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De 1) Je ne parlais pas uniquement de moi-même.
De 2) Ce forum est manifestement exclusivement fréquenté par des propriétaires et agences immobilières, ce qui fait que les réactions sont tout sauf objectives... ce qui n'apparaît pas du tout lorsque l'on fait une recherche sur Google, ni dans les textes de présentation de ce site.
En conclusion : publicité mensongère... Vous n'êtes pas les premiers, malheureusement.
Heureusement, il existe d'autres forums et services d'assistance aux locataires qui, eux, sont objectifs.
Je me retire donc de ce forum et dit simplement à tous ceux qui ont répondu de façon sérieusement "orientée" : Go f*** yourself, little span****
Etre propriétaire ou agent immobilier, c'est vous donner un avis basé sur deux notions : les droits et les obligations qui résultent de la signature d'un document appelé bail.
Pour la pitié et la compassion, voyez un service social !Vous pouvez négocier. Avec votre ex. Avec l'agence. Avec les deux ensemble même, puisque vous êtes trois parties signataires. Mais deux de ces signataires (votre ex et vous) ne peuvent en aucun cas forcer le troisième (l'agence) à accepter de nouvelles conditions (quelles que soient vos raisons) qui offriraient moins de garanties que ce qui a été signé. Et vous les priez de confirmer leur accord par recommandé...
Vous louez. Vous ne louez plus. Vous relouez, mais à moitié...
Votre emploi perdu, la maigre allocation de survie, la décision unilatérale et abrupte de votre ex, votre position de victime... Que de bienveillance vous vous auto-dispensez ! Et des avis extérieurs, des gens qui vous conseillent et tentent de vous ramener un peu sur terre sont virulents et peu bienveillants ?Dont acte.
Mais que voulez-vous qu'on vous dise ???
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Très cher "rexou",
Je vous plains plus que moi, en définitive...
Et moi, par contre, j'éprouve une certaine compassion pour votre "espèce", manifestement dépourvue de toute humanité.
Bonne route à vous !
En ce qui me concerne, je ne souhaite plus que vous répondiez quoi que ce soit à ce que je poste, que ce soit sur ce forum ou un autre. D'avance merci de bien vouloir respecter, au moins, ce souhait.
Par contre, combien de propriétaires et d'agences immobilières sont-ils "blancs comme neige"...?
Et combien de propriétaires et d'agences immobilières se contentent d'encaisser purement et simplement des loyers et des charges, tout en étant en défaut de remplir LEURS obligations... voire pire, abusent de la crédulité de locataires (en particulier des femmes seules) ?
Personnellement, j'ai eu affaire à plusieurs propriétaires et agences sans aucun scrupule, de même que nombreuses connaissances dans mon entourage.
Des exemples ?
- Détecteurs d'incendie déficients ou même totalement absents ou encore placés à un endroit qui n'est pas celui prescrit par la Loi.
- Chaudière/chauffe-eau non entretenue depuis des années, qui dysfonctionne (ce que le locataire ne peut constater qu'à partir du moment où il commence à occuper les lieux). Dysfonctionnement de type (par exemple) : impossibilité d'obtenir de l'eau tiède mais uniquement ou bien glaciale ou bien brûlante. Et le locataire attend et attend, pendant des mois (obligé de prendre des douches froides), avant qu'enfin le propriétaire ou l'agence daigne y faire quelque chose...
- Température intérieure (avec thermostat à fond) systématiquement inférieure à 16°C en hiver, faute d'une isolation correcte.
- Thermostat placé sur l'un des murs du logement loué... mais qui n'est pas raccordé à la chaudière/chauffe-eau soi-disant individuelle qui se trouve dans le logement (ni à aucune autre chaudière, du reste), ce qui fait que la température de chauffage peut uniquement être réglée par le propriétaire (qui habite à côté mais n'est présent que le week-end)... ceci étant forcément découvert par le locataire seulement après emménagement dans les lieux. En effet, en réalité, le thermostat soi-disant individuel était postiche et qu'il n'y avait en réalité qu'un seul circuit de chauffage pour les deux logements (celui du propriétaire et celui du locataire).
- Modifications de la disposition et de l'aménagement des lieux loués (surface du jardin incluse) après emménagement par le locataire et sans son consentement préalable.
- Défaut de prouver la somme totale annuelle des provisions de charges, alors qu'elles ne sont même pas mentionnées comme forfaitaires dans le bail mais bien sujettes à régularisation annuelle.
... et tout cela pour des loyers de l'ordre de 700 à 800 Euros (hors charges!) pour des appartements de 70 à 80 m² !
Vous voulez d'autres exemples, chers propriétaires et agences immobilières...???
Mais cela, sans doute, vous paraît normal...? Forcément...!
