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Je comprends vos hésitations mais par ailleurs, le propriétaire n'est pas censé détenir un double des clés.
Il s'agit donc de votre parole contre la sienne...
Bravo et ne manquez pas de nous tenir au courant...
Et si en plus PIM fait évoluer l'interprétation du droit... même moi, je finirais par croire que Pim est indispensable
Il n'y a rien à "croire"! C'est vrai. 
Je reviens vers vous armée d'infos, après avoir interviewé la juriste du SNP qui vous a renseignée.
En réalité:
A une question parlementaire de M. Viseur (24 nov. 2003), il a été répondu par le Ministre de la justice que ..."le procès-verbal de conciliation peut, en ce qui concerne sa force exécutoire, être comparé avec un acte authentique. Revêtu de la formule exécutoire, il peut être exécuté (par un huissier)..."
Toutefois, précise le Ministre, le procès-verbal de conciliaition (dans le cas d'une conciliation obligatoire préalable à une instance de jugement) ne peut pas être comparé à un jugement ou un jugement d'accord, justement car la conciliation n'est que l'"antichambre" de la procédure de jugement éventuelle. En pratique toutefois, le résultat est le même me semble-t-il puisque ce procès-verbal est bel et bien susceptible d'exécution.
Voilà pour la théorie. Les choses se corsent à cause de l'interprétation que, selon nos informations, les huissiers feraient de ces règles. En effet, la Chambre des Huissiers aurait décidé que pour qu'un pv de conciliation soit exécuté il faudrait qu'il comporte une clause dans laquelle les parties conviennent expressément qu'à défaut d'exécution volontaire, l'huissier saisi du problème pourrait exécuter les termes de l'accord. En quelque sorte, il s'agirait de définir dans l'accord la mission de l'huissier, nonobstant le fait que la formule exécutoire est automatiquement apposée sur le document constatant l'accord!!!
C'est ce que la juriste a voulu vous expliquer à l'époque où vous l'avez consultée! Je conçois que cela vous ait paru compliqué mais elle n'avait pas tort pour autant.
Je ne vous cache pas que cette façon de voir me paraît sujette à caution. Nous allons nous renseigner davantage et agir en conséquence soit pour combattre cette interprétation soit pour informer au mieux les propriétaires sur ces subtilités.
Merci donc d'avoir attiré notre attention sur cette intéressante question
Je me permets de vous rappeler que vous avez reçu les clés!
Dans cette mesure il n'y a nullement lieu de faire confirmer en justice ou autrement le fait que le locataire a quitté les lieux.
Il eût été idéal, évidemment, de délivrer un reçu pour les clés et d'en faire signer un double par le locataire mais ne soyons pas plus catholiques que le pape ... à moins que vous n'ayez de raison de croire que le locataire "vous cherche", ce que je ne crois pas ici, son seul souci étant, à mon avis, de se tirer de sa location sans payer un sou de plus.
Donc mon conseil initial reste valable, selon moi.
Je loue une maison depuis le premier juillet 2004.
Le 1 /12/2005, mon locataire me téléphone disant qu'il désire quitter la maison parce qu'il a perdu son emploi et qu'il ne peut plus payer de loyer.
Il quitte la maison immédiatement, sans envoyer de courrier et sans payer les mois de préavis.
Il a rendu les clefs mais a laissé la maison dans l'état d'une décharge publique : déchets de toutes sortes, vielles voitures dans le jardin,...
Ai-je le droit d'entrer dans la maison, de lui réclamer les loyers impayés et de me débarasser de ces dechets et autres?
Vous pouvez faire tout cela et même demander une indemnité.
En ce qui concerne les sommes dues, il faut envoyer une lettre de mise en demeure puis intenter une action en justice, ce qui est possible sans prendre un avocat. Si le locataire est insolvable, il est judicieux de demander un jugement et le faire signifier mais surtout ne pas vous embarquer dans des mesures d'exécution! Attendre que le locataire "revienne à meilleure fortune", un jugement rendu contradictoirement ou signifié restant exécutoire pendant 30 ans.
