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mon avis sans être un pro :
" Ceux qui rateront le train de l’achat dans les années futures risquent de rester définitivement locataires."
depuis 1999 on nous le dit ! et .....ils avaient raison !!! ceux qui attendaient une baisse depuis 2000 pour achetez ............
ils ont commis des erreurs d'anticipation ......pour Bruxelles
1) l'énergie .....carburant, coût RÉEL d'un véhicule,chauffage, services ect....x le nombres de personnes dans la famille ...+ études futur ....kots loyer ou déplacement...surtout le temps perdu et stress....
2) démographie + division des maisons en appartement = ceci a multiplier les prix en devenant plus abordable pour les acquéreurs mais plus petite acquisition,pas assez vu la penurie !
3) bassin d'emplois = c'est pas pour rien que plus de 600.000 navetteurs rentre a Bruxelles chaque matin !
4) le foncier,l'offre et la demande ....construire une maison pour -150000 euro c'est possible partout au même prix !pas de discrimination la dessus !mais au prix de l'offre et la demande de l'emplacement ! helecine terrain a 5000 euro, Bruxelles terrain a 500000 euro ! la est toutes la différence !
5) attention a la régionalisation en 2014 ! futur péage urbain,interdiction du diesel et la région bruxelloise a demander la priorité d'emploie aux bruxellois ! Bruxelles c'est + de 20% du pib de la Belgique et l’impôt sur le lieu de travaille qui risque de se concrétisée bientôt !
6) 2014 on vote .....si scission ......
c'est mon avis pour restez ou achetez un bien immo a Bruxelles !
chaussée d'alsemberg ,limite linkebeek en face du terminus du tram 51.il reste plus que 2 pancartes,mais elle sont tous vendu ! les 5 + une autre plus bas mais maison de rapport ! aussi vendu en -6 mois et plus de 350000 euro ! tous est a refaire !
Personnellement j'habite au sud-sud d'Uccle,limite Linkebeek et bien 5 maisons qui était en vente en même temps et l'une a coté de l'autre et dans la même rue (c'était moche c'est pancartes en vente différente couleur ect...cela faisait genre zone !) ,ce sont vendu en -4 mois !!!!! par 5 acheteurs différents et a plus de 300000 euro ! et tout est a refaire ! TOUT ! donc 5 nouveaux voisins !!! une m'a avouer qu'elle était contente ! elle va se débarrassé de ses deux voitures qui lui coûtaient une fortune....des tracas et gagner 3h00 par jours de déplacement pour elle,son mari et ses enfants !
lalibre.be: Bruxelles dope l’immobilier belge
06/02/2013
La capitale est loin de connaître la crise, d’après le rapport des notaires.
Bruxelles a fait démentir les prévisions les plus pessimistes en 2012. C’est du moins ce qui ressort du rapport annuel de la société de services internes des notaires de Bruxelles et des deux provinces de Brabant (NVN). " Chaque année, certains prévoient le pire. Or les prix continuent d’augmenter à Bruxelles. Est-ce que cela va s’arrêter un jour ? On ne sait pas le dire" , explique Gaétan Bleeckx, notaire à Saint-Gilles.
1) Toujours plus d’achats. L’augmentation des transactions a été plus forte à Bruxelles (+ 3,8 % par rapport à 2011) que dans les deux autres Régions (+ 0,8 % pour la Flandre et la Wallonie). " La courbe rentrante que nous avions pu craindre fin 2011 n’a pas du tout été confirmée par les chiffres, que du contraire" , expliquent les notaires. Ils y voient "la confirmation de la reprise" après une régression en 2008 et 2009.
2) Maisons rares et chères. Bruxelles reste de loin la région la plus chère au niveau des villas et des maisons. Les prix moyens ont augmenté de plus de 10 % passant de 364 000 euros à 404 000 euros dans la Région-Capitale. L’écart se creuse avec la Flandre (245 000 euros) et la Wallonie (171 000 euros).
3) Appartements : Bruxelles à contresens. Le constat avait inquiété le secteur : le prix moyen des appartements a chuté en Belgique (- 3 %). Il n’en est rien à Bruxelles où les chiffres continuent d’être à la hausse (+ 4,8 %). Les appartements représentent plus de deux tiers des ventes, à Bruxelles.
