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andre78fr a écrit :Bonjour,
J'ai été contacté par un certain "Jo Daldou" qui voulait me présenter sa solution "oownee" qui m'a laissé assez perplexe en réalité ; les captures d'écran montrent un produit américain avec des notions de gestion locative bien plus que de copropriété, les tableaux de bord sont jolis mais je n'ai rien vu sur les spécificités belges comme le plan comptable ou les majorités du code civil (est ce que ça gère même les assemblées ?!?).
Beaucoup de choses me semblent approximatives mais j'ai une question quand même ; est-ce que le logiciel repose sur les plans comptables des copropriétés des différents pays ?André
La solution que j'ai développée est belge. Vous avez vu des captures d'écran en anglais, mais il existe des traductions dans plusieurs langues, y compris le français et le néerlandais. Si vous souhaitez une démo, je suis prêt à vous la présenter. Cette solution génère un plan comptable simplifié conforme au Plan Comptable Minimum Normalisé, avec une double comptabilité, privée et commune, incluant les débits et crédits, ainsi que les quotes-parts, etc...
" avec une double comptabilité, privée et commune"
pour vous, la comptabilité en partie double veut dire une compta privée et une compta commune???
Je pense que vous avez du chemain à faire concernant le code civil Belge et le PCMN!!
Il serait bien d'avoir des modèles des syndics ici présents et étant légions.
Personnellement, je n'ai rien compris à la phrase...
MarcoBrux a écrit :chatulu a écrit :MarcoBrux a écrit :chatulu a écrit :Bonjour ,
je suis proprietaire d'un appartement dans une résidence de 6 appartements.
Cette résidence est voisine d'une seconde résidence de 6 appartements également.
Un acte de base a été rédigé en 2013 à la construction de ces 2 résidences et elles forment un ensemble pour les communs.
Pour chaque décision nous sommes liés au vote , non seulement des 6 propriétaires de notre résidence mais également des 2 proprietaires des 6 appartements de la résidence voisine qui sont mari et femme...
Malheureusement au niveau quotité , la résidence voisine en détient 5080 sur un total de 10.000 , autant vous dire qu'ils ont le droit de faire ce qu'ils veulent.
Dernierement , ils ont souhaité imposé un syndic et ils ont choisi eux meme le syndic et nous n'avons rien eu a dire car ils ont la majorité au vote et en tant que mari et femme , ils ont évidemment voté la meme chose...
Ils veulent choisir leurs société de nettoyage des communs , leur jardinier , .... sans finalement nous laisser le choix car ils ont la majorité au niveau quotités.
Pourriez vous me dire , si il serait possible de se désolidariser de la seconde résidence en faisant modifier l'acte de base qui nous lie?
Cette situation est compliquée car évidement , ils ont tout les droits et pour le futur chacune de nos demandent risquent d etre refusées systematiquement lors du vote car leurs seuls voix suffit pour accepter ou refuser une proposition.
D'avance merci pour votre aide , j'espere avoir été clair de mon explication.
La Loi limite leur vote à maximum 50% du total des votes:
Art. 3.87&7: "Nul ne peut prendre part au vote, même comme mandant ou mandataire, pour un nombre de voix supérieur
à la somme des voix dont disposent les autres copropriétaires présents ou représentés.
L. 07.VI.2018, art.166/9, eev 01.I.2019)"Ici visiblement , leurs quotités leurs donnent un avantage dans le vote car ils en ont 5080 sur 10.000 au total des 2 résidences donc concrètement leurs 2 votes valent plus que nos 6 votes.
Ce qui ne nous convient pas du tout , de plus ils sont appuyé par le syndic qu'ils ont choisi et qui est très désagréable...
Comme déjà expliqué plus haut, leurs vote seront ramenés à 5000 au lieu de 5080. Ainsi ils n'auront plus la majorité...ils doivent négocier ou alors c'est le blocage...
votes ramenés à 4920 (total des voix des autres copropriétaires qui seraient présents ou représentés lors de l'AG) .
4920 + 5080 = 10000
Exact, j'étais rapide ds mes calculs!! (la somme des voix dont disposent les autres copropriétaires) 
MarcoBrux a écrit :chatulu a écrit :Bonjour ,
je suis proprietaire d'un appartement dans une résidence de 6 appartements.
Cette résidence est voisine d'une seconde résidence de 6 appartements également.
Un acte de base a été rédigé en 2013 à la construction de ces 2 résidences et elles forment un ensemble pour les communs.