De même, il faut apprécier l'utilité de faire procéder à un état des lieux judiciaire en tenant compte du fait que cela coûte cher et prend du temps... En l'occurence je crois que vous auriez intérêt à prendre en charge cet aspect des choses pour pouvoir relouer au plus vite...
Bonjour,
Votre point de vue est intéressant. En tant que présidente, serait-il possible que vous posiez directement la question à votre service juridique.
Je vous en serais vraiment reconnaissant.
Merci d'avance
Voilà, je suis en mesure de vous confirmer que le simple fait que la société a son siège social à l'adresse du bien loué ne suffit pas à ce que le bail soit considéré comme professionnel. Il faut en principe qu'il y ait exercice effectif de l'activité, qu'il y ait dans les lieux un véritable siège d'exploitation, ce qui est une question de fait. Mais encore une fois, s'il n'y a pas déduction du loyer le fisc n'aura en principe pas "la puce à l'oreille".
Par contre, il ne faut jamais exclure que si l'administration fiscale tombe sur une situation de ce genre elle essaie de taxer malgré tout, y compris au mépris de ses propres règles.
Voici qq info supplémentaires :
Comme on se dit tout :
je suis membre du SNP et leur ai téléphoné ; on m'a répondu que comme les montants n'étaient pas expressément indiqués dans l'accord de conciliation, je ne pouvais pas exigé l'exécution par huissier;
la juriste m'a même dit que j'aurais du aller en conciliation avec un avocat à partir du moment où les locataires venaient avec un avocat (comment je pouvais le savoir - moi !) et que mon accord ne pouvait être exécuté, parce que il ne comportait pas la clause (subtile) que cet accord était exécutoire,
ou/et tout le blabla juridico-juridique qui m'échappe,
moi qui comme vous, avais lu sur le site web du ministère de la justice que l'accord en conciliation avait force de jugement.Pour répondre à Grmff:
non, je ne me suis pas encore adressée concrètement à un huissier - j'en ai contacté un par tél., mais qui ne m'a donné aucun renseignement par téléphone, il a dit qu'il fallait prendre rdv ... un autre m'a dit qu'il ne travaillait qu'avec avocat ...J'attends vos avis, et sur base de ceux-ci, recontacterai et le SNP et l'huissier,
un GRAND MERCI pour votre sollicitude,
Il va de soi que je suis à votre disposition pour vous donner toutes les précisions utiles au sujet de la consultation que vous avez reçue de notre service juridique. J'ai toutefois l'impression que le compte-rendu que vous en faites n'est pas tout à fait complet et explicite. Ceci sans exclure que la juriste ait été insuffisamment claire.
Bonjour,
Votre point de vue est intéressant. En tant que présidente, serait-il possible que vous posiez directement la question à votre service juridique.
Je vous en serais vraiment reconnaissant.
Sorry, je n'étais pas au bureau aujourd'hui et je n'y serai pas non plus jusqu'à lundi.
Je confirme toutefois qu'en théorie la taxation sur base du loyer réel PEUT AVOIR LIEU MEME SI LES LOYERS NE SONT PAS DEDUITS DES REVENUS DU LOCATAIRE.
Mais qu'il ne saurait en être question si l'occupation professionnelle est contraire à un bail enregistré (jurisprudence assez récente toutefois).
La question qui demeure est le point de savoir à partir de quel moment l'occupation du bien est considérée comme professionnelle. Je ne crois pas (mais cela reste à vérifier) que
le seul fait que la société soit "domiciliée" dans les lieux suffise.
Ce qui est certain par contre est que je ne suis pas présidente du SNP mais directrice. Ne m'attirez pas d'ennuis avec le Président

Et en pratique, que doit maintenant faire Nathalie ?
Ou qu'aurait-elle du faire pour éviter ces ennuis ?
Comme déjà suggéré: faire exécuter l'accord par un huissier.
L'intérêt d'une conciliation en justice de paix est que le document qui constate l'accord a force exécutoire! Autrement dit, la même valeur qu'un jugement...
