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J'ai une petite question à l'attention de l'ABSA. Je ne sais s'il voudront bien donner une position officielle.
Imaginons un syndic "Certifié SNP". Imaginons que ce syndic est membre de l'ABSA. Imaginons que ce syndic vient à perdre sa certification pour non respect de la charte.
Quelle est la position de l'ABSA? Ce syndic peut-il rester membre de l'ABSA?
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Et puisque l'ABSA est membre de la FNAB, fondatrice de cette Charte des Syndics Certifiés avec le SNP entre autres, quelle serait la position de la FNAB?
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J'ai une petite question à l'attention de l'ABSA. Je ne sais s'il voudront bien donner une position officielle.
Cher Grmff,
Volontiers, nous répondons à votre question. D'autant qu'il ne faut plus imaginer
Premièrement, L'ABSA et le SNP sont des entités indépendantes l'une de l'autre. Le fait d'avoir le Label Syndic du SNP, ou celui du CNIC, n'est pas une condition pour être membre de l'ABSA. La perte de cette certification n'implique donc pas automatiquement l'exclusion de notre membre.
Deuxièmement, le fait qu'un de nos membres perde la certification est interpellant pour nous. Une procédure interne est donc initiée.
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Deuxièmement, le fait qu'un de nos membres perde la certification est interpellant pour nous. Une procédure interne est donc initiée.
Merci pour votre réponse.
Il est un fait qu'un syndic qui perdrait sa "certification" suite à un non payement de sa cotisation ne devrait certainement pas être sanctionné. Cela n'aurait aucun sens.
Dans le cas qui nous occupe, ce n'est pas le cas, comme vous le savez. Donc, étant donné les événements actuels non imaginaires, j'attends avec impatience le résultat de la procédure interne...
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Cher Absa,
Merci de ce suivi qui tombe à point nommé.
Est-ce que ces décisions sont publiques? Peut-on en avoir une copie quelque part?
Et finalement, est-ce fréquent, ou est-ce le premier cas?
Bien à vous
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Volontiers, nous répondons à votre question. D'autant qu'il ne faut plus imaginer
...
Deuxièmement, le fait qu'un de nos membres perde la certification est interpellant pour nous. Une procédure interne est donc initiée.
Diantre, peut-on savoir de quel méfait ce syndic s'était-il rendu coupable pour subir une telle sanction ?
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Cher Absa,
Merci de ce suivi qui tombe à point nommé.
Est-ce que ces décisions sont publiques? Peut-on en avoir une copie quelque part?
Et finalement, est-ce fréquent, ou est-ce le premier cas?
Bien à vous
Ce syndic gardant très certainement son titre d'agent IPI pourra donc continuer à travailler et donc à poursuivre ses méthodes de travail qui lui ont valu le retrait de sa certification.
Pour rejoindre la question de Grmff, ne serait-il pas utile que le SNP prévoie une liste des syndics ayant perdu leur certification ?
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J'imagine que l'ABSA a considéré que le membre avait commis des fautes suffisamment graves que pour être exclu. Ces fautes sont sans doute les mêmes que celles qui lui ont fait perdre sa certification.
Est-ce que l'IPI va aussi faire une enquête? Est-ce que les fautes considérées par l'ABSA entre dans le champ de la faute déontologique... cela reste à voir
Il faut en effet savoir que la charte de qualité des syndics va plus loin que la déontologie. Sinon, pourquoi faire une simple charte avec un simple engagement de respecter la charte? Tout syndic devrait être certifié (pour autant qu'il paye une cotisation...)
Bref, il est clair que ce syndic pas assez clair pour rester membre de l'ABSA, reste membre de l'IPI tant que l'IPI ne l'a pas éjecté... et donc continue a exercer en temps que syndic...
