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@ hnb
Vous adorez la maison... Tant mieux !
Je ne sous-entend pas que vous êtes une profiteuse.
Vous êtes dans l'erreur en affirmant que vous auriez pu exiger nouvelle moquette et peinture de la part de votre bailleur. Vous auriez pu le négocier avant la signature du bail, oui. Ce n'est pas pareil ! Et non, ce n'est pas "dans les droits du locataire" !!!
Vous êtes encore dans l'erreur en affirmant que vous auriez pu faire appel à un chauffagiste et envoyer la facture à votre proprio... Mais vous devez aviser le bailleur, qui doit réagir au plus vite et remédier au problème. J'ignore si ce délai de 15 jours avant réparation est justifié... Peu importe, c'est résolu.
Il existe un problème au toit. Problème à résoudre. Prix et ampleur des travaux ? Réaction du propriétaire à votre demande raisonnable ? Vous pouvez le menacer de quitter les lieux. Mais soit votre proprio "profite" de vous et essaiera de vous retenir, soit votre loyer modéré justifie que vous fassiez un effort... Soit vous cherchez un compromis. (Par exemple, vous consentez à investir dans des travaux au toit, en échange d'une prolongation de bail, puisque vous adorez la maison)
@ Grmff : Panchito énonce une vérité... Et si elle n'est pas positive pour hnb, elle a le mérite de recadrer les choses. Je pense que c'est non seulement constructif, mais nécessaire ! Il existe un équilibre entre le prix et le bien...
Encore un mot : Le titre de ce sujet me parait aussi bien inadapté.
Propriétaire profiteur...
Inexpérimenté, oui
Imprudent, oui (louer un bien sans ELE détaillé)
Pas méchant pour un sou : signe vos papiers de réclamations, vous propose de ne pas indexer le loyer...)
Est-ce que le locataire ne voudrait pas le beurre, l'argent du beurre et le sourire du proprio ??? On paie un minimum, mais on exige le maximum...
Ce n'est peut être qu'une impression.
Mais si j'ai tout faux, vous trouverez surement mieux ailleurs, dans 3 mois.
Allons voir ce que la réglementation de l'IPI dit
Et le Code Civil ...Résumons.
Le syndic a trois choix:
- déléguer -> autorisation explicite de l'AG nécessaire
- demander à se faire adjoindre un syndic adjoint par l'AG (pas la bonne solution: sa présence est nécessaire vu qu'un syndic adjoint ne peut pas représenter l'ACP)
- faire le sourd et assumer le risque en cas de pépin (voir aussi déontologie IPI - Art. 3 - alinéa 2)Il va de soi que les frais supplémentaires de son remplacement sont à charge du syndic en titre.
Et s'il agissait tout simplement avec bon sens ? En bon "père de famille".
Il délègue, il prend l'initiative et assume sa décision...
Il pense un peu moins aux textes légaux et pense un peu plus à veiller au mieux aux intérêts de la copropriété.
Bravo et bon rétablissement, le syndic !
...Soit vous vous accrochez au logement, soit vous partez en claquant le porte, et en demandant des indemnités que vous n'aurez sans doute pas.
SI vous voulez vous accrocher au logement, agissez en conséquence de la situation: une maison pourrie, un proprio sans le sous et incapable de résoudre votre problème.
Prenez les choses en main, demandez des devis, une réduction de loyer pour les inconvénients, et une retenue de loyer pour payer les travaux vous-même, sur base de devis acceptés par le propriétaire.
Simple, direct, efficace. Point barre.
C'est aussi ce que je pense.
Ne soyez cependant pas trop gourmande dans vos exigences, car la proprio peut aussi décider de mettre fin au bail.
Je ne connais pas la situation de votre bien, mais avant de hurler à la maison pourrie, voyez si on vous propose mieux pour moins cher.
Si oui, déménagez.
Si non, faites pour le mieux avec ce que vous avez !
@rexou, je ne vous en veut pas, vous n'êtes probablement pas au courant du contexte. Mauvaise citation au mauvais moment.
Désolé, je ne suis en effet pas informé du contexte de votre vécu.
