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En France on s'est posé la question:
Qu’est-ce qu’il faut pour qu’un syndic soit bon ?
Un questionnaire de 14 pages peut être consulté sur le site de l'ARC.
Toutes les questions ne sont pas applicables en Belgique, mais la majorité le sont.
Cela mérite une réflexion, en se début de l'année 2009.
Je cite le début de ce texte:
Cette semaine nous allons tenter de répondre à la question suivante : « Qu’est-ce qu’il faut pour qu’un syndic soit bon ? ».
Comme on va le voir pour être « bon » (c’est-à-dire défendre vraiment et efficacement les intérêts de ses mandats) un syndic doit à la fois accomplir un certain nombre de tâches et à la fois EVITER de se livrer à certaines pratiques. Tout le reste, ce sont de beaux discours.
On trouvera une liste d’environ 120 critères positifs ou négatifs (ce qu’il ne faut pas faire). Cette liste n’est évidemment pas exhaustive et toute contribution sera la bienvenue. Disons que c’est un dégrossissage.
La semaine prochaine nous répondrons à une autre question non moins complexe : « Compte tenu des logiques propres aux syndics d’aujourd’hui, est-il vraiment possible d’avoir un « bon » syndic et si oui, qui sont ces « perles » ?
Les trois niveaux d’analyse de la qualité de gestion :
- la COMPÉTENCE
- la DISPONIBILITÉ
- la PROBITÉ
Je cite une partie de la réponse de l'ARC qui se trouve ici.
(...)
La recherche de l’excellence en matière de gestion immobilière n’est pas l’objectif des syndics (plutôt ; l’excellence recherchée est celle des résultats de la société). Or, l’excellence des résultats de la société ne passe pas par une excellente gestion immobilière. Prenons deux exemples :- les syndics ne sont pas vraiment incités à gérer au mieux les consommations énergétiques ou les consommations d’eau ;
- les syndics ne sont pas intéressés à penser « coût global ».
Les syndics ont donc besoin d’être STIMULÉS en permanence car - encore une fois - leur motivation profonde est celle de la rentabilité, pas de la meilleure gestion au moindre coût.
De notre expérience, il apparaît que toute gestion (même en apparence correcte) sans dialogue finit par devenir une gestion médiocre étant ici précisée que cette « médiocrité » ne se voit pas toujours, par exemple dans le cas des copropriétés « faciles ».
(...)
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