Question subsidiaire à l'ABSA: le membre viré peut-il encore se réclamer de l'ABSA (par exemple sur son site internet?) et si il ne peut pas, envisagez-vous de vérifier qu'il ne continue pas à abuser du sigle de l'ABSA sur sn site ou son courrier professionnel?
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Pour rejoindre la question de Grmff, ne serait-il pas utile que le SNP prévoie une liste des syndics ayant perdu leur certification ?
Il aurait fallu pour cela que le règlement de certification permette de signaler ceux qui ont été exclu... ce n'est pas prévu.
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Il faut en effet savoir que la charte de qualité des syndics va plus loin que la déontologie. Sinon, pourquoi faire une simple charte avec un simple engagement de respecter la charte?
Il me semble que la charte n'est que le condensé du minimum que tout syndic devrait faire pour gérer une copropriété en "bon père de famille".
Peut-être voyez-vous des points qui sortent de ce minimum car moi je n'y vois rien d'extraordinaire dans la manière de gérer.
D'ailleurs, vous le confirmez vous-même !
Tout syndic devrait être certifié (pour autant qu'il paye une cotisation...)
Mais si je vous ai bien compris, il faut avant tout payer !!
Cordialement
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J'imagine que l'ABSA a considéré que le membre avait commis des fautes suffisamment graves que pour être exclu. Ces fautes sont sans doute les mêmes que celles qui lui ont fait perdre sa certification.
Est-ce que l'IPI va aussi faire une enquête? Est-ce que les fautes considérées par l'ABSA entre dans le champ de la faute déontologique... cela reste à voir
Ce qui est interpelant dans ce que vous dites c'est que l'ABSA serait plus sourcilleux que l'IPI quant au non respect d'un engagement.
D'autant plus interpelant que Mr Van Ermen (secrétaire général de l'ABSA) occupe ( si je ne m'abuse) également une fonction non négligeable au sein de l'IPI.
N'y a-t-il pas un article du règlement de déontologie qui contraint l'agent à respecter la loi et les règlements ?
La charte n'est-elle pas un règlement auquel le syndic se serait engagé volontairement et sur l'honneur à respecter ?
Si cet engagement n'entre pas dans la déontologie, pourquoi un syndic devrait-il respecter l'acte de base des diverses copropriétés qu'il gère.
Mais alors, à quoi sert l'IPI ?
A vous suivre, certainement pas à rassurer les consommateurs quant à la valeur, la probité de ses agents.
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Si vous lisez mes interventions sur la Certification, vous verrez que je n'y étais pas favorable pour les raisons que vous évoquez.
Si l'IPI faisait son travail correctement (quod non...), il n'y aurait pas eu besoin de cette charte et de ce label de qualité. L'affiliation à l'IPI aurait pu suffire.
Malheureusement, l'IPI a été défaillant gravement dans le passé. Je ne me prononcerai pas sur son présent, c'est totalement inutile.
Dès lors, le SNP et la FNAB ont inventé cette "certification" qui va plus loin que la déontologie. On peut être excellent syndic, clair et honnête, sans respecter tous les points de la charte. Et malheureusement, on peut être mauvais syndic en respectant la charte.
Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit: la charte est plutôt positive. Mais elle fait ou devrait faire double emploi avec la déontologie.
Donc, la déontologie n'est pas parfaite, la charte non plus. Mais aucune loi ou aucun règlement n'est parfait. Et déontologie et charte en sont pas sur la sellette pour déficience grave.
Par contre, au sein de l'IPI, l'application de la déontologie a été gravement déficiente. C'est donc bien l'IPI qui était sur la sellette pour incapacité à virer les moutons noirs...
Dans le cas du syndic sous rubrique, il a fait l'objet de plainte à l'IPI. Et il a été malheureusement blanchi, malgré ses fautes patentes. Malgré les plaintes nombreuses. Et c'est bien dommage...
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Malheureusement, l'IPI a été défaillant gravement dans le passé. Je ne me prononcerai pas sur son présent, c'est totalement inutile.
