forum Vous n'êtes pas identifié(e) : Inscription :: Identification | Recherche Forum
Pages : 1 2 Suivant Ordre actuel : le + ancien d'abordInverser l'ordre des messages
La RTBF va diffuser un reportage consacré aux litiges entre plusieurs copropriétaires et leurs syndics ce mercredi 23/10 dans l’émission Devoir d’Enquête qui débute vers 20h20 sur la Une télé.
En ligne
Que retiendra le téléspectateur ?
Le reportage diffusé (malgré quelques précautions oratoires) jette l'opprobre sur les syndics en général.
Avons-nous eu accès aux pièces des dossiers des plaignantes ? Non, c'est évident . Mais les journalistes les ont-ils analysées ? Nous n'avons que les paroles des intéressées et de leurs "conseils".
Et lorsqu'une plaignante affirme à la sortie du tribunal que le syndic depuis la loi du 1er janvier 2019, le syndic peut la faire expulser, le journaliste a-t-il pris la peine de vérifier l'existence de cette loi et le contenu de celle -ci en matière d'expulsion ?
Hors ligne
Replay
https://www.rtbf.be/auvio/detail_devoir … id=2557248
à partir de 51 min 49
Hors ligne
Effectivement, le journaliste aurait du contrôler si les informations données par la copropriétaire étaient correctes...
En ligne
Que retiendra le téléspectateur ?
Le reportage diffusé (malgré quelques précautions oratoires) jette l'opprobre sur les syndics en général.
Je viens de contacter ce matin l'IPI dans le contexte du dossier de mon syndic provisoire, stagiaire qui entame son 5ème année de stage. L’opprobre est selon moi jeté par l'IPI elle-même puisque l'IPI se cache derrière le JP, qui n'a pas de pouvoir d'instruction réelle. D'où la tendance nettement prononcé lors de l'émission d'aller au niveau pénal, qui a un pouvoir d'instruction.
Avons-nous eu accès aux pièces des dossiers des plaignantes ? Non, c'est évident. Mais les journalistes les ont-ils analysées ? Nous n'avons que les paroles des intéressées et de leurs "conseils".
Les documents et fardes ont été clairement montré au journaliste.Ils étaient accessibles. Quand à analyser les dossiers, cela dépasse tant les pimonautes que ce journaliste.
Et lorsqu'une plaignante affirme à la sortie du tribunal que le syndic depuis la loi du 1er janvier 2019, le syndic peut la faire expulser, le journaliste a-t-il pris la peine de vérifier l'existence de cette loi et le contenu de celle -ci en matière d'expulsion ?
Cette plaignante répété en fait des mots dit par mon syndic envers moi lors ou hors des AG.
Elle est pas juriste, mais comptable. Elle présente le résultat, d'ailleurs semblable à un cas en Flandre où un propriétaire a du vendre sa maison suite à des astreintes de + 800.000 suite à un refus répété à couper des arbres qui gênent le voisin.
Expulsion: vous avez raison sur la forme, mais je répète depuis 2010 on propose que l'ACP demande au juge que je dois quitter mon appartement et serait obligé à le vendre à l'ACP. Demande d'expulsion soutenu par les deux CaC de ce moment.
Mon synthèse: j'étais hésitant à faire de la publicité, mais j'étais surpris de la qualité de l'émission, tenant compte avec les limitations de ce format.
Quand aux syndics professionnels: nettoyez votre étable. Un syndic doit être sans mélange d'intérêt.
Quand seul des pimonautes veulent défendre les syndics, j'ai tendance à dire que l'omerta existe dans ce corps de metier.
Hors ligne
luc a écrit :Quand seul des pimonautes veulent défendre les syndics, j'ai tendance à dire que l'omerta existe dans ce corps de metier.
Luc étant lui-même pimonaute...
C'est vrai que j'ai pris maintes fois la défense des syndics bon père de famille.
Mais ils ont un désavantage qui devrait être combattu par l'IPI:
Une pomme pourrie dans un panier à tendance de pourir le panier des pommes, si on reste passif.
