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Bonjour à tous,
Que faire ?
Rien. Il n’y a rien à faire…
Alors qu’un agent immobilier peut cacher un syndic puisque tous ces Protées se rendent insaisissables en changeant de peau plus souvent qu’à leur tour, tantôt agents d’assurances ou entrepreneurs, puis intermédiaires financiers ou régisseurs ou commissionnaires ou n’importe quoi encore, on ne peut suivre les sinuosités de ces affairistes sans être pris de tournis.
Alors que les copropriétaires français sont en nombre sur Internet où ils exposent leurs malheurs et leurs griefs, qu’ils sont défendus par des associations indépendantes comme l’ARC (Association des Responsables de Copropriété), les petits Belges sont bien dépourvus. Et ce n’est pas le S.N.P. (Syndic’s National Power) qui pourrait les aider puisque cet organisme est à l’origine de la révision bâclée, gâchée et ratée de la loi scélérate de 1994 dont on se rappellera qu’il en était déjà à la fois le géniteur et la mère porteuse.
Alors que même sur PIM on ne peut s’adresser aux victimes sans qu’aussitôt l’un ou l’autre syndic se précipite pour tenir la chandelle…
Alors que les syndics et leurs porte-voix poursuivent leurs grincements dodécaphoniques en faveur de leurs protecteurs en robes et jabots, jour après jour les médias dressent un portrait toujours plus féroce de la magistrature. Les copropriétaires pourraient compléter ce sombre tableau par une touche à la fois désespérée et révoltée.
Les faits sont nombreux et ils parlent. Et un seul fait est plus fort qu’un Lord-Maire.
Dans la littérature judiciaire, aucun syndic n’a été condamné pour faute commise dans sa gestion. Par contre, les copropriétaires condamnés sont légion.
Il faut bien le constater, qu’on le veuille ou non, même si cela fait mal, il faut le dire : la justice a déserté les prétoires.
Semaine après semaine, les nombreux exemples de jugements aberrants soumis ici même à la réflexion des copropriétaires ont prouvé et démontré qu’un puissant lobby est un pouvoir devant lequel la loi est impuissante surtout lorsqu’elle est avilie par des serviteurs indignes.
Pour les juges, tous les syndics sont honnêtes et tous les copropriétaires sont des bandits.
Ce sera ma conclusion irréfragable : il n’y a rien à faire…
Cordialement,
Augustin
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Le syndic est un mal qui répand la terreur. (La Fontaine).
C’est une illusion de croire que, n’étant ni voleur ni meurtrier, on ne peut pas être condamné. (Vieux proverbe wallon).
Bonjour à tous,
Que faire ?
Rien. Il n’y a rien à faire…
Ah ! Qu'il est doux d'être syndic ! Qu’il est doux de se faire servir la soupe par les juges. Qu’il est doux de vivre de prébendes et de bakchichs sans le moindre contrôle, sans la moindre surveillance, sans le moindre risque, sans le moindre tourment ! Une vraie vie de pacha !
J’apprends que les laudateurs des syndics et les syndics eux-mêmes se tourmentent. Ils se font un sang d’encre et m’appliqueraient volontiers une volée de bois vert pour me punir d’avoir eu l’audace de sortir de leur chemin balisé. Ils ont même entonné en chœur le grand air de la Calomnie.
C’est sans importance car je ne descends jamais dans les bas-fonds.
Je ne leur parle d’ailleurs pas. Je m’adresse à ceux qui habitent une copropriété et qui sont outragés et rançonnés par leur syndic. Ceux-là ont eu l’occasion de vérifier parfois dans leur chair et toujours dans leur portefeuille la force de mon propos. Qu’ils aillent sur Internet et recherchent les forums de discussion indépendants. Ils verront que nous sommes de loin les plus nombreux.
Qu’ils permettent encore à un homme d'expérience, à un vieux briscard qui connaît de longue date tous les pièges de la copropriété, ses tenants et aboutissants économiques, financiers, juridiques et même politiques, de leur donner 3 conseils :
1.- Evitez d'habiter une copropriété et surtout d'être copropriétaire. Sinon :
2.- N'assistez jamais à une assemblée générale.
3.- Taisez-vous et payez.
Ces conseils valent leur pesant d'or.
Cordialement,
Augustin
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Le syndic est un mal qui répand la terreur. (La Fontaine).
Celui qui fait confiance à la justice n’a jamais été jugé. (Vieux proverbe wallon).
Bonjour à tous,
Que faire ?