Et vous croyez que ces propriétaires et agences peu scrupuleux sont systématiquement condamnés par la Justice de Paix...??? Eh! bien... aussi improbable que cela puisse paraître : non, c'est (bien malheureusement) LOIN d'être systématique.
Votre activité immobilière est décidément bien belle et honorable...
Bien entendu que j'ai donné mon renon également, étant donné que mon ex-compagnon le donnait de son côté...! Si je ne l'avais pas fait, j'aurais fort probablement risqué encore plus gros que maintenant.
Je trouve que le ton de certaines phrases écrites par certains membres de ce forum est parfois très virulent et fort peu bienveillant... alors que je cherche juste des avis pour me sortir du mieux que je peux d'une situation que je n'ai pas demandée (cfr. décision unilatérale et abrupte de la part de mon ex-compagnon) et qui me place dans un embarras financier sans nom.
Je ne peux que m'expliquer ce ton virulent de par le fait que ces réponses proviennent de la part de personnes qui sont propriétaires ou agents immobiliers et qui réagissent, par conséquent, sans pitié ou compassion aucune.
Personnellement, j'ai toujours été (aux propres dires de mes anciens propriétaires) une "locataire en or", à savoir que j'ai toujours payé mes loyers et charges "rubis sur l'ongle" et anticipativement, que j'ai toujours entretenu les biens que j'occupais comme s'ils étaient les miens et que j'ai toujours averti les propriétaires en temps et en heure des problèmes structurels liés au logement, qui pouvaient le cas échéant engendrer des dégradations de leur bien. Combien de propriétaires ont affaire à ce genre de locataires ? Très peu...!
Je ne suis pas une personne qui cherche à tout prix à échapper à ses obligations (comme certains d'entre vous semblent l'insinuer)... juste une personne qui s'est trouvée soudainement dans une situation qu'elle n'a jamais souhaitée. Quant à l'appartement pour lequel j'avais signé un bail avec mon ex-compagnon, je n'aurais jamais pu supporter seule le loyer et les charges de ce logement. J'ai donc été forcée de donner, moi aussi, mon renon.
Enfin, merci quand même pour les 2-3 conseils bienveillants que certains ont apportés.
A bon entendeur...
Mon ex-compagnon et moi-même avions signé solidairement un contrat de bail d'un an, devant prendre cours le 1er juin 2011.
Un mois après la signature du bail, il a décidé de rompre notre relation et de renoncer ainsi à ce bail. Nous avons donc tous les deux donné notre renon avant le 30 avril 2011, ce qui a fait démarrer le préavis le 1er mai 2011.
Je précise que nous n'avons donc jamais reçu les clés ni occupé les lieux.
Il y a quelques jours, l'agence est revenue vers nous pour nous parler d'indemnités.
Ma question est celle-ci : A partir du moment où mon ex-compagnon est d'accord pour assumer seul les conséquences de sa décision, comment pouvons-nous faire, vis-à-vis de l'agence immobilière, pour qu'ils me déchargent de mon obligation de solidarité ?
Le texte du projet de courrier ci-dessous est-il approprié ? Ou y manque-t-il quelque chose de crucial ?
"Chère Madame X,
Concerne : Bail signé le 7 mars 2011 (+ adresse du bien)
Nous soussignés, (prénoms et noms de mon ex-compagnon et moi-même)
Demandons formellement votre accord, par la présente, pour décharger, de façon complète et irrévocable, Mademoiselle Y (c-à-d moi-même), ainsi que ses héritiers et ayant-droits, de son obligation de solidarité telle que mentionnée dans l’article 17 du bail susmentionné, que nous avons signé tous les deux le 7 mars 2011 auprès de votre agence.
Etant donné que Mademoiselle Y a perdu son emploi de façon involontaire suite à un licenciement le 27 mai 2011 et qu’elle perçoit actuellement une maigre allocation de survie, nous avons pris ensemble l’accord suivant :
Monsieur Z (c-à-d mon ex-compagnon) reconnaît expressément assumer seul toutes les obligations et responsabilités résultant du bail susmentionné et fait abandon de tout recours contre Mademoiselle Y sur la base de ce contrat de bail. Mademoiselle Y n’est ainsi plus tenue de payer quoi que ce soit du chef de ce bail.
Il est expressément convenu que la présente ne constitue pas une cession de bail.
En vous remerciant par avance de bien vouloir nous confirmer votre accord par envoi recommandé, nous vous prions de croire en l’expression de notre considération distinguée.
Signatures de mon ex-compagnon et de moi-même."
Ma question est donc simplement : Ce courrier est-il OK ou y manque-t-il une notion indispensable ?
En effet, le premier loyer (c-à-d celui de juin 2011) a été versé à l'agence le 10 mars 2011 => donc, dans les 5 jours qui suivaient la conclusion du bail (qui a été signé le 7 mars), conformément au fameux article 5 du contrat.