Pour chaque décision nous sommes liés au vote , non seulement des 6 propriétaires de notre résidence mais également des 2 proprietaires des 6 appartements de la résidence voisine qui sont mari et femme...
Malheureusement au niveau quotité , la résidence voisine en détient 5080 sur un total de 10.000 , autant vous dire qu'ils ont le droit de faire ce qu'ils veulent.
Dernierement , ils ont souhaité imposé un syndic et ils ont choisi eux meme le syndic et nous n'avons rien eu a dire car ils ont la majorité au vote et en tant que mari et femme , ils ont évidemment voté la meme chose...
Ils veulent choisir leurs société de nettoyage des communs , leur jardinier , .... sans finalement nous laisser le choix car ils ont la majorité au niveau quotités.
Pourriez vous me dire , si il serait possible de se désolidariser de la seconde résidence en faisant modifier l'acte de base qui nous lie?
Cette situation est compliquée car évidement , ils ont tout les droits et pour le futur chacune de nos demandent risquent d etre refusées systematiquement lors du vote car leurs seuls voix suffit pour accepter ou refuser une proposition.
D'avance merci pour votre aide , j'espere avoir été clair de mon explication.
La Loi limite leur vote à maximum 50% du total des votes:
Art. 3.87&7: "Nul ne peut prendre part au vote, même comme mandant ou mandataire, pour un nombre de voix supérieur
à la somme des voix dont disposent les autres copropriétaires présents ou représentés.
L. 07.VI.2018, art.166/9, eev 01.I.2019)"Ici visiblement , leurs quotités leurs donnent un avantage dans le vote car ils en ont 5080 sur 10.000 au total des 2 résidences donc concrètement leurs 2 votes valent plus que nos 6 votes.
Ce qui ne nous convient pas du tout , de plus ils sont appuyé par le syndic qu'ils ont choisi et qui est très désagréable...
Comme déjà expliqué plus haut, leurs vote seront ramenés à 5000 au lieu de 5080. Ainsi ils n'auront plus la majorité...ils doivent négocier ou alors c'est le blocage...
Bonjour ,
je suis proprietaire d'un appartement dans une résidence de 6 appartements.
Cette résidence est voisine d'une seconde résidence de 6 appartements également.
Un acte de base a été rédigé en 2013 à la construction de ces 2 résidences et elles forment un ensemble pour les communs.
Pour chaque décision nous sommes liés au vote , non seulement des 6 propriétaires de notre résidence mais également des 2 proprietaires des 6 appartements de la résidence voisine qui sont mari et femme...
Malheureusement au niveau quotité , la résidence voisine en détient 5080 sur un total de 10.000 , autant vous dire qu'ils ont le droit de faire ce qu'ils veulent.
Dernierement , ils ont souhaité imposé un syndic et ils ont choisi eux meme le syndic et nous n'avons rien eu a dire car ils ont la majorité au vote et en tant que mari et femme , ils ont évidemment voté la meme chose...
Ils veulent choisir leurs société de nettoyage des communs , leur jardinier , .... sans finalement nous laisser le choix car ils ont la majorité au niveau quotités.
Pourriez vous me dire , si il serait possible de se désolidariser de la seconde résidence en faisant modifier l'acte de base qui nous lie?
Cette situation est compliquée car évidement , ils ont tout les droits et pour le futur chacune de nos demandent risquent d etre refusées systematiquement lors du vote car leurs seuls voix suffit pour accepter ou refuser une proposition.
D'avance merci pour votre aide , j'espere avoir été clair de mon explication.
La Loi limite leur vote à maximum 50% du total des votes:
Art. 3.87&7: "Nul ne peut prendre part au vote, même comme mandant ou mandataire, pour un nombre de voix supérieur
à la somme des voix dont disposent les autres copropriétaires présents ou représentés.
L. 07.VI.2018, art.166/9, eev 01.I.2019)"
Bonjour à tous,
Notre AG statutaire eu lieu le 25 janvier dernier et a donné matière à réflexion concernant un point. Le syndic s'était engagé à faire des recherches d'informations et à les transmettre le mois. C'est chose faite.
Ma question est la suivante:
Maintenant que tous les copropriétaires sont en possession de toutes les informations nécessaires pour procéder au vote, est-il possible de ce vote sans convoquer une nouvelle AG (vous savez tous combien il est difficile de faire déplacer les gens surtout si ce n'est que pour voter un point!) ?