Rien. Il n'y a rien à faire…
En examinant avec attention les questions posées par la gestion des copropriétés et les réponses apportées par le pouvoir judiciaire, il apparaît que si le comportement des syndics est dans l'ensemble irrésistiblement empreint de malhonnêteté, c’est parce que les juges l’ont minimisé voire stimulé par leur tolérance. Leur indulgence s'est étendue jusqu'aux errements les plus extrêmes. La loi est ignorée ou elle est interprétée de manière partisane ou elle est souvent même réécrite, tout cela dans un brouillard de mots dissimulant à grand-peine l'effrayante indigence intellectuelle de la magistrature.
La malhonnêteté des syndics est le résultat d'une démission judiciaire assez cynique.
Si justice était faite, la plupart des syndics seraient professionnellement décapités. Pour éviter cette hécatombe, les juges ne condamnent jamais la gestion d’un syndic en dépit de la loi, de malversations démontrées, du scandale ainsi créé. Ils sont responsables de la défiance à l’égard de la justice qu’ils ont propagée dans la population et en particulier dans le chef des honnêtes gens indignés.
Cette impérieuse vérité s'impose malheureusement à l'observateur impartial.
Celui qui fait confiance à la justice mérite sa condamnation. (Vieux proverbe wallon).
Cordialement,
Augustin
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Le syndic est un mal qui répand la terreur. (La Fontaine).
Bonjour à tous,
Que faire ?
Rien. Il n'y a rien à faire…
Les jugements relatifs aux copropriétés sont nombreux mais les publications sont rares. Dans ces cas limités, il peut être intéressant, lorsque cela est possible, de mentionner les références pour que le lecteur intéressé puisse compléter son information.
Il me paraît cependant utile de commenter aussi quelques cas pendables parmi les plus caractéristiques mais dont les spécialistes n'ont pas cru devoir publier les considérants peut-être pour ne pas jeter le trouble quant à la sérénité de la justice. Vœu pieux puisqu'on assiste aujourd'hui aux affres des juges pris la main dans le sac, ergotant devant les caméras de la télévision, tentant maladroitement et vainement de sauver les restes de leur honneur perdu dont les lambeaux désormais leur pendront aux basques et les suivront partout.
Pour en revenir au sujet, PIM lui-même sur son forum "copropriétés" reprend parfois mais trop rarement les précieux commentaires de ses correspondants sur leurs expériences judiciaires qui bien souvent n'ont malheureusement pas reçu une publicité méritée.
L'absence d'une bonne documentation sur la manière dont les copropriétaires sont traités en justice est souvent la source de bévues catastrophiques.
Mon expérience des copropriétés est forte de plusieurs dizaines d'années et, principalement, je fais état sur PIM de décisions qui me concerne personnellement ou qui sont relatives à des amis et connaissances. Je possède une copie de tous les jugements et de la plupart des conclusions. J'ai assisté à presque toutes les audiences. J'ai observé l'attitude des juges, leurs exclamations dénigrantes et leur mépris à l'égard des copropriétaires confiants ou naïfs.
D'une manière générale, il est presque impossible de commenter un jugement sans avoir pris connaissance des conclusions des parties tellement les attendus des juges manipulent les faits.
Les fidèles de PIM qui ont été en justice ont subi brimades et humiliations sans nombre. La foule des copropriétaires révoltés est immense. Alors qu'on peut lire sur PIM de nombreuses interventions sur les devoirs des syndics, sur les règlements intérieurs, sur les lois et leurs subtilités, et patati et patata, il faut savoir que si toutes ces obligations existent et s'imposent aux copropriétaires, elles sont de nul effet sur les syndics et elles sont non écrites pour les juges.
Je tiens à mettre en garde ceux qui, forts de leur bon droit, feraient confiance à la justice.
Il pourrait leur en cuire. Et le jeu n'en vaut jamais la chandelle.
En Belgique, l'expérience a montré qu'en copropriété, il est toujours moins dommageable de subir.
Cordialement,
Augustin
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Le syndic est un mal qui répand la terreur. (La Fontaine).
Bonjour à tous,
Que faire ?
Rien. Il n'y a rien à faire…
Le procès-verbal d'une assemblée rédigé par le syndic mentionnait le nombre de copropriétaires présents ou représentés ainsi que les quotités qu'ils détenaient.
Le même procès-verbal reprenait le nombre de copropriétaires présents ou représentés ainsi que les quotités ayant participé aux différents votes.
