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Bonjour
Nous sommes propriétaires d'une maison (acheté en 2012 - construite en 1968) à Bruxelles.
Nous souhaitons réhausser + isolater la toiture par méthode Sarking.
Sur les plans originaux est marqué 'SDRN' (=bois) pour les Planches/Bandes de rives de Toiture.
Nous n'avons pas fait attention à ceci. En réalité c'est du PVC (et a pour avantage de ne pas etre du tout dégradé par les éléments après plus que 40 ans).
Nous avons un permis qui a été accepté pour la réhausse mais l'architecte a spécifié du bois pour les Planches/Bandes de rives de Toiture (nous n'avons pas fait attention à ce détail)
Les entreprises propose soit Trespa soit Alu peint (durent 40 ans sans repeindre)
Nous souhaitons utiliser le ALU pour la durabilité. Poser un échafaudage dans 10/20 ans autour de la maison pour repeindre les Planches est très cher - dans le devis pour remplacer la toiture la pose d'un échaffaudage coute déjà plus que 3000 euros, sans faire la peinture.
Nous avons consulté la commune mais ils disent ne pas vouloir accepté un permis avec Alu comme matériel.
C'est une commune 'verte' à Bruxelles particulièrement difficile pour cela.
Nous ne pensons pas vendre la maison avant 10 ans.
Nous pensons que la Méthode Sarking est vraiment supérieur donc nous voudrions si possible conserver le droit de faire ces travaux mais avec un petit changement de matériel.
Le PVC n'a jamais généré des plaintes et nous pensons que ca sera pas remarquable du tout et de toute facons plus aesthétique que du bois non rénové qui tombe en ruine partout sur plein de maisons autour.
Avez vous des éxpériences avec ce genre de situation?
Si nous conservons l'alu, et faisons les travaux un peu différent au permis, quels seront le sequels les pires dans notre cas?
Merci
Hors ligne
Bienvenue sur notre forum.
Voici une réponse détaillée et actualiséede Perplexity (malgré La Libre...):
**1. Nature du problème :**
- Vous possédez un permis accepté spécifiant du bois pour les planches de rive, mais vous souhaiteriez installer de l’aluminium peint (bien plus durable) à la place, dans une commune bruxelloise réputée stricte qui refuse ce changement.
- Vous demandez: quelle est la gravité si vous le faites quand même? Quels sont les pires scénarios?
**2. Ce que dit la loi urbanistique à Bruxelles :**
- Le Code Bruxellois de l’Aménagement du Territoire (CoBAT) considère comme **infraction urbanistique** tout travail effectué :
- sans le permis requis ou
- non conforme au permis obtenu (même pour un simple changement de matériau si ce point est explicitement repris dans l’autorisation).[1][2]
**3. Conséquences en cas d’infraction urbanistique (matériau non conforme au permis) :**
- L’infraction peut être constatée suite à une plainte de voisin, à un contrôle, ou lors de la demande d’un document administratif (vente, succession...).
- La commune ou la Région peut dresser un **procès-verbal** et transmettre au Parquet, ou émettre directement une **sanction administrative**.
- Les sanctions possibles à Bruxelles :
- **Obligation de remise en conformité** : on peut vous imposer d’ôter l’aluminium et de remettre du bois, à vos frais, même plusieurs années après.
- **Amende administrative** : variable selon la taille et la «gravité» de l’infraction, parfois assez lourde.
- En théorie: possibilité d’être poursuivi au pénal avec amende, voire peine privative de liberté, mais en pratique cela reste rare pour des changements de finition de toiture.[3][4][5][6][1]
- Le paiement de l’amende **n’efface pas l’infraction**: il faut quand même régulariser.
- Si la commune refuse de régulariser, vous devrez revenir à la configuration acceptée (du bois).
**4. Prescription et risques dans le temps :**
- La **prescription** d’une infraction urbanistique à Bruxelles dépend de la gravité: 5 à 10 ans, mais l’irrégularité «colle» au bien tant que non régularisée: à la vente, impossible d’obtenir certains documents (attestation de conformité urbanistique, etc.) tant que la faute n’est pas effacée, ce qui peut bloquer la transaction ou réduire le prix de vente.[6]
**5. Contexte pratique :**
- Beaucoup de petites infractions de finition passent totalement inaperçues si l’aspect ne choque pas et n’est pas visible — mais il existe toujours un risque, y compris lors de la revente ou d’une dénonciation.
- À Bruxelles, surtout dans certaines communes, ces petits écarts sont parfois traqués lors de visites de conformité ou à l’occasion de demandes ou plaintes d’un tiers.
**6. Conseils stratégiques :**
- **Régularisation**: Vous pouvez essayer de déposer un permis modificatif (même si la commune est fermée, faites argumenter par votre architecte sur la durabilité et l’esthétique).