Un vote par mail ou par correspondance est-il possible? Si oui, dans quelles conditions?
Oui possible mais à l'unanimité ( si un copro ne vote pas, s'abstient ou vote contre, le point est refusé).
rexou a écrit :Arbying a écrit :Donc vous êtes entrain de me dire que le législateur fait des lois et que les syndics s'en foutent ?
Si non, oui on a aussi trouvé des frais injustifiés.
Vous n'êtes pas chargé de faire respecter la loi. Vous êtes chargé de vérifier les comptes.
Si vous avez trouvé des frais injustifiés, à vous de demander des explications au syndic et en cas d'abus ou de détournement, vous en avisez les copropriétaires en AG et vous conseillez de ne pas approuver les comptes. Le syndic régularisera ou expliquera. En cas de désaccord, les CP décideront de ce qu'il convient de faire. Votre rôle est informatif. Uniquement au niveau des comptes et des dépenses facturées. Vous veillez aux intérêts des copropriétaires. Vous vérifiez et vous rendez compte des erreurs relevées si elles sont avérées.
Pour le reste, ne sortez pas de votre rôle. Vous n'êtes pas la police du législateur. Et prétendre "faire respecter la loi" avec l'argent des autres mais selon vos idées me semble une grosse erreur. Les CP et le syndic seront je pense du même avis.
Vos conceptions sur la façon de tenir une compta me semblent quelque peu saugrenues et je comprends que le syndic (ou son comptable) ne prêtent pas grande attention à vos remarques.
A noter que TROIS vérificateurs dans une ACP de 21 lots me semble en soi déjà une profonde aberration.
Sauf erreur, nous devons vérifier la comptabilité dans son ensemble, et la forme fait partie de cette vérification autant que le fond, et non je ne suis pas la "police du législateur" mais bien un garde fou mis en place.
D'ou ma question initiale, que faire en cas de constatation manifeste de comptabilité non conforme à la loi de 2010 et aux AR de 2012 ...
et quels risques pour l'ACP?
Me concernant, j'ai déjà signalé que la Loi qui s'applique est celle de 18 juin 2018 et pas de 2010. Si vous êtes convaincu que la dite Loi a été violée, vous pouvez vous adressez au Juge de Paix compétent ( à conditions de respecter les conditions citées dans la même Loi). Mais bonne chance 
"Le syndic se base (parfois) sur les dates de paiement au lieu des dates de périodes des factures".
- Pour moi, c'est une erreur, les facutures sont enregistrées selon les dates.
"Le fonds de réserve est entièrement mélangé au fonds de roulement (nous avons tout versé sur le compte à vue et le syndic n'a rien transféré vers le compte d'épargne)".
- Souvent les syndics transfèrent le montant en question à la fin de l'exercice compatable pour correspondre aux écritures compatbles.
"Il y a des factures d'investissements qui au lieu d'être valorisés à l'actif, viennent simplement diminuer le fonds de réserve et j'en passe ..."
- Les factures d'investissements sont certainement des factures de charges, si l'AG a voté la paiement par le fonds de réserve, personnellement, je ne vois pas de problème à cela...
"Etant comptable de formation et travaillant depuis 15 ans dans les conseils en gestion, je suis horrifié de ce que je vois".
- Personnellement, je ne vois pas de gros problèmes au vu de vos explications. peut être des erreurs minimes qui ne nécessitent pas, à mon sens, le rejet de la comptabilité.
"... et ceux de la loi de 2010 sur la comptabilité des copro n'est pas résepéctée ? "
- Plutôt la Loi de 2018 ...
MarcoBrux a écrit :Yves Van Ermen a écrit :GT a écrit :Ne sont pas , à mon avis, visés les syndics bénévoles qui envisageraient une reconversion en syndics professionnels agréés par l'IPI.
Je confirme aussi
c'est dommage...je trouve!
Moi pas du tout.
Je pense que le système aurait pu être étendu aux bénévoles qui gèrent 1 ou 2 voire 3 copro parfois de 80 appartement depuis des années et qui appliquent la compta en partie double et suivent des formations d'une manière continue ( MDLC, CEFIM, EFP, UDS etc etc).
cela rapportera une cotisation à l'IPI et diminuera peut être la punerie que connait le metier des syndics...
Ce n'est qu'un avis personnel.