Comme le nombre de bulletins dans l'urne étaient supérieurs au nombre de copropriétaires présents ou représentés ainsi qu'aux quotités qu'ils détenaient, il était flagrant qu'un bourrage était intervenu et que les votes étaient manipulés.
Un copropriétaire demanda au juge de paix de constater la fraude et d'annuler l'assemblée.
Bien que les bulletins de vote aient été opportunément détruits entre-temps, le juge décida qu'il n'y avait dans tout cela rien d'illicite, rien de délictueux ni de dommageable mais seulement une erreur de calcul.
Et le copropriétaire plaignant fut débouté.
Lorsque les médias internationaux s'indignent et dénoncent avec véhémence des manipulations électorales scandaleuses dans l'une ou l'autre république bananière, ils se trompent lourdement. Mais ils ont une excuse. Ils ignorent la jurisprudence belge : il ne s'agit nullement d'un bourrage des urnes mais d'une erreur de calcul.
Cordialement,
Augustin
Bonjour à tous,
Que faire ?
Rien. Il n'y a rien à faire…
Un syndic ne convoquait pas tous les copropriétaires à l'assemblée générale. Etaient exclus, les copropriétaires récalcitrants.
Les statuts de la copropriété prévoyaient la convocation de tous les copropriétaires par lettre recommandée, non sans préciser : "L'assemblée n'est valablement constituée que si tous les copropriétaires sont dûment convoqués".
Le cas a été soumis à la justice. Le jugement a été confirmé en appel.
Le juge a dit que l'absence de convocation de quelques copropriétaires ne compromet nullement le déroulement normal de l'assemblée car les absents n'avaient pas un poids suffisant pour modifier (que sait-il de leur pouvoir de persuasion et de leurs arguments ?) les décisions votées à la majorité.
Accessoirement et comme si cela allait de soi, le juge a ajouté que, pour les copropriétaires résidents, l'absence de convocation de certains d'entre eux était suppléée par l'information qu'ils recevaient des autres copropriétaires et que, s'ils étaient absents néanmoins à l'assemblée, c'était de leur propre volonté.
On aura noté la médiocrité du raisonnement juridique.
Cordialement,
Augustin
Bonjour à tous,
Que faire ?
Rien. Il n'y a rien à faire…
Civ. BXL, 25 janvier 2007 RCDI 2007/3, pp. 30-32 n° 548.
Un copropriétaire demandait au juge de condamner son syndic à lui permettre d'examiner des pièces justificatives d'exercices comptables approuvés par l'assemblée.
Le juge excipa de l'approbation de l'assemblée pour refuser la demande du copropriétaire. Et il décida que les comptes étaient définitivement coulés dans le bronze, même s'ils n'avaient pas été contrôlés et même si l'assemblée avait été trompée.
A l'entendre, plus aucun souffle de vérité ne peut plus soulever la poussière où reposent des comptes approuvés.
Mais alors, pourquoi donc les juges n'ordonnent-ils pas la destruction de toutes les pièces comptables dès leur approbation par l'assemblée puisque, après le vote, elles sont à tout jamais soustraites au regard humain ?
Ainsi donc, les comptes approuvés peuvent contenir des escroqueries, des abus de confiance et des détournements de fonds. Toutes ces malversations deviennent légales selon cette jurisprudence, elle aussi coulée dans le bronze.
Comme quoi, les gnostiques sont souvent des hérétiques, surtout lorsqu'ils sont juges.
Cordialement,
Augustin
Bonjour à tous,
Les intervenants sur le Forum de PIM commentent en sens divers l'obligation imposée aux syndics de souscrire une assurance couvrant leurs fautes de gestion, élégante formule utilisée pour qualifier leurs malversations.
Presque tous les syndics omettent cette formalité cependant peu onéreuse et l'IPI, leur vigilant protecteur, les couvre de sa mansuétude habituelle.
Mais à quoi bon s'arrêter à ce sujet minuscule. Bien que les fautes de gestion des syndics soient aussi nombreuses que les étoiles du ciel, aucune assurance n'est jamais intervenue pour réparer un dommage causé par une faute de gestion sanctionnée par un tribunal.
Les assureurs peuvent envoyer des pralines aux juges, leurs meilleurs auxiliaires.
Cordialement,
Augustin
Bonjour à tous,
Comment se débarrasser de son syndic ?
Selon Grmff : Opération commando. Attaque surprise et nettoyage du terrain au napalm et à la kalachnikov.
Selon le S.N.P. : Offrez un "parachute doré" à votre syndic ou vendez votre appartement.