Mais une pomme saine dans un panier de pommes pourries ne va pas guérir les autres sans support externe.
Je viens d'expliquer ce matin à un juriste de l'IPI une règle simple qui nécessite aucun changement de déontologie ou loi, mais met la responsabilité où il faut, ... .
Hors ligne
GT a écrit :Que retiendra le téléspectateur ?
Le reportage diffusé (malgré quelques précautions oratoires) jette l'opprobre sur les syndics en général.Je viens de contacter ce matin l'IPI dans le contexte du dossier de mon syndic provisoire, stagiaire qui entame son 5ème année de stage. L’opprobre est selon moi jeté par l'IPI elle-même puisque l'IPI se cache derrière le JP, qui n'a pas de pouvoir d'instruction réelle. D'où la tendance nettement prononcé lors de l'émission d'aller au niveau pénal, qui a un pouvoir d'instruction.
Le maquis de vos interventions dans diverses discussions ne m'a pas permis d'identifier les tenants et aboutissants de vos démarches auprès de l'IPI ainsi que les éléments de fait et de droit des procédures civiles (juge de paix ou première instance) dans lesquelles vous êtes demandeur ou défendeur.
J'ignore si une tendance récente existe visant à placer certains litiges relatifs à la copropriété et à son syndic sur le plan pénal. Au pénal, plainte contre qui ? contre le syndic, contre l'ACP, contre certains membres de l'ACP ?
Cette tendance a-t-elle vraiment été énoncée lors de l'émission TV ?
L'IPI agit ds le cadre de ses missions légales.
Au législateur de les élargir, le cas échéant.
Hors ligne
Avons-nous eu accès aux pièces des dossiers des plaignantes ? Non, c'est évident. Mais les journalistes les ont-ils analysées ? Nous n'avons que les paroles des intéressées et de leurs "conseils".
Les documents et fardes ont été clairement montré au journaliste.Ils étaient accessibles. Quand à analyser les dossiers, cela dépasse tant les pimonautes que ce journaliste.
Les téléspectateurs ont été interpelés par le titre d'une émission au titre racoleur sur la piste des syndics malhonnêtes.
La question implicite est : des syndics sont-ils malhonnêtes ?
Des cas particuliers choisis ont été abordés.
Les paroles sont données par le journaliste à plusieurs personnes dont il ressortirait que les syndics sont malhonnêtes.
Je ne me prononcerais pas sur ceux-ci à défaut de connaître tous les éléments de fait et de droit.
Lorsqu'une question est posée à la Chambre à un Ministre , il lui arrive de répondre à l'honorable membre qu'il lui est impossible de lui répondre sans disposer de tous les éléments de fait et de droit .
De manière générale, j'ai remarqué que, sur ce forum, nous nous lancions bien trop souvent ds des réponses sans disposer de tous ces éléments.
Je qualifierais cette enquête d'orientée et de populiste. Elle a peut-être, fait un score important en matière d'audimat et de buzz. Je l'ignore.
Hors ligne
PIM a écrit :luc a écrit :Quand seul des pimonautes veulent défendre les syndics, j'ai tendance à dire que l'omerta existe dans ce corps de metier.
Luc étant lui-même pimonaute...
C'est vrai que j'ai pris maintes fois la défense des syndics bon père de famille.
Mais ils ont un désavantage qui devrait être combattu par l'IPI:
Une pomme pourrie dans un panier à tendance de pourir le panier des pommes, si on reste passif.
Mais une pomme saine dans un panier de pommes pourries ne va pas guérir les autres sans support externe.Je viens d'expliquer ce matin à un juriste de l'IPI une règle simple qui nécessite aucun changement de déontologie ou loi, mais met la responsabilité où il faut, ... .
1.C'est quoi un syndic " bon père de famille" ? Un syndic dit "bénévole par opposition à un syndic professionnel? Dans quelles circonstances un syndic agit-il en "bon père de famille" ?
