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Falcia26, Fridah52, mêmes personnes ?
J'ai déjà vu passer beaucoup d'articles sur le sujet dans la presse.
Ce sujet est une des barrières au passage à la voiture électrique.
Le problème n'est pas de savoir si les voitures électriques brûlent plus souvent que celles à explosion (sans jeu de mot), mais que lorsque les électriques brûlent, il est beaucoup plus difficile d'éteindre les incendies dans certains cas.
Sans vouloir dire que c'est le cas de tous les incendies de voitures électriques, il arrive qu'il faille plonger la voiture dans un container d'eau pendant de longues heures avant d'arrêter l'incendie.
Ce qui implique de pouvoir soit tracter la voiture à l'extérieur, soit de pouvoir la soulever pour la mettre dans le container.
Ce qui évidemment compliqué dans des parkings souvent bas de plafond.
Ce n'est qu'une des difficultés pour la bascule de tout le parc automobile vers l'électrique...
que feriez vous a ma place.?
1) je ne conclu pas de bail avec cette personne ni avec sa mère. Des menaces de représailles avant même que ne commence la location, c'est un bon indicateur de relations futures à problème
2) je mets directement le courrier à la poubelle (enfin au recyclage papier)
3) pour éviter les ennuis, comme le dit grmff, si courrier de huissier, une prise de contact n'est pas compliquée et peut faciliter le futur
4) je m'assure qu'il ne fait pas de même avec des colis acheté sur Internet en utilisant des cartes de crédit d'autrui.
Les colis, je ne les détruits pas directement, mais je ne les laisse pas traîner non plus.
Je signale la fraude à l'agent de quartier. Pas nécessairement très utile, mais sîl y a plainte pour les achats frauduleux, vous aurez laissé une trace que vous êtes en mesure d'indiquer qui en est le responsable présumé.
Les médias se font régulièrement l’écho de la difficulté pour les « jeunes » de devenir propriétaires, notamment parce que le prix de l’immobilier ne cesse de monter.
Il est régulièrement écrit ou dit que c’était plus facile pour la (les) génération précédente.
Je ne suis pas convaincu par ce constat généralement partagé.
D’une part, pour les générations d’avant-guerre, l’accès au crédit n’était pas simple et, à ma connaissance, l’immense majorité de la population n’y avait pas accès.
Ensuite, il y a eu la génération du baby-boom qui a, elle, eu accès aux crédits immobiliers à 100% voire jusqu’à 120%. Cela a évidemment aidé l’accession à la propriété.
Aujourd’hui, les vannes du crédit se sont un peu refermées et on entend fréquemment que les crédits au-delà de 100% ne sont plus possibles et qu’un apport de l’ordre de 20% est nécessaire.
Je ne suis pas convaincu que ce soit une généralité pour tous les primo-accédants, mais l’immense majorité de la population a toujours bien accès au crédit immobilier, quand bien même la quotité maximale serait de 80%.
Mais là où je pense que la comparaison est biaisée c’est sur les prix.
La génération des baby-boomers a acheté/construit des maisons dont le niveau de confort et finition était bien inférieur, me semble-t-il, aux critères minimaux de la plupart de la génération actuelle.
Sans parler de la récente importance donnée à l’isolation, le chauffage central ou la cuisine équipée, ou encore le nombre de salle de bains sont devenus une norme qui n’était pas très répandue lorsque les baby-boomers achetaient.
Que ça soit chez mes parents ou chez mes oncles et tantes, les chauffages centraux ou les cuisines équipées ont été installés progressivement mais n’était pas présents lors de l’achat.
Ensuite, il y a l’effet de l’inflation. 40 francs belges de l’époque avaient bien plus de valeur qu’un euro d’aujourd’hui.
Donc, est-ce que, retraités de certains de ces conforts, de l’isolation et de la simple inflation, les prix des maisons ont-ils tant monté que cela ?
Lorsqu’ils ont acheté leur première maison, un des deux salaires de mes parents servait à payer le crédit. C’était en 1970. Pas de double vitrage, pas de chauffage central, pas de cuisine équipée.
Alors, l’affirmation qu’il est plus difficile pour les « jeunes » d’être propriétaires de la même chose que pour leurs parents, selon vous, est-ce si vrai que cela ?
...Il pourrait aussi organiser des visites (donner son avis aussi sur les candidats par exemple) ...
Très peu pour moi. Mais chacun est libre de faire comme il veut.
Bonjour,
Que faire alors si la banque exige un bail signé pour la constitution de la garantie locative ?
