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Quid de la déduction pour habitation propre et unique si j'ai acheté, en indivision avec mon épouse : un appartement (occupé par elle) et une maison, toujours en indivision (occupée par moi-même et mes 2 enfants) ?
Même question pour la déduction des assurances-vie liées aux 2 prêts.
Pour plus de clarté, nous sommes séparés de fait depuis un an.
cochise a écrit : Oui, pourquoi avoir attendu 2006 pour le signaler?
Cher cochise,
La réponse à votre question vous éclaire-t-elle réellement?
Ou était-ce une simple formule de "suivi-politesse"
Au plaisir de vous lire, et à tous les membres de ce site.
Très cordialement.
Rubis
cochise a écrit : Oui, pourquoi avoir attendu 2006 pour le signaler?
Cher cochise,
La réponse à votre question vous éclaire-t-elle ?
BAV et meilleures salutations.
Rubis
rubis a écrit : Bonjour à tous,
Je suis novice sur ce forum et aimerais savoir si quelqu'un pourrait m'aider à résoudre le problème suivant :
1.En 1998, je souscrit un emprunt hypothécaire de BEF 6.500.000,-;
2.En 2002, le crédit est dénoncé pour trois mensualités de retard (longue hospitalisation, soins intensifs, etc.);
3.En 2003, l'immeuble est vendu (vente forcée) pour un montant de BEF 7.200.000,-;
4.La même année (10/2003), le banquier est remboursé intégralement;
5.La banque "oublie" de renseigner ce remboursement à la B.N.B.
Si le banquier avait respecté ses obligations, le "fichage" aurait disparu (totalement) un an plus tard. Pour la période qui précède : le prêt devait apparaître avec la mention "soldé en date du 10/2003".
Le banquier n'a rien fait, ce qui a causé préjudices tant moraux que financiers.
En 2006, j'ai signalé les faits à la banque qui a répondu, en substance : "…suite à notre conversation téléphonique de ce 23 novembre 2006, nous vous confirmons l'annulation de votre fichage à la centrale positive des crédits…Veuillez-nous excuser pour ce petit désagrément…." !
Comme quoi, tout n'est pas relatif dans le chef du banquier !
Ma question est donc la suivante : puis-je m'attendre à quelques PETITES réparations des préjudices subis : obligé de louer deux années de plus, dommage moral, etc. ?
Merci d'avance pour vos avis, n'hésitez-pas à me contacter pour d'autres précisions jugées utiles.
Merci d'avance.
N.B. : si j'ai mal orienté ma question (ce n'est pas le bon forum par exemple, merci de me le signaler).
Rubis.
ce 23 novembre 2006 : il y a erreur. Non ?
Oui, il-y a erreur de date : la lettre du banquier est datée au 10 novembre 2006 (c'est mon contact téléphonique qui a eu lieu le 23/10/2006, je suis confus !
Rubis.
Oui, pourquoi avoir attendu 2006 pour le signaler?
Cher cochise,
Merci pour votre collaboration.
Pour résumer et tenter de répondre à votre judicieuse question, je dois vous signaler qu'avant mon hospitalisation, je m'occupais moi-même de la gestion courante des paiements.
Mon épouse, plus soucieuse de mon état de santé que de mon échéancier de paiements a effectué ceux-ci mais, comme j'avais deux prêts personnels (en ordre), dont une "ouverture de crédit", je savais (moi) qu'il fallait payer les intérêts à une date très précise (les 12 du mois), à défaut de quoi la banque créditait mon compte "capital" et, pour eux, j'étais en retard pour les intérêts).
Je connaissais leur pratique de comptabilisation (bizarre mais réelle), ayant été confronté à quelques rappels sans objet et pour lesquels la banque s'est excusée.
Un autre crédit (à tempérament était également en cours et le remboursement en était régulier…jusqu'au cas où (cf. ce qui précède).
N.B. : L'octroi de ce dernier crédit fait l'objet d'une approche dont le présent post n'est pas l'objet.
Enfin, pour en revenir à votre question principale, les crédits à la consommation ci-dessus étaient évidemment soumis à "l'épée de Damoclès" d'une saisie sur salaire, ce qui, en tant que père de famille avec deux adolescentes, me mettait tout simplement "à la rue".
J'ai donc dû convenir d'un échelonnement de paiement (avec frais exorbitants en sus), échelonnement que j'ai respecté scrupuleusement…il reste une "queue" de +/- 1 an (vu qu'ils m'ont augmenté la durée de remboursement d'un an) !
En 2004, lors du renouvellement de ma carte VISA (en ordre), ma banque habituelle m'a refusé celle-ci sous prétexte de "trop de charge en cours", ce qui apparaissait évidemment (à tort) sur mon extrait B.N.B. .
J'ai alors pris contact avec le banquier hypothécaire afin qu'il règle la situation. Il m'a dit : OK, nous faisons le nécessaire.
En fait, j'avais l'intention d'acheter une maison avec prêt hypothécaire englobant le solde de deux crédits personnels dont j'ai toujours honoré strictement la régularité des paiements.
Le banquier n'avait PAS fait le nécessaire; toujours en craignant une saisie sur salaire, j'ai bien dû patienter.
Si j'avais été "défiché", le total de mon loyer et du nouveau prêt hypothécaire me permettait aisément, et c'est toujours le cas, de faire financièrement face.
L'affaire n'étant pas si simple à exposer, J'espère, cher cochise, ne pas avoir été trop long.
En résumé : il reste que le banquier a commis une faute qui m'a causé préjudice, mais il est vrai que ma réaction a été tardive, pour les raisons invoquées ci-dessus de plus, j'étais persuadé que les formalités légales avaient été faites et étais en attente.
Merci d'avance et meilleures salutations.
Rubis
Bonjour à tous,
Je suis novice sur ce forum et aimerais savoir si quelqu'un pourrait m'aider à résoudre le problème suivant :
1.En 1998, je souscrit un emprunt hypothécaire de BEF 6.500.000,-;
2.En 2002, le crédit est dénoncé pour trois mensualités de retard (longue hospitalisation, soins intensifs, etc.);
3.En 2003, l'immeuble est vendu (vente forcée) pour un montant de BEF 7.200.000,-;
4.La même année (10/2003), le banquier est remboursé intégralement;
5.La banque "oublie" de renseigner ce remboursement à la B.N.B.
Si le banquier avait respecté ses obligations, le "fichage" aurait disparu (totalement) un an plus tard. Pour la période qui précède : le prêt devait apparaître avec la mention "soldé en date du 10/2003".
Le banquier n'a rien fait, ce qui a causé préjudices tant moraux que financiers.
En 2006, j'ai signalé les faits à la banque qui a répondu, en substance : "…suite à notre conversation téléphonique de ce 23 novembre 2006, nous vous confirmons l'annulation de votre fichage à la centrale positive des crédits…Veuillez-nous excuser pour ce petit désagrément…." !
Comme quoi, tout n'est pas relatif dans le chef du banquier !
Ma question est donc la suivante : puis-je m'attendre à quelques PETITES réparations des préjudices subis : obligé de louer deux années de plus, dommage moral, etc. ?
Merci d'avance pour vos avis, n'hésitez-pas à me contacter pour d'autres précisions jugées utiles.
Merci d'avance.
N.B. : si j'ai mal orienté ma question (ce n'est pas le bon forum par exemple, merci de me le signaler).
Rubis.
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