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Bonjour
Un couple qui n'est pas marier achete une maison, mette la maison au nom de l'homme , quel que année plus tard il décide de se marier mais ne font pas de contrat de mariage.
La femme a mit plus de 2 millons de franc belge pour la maison.
En cas de divorse ou de deces que se passe t'il
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Bonjour
Un couple qui n'est pas marier achete une maison, mette la maison au nom de l'homme , quel que année plus tard il décide de se marier mais ne font pas de contrat de mariage.
La femme a mit plus de 2 millons de franc belge pour la maison.
En cas de divorse ou de deces que se passe t'il
Il est encore temps de faire un contrat....
Voici ce qu'en dit le site des notaires :
Par contrat de mariage, les futurs époux peuvent faire entrer dans la communauté conjugale un immeuble déterminé: ils devront simplement le prévoir dans leur contrat de mariage. Cette possibilité peut aussi être offerte aux époux déjà mariés sous un régime de communauté: dans ce cas, ils devront suivre une procédure de modification de régime matrimonial.
Christian est propriétaire d'une petite maison qu'il a achetée avant son mariage avec Nicole. Comme il ne disposait pas d'économies, il a sollicité un emprunt total auprès de son institution financière habituelle; bien entendu, au moment du mariage, Nicole a promis à Christian de participer aux différentes charges de l'emprunt.
A ce moment, Christian apprend que, même s'il ne fait pas de contrat de mariage, la maison lui restera personnelle, puisqu'elle était sa propriété avant le mariage. Il estime que cette situation est injuste pour Nicole qui aura contribué autant que lui aux différents remboursement de prêt. Comment doit-il faire pour que la maison soit autant la propriété de Nicole que la sienne?
Clause d'apport d'un immeuble dans la communauté.
Le moyen le plus sur de rétablir l'égalité entre Christian et Nicole est de prévoir, par contrat de mariage, l'adoption d'un régime de communauté ou de société limitée, par exemple à l'immeuble. Il faut ensuite que Christian apporte la maison dans la future communauté. Dans ce cas, la maison deviendra commune, et Christian et Nicole auront exactement les mêmes droits dans la maison. Cette solution est également avantageuse au point de vus fiscal, parce que, dans ce cas, Christian et Nicole ne devront pas supporter de droit de mutation immobilière.
Bien entendu, puisque les deux deviennent propriétaires de la maison, il est normal de prévoir que la dette hypothécaire sera dorénavant supportée par les deux époux.
Si Christian et Nicole le désirent, ils pourront même prévoir dans leur contrat de mariage que toute la communauté (en ce compris la maison) appartiendra intégralement au survivant, en pleine propriété, même si, ultérieurement, ils ont des enfants.
Valable également pour les terrains.
Cette solution d'apport en communauté est parfois utilisée pour des terrains. Lorsqu'un des époux est propriétaire d'un terrain sur lequel les deux époux souhaitent faire construire plusieurs solution s'offrent à eux:
soit, ils construisent ensemble sur le terrain appartenant à l'un d'eux. Celui qui est propriétaire devient automatiquement propriétaire des constructions. Cette solution n'est pas équitable pour celui qui a contribué au financement mais n'est pas propriétaire. Il pourra cependant demander de récupérer certaines sommes lorsque des comptes devront être établis, par exemple en cas de divorce. Mais, à ce moment, il est souvent extrêmement difficile de trouver une solution équitable!
soit, celui qui est propriétaire du terrain renonce pour partie au droit d'accession, c'est à dire au droit d'après lequel il devient automatiquement seul propriétaire des constructions; dans ce cas, les constructions reviendraient aux deux époux, et le terrain resterait la propriété d'un seul. Cette solution semble rarement satisfaisante.
soit, l'époux apporte le terrain en communauté: de cette manière, les deux époux auront les mêmes droits sur la maison qui y sera construite.
Cette dernière solution semble être la plus juste pour les deux époux.
Et, pour les couples mariés?
Bien entendu, tout ce qui précède vaut également pour les couples mariés. Mais, dans ce cas, des difficultés complémentaires de procédure peuvent surgir. En effet, si des futurs époux désirent adopter cette clause, ils pourront le faire dans un simple contrat de mariage. Par contre, si cette clause est adoptée par des époux mariés, ils devront respecter les règles de modification de contrat de mariage, et demander l'homologation du tribunal.
Condition indispensable: une communauté de biens
Tout ce qui précède n'est valable que pour les époux mariés sous un régime de communauté, ou avec une société d'acquêts. Pour faire entrer un immeuble dans une communauté, il faut évidemment que cette communauté existe. La solution proposée ne peut donc pas s'appliquer aux partenaires non mariés ou aux époux mariés sous le régime de la séparation de biens pure et simple.
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Quel courage, cher Pim. Un long message comme celà, un dimanche, ......
A moins que vous n'ayez un stock en réserve.
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Attention à ne pas vous laisser bouffer par l’implication dans une activité quelle qu’elle soit.
Je parle d’expérience ; nous avons, mon épouse et moi, avec l’aide de nos grands enfants redressé une association sportive et gérée pendant 7 ans. Une foi le train bien sur les rails et la caisse bien pleine, un clan s’est formé, il y a 3 ans, pour reprendre les rennes ( oui, c’est même de l’équitation ) et me mettre au placard.
Dans ces situations, on ne connaît plus ses amis et copains, el il n’y a aucune reconnaissance du travail réalisé.
Se faire mettre de côté fait très mal et je commence enfin à y penser moins, pas à oublier.
Cordialement
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Et si le mari ne veut pas regulariser que se passe t'il en cas de déces, le mari a 4 enfant de son coté et la femme 1 enfant
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Calimero bonjour ,
A mon humble avis , si le monsieur n'accepte pas de faire rentrer le bien dans la communauté , les enfants du monsieur héritent de la pleine propriété ( chacun 1/4 de la PP ) en cas de décès du monsieur.
Allez chez votre notaire , il vous sera de meilleurs conseils.
Bien à vous .
KAPLAN.
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Et si c'est la femme qui décede ?
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Pour être complet, signalons qu'un projet de loi est en cours d'élaboration, aux termes duquel, en cas de décès de l'un des conjoints, non marié, l'autre disposera automatiquement de l'usufruit de l'immeuble et des meubles qui le garnissent.
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