Perso au moment de la signature je demande le 1er mois de loyer (arhe) et la constitution de la garantie dans les 15 jours ouvrables
Pour ma part, je ne signe rien tant que la caution n'est pas constituée. Et les visites continuent.
C'est non négociable. Déjà que 2 mois c'est presque chaque fois insuffisant...
Soit la caution m'est versée (sur mon compte bancaire ou en cash contre reçu), je signe le bail et si le locataire le souhaite il va ouvrir un compte garantie locative que j'alimenterai avec l'argent précédemment reçu.
Soit nous prenons rdv ensemble à la banque et une fois la caution constituée je signe devant le banquier.
Depuis de nombreuses années, toutes les cautions ont été reçues directement et aucun locataire ne m'a demandé de le mettre sur un compte bloqué.
Par contre, je mets un point d'honneur à ouvrir un compte individuel uniquement dédié à cela et j'en fourni copie des extraits au locataire.
De plus, dans le bail, j'ai une formule qui précise que la remise des clés est subordonnée à la constitution de la caution et la réalisation d'un état des lieux signé (pour l'assurance je ne pratique plus que l'abandon de recours).
Il ne m'est ainsi jamais arrivé de me retrouver dans la situation d'une maison occupée sans caution.
La mensualité du crédit se compose de deux parties : la part intérêt qui est un appauvrissement pour vous, et la part remboursement de capital qui est un enrichissement pour vous (votre passif diminue).
Peut-être plus facile à comprendre à partir du cash flow nul :
- vous achetez un bien dont vous financez l'intégralité par un crédit (achat, frais de notaire, etc),
- vous le louez et l'intégralité des coûts (taxes, crédit,etc) est couverte par le loyer pendant toute la durée du crédit.
Dans cet exemple, vous êtes devenus au terme du crédit totalement propriétaire d'un actif sans plus de passif sans avoir déboursé ni avancé le moindre euro.
Votre cashflow a été nul pendant toute la durée du crédit, votre ROI est infiniment positif.
Dans votre question, si le cashflow est négatif, c'est juste que votre investissement était un peu moins intéressant, juste un peu.
Quelle est l'ancienneté du frigo/congélateur ? Quand a-t-il été mis en fonction ?
Et le bailleur voudrait que le locataire qui disposerait de celui-ci le répare /remplace en cas de panne dont il ne serait pas responsable ? J'ai déjà eu un frigo/congélateur dont un compresseur a rendu l'âme avant 5 ans d'utilisation.
Dans le cas de figure, si j'ai bien compris, ce serait à la charge du locataire.
Où serait le prétendu bonus ?
Le locataire a avantage à se procurer lui-même le frigo/congélateur dont il a besoin.
Je n'ai pas la même compréhension que vous de la position de Mme.D.
Seule elle pourra confirmer qu'elle est la bonne interprétation.
J'ai compris que son intention était de mettre les appareils à disposition.
J'ai compris que si les appareils venaient à "mourrir", elle n'envisageait pas de les remplacer.
Dans ma compréhension, le bonus pour les locataires est que si les appareils fonctionnent pendant toute la location, ils ne doivent pas investir pour s'équiper et que si les appareils viennent à être défaillants, cela leur permet de ne s'équiper qu'à ce moment-là.
Comme un déménagement est une source de frais, c'est un "bonus" de pouvoir reporter la nécessité d'acquérir ces appareils.
Dans la mesure où il est clairement annoncé, dès les visites, que la location et le loyer ne comprennent pas ces appareils qui pourront, si le locataire le souhaite, être mis gracieusement à disposition, je ne vois pas où est le souci.
Et si le locataire n'en a pas usage, parce que comme sa brosse à dent, ça lui paraît trop personnel, le bailleur aura le choix soit de stocker l'équipement pour un locataire ultérieur, soit d'en faire don à une association d'aide de personnes défavorisées de son choix.
(Les frigos, ça intéresse toujours quelqu'un. Au passage, les étudiants sont aussi souvent grand consommateurs de frigos
)
Et à la sortie, si le frigo et/ou le four sont morts, il va de soi qu'ils n'auront pas à être remplacés par le locataire : la location ne les comprenait pas.
Pour ma part ce cas de figure s'est déjà présenté plusieurs fois. J'ai été transparent lors des mises en location. Les locataires ont toujours voulu garder les frigos (les cuisinières pas toujours). Je fais un document annexe de mise à disposition gratuite des objets qui précise qu'en cas de panne je ne les remplace pas. J'ai un stock d'appareils en attente qui me ressert de temps à autre (notamment en été quand je vais recevoir du monde).