4) Une région qui se dualise. Les prix continuent d’augmenter à Bruxelles, au contraire des revenus de la plupart des ménages bruxellois. L’accès à la propriété se complique donc pour bon nombre d’habitants de la capitale. Ajoutons à cela, une dualisation géographique : l’écart se creuse entre un Nord-Ouest où les prix restent accessibles et un Sud-Est de plus en plus onéreux. Certaines communes, comme Ixelles, ont vu leurs chiffres exploser en 2012. La commune du sud de Bruxelles est d’ailleurs devenue la plus chère en ce qui concerne les maisons (prix médian de 545 000 euros). " Il faut prendre ces chiffres avec précaution , précisent les notaires. Mais c’est vrai que certains quartiers d’Ixelles sont très prisés par les étrangers fortunés, notamment les Français."
5) Pourquoi Bruxelles, et dans une moindre mesure la Belgique, ne connaissent pas la crise ? Plusieurs facteurs expliquent la relative stabilité du marché belge par rapport à ses voisins (cfr. notamment les fortes baisses aux Pays-Bas) depuis plusieurs années. Les notaires pointent tout d’abord l’impact des régularisations fiscales (via les DLU) qui ont rapatrié près de deux milliards d’euros en Belgique depuis 2006. D’après les notaires, une partie de ce montant a été investie dans l’immobilier. Cette hausse serait aussi favorisée par des taux " historiquement bas", la plus longue durée des crédits et l’épargne importante en Belgique. Celle-ci permettrait de faire face à des banques devenues plus strictes : la tendance est désormais d’exiger de l’acquéreur-emprunteur de disposer de 20 à 25 % de fonds propres. En plus des frais Il y a un autre facteur qui explique la poussée spécifique de Bruxelles : son "boom" démographique. Les biens deviennent plus rares (surtout les maisons) et donc plus chers.
6) Acheter maintenant ou attendre ? Les notaires ne prêchent évidemment pas contre leur paroisse. Pour eux, c’est plus que jamais le moment d’acheter. Du moins pour un premier achat. " L’attentisme n’est pas une solution car quel que soit le moment, lors de l’achat, le prix semble trop cher mais sur une période de dix à quinze ans, il y a toujours des plus-values , développe M e Bleeckx. Ceux qui rateront le train de l’achat dans les années futures risquent de rester définitivement locataires."
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ECO dit :
" Ceux qui rateront le train de l’achat dans les années futures risquent de rester définitivement locataires.""
http://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%B4tel_capsule

Le marché de l'immobilier en légère baisse en province de Luxembourg
FAUVILLERS - L'association des notaires du Luxembourg a présenté ses chiffres concernant le marché immobilier de la province. Sur base du critère du nombre d'actes, on peut constater une baisse significative de l'action des notaires avec une baisse de 9,75% par rapport à 2011, mais seulement -1,3% au vu de 2010.
"Il faut néanmoins tempérer cette baisse par le fait que le dernier trimestre de 2011 a été dopé par un nombre d'actes qui auraient dû être signés en 2012, mais qui l'ont été en 2011 pour des raisons fiscales (éviter la TVA et la taxe sur les titres au porteur)", analyse le notaire Vincent Dumoulin.
Le montant des droits d'enregistrement est également en baisse avec une diminution de 4,5% par rapport à 2011.
Un autre chiffre interpellant, celui de l'évolution des crédits octroyés. Dans ce domaine, on remarque une baisse de près de 25% du nombre de contrats et une baisse de près de 9% des montants octroyés dans les trois premiers trimestres.
Toutefois, au rayon des bonnes nouvelles, il faut pointer les ventes de bois et de terres agricoles dans l'arrondissement de Marche qui a connu un véritable boum.
"Les premières analyses confirment une certaine morosité au cours de l'année 2012, qui correspond au sentiment des notaires de la province", a conclu M. Dumoulin.
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"FAUVILLERS - L'association des notaires du Luxembourg a présenté ses chiffres concernant le marché immobilier de la province. Sur base du critère du nombre d'actes, on peut constater une baisse significative de l'action des notaires avec une baisse de 9,75% par rapport à 2011, mais seulement -1,3% au vu de 2010.
"Il faut néanmoins tempérer cette baisse par le fait que le dernier trimestre de 2011 a été dopé par un nombre d'actes qui auraient dû être signés en 2012, mais qui l'ont été en 2011 pour des raisons fiscales (éviter la TVA et la taxe sur les titres au porteur)", analyse le notaire Vincent Dumoulin.
Le montant des droits d'enregistrement est également en baisse avec une diminution de 4,5% par rapport à 2011.
Un autre chiffre interpellant, celui de l'évolution des crédits octroyés. Dans ce domaine, on remarque une baisse de près de 25% du nombre de contrats et une baisse de près de 9% des montants octroyés dans les trois premiers trimestres.
Toutefois, au rayon des bonnes nouvelles, il faut pointer les ventes de bois et de terres agricoles dans l'arrondissement de Marche qui a connu un véritable boum.
