forum Vous n'êtes pas identifié(e) : Inscription :: Identification | Recherche Forum
Merci, c'est clair, simple et limpide ! (je confirme, c'est bien mon habitation principale et bail de 9 ans).
Quand aux relations harmonieuses... ce n'est que la deuxième fois qu'un des héritiers potentiels essaie de nous mettre dehors
La première fois (il y a bien 5 ans) le motif était "raison personnelle" en dehors de tout délai normal de préavis, avec appel d'un avocat histoire d'impressionner...
Bonjour à tous,
J'ai reçu fin du mois dernier un recommandé de la part d'une des filles des propriétaires de l'appartement que j'occupe avec un bail commençant le 1er mars 1999.
Je n'ai pas été informé d'un changement de propriétaire en faveur de cette fille.
Le préavis ne notifie pas de raison de rupture à part la décision de mettre fin au bail, et indique un préavis terminant le 30 novembre, soit 3 mois.
Ce courrier m'inspire plusieurs questions...
Il me semble que préavis devrait être de 6 mois. Y-a-t'il un exception dans le cas où il y aurait eu un changement de propriétaire en faveur de cette fille?
Si la durée est incorrecte, est-ce que je peux considérer ce courrier comme non valable, ou dois-je considérer tout de même que je connais les intentions de l'éventuelle propriétaire (échéance d'une période de 3 ans fin février 2014)?
Merci d'avance de vos conseils!
l'immobilier continue à fluctuer en fonction de l'offre et de la demande
Il y a quand même une info: moi qui croyait que au moins la partie sud de la Belgique était encore l'une des dernières république soviétique socialiste au monde, il semblerait que les prix ne soient plus régulés par le soviet central mais répondent aux lois du marché!
Bref: la presse devient de plus en plus affligeante !
Pas affligeante, prévisible.
Article de commande, un jeune pigiste pond un article sans inspiration sur un sujet où les perspectives de Madame Irma sont aussi fiable que celle des spécialistes plus ou moins neutres et pioche de l'info contradictoire pour faire son thèse/antithèse/synthèse de base.
Ensuite, le rédacteur en chef lit en diagonale, trouver un titre accrocheur qui créé à la fois "l'Envie" de la part d'une partie des lecteurs (les futurs acheteurs potentiels actuellement frustrés) et "la Peur" d'une autre partie (les propriétaires, potentiellement futurs frustrés), deux des moteurs de la vente de papier, et en voiture, Simone!
Je préfère consulter les publications des résultats de ventes publiques, tout en visitant quelques rui... pardon, quelques "Maisons de Maître à rafraichir" pour me faire une idée du marché.
les investisseurs savent que ce n'est pas le bon moment d'acheter
hum.... je dirais plutôt que les spéculateurs savent que ce n'est pas le moment de vendre...
Et Bxl reste une ville à taille humaine et moins chère que d'autres capitales, cela n'a pas que des avantages.
Il suffit d'entretenir savamment la pénurie sur les biens disponibles et utilisables pour les segments demandeurs. (parce qu'en 15 ans à Bxl, j'ai toujours vu énormément de jachères, des maisons, voire parfois des ilots entiers abandonnés, dans des quartiers stratégiques où la demande est forte, en attente de projets qui viendront sûrement un jour...).
Bonjour. Avez-vous eu le courage de regarder Sarkozy hier ? Si oui, avez-vous entendu son discours sur les prix du logement en France ? Et son intention de faire crever la bulle immobilière ?
J'espère qu'il ne prendra pas la bonne idée à nos chers élus d'en faire de même.
Pour citer Cocteau...
"Puisque ces mystères nous dépassent, feignons d'en être l'organisateur".
C'est une maxime que le chef de la présipauté voisine semble avoir intégré depuis longtemps dans son plan communication.
carrelage c le mieux, ou très bon vinyl
Je ne conteste pas la qualité supérieure d'un carrelage, même s'il faut être vigilant quant à la robustesse de la construction pour supporter le poids que cela peut représenter (il s'agit d'un appartement aux étages supérieurs d'une habitation tout début 20ième).
Ceci dit je m'égare, ce n'est pas tout à fait la question...
ce qui n'est pas clair à mes yeux, c'est ce qui distingue la "vétusté" de "l'usage locatif".
Ou peut-être ne sait-on le dire que lorsqu'on a identifié celui qui a payé la facture entre le bailleur ou le preneur
Les agents immobiliers suivent cette initiative avec attention et méfiance et espèrent que l’aspect commercial en sera banni.
Cachez ce bien à vendre que je ne saurais voir...
En tout cas, le site est tellement peu clair, peu ergonomique, et peu fourni que les agences ne risquent pas grand chose (pour l'instant).
C'est tellement déprimant à voir que je n'ai eu qu'une envie, aller sur Pim!
à Bruxelles, un seul bien au chant d'oiseau à Auderghem, et les photos dans le pur style "notaire" (on voit rien, le bien n'est pas valorisé, un gros plan sur un fauteuil etc...).
Le jour où le monopole sur les actes sera brisé par l'Europe, ils ne vont pas survivre longtemps ceux-là face aux avocats, agence immobilières et autres professionnels réellement confrontés aux joies de la saine concurrence!
En tout cas, pas d'enchère alors que la première période d'enchère a commencé il y a 5 jours officiellement, enfin si je comprends bien comment ça fonctionne.
Sérieusement, vous y croyez à ça?
http://www.notaclick.be/
Bonjour à tous,
Comme il semble que le sujet ne soit pas tout à fait tranché dans les textes, j'aimerais connaître vos avis sur les critères de vétusté ou d'usage locatif pour un revêtement de sol.