2.Quel est le "désavantage" qu'ont les syndics qui devrait être combattu par l'IPI ? pour qui est ce "désavantage "
3. Quelle est cette règle simple expliquée à un juriste de l'IPI ? Que faut-il entendre par "mettre la responsabilité où il faut"
Vous écrivez :
"Quand seul des pimonautes veulent défendre les syndics, j'ai tendance à dire que l'omerta existe dans ce corps de metier"
Qui intervient sur ce forum ? Les pimonautes.
Je précise que je suis intervenu ds cette discussion mais que je ne suis ni syndic professionnel, ni syndic bénévole.
Hors ligne
luc a écrit :PIM a écrit :luc a écrit :Quand seul des pimonautes veulent défendre les syndics, j'ai tendance à dire que l'omerta existe dans ce corps de metier.
Luc étant lui-même pimonaute...
C'est vrai que j'ai pris maintes fois la défense des syndics bon père de famille.
Mais ils ont un désavantage qui devrait être combattu par l'IPI:
Une pomme pourrie dans un panier à tendance de pourir le panier des pommes, si on reste passif.
Mais une pomme saine dans un panier de pommes pourries ne va pas guérir les autres sans support externe.Je viens d'expliquer ce matin à un juriste de l'IPI une règle simple qui nécessite aucun changement de déontologie ou loi, mais met la responsabilité où il faut, ... .
1.C'est quoi un syndic " bon père de famille" ? Un syndic dit "bénévole par opposition à un syndic professionnel? Dans quelles circonstances un syndic agit-il en "bon père de famille" ?
2.Quel est le "désavantage" qu'ont les syndics qui devrait être combattu par l'IPI ? pour qui est ce "désavantage "
3. Quelle est cette règle simple expliquée à un juriste de l'IPI ? Que faut-il entendre par "mettre la responsabilité où il faut"Vous écrivez :
"Quand seul des pimonautes veulent défendre les syndics, j'ai tendance à dire que l'omerta existe dans ce corps de metier"Qui intervient sur ce forum ? Les pimonautes.
Je précise que je suis intervenu ds cette discussion mais que je ne suis ni syndic professionnel, ni syndic bénévole.
Succinct:
1. "bon père de famille": voir Wikipedia e.a.
2. "désavantage": un tuyau se faire impartialement une idée : soyez présent à une AG d'une ACP ou le syndic refuse d'informer correctement les propriétaires n’appartenant pas à son clan
3. "régime simple" : un courrier est en route pour l'IPI, j'y reviendrai après que l'IPI l'a reçu et a réagi.
4. "un pimonaute" est quelqu'un qui intervient sur ce forum, pas plus ni moins
En marge: il y a une nette différence entre la réalité vécue et la réalité virtuelle présenté à l'AG ou au juge.
D'où la nécessité que:
1. le syndic documente sur papier dès que le montant en cause dépasse une certaine valeur
2. le syndic suit correctement les règles et soumet son interprétation à l'AG pour décision.
Hors ligne
GT a écrit :(...)
De manière générale, j'ai remarqué que, sur ce forum, nous nous lancions bien trop souvent ds des réponses sans disposer de tous ces éléments.Quelle est alors l'utilité de ce forum ???
L'deal lorsqu'une discussion est initiée est de lire complètement l'initiateur de la discussion, de ne pas retenir un seul mot et , le cas échéant, de lui demander des compléments d'informations avant de se lancer tête baissée dans une logorrhée, d'autant plus que certaines personnes s'expriment avec difficulté dans la langue française.
Et, la discussion part dans tous les sens. Les intervenants se répondant les uns aux autres, s'écartant du message initial.
TEXTE AJOUTé : un cas exemplaire : la récente conversation initiée par "propriétaire engalère" (actuellement clôturée) intitulée "quelles sont les conditions pour que l'ACP intente une action contre un copro"
Dernière modification par GT (24-10-2019 17:24:28)
Hors ligne
GT a écrit :luc a écrit :PIM a écrit :luc a écrit :Quand seul des pimonautes veulent défendre les syndics, j'ai tendance à dire que l'omerta existe dans ce corps de metier.
Luc étant lui-même pimonaute...
