Je constate que tout le monde reste bloqué sur le panneau à 20 euros, mais ce n'était qu'un exemple parmi d'autres (et pour votre information, je ne peux apporter de modification à l'habitation sans le consentement de mon propriétaire que je n'ai pas reçu ce jour-là même si je le payais moi même ce panneau). Mais je le répète, ce n'était qu'un exemple. Je ne veux absolument pas prendre le chemin de l'escalade, je me suis très probablement mal exprimé avec ma phrase maladroite "monnaie de sa pièce". Mais mon propriétaire me pourri assez bien la vie (locative) depuis le début et est de très mauvaise foi (je n'avais pas d'eau chaude en rentrant dans l'habitation pendant 1 mois par exemple et il traînait pour le chauffagiste et m'a fait payer le mois plein). Mais soit, ce n'est pas l'objet de la question. Je ne veux absolument pas jeter de l'huile sur le feu, je veux que la situation soit sereine. Je ne faisais que donner des exemples. Mais je pense que tous locataires et tous propriétaires ont leurs lots de problèmes avec chacun leurs points de vue sur ces problèmes. Ici, je m'interrogeais sur un cadre légal sur ces visites qu'elles soient annuelles ou pas et/ou avec experts ou autre ou seul. Cadre légal hors contrat de bail (pour les baux ne parlant pas de ces visites). Et comme je n'ai pas trouvé de cadre légal en cherchant sur internet mais plutôt beaucoup d'articles parlant de "bonnes pratiques", je me demandais quel poids elles avaient ces bonnes pratiques si aucun cadre légal n'était présent et pourquoi (dans le cas hypothétique que cela va jusque là) un juge de paix favoriserait une partie plutôt que l'autre ? Même si je comprends que le bien est et reste celui du propriétaire.