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Le très sérieux site "Actualités du Droit Belge" s'indigne et organise la signature d'une pétition: les pimonautes sont chaleureusement invités à la signer aussi.
Les compteurs communicants dits « intelligents » : les compteurs de la mort
Tous les parlements régionaux belges (flamand, bruxellois et wallon) sont sur le point d’adopter, sur proposition de leur gouvernement respectif, un texte légal imposant l’installation systématique dans tous les ménages, entreprises, industries, établissements scolaires de compteurs communicants dits « intelligents ».
Ces compteurs présentent de nombreux défauts et risques divers tant pour notre santé que pour notre sécurité. Pour ces raisons, nous devons nous mobiliser ensemble afin que ces projets n’aboutissent pas ; que les principes de la démocratie l’emportent sur la particratie et que nos libertés et droits fondamentaux soient respectés.
Les compteurs « intelligents » sont conçus pour collecter les données détaillées de votre consommation électrique et les transmettre au fournisseur d’électricité en utilisant des transmissions sans fil via des antennes relais. Ces transmissions génèrent des ondes électromagnétiques dont plusieurs spécialistes disent qu’elles sont dangereuses pour la santé. En outre, ces compteurs permettent la coupure en approvisionnement à distance au moyen de dispositifs connectés à internet posant des problèmes sérieux de sécurité.
Il existe plusieurs types de compteurs « intelligents » suivant la manière dont ils communiquent.
1. Le « modèle américain » émet des ondes GSM (GPRS) directement dans le domicile de l’habitant, suffisamment puissantes pour être captées par l’antenne relais GSM du quartier ; ces ondes sont maximales à proximité du compteur.
2. Le « modèle français », type LINKY utilise en priorité la technologie CPL (Courant Porteur en Ligne). Il génère des rayonnements d’un autre type qui se propagent partout dans les habitations via les câbles électriques. En outre, certains compteurs LINKY génèreront en plus des ondes GSM comme le modèle américain.
En Belgique, le type de compteur « intelligent » n’a pas encore été choisi.
Les 5 raisons pour dire NON aux compteurs « intelligents » en Belgique
1. Mise en danger de la santé des habitants
Comme l’amiante, les rayonnements GSM sont classés « potentiellement cancérogènes » par le Centre International de Recherche sur le Cancer et par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), c’est-à-dire favorisent l’apparition de cancer (leucémie , cancer du cerveau) ou les aggrave. En outres, ces ondes provoquent chez certaines personnes sensibles un cortège de symptômes: maux de tête , insomnie, fatigue, nausées, troubles cardiaques… Les enfants sont les premiers touchés, mais certaines études (notamment Klinghardt Academy) concluent que tout le monde souffre de ces ondes électromagnétiques. L’ANSES (Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail), autorité française en la matière, recommande de limiter les expositions de la population aux radiofréquences en particulier les ondes GSM.
Pour ces raisons, la Région bruxelloise avait imposé des limites draconiennes quant à la puissance des ondes GSM produites par les antennes relais des opérateurs GSM sur son territoire. Or, les compteurs « intelligents » ne seront pas soumis à ces mêmes limites !
La situation est pire encore pour les ondes CPL car leurs effets n’ont pas encore été étudiés. Personne ne sait si elles sont nocives ou non. Le principe de précaution devrait s’appliquer. Il appartient aux compagnies d’électricité de démontrer l’absence de danger avant d’utiliser ces systèmes.
Pour ces raisons, 400 mairies en France ont refusé catégoriquement l’installation des compteurs LINKY sur leur territoire. Là où ces compteurs ont été installés, plusieurs associations de citoyens s’y opposent encore aujourd'hui. Pourquoi ce qui est si mauvais pour la France deviendrait si bon pour la Belgique ?
2. Le mouchard numérique : la sécurité des données récoltées et l'atteinte à la vie privée et familiale
A votre insu, votre compteur « intelligent » mesurera, heure par heure, vos habitudes de consommation électrique : types d’appareil, fréquence d’utilisation et les transmettra intégralement à la centrale de traitement des données de la compagnie qui gère le réseau électrique. On peut craindre fortement que ces compagnies désirent faire de vos données personnelles un usage commercial en les revendant à des tiers choisis par eux. Ils doivent pour cela avec votre accord. Ils pourraient l'obtenir en vous suggérant de signer un nouveau contrat qui les y autoriserait. Ceci s’est déjà produit en France. A titre d’exemple, une société d’assurances pourrait faire payer plus cher ses produits à ses clients les plus sédentaires (les plus téléphages).
En outre, ces systèmes étant reliés au réseau Internet, ils ne sont pas à l’abri de cyber-attaques. Les opérateurs eux-même sont évasifs à ce sujet. Les données se retrouveraient alors en pâture sur la Toile du Web.
