l'indication, dans l'acte, des considérations de droit et de fait servant de fondement à la décision. Elle doit être adéquate.

   Art. 5. L'urgence n'a pas pour effet de dispenser l'autorité administrative de la motivation formelle de ses actes.

Dans le cas que vous exposez, ce n'est pas la situation du droit qui crée l'insécurité juridique, mais l'action administrative qui, sans doute prise dans un tourment de règles à gogo, couvre sa probable incapacité à maîtriser encore pleinement la matière par des phrases fourre-tout.

Mais des quelques connaissances que j'en ai, ce type de motivation ne répondrait pas à l'exigence de motivation adéquate, en ce qu'elle ne prend pas position clairement par rapport aux dérogations sollicitées aux règles d'urbanisme par vous.

En tout état de cause, elle ne pourrait accorder ces dérogations que si la norme l'autorise. Dans le cas contraire, l'administration se doit de refuser le permis.

Vous êtes en droit de réclamer que la commune prenne position clairement, parce que la norme est claire (tel type de brique, telle hauteur de fenêtre, etc.), avec le risque, évidemment, que la réponse ne plaise pas.

Par ailleurs, vous prêchez à un convaincu lorsqu'il s'agit d'affirmer que trop de droit tue le droit (c'est comme pour l'impôt).

Il aurait sans doute fallu être quelque peu plus sévère en matière d'urbanisme il y a quelques décennies, ce qui aurait certainement conduit à être un peu plus souple aujourd'hui.

P.S. : expédié en même que Saxo, ce message répond à celui de Grmfff!)

#588 Re : Législations régionales » Bruxelles: instaurer une prescription pour infractions urbanistiques ? » 06-02-2012 17:28:49

Gof
Grmff a écrit :

A Bruxelles, l'insécurité juridique est encore plus grande, avec le droit de préemption que s'est octroyé la région. Idem en Flandres.

Il ne faut rien exagérer non plus.

En ce qui concerne le droit de préemption instauré par le Code bruxellois du logement, celui-ci se concentre dans les quartiers les plus désinvestis ces dernières décennies. Ce droit permet aux autorités publiques de concentrer utilement leurs efforts, aux fins de revitaliser les quartiers en question.

La situation communautaire avait également fortement influencée la problématique urbanistique bruxelloise, ne l'oublions pas. Pendant des décennies, le sort de cette Région était mis entre paranthèses. Cela a résulté dans l'abandon de quartiers entiers, le désintéressement politique, la dégradation du patrimoine immobilier et la destruction orchestrée d'un riche patrimoine architectural. Bruxelles était devenue une boîte de pandore.

Avec son accès à l'autonomie, en 1990, la vapeur a été inversée. Qui ne sait pas qu'il est indispensable d'avoir un permis pour construire telle véranda ou modifier tel aspect de façade ? Venir se plaindre ensuite de l'insécurité juridique est quelque peu léger comme argument.

Il y a insécurité juridique lorsque l'on est confronté à un vide juridique, ou encore à une règle obscure (voyez par exemple le nouvel article 10 de la loi sur les baux de résidence). Si mes souvenirs ne me trahissent pas, Napoléon voulait, au temps du Code civil, combler ces lacunes en accordant le droit au juge de suppléer à ces manquements. L'assemblée a écarté cette option. Il a ensuite fait insérer un article, aujourd'hui dans le Code judiciaire, qui érige en déni de justice l'acte par lequel le juge refuse de juger, au motif qu'il y aurait un vide juridique ou une règle obscure.

Le résultat de tout ceci, est que le juge reste pleinement compétent pour combler le vide juridique ou pallier l'obscurité du texte.

Quant à savoir pourquoi, en ce pays qui a tellement soif de justice, l'on ne donne pas les moyens à celle-ci de fonctionner, c'est un autre débat.

#589 Re : Ventes et achats » attendre une régularisation urbanistique pour vendre » 25-04-2009 20:04:37

Gof

L'infraction urbanistique concerne une matière qui relève de l'ordre public. La convention contraire à l'ordre public est nulle, de nullité absolue.

Le notaire est par ailleurs un officier public. Il est normal que celui-ci refuse de cautionner un fait contraire à l'ordre public, malgré le consentement des parties, puisque ce consentement n'est pas valable. S'il recevait l'acte authentique malgré tout, il engagerait sa responsabilité civile.

#590 Re : Ventes et achats » Offre d'achat » 25-04-2009 11:37:47

Gof

Lettre recommandée, contre-signature de l'offrant, signature d'une convention de vente synallagmatique, etc. Les possibilités sont nombreuses.