"Les premières analyses confirment une certaine morosité au cours de l'année 2012, qui correspond au sentiment des notaires de la province", a conclu M. Dumoulin."
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ECO:
je répond a cette information de M. Dumoulin:
""Il faut néanmoins tempérer cette baisse par le fait que le dernier trimestre de 2011 a été dopé par un nombre d'actes qui auraient dû être signés en 2012, mais qui l'ont été en 2011 pour des raisons fiscales"
REP: il suffit de faire une moyenne des 3 années et la courbe d'évolution se dessine.
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"Dans Trends, ceci à propos du Brabant Wallon
Brabant wallon : le prix des terrains et villas en baisse
Le prix des maisons en Brabant wallon a augmenté de 4% en 2012 par rapport à 2011, et le prix moyen des appartements a augmenté de 2%. Par contre, pour la première fois depuis de nombreuses années, le prix moyen des terrains et celui des villas est en baisse."
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Le brabant wallon s'en tire bien grâce a l'arriver massif de bruxellois et francophones de Flandre !
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Le BW prisé par les Bruxellois (05/02/2013)
Les Francophones de Flandre débarquent dans la Jeune Province
BRABANT WALLON La Jeune Province n’est pas la seule région du pays à subir une hausse croissante de ses prix depuis quelques années : la région bruxelloise est également touchée. Si bien que les biens s’y monnaient à plus de 403.000 € pour des maisons classiques tandis qu’il faut y débourser, en moyenne, 220.000 € pour devenir propriétaire d’un appartement.
Résultat : les Bruxellois sont de plus en plus nombreux à quitter la Capitale… pour venir s’installer en Brabant wallon. “Le marché immobilier de la couronne sud de Bruxelles (NDLR : Braine-l’Alleud, La Hulpe, Lasne, Rixensart et Waterloo) est soutenu par les Bruxellois qui cherchent à acquérir une maison en ne s’écartant pas trop de Bruxelles”, confirme Bernard Laconte, notaire à Rixensart. “C’est d’autant plus vrai que les communes de la périphérie sud offrent une facilité de communication avec Bruxelles. Et cela risque encore de s’accentuer avec l’arrivée prévue du RER en Brabant wallon.”
Mais les Bruxellois ne sont pas les seuls à s’expatrier en direction de ces communes. La chambre des notaires du Brabant wallon a en effet constaté une arrivée des francophones de Flandre. “Ceux-ci ne se retrouvent plus dans la politique menée dans les communes flamandes dans lesquelles ils sont établis et viennent donc s’installer à Rixensart ou La Hulpe. Même si nous ne constatons pas un exode massif.”
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Ralentissement des prix immobiliers et des transactions en Europe en 2007
Seuls les prix moyens des logements irlandais, italiens, portugais et ceux situés dans l'Ouest de l'Allemagne ont baissé en 2007, selon cette étude annuelle réalisée dans 19 pays d'Europe. Le réseau d'agences immobilières prévoit par ailleurs un "net retournement" à venir du marché immobilier en Grande Bretagne, en Irlande et en Espagne.
La France, la Belgique ou encore la Turquie ont vu par contre leur nombre de transactions immobilières progresser en 2007.En chiffres absolus, cela correspond à 121 000 transactions conclues en Belgique, soit le résultat le plus élevé en six ans. En moyenne, le nombre d’habitations vendues se situe autour des 118 000 en Belgique. « La Belgique peut donc non seulement présenter un excellent bulletin mais les chiffres indiquent une fois encore qu’elle possède un marché très stable »
http://www.era.be/fr/overERA/nieuws.aspx
Prévisions pour la Belgique
ERA est convaincu que la situation catastrophique à laquelle certains pays sont confrontés ne touchera pas les propriétaires belges. Nulle part ailleurs le niveau des transactions n’est resté aussi stable ces dernières années que dans notre pays et malgré la hausse marquée, la courbe des prix évolue sans à-coups. Il n’y a donc aucune raison de penser que les prix vont baisser en Belgique. ERA met cependant les vendeurs en garde et rappelle qu’un prix réaliste est la meilleure garantie d’une vente rapide. « Toutes les habitations vendues cette année par les agents ERA ont facilement trouvé acquéreur. Or cela n’est possible qu’à condition que le prix demandé corresponde à la valeur marchande réelle. Et nous constatons en effet que dans les transactions que nous avons réalisées, le prix demandé ne se situe en moyenne pas très haut au-dessus du prix de vente effectif. Par ailleurs, nous sommes également convaincus qu’il n’est pas justifié de reporter un achat éventuel dans l’espoir d’une baisse des prix », conclut Iain Cook