3. Coûts des compteurs « intelligents » et quid du bénéfice pour les consommateurs ?
L’installation et l’exploitation au quotidien de ces nouvelles infrastructures présentent un coût additionnel qu’il faudra supporter. Les Wallons vont débourser près de 600 millions d’euros de leur poche, les Bruxellois près de 300 millions d’euros, supportés directement par le citoyen. Ces nouveaux compteurs sont des dispositifs électroniques complexes et fragiles. On estime qu’il faudra les remplacer tous les 15 ans. Par comparaison, les compteurs électromécaniques actuels vivent 60 ans. Tous ces vieux compteurs mis au rebus seront autant de nouveaux déchets électriques qu’il faudra gérer.
Le citoyen récoltera–t-il des bénéfices ? NON !
Il faut savoir que, par application d’une Directive européenne de 2009, les gouvernements respectifs des trois régions ont déjà fait réaliser par 3 entreprises (BRUGEL pour Bruxelles, CWAPE pour la Wallonie et VREG pour Flandre) des études approfondies sur le rapport coût/bénéfice de l’implémentation de ces compteurs chez les consommateurs. Les 3 rapports émis par ces entreprises de régulation des marchés de l’électricité aboutissent à la même conclusion : défavorable pour le consommateur particulier. Dès lors, il n’y a pas d’intérêt économique au placement systématique de ces compteurs « intelligents » pour le consommateur. Seuls les fabricants de ces compteurs y gagneront.
L’idée à l'origine de cette Directive de 2009 était de proposer les compteurs « intelligents » comme une piste technologique permettant d’économiser de l’énergie. Malheureusement, les pays les plus avancés dans cette technologie (notamment les Etats-Unis, le Canada, la France) n’ont pas constaté de tels bénéfices. Dans les mêmes conditions, l'Allemagne a renoncé au déploiement systématique des compteurs « intelligents » chez les consommateurs particuliers.
Nous sommes dans l’incompréhension la plus totale de ce gaspillage de près de 1 milliard d’euros qui devra être déboursé directement par le citoyen tous les 15 ans. Nous comprenons pourquoi l’Etat Belge est systématiquement en déficit budgétaire et ce, pour des décisions politiques dont seuls les citoyens passent à la caisse pour couvrir ces aberrations.
4. Les risques d’incendie
L’utilisation des ces compteurs « intelligents » comporte des risques sérieux d’incendie.
Il a été observé aux Etats-Unis, au Canada et en France que les nouveaux compteurs « intelligents » sont vulnérables aux orages et aux arcs électriques. Les feux de compteurs « intelligents » se sont multipliés outre-Atlantique, conduisant même le Canada à les retirer en grand nombre en les remplaçant par des compteurs traditionnels électromécaniques. Il en est si bien ainsi qu’en France, les compagnies d’assurances et les entreprises de distribution d’électricité françaises ont prévu dans leurs conditions générales l’exclusion de couverture ou de responsabilité notamment en cas d’incendie de compteur électrique, considéré comme un cas de force majeure par les parties contractantes. Les dégâts au domicile d’un français victime d’un feu de compteur ne seront donc plus pris en charge par l'assurance incendie !
Qu’en sera-t-il en Belgique ? Il est à craindre que nos futurs compteurs « intelligents » soient tout autant vulnérables. Il est hautement probable que nos entreprises de distribution se dégageront-elles aussi de leurs responsabilités.
5. Le Cyber-terrorisme
Les compteurs « intelligents » permettent au gestionnaire de couper le courant à distance, individuellement chez chaque abonné, à tout instant. Ils utiliseront pour cela leurs systèmes informatiques automatisés reliés en réseau et connectés à Internet et dont les exploitants ne peuvent garantir la sécurité totale.
Comment ne pas penser au risque de piratage où un hacker au bout du monde prendra discrètement le contrôle de ces systèmes et en commanderait la coupure aux moments les plus inopportuns. Pensez à une attaque terroriste qui plongerait toute une ville dans le noir, y compris les services d’urgence ! Nous savons que la Belgique n'est pas épargnée par le terrorisme.
Pour toutes ces considérations, nous demandons aux Gouvernements régionaux d’abandonner leur projet d’installation des compteurs communicants dits « intelligents » en Belgique.
Auteur : CRISCENZO Paolo - Avocat au Barreau de Bruxelles
Téléphone : +32 486 42 30 44
Email : p.criscenzo@actualitesdroitbelge.be
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Sans compter le désavantage potentiel pour les auto-producteurs (essentiellement photovoltaïque), qui pourraient être déconnectés lorsque le ciel est trop bleu pour les pauvres centrales. (même si le sujet est polémique, c'est la source de la survenance des compteurs 'intelligents')
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je pense aussi que certains appareils électroménagers seront aussi intelligents et se signaleront au fournisseur d'électricité...
couper le courant à distance, évidement, mais aussi ils sauront si nous sommes chez nous et durant combien de temps et si on a allumé la tv et fait une lessive...
