effectivement. Il avait été émis 66 actions... Pourquoi 66? c'est déjà un non-sens de la part de notre père alors qu'il savait très bien avoir 5 héritiers. De fait, il a toujours protégé mon frère puiné. Donc chacun devrait recevoir 13 actions et la dernière devrait être divisée en 5 parts égales. Ma soeur qui est administrateur s'est approprié toutes les actions et ne conteste pas le fait que nous en avons chacun notre part.

Néanmoins, si je dois ester en justice contre eux, la première chose que je demanderai à mon avocat est d'ordonner la restitution de mes actions, ce qu'elle sera obligée de faire pour garder la face.

Ce sont de mauvais gestionnaires! mon frère puiné qui était en somme le gérant de l'affaire et qui denait le pot plus ou moins droit est décédé en juin 2005. Depuis lors, leur avocat s'est institué gérant, ce qui pour moi est déjà une faute grave de sa part.

Reprenons un peu l'histoire des lieux. Il existait une usine dans les lieux depuis 1937... ce frère qui avait quasi les pleins pouvoirs dans les lieux depuis 1965 car il m'a fait éjecter alors que je travaillais avec lui, ce fut un peu comme un coucou qui rejette l'autre du nid, il allait se marier et c'était la condition à son mariage.

Depuis 1985, il occupait un étage du bien avec une société à lui qui faiait un travail analogue à l'usine, mais sur d'autres supports, l'immobilière fut créée en 1989 et en 1994 l'usine première fut mise en faillite. Il y a dû avoir un accord avec le curateur car je n'ai jamais eu vent de cette faillite. En 1995, mon frère augmenta le capital de sa propre société et d'SPRL elle passa en SA et s'octroya l'objet, les machines et la clientèle de la première usine, ajoutant cette faculté à sa propre société. Déjà ici, je peux parler de détournement d'héritage car il me semble que cette faillite avait été faite à dessein.

Dès le décès de mon père qui ne s'occupait plus de rien depuis des années, le Triumvirat décida de louer les étages en bureaux et garde-meubles. Au décès de ma mère, en mai 2003, je me suis rendu sur place pour récupérer une voiture ancienne que j'y avais entreposée, surout parce que je savais déjà que je devrais m'opposer à leurs décisions. A ce moment, les machines de l'"usine" fonctionnaient toujours au profit de sa propre société et en fait, il occupait deux étages, ne payait jamais ses loyers car tous les frais électricité et voiture de société comprises, étaient payés par l'immobilière alors que tous les bénéficies étaient empochés par le biais de sa propre société.

Même un emprunt octroyé à l'immobilière en 1993 (€185.000), n'a pas servi entièrement à sa destination, il y a un trou que mon réviseur d'entreprise n'arrive pas à combler.

Vous voyez, les Ewing en pâle allure à côté de ce que je vis.

Llop d'Oro