Selon Augustin et les juges : Il n'y a rien à faire.
Cordialement,
Augustin
Bonjour à tous,
Que faire ?
Rien. Il n'y a rien à faire…
Le raisonnement cartésien s'oppose à la gnose.
Selon les juges et les intervenants sur le forum de PIM :
L'assemblée est souveraine et le syndic est son esclave.
Usant de son pouvoir souverain, l'assemblée pourrait voter et contraindre le syndic à tenir une comptabilité conforme à toutes les règles de la loi du 17 juillet 1975 et de ses arrêtés d'exécution plutôt que de subir les comptes fantaisistes et obscurs dont les syndics ont le secret lorsqu'ils ne s'abstiennent pas simplement de toute comptabilité. Cette mesure souveraine cautériserait une des plaies parmi les plus douloureuses des copropriétés en rendant la gestion plus transparente, plus compréhensible, en permettant des comparaisons, des statistiques et un contrôle efficace.
A l'évidence, ce serait servir l'intérêt général aussi bien que particulier, ce serait assurer la paix sociale par une décision d'une importance déterminante.
Alors pourquoi les assemblées ne le font-elles pas ?
Parce que le syndic est souverain et que l'assemblée est son esclave.
Cordialement,
Augustin
Bonjour à tous,
Que faire ?
Rien. Il n'y a rien à faire…
La proposition de loi Hamal-Nyssens avait tout d'abord soulevé sinon l'enthousiasme au moins le plus grand intérêt des copropriétaires. Bien qu'elle n'apportât qu'une pellicule d'amélioration par rapport à la loi de 1994, le projet pouvait être modifié et ses auteurs procédaient à des consultations en tous sens.
La déception fut à la mesure de l'espérance. Cédant sur toute la ligne aux pressions des lobbys, le couple Hamal-Nyssens non seulement a gommé les maigres améliorations du sort des copropriétaires mais il a fort raboté leurs droits par rapport à la loi de 1994.
Entre autres calamités, la loi Hamal-Nyssens sera "impérative" donc de "nullité relative" selon les juges, et de "nullité absolue" pour les copropriétaires plaignants.
Une régression confirmée vers l'Ancien Régime et le fait du prince.
Si les Hamal et Nyssens se sont conciliés les exploiteurs, ils ont cruellement déçu l'ensemble de la communauté des copropriétaires. Leurs partis pourraient trouver la poire amère lors des prochaines élections.
Et on n'oubliera pas que, depuis la coulisse, le S.N.P. a présidé au mauvais coup.
Cordialement,
Augustin
Bonjour à tous,
Alors que le raisonnement scientifique est inséparable des mathématiques, à bien des égards, la démarche juridique est proche de la gnose théologique.
En voici un exemple important, et même essentiel en copropriété.
La loi de 1994 sur la copropriété est "impérative" alors que la loi française correspondante est "d'ordre public" c'est-à-dire qu'on doit l'appliquer comme c'est le cas du Code de la route.
Le juge belge déclarera qu'une loi "impérative" est de "nullité relative". Cette curieuse expression signifie qu'une loi "impérative" ne peut s'appliquer qu'à la partie faible du procès et à condition qu'elle le demande. En copropriété, la partie faible est la partie défenderesse, c'est-à-dire l'ACP et son organe : le syndic. Et ce dernier n'a aucun intérêt à glisser sa tête sous le couteau de la loi.
Et voilà pourquoi le copropriétaire plaignant est débouté.
Cordialement,
Augustin
Bonjour à tous,
Comme j'ai une grande expérience des copropriétés et que j'ai aussi beaucoup fréquenté les tribunaux, vous voudrez bien considérer que mon expertise en ces matières n'est pas inférieure à la vôtre.
Il ne suffit pas d'énoncer des principes même excellents ou de se livrer à de savantes analyses, encore faut-il que ces merveilleuses démonstrations correspondent à des réalités.
Je ne fais qu'énoncer une exigence scientifique universelle. Celle-ci commande à l'auteur d'une affirmation ou d'une assertion, même très séduisante, qu'il la prouve par l'expérience. Sans cela, il s'agit de littérature, de fiction, parfois de poésie mais aussi souvent de théologie.
Dans un Etat de droit, le juge applique la loi. Il ne la fait pas.
Soit un vilain merle selon la loi. Le juge commence par interpréter la loi de manière amphigourique comme il se doit. Puis il interprète son interprétation. Puis il pontifie et sermonne. Et soudain, comme le lapin surgissant du chapeau du prestidigitateur, le syndic est changé en merle blanc.
