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BOnjour, voici la situation :
achat d'un bien qui doit être libre a la vente qui va avoir lieu le 24 avril 2006
renont de mon bail pour le 1er mai 2006
ancienne propriétaire avec plusieurs enfants qui après la signature du compromis, indique qu'elle ne sait pas si elle saura partir pour le 24 avril 2006
et moi qui serai à la rue le 1er mai 2006 !!!!
que faire ? expultion d'une maman avec enfants pour mettre mes propres enfants ???
d'ici le 24 avril quel disposition prendre ???? déja introduire une demande d'expultion ???
si c'est introduit en mai - juin et que cela traine jusqu'après les vacances ???
merci
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BOnjour, voici la situation :
achat d'un bien qui doit être libre a la vente qui va avoir lieu le 24 avril 2006
renont de mon bail pour le 1er mai 2006ancienne propriétaire avec plusieurs enfants qui après la signature du compromis, indique qu'elle ne sait pas si elle saura partir pour le 24 avril 2006
et moi qui serai à la rue le 1er mai 2006 !!!!
que faire ? expultion d'une maman avec enfants pour mettre mes propres enfants ???
d'ici le 24 avril quel disposition prendre ???? déja introduire une demande d'expultion ???
si c'est introduit en mai - juin et que cela traine jusqu'après les vacances ???
merci
Cela dépend de ce qui est stipulé dans le compromis de vente (et notamment dans les clauses "sanctions").
Si l'une des conditions de la vente est que le bien soit libre d'occupation à la date de l'acte authentique et que ce n'est pas le cas , vous pouvez faire valoir le non respect de cette obligation essentielle pour différer la signature de l'acte.
Au stade actuel (entre compromis et acte), vous ne pouvez juridiquement pas encore faire quoi que ce soit (puisqu'il n'y a pas encore "faute"), mais prenez d'urgence contact avec votre notaire pour lui faire part de votre préoccupation et l'invite à prendre contact avec son confrère pour veiller au bon déroulement de l'opération.
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Merci, je vais prendre contact de suite avec lui
bon week end
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Comme Pim a écrit, vous attendez pour signer l'acte de vente, mais cela entrainera une procédure judiciaire et vous devrez qu'en même payer les droits d'enregirements.
La procédure d'expulsion ne peut se faire que par un jugement du juge de paix qui accordera un délai supplémentaire de +- 3 mois a l'ancienne locataire du fait qu'elle a des enfants.
Comme vous l'écrivez vous avez aussi des enfants, cette situation est difficile et il faudra que vous trouviez un logement provisoire pour votre famille
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Si le bail que vous avez est de type bail de résidence principale vous pouvez demander , à mon humble avis mais il faudrait vérifier (?) , à votre bailleur une prorogation du bail pour circonstances exceptionnelles et à condition que ce dernier n'ai pas signé un autre bail avec un autre locataire.
Vous devez obligatoirement adresser la demande de prorogation au bailleur par lettre recommandée au moins 1 mois avant l'expiration du bail SOUS PEINE DE NULLITE.
Soit le bailleur accorde la prorogation PAR ECRIT pour une durée X avec une augmentation éventuelle du loyer , soit il ne veut pas l'accorder et dans ce cas il vous reste à saisir le juge de paix qui peut soit accepter la prorogation soit la refuser.
UNE SEULE PROROGATION EST POSSIBLE.
Bien à vous
Kaplan
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Au plus tard un mois avant l'expiration du bail, un locataire de résidence principale a parfaitement le droit d'invoquer des circonstances exceptionnelles pour demander au bailleur (et même au nouvel acquéreur si il y a eu vente du bien qu'il occupe) l'autorisation de rester. En droit, on parle de prorogation (art. 11 de la loi). Mais que sont ces "circonstances exceptionnelles" ? Selon la revue publiée par le Ministère de la justice et le SPF Justice (Service Public Fédéral), "La loi sur les Loyers", 5ième édition, octobre 2003, il s'agit de "circonstances qui rendent problématiques, pendant un certain temps, la perspective d'un déménagement ou la recherche d'un logement. Elles visent des situations d'urgence, imprévisibles ou subites…et des difficultés moins ponctuelles mais aïgues, qui ne peuvent être aplanies que par le maintien temporaire du locataire dans les lieux". (Une maladie grave subite, une personne très âgée, un accident, etc..). Si le bailleur accepte la demande de son locataire, il sera bien avisé de signer avec lui une convention d'occupation précaire sous peine de se retrouver avec un nouveau bail de trois années. Si le bailleur refuse, le locataire peut s'adresser au juge qui tiendra évidemment compte de l'intérêt de toutes les parties. Celui-ci pourra refuser toute prorogation, la limiter dans le temps (par exemple deux ou trois mois) et même l'accorder en augmentant le loyer pour dédommager le bailleur. Dans le même esprit, si ce dernier avait résilié le bail sans motif, le juge pourrait diminuer les indemnités que le bailleur doit verser au locataire. Si le bailleur occupe un logement dont le loyer est plus important, est en mauvaise posture financière ou s'il souhaite justement occuper le bien, le juge en tiendra également compte. Le locataire a droit à demander une deuxième prorogation, également au plus tard un mois avant l'expiration du premier délai de prorogation judiciairement accordé. Dans ce cas, le juge peut alors décider d'octroyer une période différente de celle accordée pour la première prorogation.
