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Nous avons été interpellé par la réaction de l'IPI ainsi que de la réaction subséquente de l'ABSA suite à la publication par le CNIC d'un communiqué de presse au sujet de la condamnation d'un syndic par le tribunal de Furnes, pour malversations financières au préjudice de nombreux copropriétaires.
Dans ledit comuniqué de presse, le CNIC, qui entendait simplement suggérer à l'IPI un renforcement de son contrôle sur les syndics et notamment ceux des syndics qui sont membres de l'IPI, s'est vu enjoint d'accorder à l'IPI un "droit de réponse" voire même que le CNIC retire son propos.
Il convient d'indiquer d'emblée que le droit de réponse, sauf lorsqu'il est ordonné par un juge, demeure une faculté que l'on ne saurait par des pressions, du chantage ou des menaces imposer à un interlocuteur. Si l'IPI se sentait dans son bon droit, il lui est absolument loisible de saisir la juridiction compétente aux fins de voir ordonner un tel droit de réponse.
De plus, le CNIC est une association INDEPENDANTE qui n'entend pas être inféodée à quelque lobby ou groupe de pressions que ce soit. Sa crédibilité toujours croissante est à ce prix!
Enfin, il convient de rappeler que le contrôle de l'IPI s'entend comme s'appliquant non seulement aux syndics membres de l'IPI, mais aussi et peut-être surtout aux syndics non membres de l'IPI, lesquels sont le plus susceptibles de nuire à la réputation de l'IPI. Par conséquent, l'IPI aurait été dans tous les cas interpellé et ce à juste titre.
Le CNIC demeurera vigilant à cet égard.
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