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(France) Linky : la CNIL met en demeure Direct Energie à propos des données personnelles
Le gendarme des données personnelles estime que l’entreprise ne respecte pas la loi imposant d’obtenir le consentement « libre, éclairé et spécifique » avant de collecter des données.
LE MONDE | 27.03.2018 à 10h45
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/pixels/article/20 … 7TTdtOj.99
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en france, bientôt, si tu n'es pas inscrit sur facebook, tu ne pourras pas avoir un compteur intelligent Linky ☺☺☺
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les gens ne veulent pas d'un compteur d’électricité intelligent pour protéger leur vie privée, mais ils se foutent à poil sur internet ☺☺☺
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Le reproche majeur que je fais au compteur intelligent est de permettre tout au fournisseur, qui aura plein d'avqntage, mais fera supporter le coût au client. Sans lui donner les avantages que devraient permettre ce genre d'appereil.
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Justement, quel avantage pour le consommateur ?
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Ayant quelques notions, voici quelques informations et réflexions sur les 5 sujets abordés dans l'article.
1) CPL (Courants porteurs en ligne) = danger pour la santé
Pour moi non. Il faut distinguer le CPL du fait que, notamment pour les compteurs gaz et eau, ont été envisagés associés à des protocoles de transmissions par ondes radio (169 Mhz) et que la technologie GPRS (extension du protocole GSM) ait été associée au CPL des "compteurs Linky".
La technologie CPL (existante depuis les années 30 mais généralisée depuis +-2000 avec la numérisation croissante de notre société) consiste à transporter des informations via les câbles électriques et une fréquence plus élevée. Souvent, 60Hz (notre réseau électrique est à 50Hz).
A proprement parler, ce n'est pas plus dangereux que le transport d’électricité dans la maison (or rares sont ceux qui vivent sans câbles électriques à la maison). C'est d’ailleurs pas mal utilisé en domotique (en "concurrence" avec le WiFi et le Bluetooth qui eux, par contre, sont probablement bien plus nocifs).
Le seul risque serait de potentiellement perturber la domotique si d’aventure les informations CPL passaient par les mêmes câbles (et encore, sous plusieurs conditions techniques).
Enfin, pour la partie communicant par ondes :
1) Les compteurs communicants n’émettent pas en permanence (5 minutes maximum par jour)
2) le compteur électrique intelligent (à 1 mètres de celui-ci) émet 13.000 fois moins d’ondes magnétiques (mesurée en milliampère / mètre) qu’une cuisinière à induction (à 10 cm de celle-ci, soit lorsque l’on tient simplement une casserole sur le feu) et 30 fois moins qu’un ancien GSM branché sur la « 2G ».
A relativiser je pense Maintenant, les électrosensibles à l'extrême ressentiront peut-être quelque chose, ça je ne sais pas le dire...
2) Mouchard numérique et atteinte à la vie privée
Techniquement, rien n’est jamais impossible.
Toutefois, sachez qu’à l’origine de ces rumeurs c’est la diffusion d’une vidéo humoristique prétendant que le compteur Linky serait doté d’une caméra infrarouge permettant de surveiller les utilisateurs. Reprise par des personnes mal intentionnées, la vidéo a été présentée ensuite comme une information réelle. Le compteur Linky n’est bien évidemment doté d’aucun dispositif permettant d’enregistrer des mouvements, du son ou des images. Ce que la vidéo présentait comme une caméra est une simple diode* qui clignote en fonction de la consommation.
De plus, légalement => La directive GDPR (Global Data Protection Regulation), dit RGPD en français, adoptée par le parlement européen le 16 avril 2016 et entrant en vigueur le 25 mai 2018 est très claire à ce sujet : Impossible de faire cela sans le consentement explicite des gens.
Extrait :
==
Article 7
EU RGPD
"Conditions applicables au consentement"
=> Article: 4
=> Raison: 32, 33, 42, 43
=> administrative fine: Art. 83 (5) lit a
1. Dans les cas où le traitement repose sur le consentement, le responsable du traitement est en mesure de démontrer que la personne concernée a donné son consentement au traitement de données à caractère personnel la concernant. ,
2. Si le consentement de la personne concernée est donné dans le cadre d'une déclaration écrite qui concerne également d'autres questions, la demande de consentement est présentée sous une forme qui la distingue clairement de ces autres questions, sous une forme compréhensible et aisément accessible, et formulée en des termes clairs et simples. Aucune partie de cette déclaration qui constitue une violation du présent règlement n'est contraignante.