Voici le topo:
Bail signé en 1999 pour un appartement, pas de clause particulière sur l'entretien du bien par le preneur hormis que "le preneur ne pourra faire aucun changement au bien loué sans le consentement spécial et écrit du bailleur. Tout travaux, embellissements et améliorations qui pourraient y être faits resteront acquis à la propriété, sans indemnité à moins que le bailleur ne préfère remettre les lieux dans leur état primitif par le preneur et aux frais de celui-ci".
Les moquettes datent d'avant l'arrivée du locataire actuel (il y a 12 ans) et étaient déjà défraichies. Récemment, les propriétaires ont fait effectuer des travaux sur l'habitation (réfection du toit puis de tous les châssis de fenêtres), qui ont occasionnés des tâches sur ces moquettes.
En discutant un peu avec les autres locataires de longue durée dans l'immeuble, il semble bien que la moquette date d'avant même l'arrivée du locataire précédent qui était arrivé 16 ans avant le locataire actuel.
Ces moquettes auraient donc plus 28 ans...
Dans l'usage, peut-on dans ce cas considérer que le remplacement des moquettes est à la charge du locataire comme étant le résultat d'un usage locatif, ou des propriétaires en invoquant l'état de vétusté, voire même un cas de force majeure suite aux tâches résultant des travaux de gros œuvre?
Ma source suggère le bon sens... mais généralement le bon sens consiste à faire payer l'autre
http://www.logis-sg.be/logis/Files/002.pdf
Question subsidiaire:
La lecture de la clause sur la remise en état d'origine laisse à penser que même si le bailleur donne son accord pour un changement initié par le locataire et aux frais du locataire, il pourrait tout de même demander une remise en l'état d'origine aux frais du locataire si les travaux "ne lui conviennent pas", par exemple lors de l'ELS.
Cela ressemble presque à un piège pour forcer le locataire à payer de nouveaux revêtements de sols en quittant la place si celui-ci a déjà lui-même refait ces revêtements (même avec l'accord du bailleur).
Merci par avance de vos expériences dans ce domaine!
PichonBiere a écrit : PIM a écrit :
.... ce n'est pas PIM qui a écrit ce que vous citez.
corrigé
Celui qui a investi 100.000 euros l’année dernière dans l’immobilier dispose aujourd’hui de 103.000 euros. Celui qui a déposé 100.000 euros l’année dernière sur un compte épargne n’a pas gagné un cent sur cette somme de départ.’
Pourrait-on avoir l'honnêteté d'inclure les frais d'enregistrement et la fiscalité immobilière et de comparer avec la fiscalité sur l'épargne?
Celui qui a investi 100.000 euros l'année dernière a déjà dépensé bien plus que 100.000 euros pour faire ce placement.
Certains prédisent un éclatement de bulle pour l'automne 2011.
j'ai failli attendre... je vais enfin pouvoir acheter mon hôtel de maître rénové avec garage 3 voitures, jardin de 300m² orienté sud-ouest au milieu du quartier européen pour 150k€?
Plus sérieusement, ce qui est intéressant, c'est que ces gens sont auto-financés, et ne sont apparemment pas un bras armé d'un des acteurs concernés pas le contenu de l'article, même si cela nous concerne potentiellement tous.
l'or est un peu cher en ce moment non?
Comme notre cher modérateur écrivait il y a quelques temps...
Essayons tout de même de rester concentré sur le marché belge...
Qui a dit que j'étais rancunier!
Cette appréciation de l'OCDE a fait l'objet d'une autre discussion (plus modeste que les 50.000 vues de ce fil-ci...) à lire ici
Désolé, j'avais effectivement raté l'autre fil
En le lisant, je constate avec un certain amusement, que les intervenants qui défendent le placement immobilier ici, se plaignent du rendement trop faible là-bas!
Quant à la valeur des actions, j'ai acheté début 2009, et jusqu'ici je n'ai pas à m'en plaindre, au contraire.
On s'éloigne... et ceci dit, personne n'a réagi à la première question de mon intervention, pourtant bien à sa place dans cette section du forum:
GFC.PA pour le cours de l'action.
Il est amusant de voir que le cours explose depuis 2004 (comme l'immobilier) avec un creux significatif début 2009 (comme la bourse).
Je tiens à rappeler que, contrairement aux apparences, un placement en action n'a pas vocation à n'être que spéculatif, donc la remarque sur le retard à rattraper sur 10 ans est légèrement déplacée.
Quand à la possibilité "d'agir sur son patrimoine", il me semble que le temps d'action sur la gestion d'un portefeuille de valeur mobilière est légèrement plus rapide que pour un patrimoine immobilier (qui porte bien son nom!).
Après, quelque soit la manière de placer, tout est une question de recherche d'information, de compréhension de l'environnement, de prise (ou non) de risque pour améliorer le rendement...
"Sur le long terme"... voire le très long terme alors !
je ne pense pas que le placement immobilier se place sur le créneau court terme, voire spéculatif, quoique certains comportements actuel à Bruxelles me laissent songeur (achat/revente de ruines dans l'état dans le quartier européen).
Je pensais donc bien à un placement sur 20 ans.
Pas de frais d'enregistrement, pas de précompte immobilier, pas de locataires indélicats, pas de certificats de conformités quelconques... et surtout, pas de rendement largement inférieur au prix du marché tel qu'indiqué par l'étude de l'OCDE.
Et pour les nostalgiques de la pierre, il reste des valeurs immobilières genre gecina.
...
Les chiffres de l'OCDE, rapportés vendredi par De Tijd, indiquaient que les prix de l'immobilier en Belgique sont 63% trop élevés par rapport aux prix des locations et 53% trop élevés par rapport aux revenus des ménages
...
Quel aveux !
En tout cas, cela me conforte dans l'idée que sur le long terme, le placement diversifié en action est le plus rentable...