D'où la question de Grmff
Heureusement qu'il y a PIM dans l'intervalle
Mais bien entendu, cher Maître, que ferions-nous sans vous

Je suis presque d'accord avec Grmff mais ne perdons pas de vue que les agents du fisc cherchent parfois par tous les moyens à taxer à tout va!
Par ailleurs, contrairement à ce que l'on croit parfois, ce n'est pas le fait de déduire les loyers qui donne lieu au système d'imposition propre aux baux professionnels mais plutôt le fait même que l'activité est exercée dans les lieux, donc il subsiste un risque qui est un peu irréel ici dans la mesure où le fisc n'aura en principe pas connaissance de l'activité.
Par ailleurs, si le bail est enregistré et que le bailleur n'a jamais de contact avec la société, il pourra opposer le contrat aux prétentions du fisc, avec malgré tout la possibilité d'une échauffourée désagréable!
Je vous avoue toutefois que votre servante n'est pas fiscaliste et qu'elle travaille sans filets de chez elle...
Le service juridique du SNP, qui comporte une juriste fiscaliste spécialisée en immobilier, pourrait vous en dire plus 
Bonjour!
D'accord avec Grmff.
Vous devez pouvoir faire exécuter l'accord avec le concours d'un huissier qui en demandera l'expédition et qui le signifiera.
Evidemment, les greffes ne sont pas toujours très zélés quand il s'agit de renseigner utilement un bailleur...
Mais si vous étiez membre du SNP, vous auriez pu depuis longtemps obtenir ces renseignements, et bien d'autres, auprès du service juridique 
Bonjour à tous,
Dans l'attente d'une clarification et de l'amélioration de la législation en matière d'ascenseurs, voici l'article qui paraîtra dans notre magazine "Le Cri" de ce mois de février:
ARTICLE POUR LE CRI.
Ascenseurs.
Quid si l’analyse de risque a déjà été faite ou une commande passée?
De nombreux membres se sont adressés à nous suite à l’article du Cri de janvier (p. 9) annonçant que des modifications allaient être apportées au régime actuel de la modernisation des ascenseurs. En effet, des (soi-disant) analyses de risques ont déjà été réalisées – et payées –, suivies parfois d’une commande, voire même de travaux.
Cette situation concerne de nombreux propriétaires et copropriétaires. Il va donc falloir trouver des solutions.
En effet, les analyses de risques effectuées sur base de la « check-list » ne sont pas conformes à l’esprit de l’A.R. du 9 mars 2003 (voir tous nos articles dans les éditions précédentes de ce magazine) et entraînent souvent de la part des constructeurs des offres de travaux d’un montant exorbitant, pas nécessairement justifiés.
Il sera nécessaire de procéder à de nouvelles analyses et, le cas échéant, de revenir sur les contrats déjà signés avec les constructeurs.
Nous avons interrogé le cabinet de Madame Freya Vanden Bossche, Ministre en charge de la protection du consommateur. Il nous a été assuré qu’une réponse à ces questions était à l’étude. Il va de soi que nous tiendrons nos lecteurs informés dès que possible.
En attendant, voici quelques réflexions relatives à ce problème.
Une analyse de risque réalisée sur base de la « check-list » peut être considérée comme irrégulière étant donné que le recours à cette « check-list » est contraire à l’esprit de l’A.R.
Il devrait donc être possible d’exiger qu’une véritable analyse de risque soit réalisée et que le prix payé initialement soit imputé sur la seconde facture.
De même, le contrat conclu avec un constructeur d’ascenseurs en vue d’une modernisation peut être considéré le cas échéant comme nul par suite d’un vice du consentement (méconnaissance des obligations légales, par suite d’une analyse de risques qui n’en est pas une !). Ces contrats devraient donc être renégociés et les acomptes éventuellement remboursés.