C'est seulement la lecture de l'allusion à un passé bien lointain qui m'a fait penser à cette citation, qui n'était une façon un peu humoristique de dire que la situation a quand même un peu évolué.
Je viens par ailleurs de donner avant de lire ce message, la perception que j'ai de votre intransigence face au respect des prescrits légaux. C'était peut être une erreur. En tout cas, ce n'est ni un jugement ni une appréciation quant à un litige dont je ne connais absolument pas l'objet. Votre perception diffère de la mienne et je peux respecter sans obligatoirement partager.
@ Grmff
En effet, je ne suis pas syndic.
Je vous concède bien volontiers que les perceptions des uns ou des autres peuvent être très diverses. C'est d'ailleurs la variété de ces perceptions qui alimente les débats, parfois houleux...
Une discussion peut porter sur la fréquence d'un nettoyage, sur le choix d'une société, voire d'une concierge, ou sur un partage éventuel à charge des différents occupants, ou encore d'un travail en noir. Mais chacun admettra qu'il est indispensable de maintenir un minimum de propreté ! Concernant les travaux, un ordre de priorité est établi, certains travaux sont refusés, reportés, ou font l'objet d'une réparation de fortune "en attendant"...
Il arrive souvent qu'un petit groupe actif emporte la décision de son choix, simplement en argumentant de manière convaincante face à une majorité plus passive.
Les intérêts de tous restent la bonne gestion et le bon entretien de leur bien, donc globalement convergents, malgré les différences d'avis, d'opinion, de perception, de fortune, etc...
@ Luc :
J'ai bien compris que vous êtes en litige dans le cadre de votre copropriété. Un CP peut toujours aller en justice s'il le juge nécessaire, mais je crois que c'est quelque part l'aveu d'un échec de communication avec l'ensemble des CP.
Vous prenez pour exemple un refus ou oubli relatif à un contrôle annuel. Mais êtes vous absloment sûr du respect de toutes les normes en matière d'ascenseur ? Ou de la conformité de toutes les installations électriques de l'immeuble ?
Comme disait très bien Gof : "Le monde n'est pas parfait. Et si on en prenait acte? "
Vous êtes un légaliste absolu. Vous respectez la loi, telle que vous la percevez, avec intransigence. Je suis quant à moi nettement plus souple. Par exemple, je ne m'offusquerai pas d'une femme de ménage qui entretient les communs en noir, moyennant un minimum de précautions niveau assurance par exemple. Si Saxo me lit, nul doute qu'il me taxera encore d'incivique, et vous serez déjà au moins deux à me vouer aux enfers... Je crois que le rôle du syndic est d'énoncer ce qui est légal ou non, de citer les risques, avantages et inconvénients des différentes solutions possibles, et à l'ACP de prendre ses responsabilités et de faire un choix.
@ Grmff :
En effet, un débat permet souvent de déboucher sur un concensus général et donc une belle unanimité.
A défaut, le nombre fait en effet la loi. (selon les quotas exigés, bien sur, mais dans le cas que cite Luc -98% / 2%- la chose paraît claire).
Il est quand même utile de rappeler que dans une copropriété, les intérêts de tous sont bien souvent convergents.
Le prescrit légal est la référence de base, sinon ce serait la jungle. Le syndic a un devoir d'information à ce sujet. Le respect de la stricte conformité ou de l'interprétation de ces prescrits ressort de la responsabilité des CP, après débat et décision de l'AG.
@ Grmff :
Heu... Perso, je n'ai traité personne d'incivique. C'est Saxo qui me qualifiait ainsi pour ma réticence à une certaine forme de collaboration...
Je loue (louais plutôt) un bien (pas une boite) à un locataire qui vivait de fait à une autre adresse, mais me payait régulièrement son loyer. Et je prétends qu'il ne m'appartient pas de juger des motivations de mon locataire, ni d'en informer la police. Je prétends aussi que le syndic n'est pas supposé remplir ce rôle d'informateur.