- **En cas de réalisation sans régularisation**: c’est un pari — souvent toléré, mais un risque de devoir refaire ou d’être sanctionné existe, notamment à la revente.
- **Gardez toutes les preuves** de la qualité du matériau, de l’esthétique environnante, etc. Cela pourra appuyer votre dossier, notamment lors d’une tentative de régularisation future.
**7. Synthèse des pires scénarios:**
- Vous pouvez être obligé à vos frais de remettre du bois, même bien des années après, avec éventuellement une amende à payer.
- L’infraction peut «gêner» une future vente (pas d’attestation urbanistique «vierge», demande de réduire le prix ou d’effectuer les travaux à ce moment).
- Amende potentielle, montant parfois significatif.
- Théoriquement poursuites pénales, mais ce n’est pas la règle pour ce type d’écart de matériaux non flagrant.
**8. Ressources concrètes et point de contact :**
- Pour tout complément, vous pouvez solliciter l’Inspection et Sanctions administratives (ISA) — Région Bruxelles: 02/432.84.34 ou isa-ias@urban.brussels.[1]
- Conseillez-vous d’un architecte urbanistique ayant l’habitude de négocier ce genre de détail avec votre commune.
**En résumé**:
Ce type d’écart reste un vrai risque (même petit et courant dans la pratique), en particulier:
- danger de devoir tout démonter/rechanger à vos frais sur injonction
- problématique administrative et financière à la revente
Si vous voulez être «réglo», tentez la demande de permis modificatif avant d’enfreindre la règle. Sinon, c’est en connaissance de cause, avec un risque potentiellement coûteux à moyen terme.[4][2][3][6][1]
[1](https://urbanisme.irisnet.be/lepermisdu … anistiques)
[2](https://www.toiture-belgique.be/renovat … anisme.htm)
[3](https://regularis.be/infraction-urbanis … sequences/)
[4](https://blog.immoweb.be/fr/vendre/infra … -la-vente/)
[5](https://urbo.be/infraction-urbanistique-bruxelles/)
[6](https://galantarchitectes.com/infractio … bruxelles/)
[7](https://forum.pim.be/topic-296981-infra … l#p1929033)
[8](https://ubex.be/publications/infraction-urbanistique)
[9](https://www.pim.be/rw-irregularite-urba … concretes/)
[10](https://www.toiture-belgique.be/methode … arking.htm)
[11](https://www.guide-travaux-toiture.be/re … urbanisme/)
[12](http://info.hub.brussels/blog/infractio … n-immeuble)
[13](https://bruxelles-peb.be/sarking-isolation-toiture/)
[14](https://lexing.be/codt-quels-assoupliss … nistiques/)
[15](https://urbanisme.irisnet.be/lepermisdu … rbanisme-1)
[16](https://www.cygo.be/blog/guide-complet- … n-belgique)
[17](https://forum.pim.be/topic-296981-infra … age-1.html)
[18](https://homegrade.brussels/fiches-infos … a-toiture/)
[19](https://urbanisme.irisnet.be/lepermisdu … -de-permis)
[20](https://www.wallonie.be/fr/demarches/ob … u-13022025)
[21](https://www.entrepreneurs-du-batiment.b … oiture.htm)
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Merci pour votre réponse très clair
C'est évidemment un jeu entre deux scénarios avec tous les deux les cotés 'dévorable' (vivre avec le risque de devoir en futur remplacer avec bois + payer une amende + regulariser si dénoncé/inspecté OU vivre avec le besoin de payer pour mettre un échafaudage pour repeindre le bois dans un delai plus rapide que de repeindre l'aluminium) donc à nous de faire le choix.
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Voici une réponse détaillée et actualiséede Perplexity (malgré La Libre...):
**1. Nature du problème :**
- Vous possédez un permis accepté spécifiant du bois pour les planches de rive, mais vous souhaiteriez installer de l’aluminium peint (bien plus durable) à la place, dans une commune bruxelloise réputée stricte qui refuse ce changement.
- Vous demandez: quelle est la gravité si vous le faites quand même? Quels sont les pires scénarios?**2. Ce que dit la loi urbanistique à Bruxelles :**
- Le Code Bruxellois de l’Aménagement du Territoire (CoBAT) considère comme **infraction urbanistique** tout travail effectué :
- sans le permis requis ou
- non conforme au permis obtenu (même pour un simple changement de matériau si ce point est explicitement repris dans l’autorisation).[1][2]**3. Conséquences en cas d’infraction urbanistique (matériau non conforme au permis) :**
- L’infraction peut être constatée suite à une plainte de voisin, à un contrôle, ou lors de la demande d’un document administratif (vente, succession...).
- La commune ou la Région peut dresser un **procès-verbal** et transmettre au Parquet, ou émettre directement une **sanction administrative**.
