Indivision: que faire?

Merci pour la réponse, très rapide

Donc je ne suis pas tenu a rester en indivision, et me retirer quand je le souhaite, y'a t il une procédure spéciale ? des conséquences pour l'autre partie ?

Donc tout par l'autre indivisaire je ne touche rien, je ne l'ai aidé car pour lui a 2 il avait une sorte d'exonération et je l'ai aidé donc pour qu'il puisse s'acheter son bien, j'ai juste 1% dessus,

Je n'ai rien a proprement parler, je ne paye pas son crédit,je n'ai pas fait quoi que ce soit avec lui,j'ai juste signe l'acte d'achat, je ne veut pas lui vendre, mais même lui donner ces 1%,

car j'étais d'accord, mais là je reçois ces précompte impayé vu que je suis aussi dessus,

j'ai pas encore reçu le montant des impôts, mais je pense qu'il seront calculer en fonction peut être du faite, que je possédé ce bien même si ce n'est que 1% et que normalement je persévérai des loyer etc.*
peut être que je me trompe

ça ne change pas grand chose, c'est juste le faite.

D'y être a 2 qui change, et qui permet une exonération.

c'est purement symbolique les 1%, maintenant reste plus que a savoir comment partir si l'autre partie ne tien plus ses responsabilité.

La solidarité à l'égard du fisc ne veut pas dire qu'il n'y a pas de règles à respecter entre copropriétaires.

En application de l’article 577-2, § 3 du Code civil, "Le copropriétaire participe aux droits et aux charges de la propriété en proportion de sa part", c’est-à-dire vous à raison de 1 %, votre ami à raison de 99 %.

Il faut donc lui réclamer le remboursement des impôts relatifs au bien que vous payez à concurrence de la part de l’autre indivisaire.

Par contre, en ce qui concerne votre situation fiscale propre, vous ne pouvez à mon avis rien reprocher à votre ami, dès lors que vous n’étiez pas obligé de vous embarquer dans cette histoire, dont certains détails m’échappent également.

Ceci dit, rien ne vous oblige à rester dans l’indivision, comme vous l’a signalé Grmfff !, sauf éventuellement une convention à cet égard, mais qui n’est jamais valable que pour cinq ans (art. 815 du Code civil).

Mais si aucun accord amiable n’intervient pour opérer le partage, s’agissant d’une chose qui n’est pas aisément partageable, seule la vente par décision de justice (vente judiciaire forcée) s’offrirait comme solution.

Mais si j’entends bien, vous ne réclamez rien pour votre part et votre ami ne devrait pas faire trop de problèmes. Mais il devrait néanmoins supporter le coût de l’acte notarié qui constate la cession de votre part et les droits d’enregistrement (1 % de la valeur vénale de l’immeuble - rien avoir avec le fait que vous êtes propriétaire de 1 % ceci dit).