GT a écrit :Ne sont pas , à mon avis, visés les syndics bénévoles qui envisageraient une reconversion en syndics professionnels agréés par l'IPI.
Je confirme aussi
c'est dommage...je trouve!
MarcoBrux a écrit :Ce jour, la loi du 11 décembre 2023 modifiant la loi du 11 février 2013 organisant la profession d'agent immobilier (également applicable au syndic) a été publiée au Moniteur belge. L’accès à la profession est désormais possible sur base d’une expérience professionnelle.
Veuillez trouver ci-dessous le texte de la loi :
Art. 5. A l'article 5 de la même loi ... les modifications suivantes sont apportées :
"§ 2 Les agents immobiliers, personnes physiques, sont soumis aux obligations suivantes :
a) soit être titulaire d'une attestation de compétence ou d'un diplôme de formation selon les modalités déterminées par le Roi et, pour ceux qui ne sont pas dispensés de l'apprentissage, remplir les obligations du règlement d'apprentissage visé à l'article 8, § 1er, de la loi-cadre.
b) soit disposer d'une expérience professionnelle pertinente par l'exercice à temps plein d'activités professionnelles visées à l'article 2, 5°, 6° ou 7°, pendant six ans au cours des dix années précédant la demande d'inscription au tableau et avoir réussi l'épreuve d'aptitude pratique prévue par le règlement d'apprentissage..... "
... disposer d'une expérience professionnelle pertinente par l'exercice à temps plein d'activités professionnelles visées à l'article 2, 5°, 6° ou 7°, pendant six ans au cours des dix années précédant la demande d'inscription au tableau ET avoir réussi l'épreuve d'aptitude pratique prévue par le règlement d'apprentissage
.
Cela vise les employés salariés de bureaux de syndic je suppose...
Ce jour, la loi du 11 décembre 2023 modifiant la loi du 11 février 2013 organisant la profession d'agent immobilier (également applicable au syndic) a été publiée au Moniteur belge. L’accès à la profession est désormais possible sur base d’une expérience professionnelle.
Veuillez trouver ci-dessous le texte de la loi :
Art. 5. A l'article 5 de la même loi ... les modifications suivantes sont apportées :
"§ 2 Les agents immobiliers, personnes physiques, sont soumis aux obligations suivantes :
a) soit être titulaire d'une attestation de compétence ou d'un diplôme de formation selon les modalités déterminées par le Roi et, pour ceux qui ne sont pas dispensés de l'apprentissage, remplir les obligations du règlement d'apprentissage visé à l'article 8, § 1er, de la loi-cadre.
b) soit disposer d'une expérience professionnelle pertinente par l'exercice à temps plein d'activités professionnelles visées à l'article 2, 5°, 6° ou 7°, pendant six ans au cours des dix années précédant la demande d'inscription au tableau et avoir réussi l'épreuve d'aptitude pratique prévue par le règlement d'apprentissage..... "
MarcoBrux a écrit :- "obligation de s'assurer que les entrepreneurs à qui nous commandons les travaux n'aident pas de dettes fiscales ou sociales" ...pour moi, c'est la résponsabilité du syndic ( celui qui commande et paie la prestation) et pas celle de l'ACP donc je dirai qu'il a raison
...Ce sont sur les donneurs d'ordre que reposent des obligations de vérifications. .
Le donneur d'ordre est non pas le syndic mais la personne morale ACP représentée par son organe, le syndic.C'est l'ACP, donneur d'ordre ( et non le syndic) qui risque une amende administrative et d'être rendue solidairement responsable de dettes de l'entrepreneur. Dans ce cadre, le fisc et l'ONSS s'adresseront à la personne morale (l'ACP)
L'ACP engagera ensuite la responsabilité du syndic négligent dans une procédure particulière.
En effet, je suis d'accord avec GT. j'ai fait un raccourci dans le sens ou c'est le syndic ( mandataire de l'ACP) qui signe les offres et qui fait le paiement et donc c'est a lui de vérifier ces éléments avant de payer la facture. Si dettes y'a, c'est aussi lui qui doit effectuer la retenue et la verser aux organismes concernés.Mais évidemment au nom de l'ACP.
marcobrux a écrit :Pour l'obligation de retenue, c'est celui qui dois payer qui fera la vérification (le jour même)...une dette peut disparaitre du jour au lendemain...
Ou apparaître...