#591 Re : Divers (hors achat/location) » Erreur notaire: mon père proprio à ma place ! » 23-04-2009 12:10:43

Gof

Je partage l'analyse de Pffff. Il convient d'analyser la responsabilité du notaire au regard de celle de l'acquéreur moyen, normalement informé et avisé.

#592 Re : Locations et baux » Restitution Garantie Locative » 21-04-2009 20:23:54

Gof
framboise a écrit :

le contrat a été signé par la dame mais la garantie locative est bloquée au nom de l'ex compagnon.

A mon sens, le compagnon n'est pas titulaire du bail, à moins d'un mariage ou d'une cohabitation légale connus du bailleur, situations qui ne sont cependant pas évoquées ici.

J'en déduis dès lors qu'il s'agit d'une stipulation pour tiers, conformément à l'article 1121 du Code civil. En clair, Madame à fait promettre à Monsieur qu'il vous indemnisera à concurrence d'une somme placée sur un compte individualisé ouvert au nom de ce dernier, pour le cas où elle ne respecterait pas l'ensemble de ses obligations qui résultent du bail.

Répondez que vous avez, de par la conclusion du bail, accepté le bénéfice de cette stipulation et que vous entendez que la promesse faite soit respectée, sans dérogation possible, à moins de la constitution d'une garantie locative, conformément à l'article 10 de la loi sur les baux de résidence principale.

Cette garantie peut prendre deux formes.

Soit un cautionnement bancaire, le montant de la garantie ne pouvant pas excéder l'équivalent de trois mois de loyer. La banque où votre locataire dispose d'un compte sur lequel sont domiciliés ses revenus professionnels ou de remplacement est légalement obligée d'accorder ce cautionnement dans le cadre d'un bail de résidence principale. Eventuellement, le cautionnement peut être constitué à l'intervention du CPAS dont votre locataire relève le cas échéant.

Soit un garantie en espèces , déposée sur un compte individualisé (formule classique et bien connue). Dans ce cas, la garantie ne peut pas excéder deux mois de loyer.

#593 Re : Ventes et achats » durée légale d'une promesse d'achat » 22-04-2009 23:11:42

Gof

Il ne faut en effet pas confondre le délai pour passer l'acte authentique de vente (qui n'est qu'une sorte de confirmation de l'accord intervenu précédemment) et le délai pour la réalisation d'une condition suspensive.

Fiscalement, vous disposez de maximum quatre mois pour vous acquitter des droits d'enregistrement. L'on fait généralement coïncider ce délai avec celui pour la passation de l'acte authentique de vente.

A défaut de condition suspensive, il importe peu au vendeur si vous mettez 1 jour ou 4 mois pour obtenir votre crédit. Vous devez le payer dans les temps, un point c'est tout.

Mais en cas de clause suspensive, c'est une autre histoire, parce si le prêt vous est refusé, vous pouvez vous délier de votre obligation d'acheter et de payer le prix. A défaut d'avoir précisé le délai de validité d'une telle clause, il faut appliquer un délai raisonnable. Il est d'usage qu'une telle clause ne dépasse pas les deux mois, même si, plus exceptionnellement, des délais plus importants existent également.

#594 Re : Ventes et achats » durée légale d'une promesse d'achat » 22-04-2009 23:11:42

Gof

Si je comprends bien, vous avez transmis une promesse d'achat à un vendeur, qui l'a acceptée.

De ce fait, l'échange de consentements à eu lieu et la vente est parfaite, sauf d'éventuelles conditions suspensives.

Si je comprends toujours bien, une condition suspensive existe en ce qui concerne le financement de votre achat, mais aucun délai n'a été précisé pour sa réalisation.

A défaut de préciser de délai, la jurisprudence estime que c'est un délai raisonnable qui trouve à s'appliquer. Selon moi, ce délai raisonnable doit être au grand maximum de deux mois à partir de l'échange de consentements.

#595 Re : Copropriétés forcées » Société de syndics: 1ère phase approuvé par le Ministre ? » 28-04-2009 05:22:43

Gof

Pour une application similaire à la profession d'architecte, voyez la loi du 20 février 1939, telle que modifiée par la loi du 15 février 2006 relative à l'exercice de la profession d'architecte dans le cadre d'une personne morale.