Je pensais à autre chose, en regardant d'autre forum... Il semblerait que des Juges de Paix soient portés à réduire une indemnité de 3 mois à 1 mois, lorsque le locataire perd son emploi de façon involontaire (ce qui est mon cas) et que cela vaut même lorsqu'il s'agit d'un couple dont l'un des deux seulement subit un licenciement. Etant donné que j'ai perdu mon emploi le 27 mai 2011 (avec seulement 7 jours de préavis car j'étais encore en période d'essai), peut-être pourrais-je invoquer cela également auprès de l'agence (en plus de la confusion possible entre les article 4 et article 5 du bail) et leur demander de bien vouloir être cléments, étant donné les circonstances...?
S'ils refusaient, il me resterait alors la procédure en conciliation à la Justice de Paix...
Non, nous n'avons jamais eu les clés et n'avons jamais occupé les lieux, puisque le bail devait prendre cours le 1er juin 2011 et que nous avons annulé le bail (en donnant notre renon) vers le 20 avril 2011.
Du reste, il me semble qu'il y a un certain flou concernant les conditions de "résiliation anticipée" mentionnées à l’article 4 du contrat de bail, dans le sens où il n’est pas précisé s’il s’agit de résiliation au cours de la période d’occupation des lieux ou non. Or comme je viens de l'écrire, mon ex-compagnon et moi n'avons jamais pris possession des lieux.
Cet article dit: "Le locataire peut procéder à une résiliation anticipée moyennant le respect d’un préavis de 3 mois et le versement d’une indemnité de relocation équivalant à 3 mois de loyer. Mais si le bien est immédiatement reloué, 1 seul mois d’indemnité sera dû, indépendamment du fait que le locataire partant ait trouvé lui-même un nouveau locataire."
Etant donné que, jusqu’à preuve du contraire, l'agence n’a manifestement rien fait (jusqu’à il y a quelques jours seulement) pour que le bien soit reloué dans les meilleurs délais possibles, je suis portée à estimer que la somme de trois mois de loyer à titre d’indemnité de relocation (tenant compte du fait que le loyer du mois de juin leur a déjà été versé) est exagérée en regard du préjudice qu'ils auraient subi.
En outre, cet article me semble contradictoire avec l’article 5 § 3 du bail, qui dit : "Le premier mois de loyer doit être payé dans les 5 jours suivant la signature du contrat. […] Si le locataire annule le contrat, il perdra ce montant." Or mon ex-compagnon et moi avons bien annulé le contrat, étant donné que nous avons donné notre renon avant même la date de début d’occupation des lieux (qui était contractuellement prévue le 1er juin 2011).
Sur ces seules bases, d’aucuns seraient en droit d’interpréter qu’un seul mois de loyer serait dû à l'agence, à savoir celui de juin 2011, qui leur a déjà été versé en date du 11 mars 2011. Vous ne pensez pas ?
Un professionnel serait-il sur ce forum pour donner un conseil avisé ?
Bonjour,
J'ai vraiment besoin de votre aide et je vais donc essayer de vous exposer ma situation de la façon la plus complète possible.
Mon compagnon et moi avions signé, le 7 mars 2011, un contrat de bail d'un an devant entrer en vigueur le 1er juin 2011, auprès d'une agence immobilière. A la signature du bail, un montant total de 1.530 Euros a été versé à l'agence (à leur demande), comprenant:
a. Le montant du loyer de juin 2011 (soit 1.160 Euros) que j'ai versé en date du 11/03/2011
b. Le montant des charges communes de juin 2011 (soit 100 Euros) que j'ai versé en date du 14/03/2011
c. Le montant de l’assurance R.C. Locative annuelle (soit 120 Euros) que j'ai versé en date du 14/03/2011
d. La somme de 150 Euros pour l’état des lieux, versée en liquide le 23/02/2011 (avec reçu à l'appui)
Or mon compagnon m'a annoncé mi-avril qu'il souhaitait rompre notre relation et, par conséquent, renoncer à notre bail.
Ne pouvant pas assumer seule le loyer et les charges de cet appartement, j'ai dû également renoncer à ce bail.
En termes de résiliation anticipée, le contrat de bail dit ceci: "Le locataire peut procéder à une résiliation anticipée moyennant le respect d’un préavis de 3 mois et le versement d’une indemnité de relocation équivalant à 3 mois de loyer. Mais si le bien est immédiatement reloué, 1 seul mois d’indemnité sera dû, indépendamment du fait que le locataire partant ait trouvé lui-même un nouveau locataire."