Je pense donc que plus d'une prorogation est possible.
Si le bail que vous avez est de type bail de résidence principale vous pouvez demander , à mon humble avis mais il faudrait vérifier , à votre bailleur une prorogation du bail pour circonstances exceptionnelles et à condition que ce dernier n'ai pas signé un autre bail avec un autre locataire.
Vous devez obligatoirement adresser la demande de prorogation au bailleur par lettre recommandée au moins 1 mois avant l'expiration du bail SOUS PEINE DE NULLITE.
Soit le bailleur accorde la prorogation PAR ECRIT pour une durée X avec une augmentation éventuelle du loyer , soit il ne veut pas l'accorder et dans ce cas il vous reste à saisir le juge de paix qui peut soit accepter la prorogation soit la refuser.
UNE SEULE PROROGATION EST POSSIBLE.
Bien à vous
Kaplan
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Exact. Mais, d'une part, je voulais préciser ce qu'était la notion de "circonstances exceptionnelles" citée et, d'autre part, si le propriétaire vendeur reste dans les lieux après la signature de l'acte authentique, à défaut de certaines précautions (signature d'une convention d'occupation précaire, mention de cette occupation précaire dans l'acte, etc..;) il pourrait être considéré comme locataire. bien sûr, il ne s'agirait pas, alors, de l'application de l'article sur la prorogation pour circonstances exceptionnelles, mais, en pratique, ce sont souvent les mêmes critères qui jouent si une action devait être intentée auprès du juge de paix.
si j'ai bien lu, il ne s'agit pas d'un problème de locataire, mais du propriétaire-vendeur qui ne pourrait pas libérer les lieux dans le délai prévu...
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voila exactement la situation à ce jour
la date d'achat de ma maison est fixé au 24 avril, j'ai donné mon prévis ou je loue, la maison est déja reloué et les nouveau locataire ont déja résilié aussi.
le compromis à été signé le 1 er février et il est stipulé que la maison sera libre d'occupation a la date de la signature de l'acte (ce que refuse la vendeuse qui n'a pas de nouvelle maison)
aucune indemnité n'est prévue dans le compromis
il est indiqué que l'acte doit être passé dans les 4 mois, la veudeuse nous dis clairement que si on la fait "chier" elle ne passera l'acte que la veille des 4 mois, et ne partira quand même pas
voici les questions que je me pose :
1) nous avons le même notaire, est il encore tant d'en choisir un autre ?
2) l'agence m'indique qu'elle peu encore resté 3 mois après (c'est indiqué nul part et je crois que c'est du bluff)
3 ) si il faut faire expulser, je vais avoir de gros frais d'avocat ? et d'huissier, est il possible de les récuperer ?
4) puis je demander au notaire de bloquer une partie de l'argent le jour de la passation de l'acte pour constituer une garantie au cas ou je devrai engager des frais ou réclamer une indemnitée d'occupation (qui ne me serai pas payer)
5) comment se calcul une indemnité d'occupation ? et qui le détermine ?
je vous remercie beaucoup d'avance MERCIIIIIIIIIIIIIII
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voici ce que je vais proposé a la dame qui va rester, qu'en penser vous ?
Indemnité d’occupation :
Suite à la promesse de vente signé le 1er et le 2 février 2006, il a été convenue entre les propriétaires vendeurs Mr l E demeurant Rue à 7 PE marié à AN Ch demeurant Rue 1 à 7 H
Et l’acheteuse CN demeurant Rue du Roi à 73 C
Que le bien située Rue à 73 HO serait libre d’occupation à la date de la passation de l’acte, comme stipulé dans le compromis signés. (actuellement prévus pour le 24 avril 2006).
Madame An, occupe actuellement le logement, celle ci souhaite malgré la clause, occupé le logement jusqu’au ………………….2006.
Madame CN, propose donc d’autorisé Madame An à occuper le logement jusqu’au ……………………..2006.
Moyenant le prix de ………….. € en lettres ……………………………………………………
Par mois commencer à partir du ………………………2006.
Madame An autorise Maitre VB Notaire à B à prélever le jour de la passation de l’acte, la somme équivalent à 6 mois d’indemnités d’occupation sur la part revenant à Madame An en caution, qui lui sera restituer déduction faite du montant dù pour les mois d’occupation ainsi que des frais éventuel d’expulsion et des dégâts causer au logement jusqu’au jour ou le logement sera libre d’occupation.