A titre d'amuse-gueule, un texte sur les débuts historiques de la comptabilité. J'en retiens, comme vous refusez la comptabilité en partie double, que vous voulez probablement retourner vivre avant le 15ème siècle.
Luc, je crois que c'est un proche de Louis XIV qui a proclamé : "Tout comptable doit être pendable"...
@ Saxo :
Il vous apparaît donc incivique de ne pas simplement appliquer la loi sans se poser de question ?
Par contre, vous zappez la réponse ! Quelle serait selon vous l'utilité de cette mention bien spécifique de la date de nomination du syndic ? Une contrainte qui entraine des frais d'individualisation des plaques et n'apporte rien aux copropriétaires ni aux locataires, selon moi. Mais je suis prêt à vous lire, Saxo, pour peu que votre raisonnement dépasse le "de wet is de wet".
Concernant la police, dans certains cas, elle peut aider à solutionner des problèmes et il est évident qu'il n'est pas exclu de pouvoir collaborer avec eux.
Par contre, je suis bailleur, et je refuse de donner toute info qui serait susceptible de nuire à un de mes locataires (ou voisin). Un exemple : un locataire domicilié, payant son loyer, et totalement absent. La police souhaitait connaitre son lieu de résidence réelle, son numéro de gsm, ou les coordonnées de son employeur... Désolé, mais la boite aux lettres est disponible, et si l'intéressé le souhaite, il prendra contact. Je l'ai contacté pour l'avertir, et à lui de donner la suite qui lui convient.
J'entretiens une relation commerciale avec mon locataire, comme avec mon syndic. Une relation de confiance... au mieux du respect de nos intérêts respectifs. Et ceci n'est pas contraire à la loi !
La date de la nomination, je me demande bien quelle est l'utilité..
Par contre, j'ai déjà eu souvent la police, par exemple pour demander des noms de propriétaires/locataires...
La commune dispose en principe de ces infos.
Un syndic est un organe privé, rémunéré par des privés, dans le cadre d'un contrat privé. Il n'est pas et n'a pas à être au service de la police !
HELP !
Sujet toujours d'actualité...
Pas de réaction ?
Ce n'est pas une plaque passe-partout du genre : "cet immeuble est géré par x".
Mais c'est une plaque personnalisée, qui réponde à la définition donnée par la loi :
"« § 2. Un extrait de l’acte portant désignation ou nomination du
syndic est affiché, dans les huit jours à dater de la prise de cours de sa
mission, de manière inaltérable et visible à tout moment à l’entrée de
l’immeuble, siège de l’association des copropriétaires.
L’extrait indique, outre la date de la désignation ou de la nomina"tion,
les nom, prénoms, profession et domicile du syndic ou, s’il s’agit d’une
société, sa forme, sa dénomination sociale, son siège social ainsi que son
numéro d’entreprise si la société est inscrite à la Banque-Carrefour des
Entreprises. Il doit être complété par toutes autres indications permettant à tout intéressé de communiquer avec le syndic sans délai et
notamment le lieu où le règlement d’ordre intérieur et le registre des
décisions de l’assemblée générale peuvent être consultés."Tout intéressé, c'est par exemple : les autres occupants (locataires), la police, etc.
Et il est bien évident pour chacun qu'une plaque passe-partout ne pouvait absolument pas suffire. Il est bien sur primordial que tout un chacun soit informé de la date de nomination du syndic... Pourquoi ne pas aussi y ajouter les prénoms et âges de ses enfants ?
Les nom, adresse et tel (avec numéro BCE éventuel) ne sont ils pas suffisants ? Ces informations peuvent être utiles aux occupants locataires.
Mais en quoi la police est-elle concernée ???
Et en quoi la date de nomination du syndic est-elle si importante ?
Tintin a écrit : Chez nous toutes les A.G. sont des assemblées d'entérinement des décisions déjà prises par le syndic et le conseil de gérance. 98 % des votes "POUR", 2 % Contre. (...)
Croyez-moi, quand nous allons publier notre rapport devant la justice, il va faire mal.Démocratie veut dire débat.
Et pas, comme certains esprits bornés l'imaginent : le nombre fait la loi.
