forum Vous n'êtes pas identifié(e) : Inscription :: Identification | Recherche Forum
Pages : Précédent 1 2 Ordre actuel : le + ancien d'abordInverser l'ordre des messages
Discussion fermée
Quelqu'un pourrait-il m'informer quant à la portée de la nouvelle disposition en rapport avec l'article 577-8 (8) e.e.v. le 18 juin 2012 :
Dans l’article 577-8 du même Code, inséré par la loi du
30 juin 1994 et modifié par les lois des 14 décembre 2005 et 2 juin 2010,
les modifications suivantes sont apportées : ....
3° l’article est complété par un § 8 rédigé comme suit :
« § 8. Il existe une incompatibilité entre l’exercice de la fonction de
syndic et la qualité de membre du conseil de copropriété. »
_____________________________________________________________
Pas de combinaison avec la qualité de membre du conseil
La nouvelle loi prévoit explicitement que la fonction de syndic n'est pas compatible avec la qualité de membre du conseil de copropriété. Dans la pratique, il apparaît que les copropriétaires qui agissent en qualité de syndic se portent également candidats à un siège au conseil de copropriété.
Ce cumul est cependant contraire à l'intention du législateur. Ce dernier a, en effet, confié au conseil de copropriété la tâche de vérifier si le syndic s'acquitte correctement de sa mission. L'incompatibilité a dès lors été consacrée dans le nouveau texte.
____________________________________________________________
Merci de me répondre
Hors ligne
1/ C'est une question intéressante
2/ C'est une attaque gratuite et inutile
Hors ligne
Sur ce forum, nous, humbles pimonautes, avons pris l'habitude de ne pas aider les gens qui sont déjà conseillés par un avocat....
Hors ligne
Et tout cela dans quel but???
Question déjà posée à de multiples reprises, mais qui n'a jamais reçu le moindre début de réponse... Pareil d'ailleurs pour d'autres questions !!!
Sans chercher à tirer sur l'ambulance, les faits exposés ne sont pas clairs et les arguments semblent peu cohérents et fort peu convaincants. Un avocat, s'il est consulté, fera utilement le tri des éléments qui peuvent être exploitables, s'il en existe réellement.
Il est utile de connaitre
- l'objet précis de la plainte et vers qui elle est dirigée
- le préjudice subi (ou estimé) et la demande de réparation.
Et il est important de ne pas sortir de son rôle. Un locataire n'a pas à interférer dans la gestion de l'immeuble ni dans la nomination du syndic... sauf à établir une faute qui vous cause un préjudice direct. Un locataire est lié par un contrat avec son bailleur. C'est son seul interlocuteur. Les relations entre les différents CP ne sont pas de son ressort. Pas plus que le choix d'un syndic !
Un avocat écartera toute cette argumentation inutile et pourra peut-être retirer quelque chose d'exploitable d'un document précis qui lui serait fourni. Peut-être. Mais il posera les mêmes questions que nous. Après avoir été provisionné.
Hors ligne
Je viens de remarquer que l'initiateur du post a effacé ses messages, sauf le premier.
Nous débattons donc entre nous des problèmes supposés d'un guignol qui nous mène en bateau.
Et si on arrêtait là ?
Hors ligne
Rexou a écrit
Et si on arrêtait là ?
Hors ligne
Pages : Précédent 1 2 Ordre actuel : le + ancien d'abordInverser l'ordre des messages
Discussion fermée