Je me permets de rectifier une erreur involontaire de grmff :
1/ En Région Wallonne, le locataire peut mettre fin au bail de type court ( bail de 3 ans ou moins) moyennant préavis de 3 mois et indemnité de
deuxun mois. La loi étant impérative, toute clause contraire est réduite à la loi. Voire, s'il fallait le plaider, considérée comme non écrite et donc pas d'indemnité du tout.
Le site statbel explique ce qu'il faut entendre par maisons de type fermé, de type demi-fermé et de type ouvert.
L'information est accessible ici.https://statbel.fgov.be/fr/themes/const … immobilier
Maisons de 2 ou 3 façades (de type fermé + demi-fermé)
Maisons de 4 façades ou plus (de type ouvert)
Quand PIM oublie de citer ses sources, il peut toujours compter sur GT 
PIM a écrit :GT a écrit :Maisons de 4 façades ou plus (de type ouvert)
???
Pourquoi pas une maison octogonale si telle était l'intention et le goût du maitre de l'ouvrage ?
Je suis prêt à parier qu'il doit y en avoir quelques exemples sur "Ugly Belgian Houses"...
Merci.
2, 3, 4 façades, ça c'est un vocabulaire qui parle à tout le monde.
Pourquoi toujours renommer tout ?
Un aveugle, c'est plus simple qu'un non-voyant.
Une femme de ménage, c'est plus simple qu'une "technicienne de surface".
Un alcoolique, c'est plus compréhensible qu'une "personne à sobriété différée".
Je n'ai pas compris la question : "Même d'un point de vue énergétique, comment considérer un logement qui consomme x en énergie par rapport à un logement qui ne consommerait rien en énergie directement mais qui consommerait x, voire davantage, en énergie pour ventiler ou refroidir par exemple ?"
Un logement qui consomme de l'énergie, c'est pour le chauffer, le refroidir, l'éclairer et le construire (one shot).
"Le prix médian belge pour une maison de type fermé ou demi-fermé s’élevait à 260.000 euros. Le prix d’une maison de type ouvert était de 365.000 euros."
C'est quoi une maison de type fermé ? Avec toit, porte et fenêtres ?
C'est quoi une maison de type demi-fermé ? Avec toit, sans porte ni fenêtres ?
C'est quoi une maison de type ouvert ? Sans toi, ni porte ni fenêtres ?
Je doute que mes traductions soient les bonnes, cela n'a aucun sens...
...Vous avez acheté une maison? Félicitations. Réjouissez-vous, vous faites partie d'une minorité: ceux qui ont été capable de se payer leur logement.
Une minorité ?
Sans avoir les derniers chiffres en tête, j'avais souvenir qu'en Belgique le taux de propriétaire était supérieur à 75%.
Ou alors, Grmff raisonne mondial (et là je n'ai pas les chiffres).
Pour apporter un sentiment à Orange Soda, je comprends la déception que vous pouvez éprouver. Si la seule surprise que vous découvrez est un problème de stabilité de baignoire, dites-vous que vous avez fait un bon achat. Il y a toujours un risque à acheter un bien (même neuf). Si en plus le vendeur, malgré la très probable clause disant que vous avez acheté en l'état en connaissance de cause, participe à la réparation, dites-vous qu'en plus votre vendeur est du genre conciliant.
La liste d'autres désagréments vécus par d'autres acheteurs est parfois pire (mérule, infiltrations, fissures...).
Etre propriétaire c'est aussi devenir philosophe.
Je vous souhaite beaucoup de bonheur dans votre nouvelle acquisition.
Ai-je bien compris ?
L'échantillon wallon c'est 4112 biens par an ? Soit +/- 16500 biens depuis la création de ce brol pour couvrir toutes les disparités d'Arlon à Mouscron ?
Dois-je relire l'article ou pleurer ?
Faudra tout de même qu'un jour l'un d'entre vous me démontre ce qu'il y a d'inutile comme clauses dans notre modèle de bail (ce qui permettrait d'en réduire la longueur)
La question n'est pas nécessairement de savoir si les clauses sont utiles ou inutiles en règle générale, mais plutôt si elles le sont dans les cas particuliers de chaque logement.
Quelques exemples qui peuvent expliquer un élagage du modèle proposé par PIM :
- toutes les références au syndic, charges communes, règlement d'ordre intérieur... lorsque vous louez une unifamiliale ;
- toutes les références à un expert pour les ELE/ELS quand on s'estime suffisamment compétent pour les faire seul ;
- tout le paragraphe (1/2 page) "Dans l'hypothèse d'un bail de 9 années" lorsque vous ne faites que des baux de types courts ;
- toute mention "forfaitaire" lorsqu'on a décidé de ne faire que des charges réelles ;
- l'article sur la médiation, quand on ne veut pas en entendre parler.