3. La personne concernée a le droit de retirer son consentement à tout moment. Le retrait du consentement ne compromet pas la licéité du traitement fondé sur le consentement effectué avant ce retrait. La personne concernée en est informée avant de donner son consentement. Il est aussi simple de retirer que de donner son consentement. , ,
4. Au moment de déterminer si le consentement est donné librement, il y a lieu de tenir le plus grand compte de la question de savoir, entre autres, si l'exécution d'un contrat, y compris la fourniture d'un service, est subordonnée au consentement au traitement de données à caractère personnel qui n'est pas nécessaire à l'exécution dudit contrat.
==
Je ne suis pas un fan inconditionnel des institutions européennes, toutefois je dois leur laisser que le but de protection des données à caractère personnel est sacrément bien encadré et très contraignant. Pour une fois ils semblent avoir bossé
Les contrevenants s'exposant à de lourdes sanctions (de mémoire 20 millions d'euros d'amende ou 4% du chiffre d'affaire en fonction de celui des deux qui est le plus élevé), je pense que ça doit avoir un effet dissuasif.
3) Coût et absence de bénéfice pour le consommateur
Entièrement d'accord là-dessus.
Le prétexte avancé par les gestionnaires est d'aider les gens à mieux maîtriser la consommation d'énergie... Perso, je relève les compteurs de manière hebdomadaire et je sais pertinemment quels sont les postes énergivores.
Cela n'a donc que le mérite de faciliter la vie des gestionnaires de réseaux (plus besoin d'envoyer quelqu'un relever les compteurs, plus besoin de "produire" des compteurs à budget car nous pouvons utiliser physiquement le même et un logiciel se charge du reste, cela améliore la gestion des réseaux etc.).
De plus, la technologie permet une facturation plus courte qu'annuelle (relevés journaliers envisageables) et donc laisser libre court aux "marchés" de l'énergie et potentiellement des psychopathes financiers (pléonasme ?).
Enfin, comme tout élément "High Tech", cela contribue à une dispersivité des ressources rares (métaux notamment) qui rend difficile un recyclage en bonne et due forme et donc très bof environnementalement parlant.
4) Les risques d'incendie
A ma connaissance, le seul risque réel identifié par ERDF : Les premières versions de test des compteurs étaient mal serrées à l’installation et donc ont provoqué un échauffement.
Ces cas connus avec les premiers compteurs du genre : 8 pour 300 000 (tests entre 2009 et 2011 en Indre et Loire).
Au passage => Il faut savoir que « Linky » est en fait un cahier des charges et non un produit fini qu’une seule entreprise peut produire. Depuis 2011, le cahier des charges bien a été renforcé en conséquence par principe de précaution.
De plus, des formations spécifiques sont dispensées chez les Gestionnaires de Réseaux de Distribution (GRD) pour les installations. Les sous-traitants éventuels sont aussi soumis à ces formations poussées et évalués en conséquence.
Risque toujours existant mais à priori plutôt bien surveillé de près.
Quant au volet "responsabilités" en cas de souci, je ne sais pas me prononcer. La logique voudrait que le gestionnaire de réseau et/ou ses sous-traitants et/ou les assurances interviennent.
5) Cyber-terrorisme
Risque assez faible, quoique jamais inexistant.
Il est faux de dire, actuellement, que le réseau sera connecté directement à Internet. A moins que les gestionnaires de réseaux ne changent leur fusil d'épaules, de ce que je sais, seules les cabines seront effectivement connectées physiquement à un réseau afin de servir de relai vers le gestionnaire de réseau, mais pas « Internet ».
De plus, les connexions devraient utiliser une technologie dite de « tunneling » (cryptage de ligne de bout en bout entre la cabine et les systèmes du gestionnaire de réseau, créant un "tunnel" entre les deux éléments connectés). Un cryptage sera utilisé avec un niveau similaire à celui des transactions bancaires.
Enfin, les informations transiteront plus que probablement par ce que nous appelons dans le jargon une "DMZ" (Demilitarized Zone). C'est une zone-tampon entre "l'extérieur" et les systèmes informatiques qui font tourner la boutique. Au pire, c'est elle qui "saute » dans une premier temps.
Si des gens souhaitent attaquer, ils doivent physiquement aller se relier sur une cabine d’électricité (physiquement sécurisée), décrypter les informations et lancer des ordres depuis la cabine (encore faut-il en connaître les commandes...cryptées elles aussi).
Pas impossible, mais pas réellement aisé, ni discret.
Dernier risque potentiel pour ce volet : Une taupe bien placée chez le gestionnaire de réseau. Là, c'est toujours envisageable, comme un agent double dans l'espionnage
Dernière modification par Callewsa (29-03-2018 18:31:21)
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