Les personnes morales sont dorénavant également habilitées à exercer la profession d'architecte, mais à des conditions strictes, notamment énumérées à l'article 2 de la loi de 1939 :

Les personnes morales disposant de la personnalité juridique peuvent exercer la profession d'architecte si elles répondent aux conditions suivantes :
  1° tous les gérants, administrateurs, membres du comité de direction et de façon plus générale, les mandataires indépendants qui interviennent au nom et pour compte de la personne morale, sont des personnes physiques autorisées à exercer la profession d'architecte conformément au § 1er et inscrites à un des tableaux de l'Ordre des architectes;
  2° son objet et son activité doivent être limités à la prestation de services relevant de l'exercice de la profession d'architecte et ne peuvent pas être incompatible avec celle-ci;
  3° si elle est constituée sous la forme d'une société anonyme ou d'une société en commandite par actions, ses actions doivent être nominatives;
  4° au moins (60 %) des parts ou actions ainsi que des droits de vote doivent être détenus, directement ou indirectement, par des personnes physiques autorisées à exercer la profession d'architecte conformément au § 1er et inscrites à un des tableaux de l'Ordre des architectes; toutes les autres parts ou actions peuvent uniquement être détenues par des personnes physiques ou morales qui exercent une profession qui ne soit pas incompatible et qui sont signalées au Conseil de l'Ordre des architectes; <L 2006-07-20/39, art. 169, 007; En vigueur : indéterminée et au plus tard le 01-10-2006; voir aussi art. 171>
  5° la personne morale ne peut détenir de participations dans d'autres sociétés et/ou personnes morales à caractère autre qu'exclusivement professionnel. L'objet social et les activités de ces sociétés ne peuvent pas être incompatibles avec la fonction d'architecte;
  6° la personne morale est inscrite à un des tableaux de l'Ordre des architectes.
  Si en raison du décès d'une personne physique visée au 1° ou au 4°, la personne morale ne répond plus au conditions requises pour exercer la profession d'architecte, celle-ci dispose d'un délai de six mois pour se mettre en conformité avec ces conditions. Durant ce délai, la personne morale peut continuer à exercer la profession d'architecte.

#596 Re : Locations et baux » bail de 1 an et rupture avant entrée dans la maison » 18-04-2009 18:21:25

Gof

Vous pouvez admettre la rupture du bail. Il convient, dans ce cas, d'établir une convention entre parties à cet effet, indiquant à quelles conditions le bail est résilié (par exemple, l'indemnité de trois mois évoquée).

Certains bailleurs ont tenté de poursuivre l'exécution du bail, mais la jurisprudence considère généralement que dans le cas de circonstances exceptionnelles, telle une séparation du couple, ceci est constitutif d'un abus de droit.

#597 Re : Ventes et achats » erreur notaire » 12-06-2009 15:52:44

Gof

Sauf gros souci administratif, deux RC suppose deux biens juridiquement distincts.

Donc nul besoin de procéder à la division de ce qui est déjà divisé.

Sous réserve de confirmation par votre notaire, achetez donc les deux biens (le corps principal et l'annexe) en deux phases distinctes, en donnant priorité à l'achat de l'habitation. Vous serez en principe imposé de manière distincte sur chacun des achats.

#598 Re : Locations et baux » Etat des lieux contradictoire » 18-04-2009 11:45:44

Gof
Grmff a écrit :

Si on ouvrait un sujet "le français utilisé dans le langage juridique", je suis sûr que le forum doublerait sa fréquentation...

L'on pourrait, par exemple, y soumettre ce fleuron de la langue juridique française, issu des dernières modifications législatives en matière de baux de résidence principale et qui est de nature à faire pâlir de jalousie nos voisins d'Outre-Quiévrain :

Tout bail tombant sous la présente section affectant la résidence principale du preneur doit être établi dans un écrit qui devra contenir indépendamment de toutes autres modalités : l'identité de toutes les parties contractantes, la date de prise en cours, la désignation de tous les locaux et parties d'immeuble couvrant l'objet locatif et le montant du loyer.

Après quoi, l'on est censé tirer quelque leçon sensée de ce type d'écriture ...

#599 Re : Locations et baux » Etat des lieux contradictoire » 18-04-2009 11:45:44

Gof

Après ceci, je cesse de ramer, faute de quoi je finirai par attaquer la falaise.

J'ai utilisé sauf non pas comme préposition, ce qui signifierait "sans porter atteinte", mais comme adjectif, ce qui veut dire "garanti".

J'eus pu écrire "(...), les réserves qu'il contient étant sauves", ou encore "étant sauves les réserves qu'il contient". Mais l'usage du verbe être n'est dans ce cas pas indispensable.

big_smile

#600 Re : Locations et baux » Etat des lieux contradictoire » 18-04-2009 11:45:44

Gof

Je conviens bien volontiers de ce que la forme que j'utilise est rare, mais elle est correcte.

Pied de page des forums

Pim.be : votre forum de l'immobilier résidentiel belge depuis 2002.

Les dernières discussions sont ici » Récentes | Sans réponse
Règlement du forum | Liste des membres