Le syndic et le conseil de gérance, ça ne fait pas 98% des voix ! A ce stade de quasi-unanimité, un débat est-il encore justifié ? Les 2% ont le loisir de s'exprimer s'ils le souhaitent, mais je crois qu'en effet, le nombre fait la loi ! Non ?
@ Francis :
Ne pas être membre de..., ni labellisé, ni toujours en accord avec Luc c'est bien pardonnable tout ça !!!
Par contre, le sens de la logique, le sens de l'humour, la compétence surtout, le sens de la communication et un peu de caractère, ça fait de vous un humain (et un syndic) tout à fait fréquentable !
Vous n'êtes "pas bon marché"... Ben oui, chacun a ses défauts... Mais ça se discute.
je maintiens que c'est la porte ouverte aux emmerdements.
Si acheteur pressé, il n'a qu'à passer son acte + vite.
Il existe un risque, en effet... mais la vie est un risque
Et un document notarié bien torché est déjà une protection.
Perso, j'étais l'acheteur pressé... Et dans ce type de transaction, l'acheteur a la main... surtout quand cette main se dispose à lacher des billets !
Passer l'acte plus vite...
Le notaire demande un délai de deux à trois mois.
La totalité de l'argent n'est pas nécessairement disponible.
Et enfin, le vendeur est rassuré par l'importance de l'acompte, la quasi-finalisation de sa vente, et ne tient pas compte du fait qu'avant l'acte, il reste fiscalement taxé sur le bien.
Je referais encore volontiers l'acheteur pressé :
1. Visite et offre de prix.
2. Si acceptation du vendeur, offre de 30% d'acompte dans les 48H chez notaire, contre remise des clés à cette occasion et compromis inconditionnel. (en supposant bien sur que le bien soit libre d'occupation)
3. Acheteur pressé heureux avec 4 mois pour signer acte de base et vendeur avec un souci de moins et du cash disponible. Eventuellement, agence commissionnée au passage 
En lisant ce forum, j'ai enfin compris ce qui oppose Saxo à l'ABSA.
Loin de moi l'idée de prendre position sur un sujet que je ne connais pas.
Et Saxo qui me suspectait d'être syndic ! J'ai senti le souffle de la hache du bourreau là !
Mais quand même... l'ABSA peut aussi s'exprimer, et surtout, peut réagir après être mis en cause, non ?
Et là, je prends aussi la fuite, car j'ai une confiance bien limitée en la justice...
S'il s'agit de concéder un droit d'occupation avant l'acte: c'est à déconseiller catégoriquement (cfr par exemple dans notre FAQ : cette question-ci)
Pourtant, j'ai déjà procédé de la sorte (en tant qu'acheteur) sans que cela ne pose de problème. En proposant un acompte assez substantiel (30% si je me souviens bien), un compromis sans aucune réserve liée à l'octroi d'un emprunt et un document stipulant que l'acheteur ne pouvait occuper le bien ne pouvait y effectuer de travaux lourds, et engageait sa pleine responsabilité en cas de problème... Deux achats de la sorte (par agence) et réception des clés lors du paiement de l'acompte. Ces compromis ont été rédigés par notaire.
Pour 3 à 5 ans. Certainement pas. Un bail de résidence pricipale, c'est un bail de type court de max 3 ans, ou un bail de 9 ans.
En effet, je me suis aperçu avoir omis de préciser ce point... Mais je me doutais bien que ces "5 ans" n'échapperaient pas aux nombreux experts de ce site. Et je ne suis pas surpris que ce soit Grmff.
Ah, louer meublé à Bruxelles... cela dépend encore de la localisation, du type de bien... La proximité est en effet indispensable, ainsi que la disponibilité. Le roulement des locataires est plus important, et si le meublé n'atteint pas un standing (et prix) d'un certain niveau, cela devient une activité sociale à haut risque... Mais un 3 chambres de 150 M2 près du Marché commun ou à Woluwé, c'est de l'or !!!
Francis, vous lire est un plaisir !
Heu... Je cherche un syndic sur Breuxelles
(?) 