Fait à H le mars 2006
Signature précédé de la mention « Lu et Approuvé »
Madame Cn Madame An
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il est indiqué que l'acte doit être passé dans les 4 mois, la veudeuse nous dis clairement que si on la fait "chier" elle ne passera l'acte que la veille des 4 mois, et ne partira quand même pas
C'est le monde à l'envers : c'est plutôt vous qui ne passerez pas l'acte et le vendeur qui n'aura pas on argent si les conditions de la vente ne sont pas respectées (dont : libération des lieux)
voici les questions que je me pose :
1) nous avons le même notaire, est il encore tant d'en choisir un autre ?
jamais bon de ne prendre qu'un seul notaire.
Consultez-en un autre dare-dare et demandez-lui s'il peut encore intervenir pour vous, sans supplément
2) l'agence m'indique qu'elle peu encore resté 3 mois après (c'est indiqué nul part et je crois que c'est du bluff)
C'est n'importe quoi !
Cela existe parfois en vente publique.
Si vente de gré à gré, cela doit évidemment être stipulé expressément.
Qu'est-il mentionné au compromis de vente ?...
3 ) si il faut faire expulser, je vais avoir de gros frais d'avocat ? et d'huissier, est il possible de les récuperer ?
4) puis je demander au notaire de bloquer une partie de l'argent le jour de la passation de l'acte pour constituer une garantie au cas ou je devrai engager des frais ou réclamer une indemnitée d'occupation (qui ne me serai pas payer)
5) comment se calcul une indemnité d'occupation ? et qui le détermine ?
Vous devriez, me semble-t-il, au préalable adresser un courrier recommandé aux vendeurs leur rappelant leurs obligations.
Pour rédiger ce courrier, nous vous conseillons de prendre contact avec la Legal Hotline 0903 99003
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voici ce que je vais proposé a la dame qui va rester, qu'en penser vous ?
Indemnité d’occupation :
Suite à la promesse de vente signé le 1er et le 2 février 2006, il a été convenue entre les propriétaires vendeurs Mr l E demeurant Rue à 7 PE marié à AN Ch demeurant Rue 1 à 7 H
Et l’acheteuse CN demeurant Rue du Roi à 73 C
Que le bien située Rue à 73 HO serait libre d’occupation à la date de la passation de l’acte, comme stipulé dans le compromis signés. (actuellement prévus pour le 24 avril 2006).
Madame An, occupe actuellement le logement, celle ci souhaite malgré la clause, occupé le logement jusqu’au ………………….2006.
Madame CN, propose donc d’autorisé Madame An à occuper le logement jusqu’au ……………………..2006.
Moyenant le prix de ………….. € en lettres ……………………………………………………
Par mois commencer à partir du ………………………2006.
Madame An autorise Maitre VB Notaire à B à prélever le jour de la passation de l’acte, la somme équivalent à 6 mois d’indemnités d’occupation sur la part revenant à Madame An en caution, qui lui sera restituer déduction faite du montant dù pour les mois d’occupation ainsi que des frais éventuel d’expulsion et des dégâts causer au logement jusqu’au jour ou le logement sera libre d’occupation.
Fait à H le mars 2006
Signature précédé de la mention « Lu et Approuvé »
Madame Cn Madame An
Ne vous déforcez pas en venant d'office avec une solution qui déroge à ce qui a été déjà convenu au niveau du compromis.
Voir mon autre message
Prenez contact avec Legal Hotline
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donc si je vous comprend bien, j'envois un recommandé avec accusé au deux propriétaire (en séparation) leur indiquant et leur rapellant que le logement doit être libre pour la date de passation de l'acte (24 avril)
je vais vérifier avant de passer l'acte que la maison est bien vide
et je me présente le 24 pour signer et je signe si la maison est vide et si elle ne l'est pas, je ne signe pas, et l'acte sera reporter au maximum jusqu'au 1 er juin ( max 4 mois a la date de signature du compromis comme stipulé dedant)
???
autre petite question : c'est juste l'acheteur qui doit faire les démarche dans les 4 mois, et si c'est chaque fois reporter et que la vente ne se fait pas, le vendeur doit me rendre ma caution et me donner une somme égale à 12 % (dans le compromis) qui va me payer cela ? les vendeurs ??? mais ils sont deux et le mari a déja quitter le logement, donc c'est juste la dame ou les deux quand même ???
serait il interessant que je contact pour lui indiquer ce qu'il risque ?
merci
je ne sait pas tel a la hotline, j'ai fait bloquer les numéro spéciaux pour que ma fille ne fasse pas les numéros qu'elle vois a la tv
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