forum Vous n'êtes pas identifié(e) : Inscription :: Identification | Recherche Forum
Pages : 1 Ordre actuel : le + ancien d'abordInverser l'ordre des messages






N'importe qui mandatant un avocat pour rédiger des conclusions devra "valider" ce travail intellectuel, faute de quoi l'avocat ne dépose pas de conclusion au greffe. A ma connaissance, EN revanche dans la réalité du fonctionnement des copropriétés forcées qui font l'objet de ce forum de discussion, les syndics ne lisent pas et ne valident jamais les conclusions qui sont déposées en justice au nom des copropriétés. Je dis que cette façon de procéder fait obstruction à la bonne administration de la justice pour les raisons suivantes :
1° L'avocat dit "de la copropriété" ne vient quasi jamais voir le litige immobilier ce qui lui permet d'écrire des choses sur le papier qui ne sont pas conformes à la réalité. Je n'ai encore jamais vu qu'un procès-verbal d'assemblée générale prévoit que l'avocat vienne voir l'objet du litige sur lequel il va pourtant discourir longtemps et longuemment d'autant plus que la taille de leurs conclusions est décuplée avec les outils de production moderne de nos jours
2° Idem, le juge de paix se déplace seulement pour les locations. Cela empêche l'institution judiciaire de voir si les conclusions et papiers confectionnés par la copropriété lui disent la vérité ou pas;
3° Fatalement vu ce qui est dit au 1° et 2° , la résolution d'un litige matériel ne progresse pas;
Ce procédé est juste contraire à l'intérêt général et à la mission dévolue à l'ACP par le législateur.
Si ce sujet déplait, supprimez-le épargnez-moi la polémique ce serait sympathique merci,
Si qq'un sait comment l'IPI voit les choses ?
Hors ligne






N'importe qui mandatant un avocat pour rédiger des conclusions devra "valider" ce travail intellectuel, faute de quoi l'avocat ne dépose pas de conclusion au greffe. A ma connaissance, EN revanche dans la réalité du fonctionnement des copropriétés forcées qui font l'objet de ce forum de discussion, les syndics ne lisent pas et ne valident jamais les conclusions qui sont déposées en justice au nom des copropriétés. Je dis que cette façon de procéder fait obstruction à la bonne administration de la justice pour les raisons suivantes :
1° L'avocat dit "de la copropriété" ne vient quasi jamais voir le litige immobilier ce qui lui permet d'écrire des choses sur le papier qui ne sont pas conformes à la réalité. Je n'ai encore jamais vu qu'un procès-verbal d'assemblée générale prévoit que l'avocat vienne voir l'objet du litige sur lequel il va pourtant discourir longtemps et longuemment d'autant plus que la taille de leurs conclusions est décuplée avec les outils de production moderne de nos jours
2° Idem, le juge de paix se déplace seulement pour les locations. Cela empêche l'institution judiciaire de voir si les conclusions et papiers confectionnés par la copropriété lui disent la vérité ou pas;
3° Fatalement vu ce qui est dit au 1° et 2° , la résolution d'un litige matériel ne progresse pas;Ce procédé est juste contraire à l'intérêt général et à la mission dévolue à l'ACP par le législateur.
Si ce sujet déplait, supprimez-le épargnez-moi la polémique ce serait sympathique merci,
Si qq'un sait comment l'IPI voit les choses ?
Décidément vos "A ma connaissance" ne correspondent jamais à la pratique majoritaire que je constate !
Dans mes expériences, les syndics & les avocats échangent beaucoup entre eux dés l'ouverture du dossier, lors des échanges avec le tiers, au moment des conclusions,...
Je n'ai jamais vu un avocat gérer seul et en toute liberté un dossier qui ne relevait pas de simples impayés.
Je ne sais pas d'où vous tenez "vos connaissances" mais il va falloir peut-être les élargir...
Hors ligne






Si qq'un sait comment l'IPI voit les choses ?
Je ne suis pas membre de l'IPI. Et j'ignore la façon dont l'IPI voit les choses.
Interrogez l'IPI qui répondra ...ou non.
Hors ligne