En effet, d'ou la phrase "le jour même" et preuve à l'appui:)
bonjour Marco
ce que j'attends : dans le dossier X que l'on face appel de la décision , qu' éventuellement si des fautes on été constaté de par le syndic ou notre avocat ....qu'on en tire les conséquences .
sur la surconsommation de la cogénération : on nous a "vendu" le systéme avec des économies importantes de consommation à la clef .
En fonction des chiffres dont je dispose ces 2 dernières années ( décomptes ista ) et en prenant compte des degrés jours de ces 2 dernières années
il n'y a aucunes économies de consommation . Faut peut être en tirer les conclusions .et prendre des décisions (éviction du système par ex ).
Pour l'obligation de retenue je signale également que certains CP peuvent apporter des devis . il est bon qu 'ils sachent que ce problème existe .
- C'est souvent celui qui mets le point à l'ordre du jour qui précise sa demande. j'ignore l'origine du point en question, mais vous verrez bien ce que donnera la discussion.
-En principe la Cogen est rentable si vous l'avez installé en investissement propre ( éléctricité gratuite, vente des certificats verts (si vous êtes à Bruxelles) et depuis peu partage du surplus entre participants (vente de l'éléctricité) . Si vous êtes passé par un tiers-investisseur, en principe vous avez l'éléctricité des communs gratuite (selon le contrat). c'est quoi la surconsommation dont vous parlez?
- Pour l'obligation de retenue, c'est celui qui dois payer qui fera la vérification (le jour même)...une dette peut disparaitre du jour au lendemain...
Bonjour
je viens de recevoir l'ODJ de notre prochaine AGO .
certains points me semble bizarre . il est précisé à coté : sans vote . Cela signifie que nous ne pouvons pas prendre de décisions . car qui dit décisions, dits choix .... donc vote .
La surconsommation électricité et bilan de la cogénération : sans vote .
dossier X (CP qui nous a fait perdre le procès de la faute de l'inaction du syndic ou de notre avocat) : sans vote ???
les majorité pour certains travaux sont étranges : majorité absolue pour mise en conformité électrique ou mise en conformité des ascenseurs .
par contre majorité de 2/3 pour réparation d'une pierre cassé ???
Aucuns documents n'est joint à cet ODJ. rapport commissaire aux comptes : néant Devis : néant .... Budget de l'exercice à venir (budget prévisionnel des dépenses ordinaire ou extraordinaires : néant
personnellement j'avais demandé à mettre 2 points à l'ODJ ( refus de l écriture inclusive + obligation de s'assurer que les entrepreneurs à qui nous
commandons les travaux n'aident pas de dettes fiscales ou sociales - merci PIM pour cette infos) .
refus du syndic : " je ne vois pas en quoi ces 2 points doivent être discutés en AG " .
que penser de cela ?https://forum.pim.be/uploads/77d6c89665eaba2429c3482bd328b34d.jpeg
sans avoir lu l'ordre du jour et sur base de vos questions, pour certaines en tout cas, je dirai que c'est normal:
- sans vote si pas de décision à prendre...exemple: sueconsommation Cogen? vous attendez à une décision?
- Idem pour dossier X. vous attendez à quelle décision?
- "conformité électrique ou mise en conformité des ascenseurs" ne nécéssite pas de majorité spéciale ( obligation légale de mise en conformité)
- "obligation de s'assurer que les entrepreneurs à qui nous commandons les travaux n'aident pas de dettes fiscales ou sociales" ...pour moi, c'est la résponsabilité du syndic ( celui qui commande et paie la prestation) et pas celle de l'ACP donc je dirai qu'il a raison
...
Bonjour à la communauté,
dans le décompte annuel, rubrique "provisions", en regard des montants et dates aucun nom de copropriétaire n'apparait!
Est-ce normal alors que la résidence est en copropriété forcée.
Qui paie quoi???
A part le commissaire aux comptes nous ne pouvons pas vérifier si toutes les charges (provisions, fonds etc...) sont bien payées par chaque copropriétaire.
Merci pour vos retours
JLB
Bonjour,
votre question, n'est à mon sens, pas trop claire. si vous parlez du décompte privatif (par lot) c'est normal de ne pas y trouver cette info! idem pour le récapitulatif de dépenses, on y trouve les montants avec date mais pas les paiements.
Pour les paiements et soldes, il faut aller dans "balance des copropriétaires". si le syndic ne le joint pas au décompte, il suffit de le lui demander.
Bav
Go4green ?