Quant aux travaux qui auraient déjà été effectués, la question est plus délicate et devrait selon nous faire l’objet d’une négociation au cas par cas : d’une part ces travaux peuvent apporter une plus-value objective à l’immeuble. D’autre part, cette plus-value sera souvent moins importante que le prix qui a été payé, or les travaux pourraient s’avérer superflus par rapport aux exigences réelles de l’A.R. Selon nous, il devrait être possible de chercher avec le constructeur et le SECT un compromis qui satisfasse les intérêts de toutes les parties.
Nous ne manquerons pas de revenir sur ces questions délicates dans un proche avenir.
Pour l'information de tous, voici un article qui paraît dans notre magazine Le Cri de ce mois de février, concernant la position du SNP, dans l'attente de clarifications et améliorations indispensables de la réglementation.
ARTICLE POUR LE CRI.
Ascenseurs.
Quid si l’analyse de risque a déjà été faite ou une commande passée?
De nombreux membres se sont adressés à nous suite à l’article du Cri de janvier (p. 9) annonçant que des modifications allaient être apportées au régime actuel de la modernisation des ascenseurs. En effet, des (soi-disant) analyses de risques ont déjà été réalisées – et payées –, suivies parfois d’une commande, voire même de travaux.
Cette situation concerne de nombreux propriétaires et copropriétaires. Il va donc falloir trouver des solutions.
En effet, les analyses de risques effectuées sur base de la « check-list » ne sont pas conformes à l’esprit de l’A.R. du 9 mars 2003 (voir tous nos articles dans les éditions précédentes de ce magazine) et entraînent souvent de la part des constructeurs des offres de travaux d’un montant exorbitant, pas nécessairement justifiés.
Il sera nécessaire de procéder à de nouvelles analyses et, le cas échéant, de revenir sur les contrats déjà signés avec les constructeurs.
Nous avons interrogé le cabinet de Madame Freya Vanden Bossche, Ministre en charge de la protection du consommateur. Il nous a été assuré qu’une réponse à ces questions était à l’étude. Il va de soi que nous tiendrons nos lecteurs informés dès que possible.
En attendant, voici quelques réflexions relatives à ce problème.
Une analyse de risque réalisée sur base de la « check-list » peut être considérée comme irrégulière étant donné que le recours à cette « check-list » est contraire à l’esprit de l’A.R.
Il devrait donc être possible d’exiger qu’une véritable analyse de risque soit réalisée et que le prix payé initialement soit imputé sur la seconde facture.
De même, le contrat conclu avec un constructeur d’ascenseurs en vue d’une modernisation peut être considéré le cas échéant comme nul par suite d’un vice du consentement (méconnaissance des obligations légales, par suite d’une analyse de risques qui n’en est pas une !). Ces contrats devraient donc être renégociés et les acomptes éventuellement remboursés.
Quant aux travaux qui auraient déjà été effectués, la question est plus délicate et devrait selon nous faire l’objet d’une négociation au cas par cas : d’une part ces travaux peuvent apporter une plus-value objective à l’immeuble. D’autre part, cette plus-value sera souvent moins importante que le prix qui a été payé, or les travaux pourraient s’avérer superflus par rapport aux exigences réelles de l’A.R. Selon nous, il devrait être possible de chercher avec le constructeur et le SECT un compromis qui satisfasse les intérêts de toutes les parties.
Nous ne manquerons pas de revenir sur ces questions délicates dans un proche avenir.
Citation :Pour le reste, je ne sais s'il faut que cette question soit régie par la loi. En effet, la vente est en principe parfaite dès l'échange des consentements. Pourquoi dès lors ajouter systématiquement un sursis à l'obliation contractée à ce moment?
Si le décès d'un acquéreur survient le lendemain de l'acte authentique, la situation est la même or vous n'imagineriez pas que la vente soit alors résolue!
Pas tout à fait d'accord... en effet, si un banque prête à un vivant, elle ne prête pas à un mort, et encore moins avec une assurance solde restant du...Si les enfants se retrouvent dans des conditions telles que le prêt ne peut être accordé (genre des enfants mineurs, par exemple...) il auront toutes les difficultés à remplir les obligations de l'acquéreur prédécédé...
