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voici les grandes lignes de l'accord sur le budget fédéral
Au niveau immobilier, l'avantage fiscal pour une deuxième et suivante habitation, pour de nouveaux entrants, sera supprimée. Ce qui aurait un rendement budgétaire de 6 millions d'euros en 2024 (pas de rendement pour 2023). Cet avantage fiscal repose essentiellement sur la déduction d'intérêts dans le cadre de l'épargne à long terme.
A suivre
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https://www.lalibre.be/economie/conjonc … 0#cxrecs_s
Extraits de l'article réservé aux abonnés
Secondes résidences, surprofits, cigarette électronique… : voici les mesures économiques prises par le Fédéral
La suppression de l’avantage fiscal lié aux secondes résidences a bien été actée.
Sans doute le terme “seconde résidence” se devait-il de faire partie intégrante du budget pour tous les symboles qu’il véhicule. Quel qu’en soit le retour, puisqu’on parle, ici, de zéro bénéfice en 2023 et de 6 millions d’euros en 2024 !
Toujours est-il que la suppression de l'avantage fiscal lié aux secondes résidences a bien été actée. Elle ne vaut toutefois que pour les nouvelles acquisitions. "Les dépenses de remboursement en capital des prêts hypothécaires ne seront plus éligibles à la réduction d'impôt pour l'épargne à long terme dans la mesure où elles concernent des prêts contractés à partir du 1er janvier 2023" , détaille le Gouvernement. En d'autres termes, les acquéreurs d'une seconde résidence de loisirs ou ceux qui investissent dans un bien pour le mettre en location, ne pourront plus immuniser de leur déclaration d'impôts leurs revenus cadastraux à hauteur de leurs crédits.
Pour la grande majorité des acquéreurs, cette réduction d’impôt représentait à peine quelques centaines d’euros. Entre autres parce que, généralement, ils ont d’appréciables fonds propres – plus conséquents en tous les cas que les primo-acquéreurs – et que la part de l’emprunt est faible voire minime. Ce n’est que pour ceux qui ont la ferme intention de se concocter un joli portefeuille immobilier que cela risque de peser.
À moins que cette mesure qui ne rapporte rien en cache une autre à venir. "C'est peut-être une façon d'anticiper d'autres réflexions, reconnaît Renaud Grégoire, porte-parole de Fednot. On pourrait en effet imaginer que cela fasse partie d'un ensemble qui intégrerait RC, loyers réels, crédits hypothécaires…"
A SUIVRE
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Au niveau immobilier, l'avantage fiscal pour une deuxième et suivante habitation, pour de nouveaux entrants, sera supprimée. Ce qui aurait un rendement budgétaire de 6 millions d'euros en 2024 (pas de rendement pour 2023). Cet avantage fiscal repose essentiellement sur la déduction d'intérêts dans le cadre de l'épargne à long terme.
Celui qui a écrit cela ne connait décidément rien en fiscalité immobilière. On ne déduit pas les intérêts dans le cadre de l'épargne long terme...
Heureusement que c'était corrigé dans l'article complet.
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Le gouvernement a décidé de ne plus mettre dans le panier fiscal de l'épargne à long terme certaines dépenses : les amortissements en capital et les primes d'assurance solde restant dû liées à un emprunt hypothécaire.
Un autre avantage fiscal - la déduction ordinaire d'intérêts - n'est pas remis en cause.
Si je me souviens bien, il en avait été question.
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Le gouvernement a décidé de ne plus mettre dans le panier fiscal de l'épargne à long terme certaines dépenses : les amortissements en capital et les primes d'assurance solde restant dû liées à un emprunt hypothécaire.
Un autre avantage fiscal - la déduction ordinaire d'intérêts - n'est pas remis en cause.
Si je me souviens bien, il en avait été question.
Si je comprends bien l'article de la Libre, c'est bien la déduction des intérêts de prêts hypothécaire qui saute, pour les nouveaux crédits à partir de 2023...
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Le gouvernement a décidé de ne plus mettre dans le panier fiscal de l'épargne à long terme certaines dépenses : les amortissements en capital et les primes d'assurance solde restant dû liées à un emprunt hypothécaire.
Un autre avantage fiscal - la déduction ordinaire d'intérêts - n'est pas remis en cause.
C'est ce que j'ai lu dans l'Echo.
Personnellement, j'attends les textes définitifs qui seront publiés ds le Moniteur belge.
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