N'importe qui mandatant un avocat pour rédiger des conclusions devra "valider" ce travail intellectuel, faute de quoi l'avocat ne dépose pas de conclusion au greffe. A ma connaissance, EN revanche dans la réalité du fonctionnement des copropriétés forcées qui font l'objet de ce forum de discussion, les syndics ne lisent pas et ne valident jamais les conclusions qui sont déposées en justice au nom des copropriétés. Je dis que cette façon de procéder fait obstruction à la bonne administration de la justice pour les raisons suivantes :
1° L'avocat dit "de la copropriété" ne vient quasi jamais voir le litige immobilier ce qui lui permet d'écrire des choses sur le papier qui ne sont pas conformes à la réalité. Je n'ai encore jamais vu qu'un procès-verbal d'assemblée générale prévoit que l'avocat vienne voir l'objet du litige sur lequel il va pourtant discourir longtemps et longuemment d'autant plus que la taille de leurs conclusions est décuplée avec les outils de production moderne de nos jours
2° Idem, le juge de paix se déplace seulement pour les locations. Cela empêche l'institution judiciaire de voir si les conclusions et papiers confectionnés par la copropriété lui disent la vérité ou pas;
3° Fatalement vu ce qui est dit au 1° et 2° , la résolution d'un litige matériel ne progresse pas;Ce procédé est juste contraire à l'intérêt général et à la mission dévolue à l'ACP par le législateur.
Si ce sujet déplait, supprimez-le épargnez-moi la polémique ce serait sympathique merci,
Si qq'un sait comment l'IPI voit les choses ?
Et c'est reparti pour un tour !
Vous n'en avez pas marre d'emmerder les syndics avec vos idées du supposé fonctionnement et de votre idéalisation des choses ?
Vous qui êtes si fort, engagez-vous comme syndic dans une copro et appliquez les règles qui vous conviennent.
Hors ligne






Dans toutes les ACP que je connais, c'est le CdC qui valide les conclusions.
Hors ligne






Dans toutes les ACP que je connais, c'est le CdC qui valide les conclusions.
Moi idem ...
Hors ligne






Panchito a écrit :Dans toutes les ACP que je connais, c'est le CdC qui valide les conclusions.
Moi idem ...
N'importe qui mandatant un avocat pour rédiger des conclusions devra "valider" ce travail intellectuel, faute de quoi l'avocat ne dépose pas de conclusion au greffe. A ma connaissance, EN revanche dans la réalité du fonctionnement des copropriétés forcées qui font l'objet de ce forum de discussion, les syndics ne lisent pas et ne valident jamais les conclusions qui sont déposées en justice au nom des copropriétés. Je dis que cette façon de procéder fait obstruction à la bonne administration de la justice pour les raisons suivantes :
Vous êtes une vraie girouette

Hors ligne






Je ne suis pas une girouette, je réfléchis, nuance, donc en pratique nous avons :
- un CDc qui valide des conclusions que les hommes et les femmes de loi déposeront au nom de l'ACP alors qu'ils n'y résident pas en générale t qu'ils ne vont pas aller voir sur place le vrai et le faux, l'art de la dialectique leur suffit pour exercer leur talent,
- un syndic qui paiera les factures de ces avocats,
- un plaignant qui pourra se plaindre longtemps puisque lamajorité a toujours raison étant donné le sacro-saint principe "L'AG est souveraine maitresse de ses intérêts"
Afin que le syndic responsable au titre de la loi ne reste pas dans un coin tenu à l'écart du sujet par les avocats, peux-être faut-il que les avocats indiquent que leurs conclusions sont prises "en présence du syndic".
A défaut, je ne vois pas comment il pourrait remplir son rôle autrement que rester à l'écart, ce qui me semble contraire à une bonne administration de la justice car s'il y a bien un protagoniste qui détient les clefs de tout c'est lui.
Hors ligne