Mais dans le mesure où le bail proposé par PIM s'adresse à toutes les situations de différents types de biens et tous les niveaux de compétence des bailleurs, le modèle PIM se doit d'être très large pour répondre à un maximum de situations.
Je ne le critique donc absolument pas. Et je le conseillerais à un ami 
Le bail PIM fait 8 pages, le mien 5, et j'ai 21 paragraphes en Times 11.
L'annexe 2 (gouvernement wallon) a été mise en page de manière à ne faire que 3 pages.
Les 2 ensemble font donc 2 pages A3 recto-verso.
1) Dans quelle région est situé le bien loué ?
2) Si c'est en Belgique, je vous invite à changer d'agent immobilier.
3)
- Pourquoi parle-t-on des baux 3-6-9 alors qu'ils sont de 9 ans, hormis les baux d'un an renouvelables par écrit.
L'appelation bail 3-6-9 est une ancienne habitude qui ne correspond plus à la loi sur les baux de résidence principale depuis le début des années 1990. La force de l'habitude...
Aujourd'hui, les baux de résidence principale sont soit de 9 ans, soit de courte durée (<3ans), soit d'autres formes moins courantes comme le bail à vie par exemple.
Il n'est pas tout à fait exact de parler de baux d'un an renouvelable par écrit.
Le 1 an renouvelable n'est qu'une forme de bail de courte durée.
Vous pouvez avoir des baux de courte durée de 3 ans, de 6 mois, de 18 mois... tout est possible pour autant que
- la durée (renouvellements inclus) n'excède pas 3 ans (sinon, d'office, on en revient au bail de 9 ans),
- le nombre de renouvellements est plafonné à 2 ou 3 selon les régions.
4)
- Si je peux arrêter le bail avec 3 mois de préavis, dès ce 3 décembre 2019 et sans aucune indemnité, comme le prévoit le texte ?
Pour autant que la prise d'effet du bail ait eu lieu le 3/12/2019, vous êtes aujourd'hui déjà dans un bail de 9 ans :
- 1ère année du 3/12/2019 au 2/12/2020 ;
- 2e année du 3/12/2020 au 2/12/2021 ;
- 3e année du 3/12/2021 au 2/12/2022. Nous sommes en novembre, vous êtes trop tard pour envoyer un préavis 3 mois avant l'échéance.
Quel que soit le paragraphe que l'on prenne dans l'extrait du bail que vous avez cité, dans tous les cas, j'arrive à la conclusion que vous êtes déjà lancé dans un bail de 9 ans.
5)
Si ce bail devenu un bail de 9 ans et à partir de quelle année, 03/2019 ou 03/2020 ?
La date de départ se calcule toujours à la première entrée du locataire dans les lieux.
S'il est entré le 3/12/2019, le bail de 9 ans a débuté le 3/12/2019.
Quelle est la définition d'étudiant ?
Personne inscrite dans une école ?
Parce que si tous les étudiants étudiaient, ça se saurait 
Il me semble que Budget & Droits est passé à côté d'un aspect de la conservation de certains documents : la paranoïa de certaines banques belges en ce moment au sujet de l'anti-blanchiment.
Pour ma part, je conseillerais aujourd'hui de conserver ad-vitam aeternam, y compris vos héritiers après vous, tout document qui concerne un enrichissement conséquent pour vous.
Que ce soit un acte de vente d'un bien (et toutes les traces bancaires subséquentes) ou les preuves de paiements de loyers représentant un part conséquente de mes revenus à un instant donné.
Ex : si vous gagnez 2000€ net par mois, mais que vous encaissez 10 loyers de 600€, vos preuves de revenus immobiliers seront beaucoup plus importantes que vos preuves de salaires.
Je connais des cas où des héritiers ont dû justifier de l'origine des revenus de leurs grands-parents.
A mes yeux, dans certains cas, c'est clairement de l'abus, mais c'est toujours au pot de terre à se justifier face au pot de fer.
Il faut parfois pouvoir prouver, documents à l'appui, comment vous avez acheté un bien. La conservation des preuves du crédit bancaire sont donc nécessaires. Et s'il s'agit d'un réemploi de la vente du bien précédent, la façon dont l'achat précédent avait été réalisé pourra être nécessaire...
Pour répondre à la question, pour les EDL, 10 ans c'est vraisemblablement suffisant (bien que si un locataire reste très longtemps, il n'est pas inutile de conserver les EDL du locataire précédent), mais pour les sources de revenus conséquents, 10 ans me semble vraiment bien peu.