Pour moi, le tiers-investisseur n'a pas d'importance 
Merci pour ces explications. Je suis étonné que les frais de réseau soient nuls, même si je trouve cela complètement logique. Mon étonnement vient du fait qu'en Wallonie, cela n'a pas l'air d'être le cas...
Dernière question: est-ce que votre installation de production a été simplement raccordée sur votre compteur commun, ou est)ce qu'il a fallu mettre un compteur spécifique?
C'est logique en effet, le partage se fait dans le même bâtiment (condition Sine qua non pour bénéficier de ce système). En plus on dispose dans le bâtiment d'une cabine moyenne tension (à 5m du compteur).
Apparemment la Wallonie a pris un peu de retard mais ça doit arriver bientôt.
En principe le raccordement se fait sur le compteur des communs. Pour notre ACP, on a dû installer un compteur spécifique dédié uniquement au partage. La raison : un tiers-investisseur a déjà installé une Cogen sur le compteur des communs. Donc impossible de différencier la production de la Cogen de celle des PV.
MarcoBrux a écrit :- Je suis occupé depuis 2 mois cette cette formule. PV installés, certification de l'installation dans qqs jours.
- L'électricité des communs est gratuite (en journée en tout cas).
- Vous pouvez envisager l'application du tarif social ( calculé par le SPF Economie chaque trimestre).
Il vaut mieux éviter le tiers investisseur...votre projet est vite amorti.Voilà une expérience très intéressante. Je suis curieux d'en connaître les détails pratiques.
Beaucoup de démarches?
Comment se fait "l'affiliation" au système?
Vous avez pris une décision d'AG pour installer l'affaire?
Tout le monde participe et tout le monde en bénéficie?
Quels sont les inconvénients pour les participants?
Quel est le "bénéfice" pour le propriétaire-bailleur?Comment cela se passe-t-il en cas de changement de locataire? Avez-vous des démarches à faire, ou est-ce que cela se fait automatiquement entre le fournisseur et le GRD?
C'est vous qui facturez les kWh, ou c'est facturé par le GRD au fournisseur?
Payez-vous quelque chose pour la partie "transport" pour chaque kWh produit et autoconsommé dans l'immeuble?
Quels sont les frais pour l'ACP, au delà de l'entretien et du coût de l'installation?Bref, en un mot comme en cent, dites nous en plus, cela mérite un blog à soi tout seul...
Même si je suis sur la Wallonie, je suppose qu'il y aura à retenir de votre expérience.
Beaucoup de démarches?
En effet: auprès de Sibelga et Brugel par après. En principe l'installateur des PV gère cette partie jusque la certification par Brugel.
Comment se fait "l'affiliation" au système?
par la signature d'une convention entre le producteur (ACP) et le participant (Résident)
Vous avez pris une décision d'AG pour installer l'affaire?
En effet, l'accord de l'AG est obligatoire (financement et usage des toits)
Tout le monde participe et tout le monde en bénéficie?
Pas obligatoire, chaque résidents décide de participer ou pas ( en général 50% des résidents participent au partage)
Quels sont les inconvénients pour les participants?
Aucun:) que des avantages
Quel est le "bénéfice" pour le propriétaire-bailleur?
Electricité moins cher si son locataire participe au partage (avantage financier) et investissement rentable pour le bailleur ( Certificats verts et revenus de la vente d'éléctricité alimentent le fonds de réserve)
Comment cela se passe-t-il en cas de changement de locataire?
Le suivant peut décider de continuer, à défaut, le compteur en question est retiré du partage)
Avez-vous des démarches à faire, ou est-ce que cela se fait automatiquement entre le fournisseur et le GRD?
Celui qui gère le partage transmis l'information chaque mois à Sibelga
C'est vous qui facturez les kWh, ou c'est facturé par le GRD au fournisseur?
c'est moi ( gestionnaire du partage) mais certaines startups sont actives sur le marché pour les ACP qui le souhaitent.
Payez-vous quelque chose pour la partie "transport" pour chaque kWh produit et autoconsommé dans l'immeuble?
la grille tarifaire de Sibela indique: 0€ pour le transport et distribution en plus de la TVA (selon régime TVA).
Quels sont les frais pour l'ACP, au delà de l'entretien et du coût de l'installation?
Quelques euros/an pour Sibelga pour sa gestion des consommations de chaque participant au partage et l'envoi des décomptes mensuels.
Déjà 15 partages sont actifs à Bruxelles à ce jour.