Je ne suis pas une girouette, je réfléchis, nuance, donc en pratique nous avons :
- un CDc qui valide des conclusions que les hommes et les femmes de loi déposeront au nom de l'ACP alors qu'ils n'y résident pas en générale t qu'ils ne vont pas aller voir sur place le vrai et le faux, l'art de la dialectique leur suffit pour exercer leur talent,
- un syndic qui paiera les factures de ces avocats,
- un plaignant qui pourra se plaindre longtemps puisque lamajorité a toujours raison étant donné le sacro-saint principe "L'AG est souveraine maitresse de ses intérêts"Afin que le syndic responsable au titre de la loi ne reste pas dans un coin tenu à l'écart du sujet par les avocats, peux-être faut-il que les avocats indiquent que leurs conclusions sont prises "en présence du syndic".
A défaut, je ne vois pas comment il pourrait remplir son rôle autrement que rester à l'écart, ce qui me semble contraire à une bonne administration de la justice car s'il y a bien un protagoniste qui détient les clefs de tout c'est lui.
Dans votre cas de figure, vous avez une majorité d'une part et un CP qui conteste en justice les décisions de l'AG. et porte le conflit en justice si je comprends bien.
Le syndic ne détient les clés de rien du tout. Il peut avoir son avis. Il peut choisir de l'exprimer ou pas. Ce que vous souhaitez en fait, ce serait que le syndic appuie le "plaignant" dans ses revendications. Ce n'est pas son rôle. Il peut encore une fois choisir de s'exprimer ou non mais l'AG décide en effet, et si un CP est mécontent, il saisit le juge de paix qui tranche. Selon un procédé qui vous plait ou ne vous plait pas.
Si le syndic devait prendre parti pour une partie, il serait très logiquement le défenseur de la copro, soit de la décision prise en AG. Il est chargé de mandater un avocat qui devra défendre cette position. Mais son rôle n'est pas d'intervenir dans le processus judiciaire. L'avocat dépose ses conclusions. Le CDC aprrouve/demande une rectification éventuelle. Le juge tranche. Que vient donc faire l'IPI dans cette galère ?
Si qq'un sait comment l'IPI voit les choses ?
Dernière modification par rexou (14-05-2025 18:25:30)
Hors ligne






Décidément vos "A ma connaissance" ne correspondent jamais à la pratique majoritaire que je constate !
Dans mes expériences, les syndics & les avocats échangent beaucoup entre eux dés l'ouverture du dossier, lors des échanges avec le tiers, au moment des conclusions,...
Je n'ai jamais vu un avocat gérer seul et en toute liberté un dossier qui ne relevait pas de simples impayés.Je ne sais pas d'où vous tenez "vos connaissances" mais il va falloir peut-être les élargir...
Je continue de recevoir d'autres inputs confirmant la réalité que j'ai évoquée, à savoir que ce sont les membres du Conseil de Gérance qui gèrent les avocats et les conclusions dans la pratique....D'accord avec vous max11, elargissons !
Ya-t-il un syndic (IPI) sur ce forum qui peut me contredire et produire des éléments probants à ce sujet ?
Hors ligne






Dans toutes les ACP que je connais, c'est le CdC qui valide les conclusions.
C'est complètement stupide! les membres du cdc sont parfois embouteilleurs chez coca! qu'est ce qu'ils comprennent au droit?
de plus en Belgique, l'avocat dûment mandaté n'a pas besoin d'approbation de qui que ce soit pour envoyer ses conclusions ni avant sa plaidoirie finale!
qui prendrait le temps d'heures à rallonge pour tout lire? je crois que vous ignorez ce que sont des conclusions....
Bref, cette publication est complètement nulle!
Hors ligne