Par contre, au sein de l'IPI, l'application de la déontologie a été gravement déficiente. C'est donc bien l'IPI qui était sur la sellette pour incapacité à virer les moutons noirs...
Vous dites ne pas vous prononcer sur l'efficacité actuelle de l'IPI à sanctionner, ou à tout le moins, à faire respecter la déontologie, et pourtant...
Dans le cas du syndic sous rubrique, il a fait l'objet de plainte à l'IPI. Et il a été malheureusement blanchi, malgré ses fautes patentes. Malgré les plaintes nombreuses. Et c'est bien dommage...
Il semble donc que le comportement de l'IPI n'a pas encore changé malgré la dernière campagne de presse de 2008 pour rassurer le consommateur !
Ceci est donc en totale contradiction avec les propos tenus au parlement par la ministre Laruelle qui a affirmé que l'IPI jouait parfaitement son rôle et de rappeler le nombre de sanctions prononcées...mais à l'encontre de qui ???
On doit se poser la question puisque les "moutons noirs" y paissent toujours dans la plus totale quiétude.
J'espère que l'ABSA en informera Madame Laruelle afin qu'elle mette enfin de l'ordre dans cet Institut.
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Vous dites ne pas vous prononcer sur l'efficacité actuelle de l'IPI à sanctionner, ou à tout le moins, à faire respecter la déontologie, et pourtant...
Vous avez parfaitement compris:
1. J'estime et j'assume: l'IPI a été gravement déficient dans le passé.
2. Je m'interroge: au vu du cas qui m'occupe, l'IPI est-il encore déficient ou non?
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2. Je m'interroge: l'IPI est-il encore déficient ou non?
En citant le cas sous rubrique, vous y avez vous-même répondu et ce cas n'est malheureusement pas unique.
Nous sommes encore nombreux à voir nos plaintes ne pas aboutir.
Cordialement
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Si votre première plainte n'a pas abouti, cela ne doit pas vous empêcher de déposer une deuxième plainte pour des faits qui se répètent.
Les "sanctions" prévues par l'IPI ne prévoient pas le sursis. SOuvent, pour une première condamnation, on a tendance à donner une peine avec sursis... quand c'est possible.
Ici, avec l'IPI, ce n'est pas possible. Ils font donc un "non lieu". En cas de récidive, feront-ils encore un non-lieu? l'IPI dit que non. En cas de deuxième dossier, le premier est ressorti... et ils considèrent l'ensemble.
Bon à savoir...
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Si votre première plainte n'a pas abouti, cela ne doit pas vous empêcher de déposer une deuxième plainte pour des faits qui se répètent.
Et lorsque vous déposez plusieurs plaintes contre votre syndic (parce que les premières n'aboutissent pas) pour récidive ou d'autres manquements, on vous qualifie de faire de l'acharnement à son égard.
Cordialement
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Grmff a écrit : Si votre première plainte n'a pas abouti, cela ne doit pas vous empêcher de déposer une deuxième plainte pour des faits qui se répètent.
Et lorsque vous déposez plusieurs plaintes contre votre syndic (parce que les premières n'aboutissent pas) pour récidive ou d'autres manquements, on vous qualifie de faire de l'acharnement à son égard.
Cordialement
C'est fort probable, mais il faut persévérer à déposer des plaintes à l'IPI. on a constaté lors de la journée d'étude de samedi à OSTENDE du CNIC que probablement 90 à 98% des plaintes sont classés sans suite et pas repris dans les statistiques.
En revenant de la journée d'étude à OSTENDE du CNIC, en présence de gens de l'IPI, CIB, Juge de paix, ... je constate que tous les opinions convergent vers un problème structurel au sein de l'IPI. Les solutions proposées sont très contradictoires.
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probablement 90 à 98% des plaintes sont classés sans suite et pas repris dans les statistiques
J'en reste sans voix...
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