- Les sanctions possibles à Bruxelles :
- **Obligation de remise en conformité** : on peut vous imposer d’ôter l’aluminium et de remettre du bois, à vos frais, même plusieurs années après.
- **Amende administrative** : variable selon la taille et la «gravité» de l’infraction, parfois assez lourde.
- En théorie: possibilité d’être poursuivi au pénal avec amende, voire peine privative de liberté, mais en pratique cela reste rare pour des changements de finition de toiture.[3][4][5][6][1]
- Le paiement de l’amende **n’efface pas l’infraction**: il faut quand même régulariser.
- Si la commune refuse de régulariser, vous devrez revenir à la configuration acceptée (du bois).**4. Prescription et risques dans le temps :**
- La **prescription** d’une infraction urbanistique à Bruxelles dépend de la gravité: 5 à 10 ans, mais l’irrégularité «colle» au bien tant que non régularisée: à la vente, impossible d’obtenir certains documents (attestation de conformité urbanistique, etc.) tant que la faute n’est pas effacée, ce qui peut bloquer la transaction ou réduire le prix de vente.[6]**5. Contexte pratique :**
- Beaucoup de petites infractions de finition passent totalement inaperçues si l’aspect ne choque pas et n’est pas visible — mais il existe toujours un risque, y compris lors de la revente ou d’une dénonciation.
- À Bruxelles, surtout dans certaines communes, ces petits écarts sont parfois traqués lors de visites de conformité ou à l’occasion de demandes ou plaintes d’un tiers.**6. Conseils stratégiques :**
- **Régularisation**: Vous pouvez essayer de déposer un permis modificatif (même si la commune est fermée, faites argumenter par votre architecte sur la durabilité et l’esthétique).
- **En cas de réalisation sans régularisation**: c’est un pari — souvent toléré, mais un risque de devoir refaire ou d’être sanctionné existe, notamment à la revente.
- **Gardez toutes les preuves** de la qualité du matériau, de l’esthétique environnante, etc. Cela pourra appuyer votre dossier, notamment lors d’une tentative de régularisation future.**7. Synthèse des pires scénarios:**
- Vous pouvez être obligé à vos frais de remettre du bois, même bien des années après, avec éventuellement une amende à payer.
- L’infraction peut «gêner» une future vente (pas d’attestation urbanistique «vierge», demande de réduire le prix ou d’effectuer les travaux à ce moment).
- Amende potentielle, montant parfois significatif.
- Théoriquement poursuites pénales, mais ce n’est pas la règle pour ce type d’écart de matériaux non flagrant.**8. Ressources concrètes et point de contact :**
- Pour tout complément, vous pouvez solliciter l’Inspection et Sanctions administratives (ISA) — Région Bruxelles: 02/432.84.34 ou isa-ias@urban.brussels.[1]
- Conseillez-vous d’un architecte urbanistique ayant l’habitude de négocier ce genre de détail avec votre commune.**En résumé**:
Ce type d’écart reste un vrai risque (même petit et courant dans la pratique), en particulier:
- danger de devoir tout démonter/rechanger à vos frais sur injonction
- problématique administrative et financière à la revente
Si vous voulez être «réglo», tentez la demande de permis modificatif avant d’enfreindre la règle. Sinon, c’est en connaissance de cause, avec un risque potentiellement coûteux à moyen terme.[4][2][3][6][1][1](https://urbanisme.irisnet.be/lepermisdu … anistiques)
[2](https://www.toiture-belgique.be/renovat … anisme.htm)
[3](https://regularis.be/infraction-urbanis … sequences/)
[4](https://blog.immoweb.be/fr/vendre/infra … -la-vente/)
[5](https://urbo.be/infraction-urbanistique-bruxelles/)
[6](https://galantarchitectes.com/infractio … bruxelles/)
[7](https://forum.pim.be/topic-296981-infra … l#p1929033)
[8](https://ubex.be/publications/infraction-urbanistique)
[9](https://www.pim.be/rw-irregularite-urba … concretes/)
[10](https://www.toiture-belgique.be/methode … arking.htm)
[11](https://www.guide-travaux-toiture.be/re … urbanisme/)
[12](http://info.hub.brussels/blog/infractio … n-immeuble)
[13](https://bruxelles-peb.be/sarking-isolation-toiture/)
[14](https://lexing.be/codt-quels-assoupliss … nistiques/)
[15](https://urbanisme.irisnet.be/lepermisdu … rbanisme-1)
[16](https://www.cygo.be/blog/guide-complet- … n-belgique)
[17](https://forum.pim.be/topic-296981-infra … age-1.html)
[18](https://homegrade.brussels/fiches-infos … a-toiture/)
[19](https://urbanisme.irisnet.be/lepermisdu … -de-permis)
[20](https://www.wallonie.be/fr/demarches/ob … u-13022025)
[21](https://www.entrepreneurs-du-batiment.b … oiture.htm)
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