Cordialement,
Augustin
Bonjour à tous,
Je reprends le triste récit des malheurs du copropriétaire rebelle.
L'ensemble des griefs repris dans mes communications précédentes complétés de quelques autres tout aussi dommageables ont été soumis à la justice.
Un tombereau de preuves et de témoignages plus décisifs les uns que les autres a été déversé sur le bureau des juges.
Les frais de justice ont dépassé de beaucoup les 25.000 euros et les procédures se sont échelonnées sur des années.
Et, à tous les coups, le syndic a été blanchi et déclaré plus innocent qu'un bébé sortant du chou.
L'art. 577-8, § 5, de la loi de 1994 énonce : "Le syndic est seul responsable de sa gestion". Mais les juges lisent : "Le syndic est responsable de sa gestion seulement devant l'assemblée générale".
Les juges ne lisent pas ce qui est écrit mais ce qu'ils veulent lire. Pour eux, et contrairement au prescrit légal, le syndic n'est que l'exécutant docile des décisions de l'assemblée souveraine dont la volonté se manifeste dans l'Evangile qu'est le procès-verbal. Quelle que soit sa conduite, fripouille ou gangster, le syndic ne peut être désavoué que par l'assemblée. Tel est le credo des juges.
Ces manipulations sordides sont malhonnêtes et assez écoeurantes. On appelle cela "le gouvernement des juges".
Nous ne sommes pas dans un Etat de droit mais entre les mains des juges.
Dès lors, on ne s'étonnera pas que les syndics soient toujours de blanches colombes et les copropriétaires de noirs corbeaux.
Que faire ?
Rien. Il n'y a rien à faire…
Cordialement,
Augustin
Bonjour à tous,
Il serait facile de poursuivre encore longtemps l'énumération devenue fastidieuse des procédés utilisés par un syndic pour vider les caisses de la copropriété et les portefeuilles des copropriétaires. La matière ne manque pas.
Mais après tout, ce n'est que le récit de la situation de la plupart des copropriétés de notre pays.
Tous les exemples mentionnés reposent sur des documents probants et des témoignages accablants.
La copropriété est composée d'importants locaux administratifs, de magasins, de garages et de plus de 250 appartements. Elle est habitée en majorité par des locataires.
Les coordonnées des copropriétaires sont un secret bien gardé. Acculé dans le passé, le syndic n'avait fourni qu'une liste obsolète inutilisable.
Le syndic bénéficie de la collaboration d'un Conseil de gérance croupion.
On ne peut prendre la parole à l'assemblée sans être interrompu, vilipendé puis muselé.
L'assemblée est clairsemée. Les copropriétaires sont âgés, suiveurs ou effrayés. Si l'un ou l'autre audacieux émet une critique, il est menacé. C'est donc le silence des agneaux.
Pour ne lasser personne par un discours trop long, j'interromps cet exposé momentanément. Je le reprendrai bientôt.
Cordialement,
Augustin
Un syndic a payé en noir en peu de temps une somme de près de 40.000 euros à un comparse pour des petits travaux vrais ou imaginaires accomplis dans la copropriété.
Que faire ?
Rien. Il n'y a rien à faire…
Cordialement,
Augustin
Un syndic traficotait non seulement l'ordre du jour mais aussi le procès-verbal de l'assemblée. Ce dernier contenait ainsi des décisions qui ne figuraient pas à l'ordre du jour, qui n'avaient pas été prises par l'assemblée ni débattues, ou qui étaient dénaturées par une interprétation personnelle du syndic.
Que faire ?
Rien. Il n'y a rien à faire…
Cordialement,
Augustin
Un syndic ne convoque pas tous les copropriétaires à l'assemblée générale. Sont exclus, les copropriétaires récalcitrants.
Que faire ?
Rien. Il n'y a rien à faire…
Cordialement,
Augustin
Un syndic s'est opposé à la rectification des quotes-parts dans les parties communes d'une copropriété alors qu'une erreur reconnue et manifeste s'était glissée dans le calcul des répartitions. (La répartition erronée avantageait le plus important copropriétaire de l'immeuble).
Que faire ?
Rien. Il n'y a rien à faire…
Cordialement,
Augustin
Un syndic confiait au prix fort les très nombreux travaux de la copropriété à une entreprise dont il était le patron.
Que faire ?
Rien. Il n'y a rien à faire…
Cordialement,
Augustin