Les agents immobiliers et les notaires ont réglé le problème par une assurance-vie entre le compromis et l'acte: Le problème est donc réel, bien connu. Si une solution a été trouvée par les professionnels du secteur, et que cette solution n'est pas gratuite, il est bien entendu qu'aucune autre solution juridique simple et gratuite n'existe... cqfd...
Il est possible que je ne comprenne pas bien ce que vous voulez dire. Mais en cas de prêt, il y a généralement dans le compromis une condition suspensive d'octroi de ce prêt.
Je confirme ce que dit Grmff mais insiste sur le fait que si le logement ne se trouve pas au début du bail dans l'état prévu par la loi (état du bien loué, voir une de mes précédentes réponses), le locataire peut arrêter de payer le loyer (à condition d'être sûr de lui) et exiger en justice soit la résiliation du contrat avec indemnité soit l'exécution des travaux.
Il va de soi que dans un tel cas le loyer ne sera pas dû pendant les travaux ce qui libérera des fonds pour payer un loyer ailleurs, quitte à ce que le bailleur doive compléter (indemnité).
Je suis également étonnée par la réponse du notaire. Tout au plus pourrai-je comprendre qu'il soit prévu que le suicide d'un des acquéreurs est sans influence sur le cours des choses. En effet, le suicide est un acte volontaire or il est interdit d'inclure dans un contrat une clause "purement potestative" c'est à dire une condition dont la réalisation dépend uniquement de la volonté d'une des parties.
Vous pourriez demander à ce notaire de vous expliquer davantage son opinion.
Pour le reste, je ne sais s'il faut que cette question soit régie par la loi. En effet, la vente est en principe parfaite dès l'échange des consentements. Pourquoi dès lors ajouter systématiquement un sursis à l'obliation contractée à ce moment?
Si le décès d'un acquéreur survient le lendemain de l'acte authentique, la situation est la même or vous n'imagineriez pas que la vente soit alors résolue!
Donc, si les parties veulent suspendre leur obligation à une condition telle que leur survie au moment de l'acte, la meilleure solution reste de le négocier avec le vendeur et/ou de contracter une assurance qui couvre cette hypothèse.
Il est exact que la location de studios est plus hasardeuse que celle d'appartements.
Toutefois, le rapport brut est souvent meilleur, surtout si les logements sont meublés. Mais il faut bien sûr compter avec les aléas plus importants. Il existe toutefois des immeubles qui proposent des studios de bonne qualité, à l'intention d'étrangers de passage, mais bien sûr la rotation est plus élevée.
Quelques pistes de réflexion.
Attention au respect du code bruxellois du logement, notamment en ce qui concerne les superficies minimum.
En cas de non paiement, la seule solution est d'agir immédiatement en justice de paix, surtout qu'il y a lieu d'intenter une procédure en conciliation avant l'instance de jugement...
Demander une garantie sous forme de bons de caisse, pour pouvoir la conserver entre vos mains et exiger éventuellement une contrevaleur supérieure à 3 mois de loyer (valable pour les baux de résidence principale - s'il s'agit d'une résidence secondaire vous pouvez organiser la garantie comme vous l'entendez pour peu que vous trouviez un accord avec le locataire).
Conclure des baux de courte durée - ce sera du reste souvent la demande du locataire - en prévoyant une indemnité de résiliation en cas de rupture anticipée de la part du locataire.
VOUS AFFILIER AU SYNDICAT NATIONAL DES PROPRIETAIRES
Le service juridique peut vous aider à gérer les locations de façon pointue. D'autre part, nos baux-types sont conçus pour vous protéger au mieux. (pour plus de renseignements, consulter notre site - lien ci-contre - ou tel. au 02-512.62.87)
Merci de toutes vos réponses.
""je conseillerais à nos interlocuteur d'accepter l'indemnité d'un mois ""
Pouvez-vous préciser...?
Le bailleur devrait accepter l'indemnité d'un mois c'est ça que vous voulez dire ?
exactement 