C'est vrai que j'ai pris maintes fois la défense des syndics bon père de famille.
Mais ils ont un désavantage qui devrait être combattu par l'IPI:
Une pomme pourrie dans un panier à tendance de pourir le panier des pommes, si on reste passif.
Mais une pomme saine dans un panier de pommes pourries ne va pas guérir les autres sans support externe.Je viens d'expliquer ce matin à un juriste de l'IPI une règle simple qui nécessite aucun changement de déontologie ou loi, mais met la responsabilité où il faut, ... .
1.C'est quoi un syndic " bon père de famille" ? Un syndic dit "bénévole par opposition à un syndic professionnel? Dans quelles circonstances un syndic agit-il en "bon père de famille" ?
2.Quel est le "désavantage" qu'ont les syndics qui devrait être combattu par l'IPI ? pour qui est ce "désavantage "
3. Quelle est cette règle simple expliquée à un juriste de l'IPI ? Que faut-il entendre par "mettre la responsabilité où il faut"Vous écrivez :
"Quand seul des pimonautes veulent défendre les syndics, j'ai tendance à dire que l'omerta existe dans ce corps de metier"Qui intervient sur ce forum ? Les pimonautes.
Je précise que je suis intervenu ds cette discussion mais que je ne suis ni syndic professionnel, ni syndic bénévole.Succinct:
1. "bon père de famille": voir Wikipedia e.a.
2. "désavantage": un tuyau se faire impartialement une idée : soyez présent à une AG d'une ACP ou le syndic refuse d'informer correctement les propriétaires n’appartenant pas à son clan
3. "régime simple" : un courrier est en route pour l'IPI, j'y reviendrai après que l'IPI l'a reçu et a réagi.
4. "un pimonaute" est quelqu'un qui intervient sur ce forum, pas plus ni moinsEn marge: il y a une nette différence entre la réalité vécue et la réalité virtuelle présenté à l'AG ou au juge.
D'où la nécessité que:
1. le syndic documente sur papier dès que le montant en cause dépasse une certaine valeur
2. le syndic suit correctement les règles et soumet son interprétation à l'AG pour décision.
Ce texte ne répond pas à mes attentes. Soit.
Hors ligne
GT a écrit :Et, la discussion part dans tous les sens. Les intervenants se répondant les uns aux autres, s'écartant du message initial.
La preuve ?
On s'écarte du sujet initial...
La pierre est également dans mon jardin. Mais je l'accepte bien volontiers. Je participe bien souvent à ces discussions qui s'écartent du message initial.
Hors ligne
Pour en revenir au sujet initial, il est évident qu'il existe de très bons syndics, comme de très mauvais... et entre ces deux extrêmes la toute grosse majorité des syndics, plus ou moins efficaces...
Il est impossible de gérer une copropriété et de satisfaire tout le monde. Chaque syndic aura ses détracteurs et ses adeptes, quoi qu'il fasse.
Gérer en bon père de famille, c'est avant tout je pense préserver les intérêts de la copro au mieux. Mais bien sur, chacun aura sa vision des choses, sa sensibilité et sa perception personnelle. Je ne parle même pas des mauvais payeurs et des râleurs chroniques qui ont aussi tendance à se multiplier dans chaque ACP.
Se focaliser sur quelques cas particuliers présentés de manière subjective n'est pas relevant. Le conseil de Luc (syndics pro, nettoyez vos étables) est déplacé.
Hors ligne
Un syndic doit forcément garder l'église au milieu du village. Il y aura forcément ceux qui trouvent que le nettoyage coûte trop cher, et ceux qui trouvent qu'il faut en faire plus. En faire plus pour les uns et moins pour les autres? La quadrature du cercle...
Hors ligne
La gestion de bon père de famille ne signifie pas que le syndic puisse passer outre aux pouvoirs de l'AG.
La législation ne permet ps à un syndic d'agir comme un despote éclairé pour l'intérêt du peuple , intérêt qu'il aura lui-même déterminé.
Hors ligne
Pages : 1 2 Suivant Ordre actuel : le + ancien d'abordInverser l'ordre des messages