J'ai immédiatement prévenu l'agence immobilière de cette situation malheureuse, dans un premier temps par e-mail (le 17 avril 2011). L'agence avait alors répondu (dans un courrier recommandé daté du 20 avril): "Afin que (nom de l'agence) puisse remettre le bien en location, nous vous prions de nous faire parvenir, dans les plus brefs délais, votre préavis par courrier recommandé. Pour autant que nous recevions aussi bien votre préavis, que celui de (nom de mon ancien compagnon), avant le 30/04/2011, le préavis de 3 mois prendra déjà effet au 01/05/2011."
J'ai alors envoyé mon renon par courrier recommandé avant la date fatidique du 30/04/2011.
Suite à cela, j'ai reçu un autre courrier recommandé de l'agence (daté du 5/05/2011), où l'agence accuse réception de mon renon forcé et confirme à nouveau formellement un préavis de 3 mois prenant cours le 1/05/2011 pour se terminer le 31/07/2011. Elle affirme également dans ce courrier que "si l’appartement était reloué au cours de cette période de préavis, il ne faudrait alors tenir compte que de deux mois de loyer à titre d’indemnité."
Dès ce moment, j’avais donc pris bonne note que l’appartement dont question ci-dessus était remis en location sans délai. Cependant, j’ai vérifié à plusieurs reprises, de fin avril jusqu’à ce jour, si l'agence avait bien remis le bien en location, que ce soit en plaçant une (ou des) affiche(s) apparentes sur l’immeuble en question ou en annonçant cette location dans la presse ou sur Internet. Je n’ai jamais rien trouvé, pas même sur leur propre site Internet... jusqu’à il y a quelques jours seulement, sur un site d’annonces immobilières bien connu et sur leur site propre. Le loyer du bien est affiché à 1.060 Euros (soit 100 Euros de moins que le loyer qui avait été contractuellement convenu entre nous) mais il s’agit bien du même appartement. D’autre part, j’ai constaté par la même occasion que ce même bien vient également d’être mis en location, sur ce même site d’annonces immobilières et pour le même prix, par une autre agence immobilière et que leur annonce mentionne «NOUVEAU». Par contre, toujours aucune affiche n’est visible sur l’immeuble à ce jour. De plus, dans le courant du mois de juin, je m'étais à nouveau déplacée sur les lieux et j'ai pu parler avec un des locataires de l'immeuble, qui m'a affirmé que l'appartement dont question n'était pas à louer, jusqu'à preuve du contraire.
Or pour pouvoir prétendre à une quelconque indemnité, il me semble qu’il appartient à l'agence de démontrer qu'ils ont, à tout le moins, mis tout en œuvre pour remettre ledit bien en location dans les plus brefs délais après que le renon leur ait été donné, ceci afin d’éviter le montant maximum d’indemnités qu'ils pourraient réclamer. Est-ce que je me trompe sur ce point...?
D’autre part, les locataires précédents ont versé à l'agence, à titre d'indemnité, le loyer (et peut-être également les charges) du mois de mai 2011, parce qu'ils souhaitaient quitter les lieux fin avril 2011 et que le bail de mon ancien compagnon et moi débutait seulement le 1er juin. Il y avait donc pour l'agence un manque à gagner d'un mois (celui de mai).
Or sachant que l'agence a bien confirmé par écrit, à deux reprises, que la période de 3 mois de préavis relatif au contrat de bail signé par mon ancien compagnon et moi-même débutait le 1/05/2011 pour se terminer le 31/07/2011, il me semble que cette indemnité éventuellement due serait également relative à cette même période de 3 mois. Par conséquent, étant donné que l'agence a déjà perçu le montant du loyer (à titre d’indemnité) pour le mois de mai 2011 de la part de précédents locataires, est-ce que la Loi autorise que l'agence perçoive une double indemnité ou même un double loyer mensuel pour le même bien (à savoir, le montant relatif au mois de mai 2011) ?
Selon ma logique personnelle, l’indemnité qui serait éventuellement due équivaudrait à un mois de loyer au maximum (soit 1.160 Euros), sachant que l'agence a perçu le mois de mai 2011 de la part des précédents locataires et le mois de juin 2011 de ma part, en plus d’un excédent de 370 Euros relatif aux charges, assurance et état des lieux (qui n'a jamais eu lieu).
Or il se fait que l'agence m'a appelée hier pour m'annoncer que le bien n'était toujours pas reloué à ce jour et pour réclamer 2 mois de loyer d'indemnité (l'un payable par moi et l'autre payable par mon ancien compagnon).
Que pensez-vous de tout cela ? D'après vous, quelle serait l'indemnité que cette agence serait en droit d'exiger, étant donné tout ce qui précède ?
Personnellement, j'ai perdu mon emploi fin mai... et je ne perçois actuellement qu'une maigre allocation, qui me permet à peine de survivre. Je n'ai donc pas les moyens de payer quoi que ce soit, en réalité...
D'avance, un grand merci pour vos éclaircissements.
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