G.B. a écrit :Si qq'un sait comment l'IPI voit les choses ?
Je ne suis pas membre de l'IPI. Et j'ignore la façon dont l'IPI voit les choses.
Interrogez l'IPI qui répondra ...ou non.
l'IPI ne donnera jamais sa posture / position à ce sujet.
Tout le monde connait l'IPI et sait cela.
Idem dans le chef des Bâtonniers, le commerce judiciaire est une pratique très libre et leur réponse est invariablement " Mais chaque avocat fait comme il veut !".
Cette pratique commerciale amène les conséquences suivantes :
1° Ils se présentent aux audiences judiciaires souvent sans que les copropriétaires aient été avisés et cela malgré un article du code civil depuis la loi du 2 juin 2010, un texte qui est peux-être d'ordre impératif mais non d'ordre public car aucune sanction n'y est prévue par la législation en vigueur
2° Le rôle du Syndic se limite à payer les factures des avocats
3° En pratique, c'est toujours un copropriétaire qui "valide" officieusement les conclusions d'avocats, le syndic partant du principe qu'il est de passage, ne connait pas le "dossier" et il ne facture pas les heures chronophage qui seraient nécessaires pour lire et relire lesdites conclusions judiciaires
4° Les Magistrats font confiance aux avocats qui représentent " l'assemblée générale souveraine maîtresse de ses intérêts" et feignent de croire qu'une "convention d'honoraires" a été signée alors que c'est généralement "open bar"
alors que franchement ne pensez-vous pas que ce financement serait mieux employé pour conserver l'immeuble avec une truelle, on peut constater cela très souvent dans le cadre d'un litige entre copropriétaires ( je n'évoque pas ici un procès d'un fournisseur qui réclamerait le paiement de sa facture)
il y a de facto dans la réalité une " mainmise " sur les finances copropriétaires qui ignorent intégralement tous les tenants et les aboutissants et le passages d'avocats au palais et les conclusions prises en leur nom lorsque les juges instruisent une plainte en matière de copropriété forcée.
Or, le débat judiciaire ne doit pas se borner à un débat de droit avec des avocats qui répètent et martèlent aux magistrats un déni décidé par une mauvaise décision d'assemblée générale étayé par un passage opportun d'un huissier constatant que "Le sol de la cave est sec" ou un Architecte mandaté par un syndic judiciaire prétendant mensongèrement que "il n' a pas d'infiltations dans le garage" du plaignant
Les avocats ont parfaitement le droit de ne pas dire la vérité aux magistrats et même si le métier dudit copropriétaire plaignant est "embouteilleur chez coca" il voit les murs imbibés et le salpêtre qui ronge les fondations comme une mérule.
Tout justiciable souhaite aboutir à un résultat concret via un magistrat afin de protéger son patrimoine
Pour ces motifs, la "bonne administration de la justice" déraille parfois en matière de copropriété forcée , au détriment de ce que l'on appelle l'intérêt général de l'ACP elle-même 
Dernière modification par G.B. (22-12-2025 11:04:04)
Hors ligne






GT a écrit :G.B. a écrit :Si qq'un sait comment l'IPI voit les choses ?
Je ne suis pas membre de l'IPI. Et j'ignore la façon dont l'IPI voit les choses.
Interrogez l'IPI qui répondra ...ou non.l'IPI ne donnera jamais sa posture / position à ce sujet.
Tout le monde connait l'IPI et sait cela.
Idem dans le chef des Bâtonniers, le commerce judiciaire est une pratique très libre et leur réponse est invariablement " Mais chaque avocat fait comme il veut !".Cette pratique commerciale amène les conséquences suivantes :
1° Ils se présentent aux audiences judiciaires souvent sans que les copropriétaires aient été avisés et cela malgré un article du code civil depuis la loi du 2 juin 2010, un texte qui est peux-être d'ordre impératif mais non d'ordre public car aucune sanction n'y est prévue par la législation en vigueur
Citez le ou les articles pertinents et actuels du code civil ?
S'ils figurent aux art.3.84 à 3.100, ils seront impératifs (et pas peux-être impératifs)
Dernière modification par GT (22-12-2025 11:56:21)
Hors ligne






L'article 3.89 §5 4° nous dit que le syndic a pour mission "de représenter l'association des copropriétaires, tant en justice que dans la gestion des affaires communes."
Donc en dehors du recouvrement des arriérés de charges, le syndic doit disposer d'une décision d'AG pour aller en justice. La chose a donc été discutée. Et si la décision n'a pas été prise en AG, la partie adverse n'aura pas beaucoup de difficulté !!!! Notons donc que les copropriétaires.
L'article 3.92 §1er 2ème alinéa prévoit que "Le syndic est habilité à introduire toute demande urgente ou conservatoire en ce qui concerne les parties communes, à charge d'en obtenir ratification par l'assemblée générale dans les plus brefs délais." Les copropriétaires doivent donc être informés.
Si l'ACP est attaquée en justice, l'article 3.92 §1er 3ème alinéa, "le syndic informe sans délai les copropriétaires individuels et les autres personnes ayant le droit de participer aux délibérations de l'assemblée générale des actions intentées par ou contre l'association des copropriétaires." A nouveau les copropriétaires sont informés.
A noter, que dans tous les cas, c'est le syndic qui va fournir les informations et les documents nécessaire à la procédure au conseil de la copropriété.
Et, en ce qui me concerne, c'est le syndic qui discute et valide les conclusions de l'avocat. S'il désire l'avis du CDC, pourquoi pas mais la validation des conclusions déposées reste de sa responsabilité.
Dernière modification par Yves Van Ermen (22-12-2025 16:12:13)
Hors ligne
Pages : 1 Ordre actuel : le + ancien d'abordInverser l'ordre des messages