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grmff a écrit :Ils pourraient être condamnés à une rupture fautive du bail, avec 3 mois d'indemnités à payer...
S'ils empêchent les visites, ils pourraient voir le préavis prolongé.Prolonger le préavis ? Mais justement, il semble qu'ils ne veulent pas partir dans le délai convenu.
La rupture fautive de bail s'ils ne quittent pas les lieux à la date prévue ? Jamais entendu que ce soit prononcé par un juge mais ce pourrait être une bonne motivation pour le locataire... à condition qu'il soit solvable bien sur.
Je veux dire que le préavis étant la période dont dispose le propriétaire pour relouer un bien, l'impossibilité de visite ouvre le droit à une indemnité équivalente à ce préavis non presté...
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Ils pourraient être condamnés à une rupture fautive du bail, avec 3 mois d'indemnités à payer...
S'ils empêchent les visites, ils pourraient voir le préavis prolongé.
Un juge a condamné mes locataires qui refusaient les visites à une indemnité de 50€ par visite refusée...
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Ils pourraient être condamnés à une rupture fautive du bail, avec 3 mois d'indemnités à payer...
S'ils empêchent les visites, ils pourraient voir le préavis prolongé.
Prolonger le préavis ? Mais justement, il semble qu'ils ne veulent pas partir dans le délai convenu.
La rupture fautive de bail s'ils ne quittent pas les lieux à la date prévue ? Jamais entendu que ce soit prononcé par un juge mais ce pourrait être une bonne motivation pour le locataire... à condition qu'il soit solvable bien sur.
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Ils pourraient être condamnés à une rupture fautive du bail, avec 3 mois d'indemnités à payer...
S'ils empêchent les visites, ils pourraient voir le préavis prolongé.
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GT a écrit :PIM a écrit :qui vous conseillera probablement d’aller en validation du congé donné en justice de paix
Je partage cet avis.
Moi aussi.
Vous avez déjà un nouveau locataire? Le locataire actuel a accepté les visites?
Perso, je ne perdrais pas de temps et j'irais directement en justice de paix.
Le problème est que même si le juge valide le congé et donne ordre de libérer les lieux -il le fera d'ailleurs très probablement- , cela n'empêchera pas les locataires de rester un mois de plus s'ils le souhaitent. Ils ne seront tenu à rien d'autre que le paiement du loyer durant leur occupation supplémentaire.
Il n'existe à ma connaissance aucune application d'astreinte en cas de non respect de la libération du bien en temps voulu. Et la contrainte via huissier interviendra plus d'un mois après le jugement et la date de sortie contractuelle.
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PIM a écrit :qui vous conseillera probablement d’aller en validation du congé donné en justice de paix
Je partage cet avis.
Moi aussi.
Vous avez déjà un nouveau locataire? Le locataire actuel a accepté les visites?
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Bonjour,
Les locataires me disent qu'ils ne pourront pas quitter à l'échéance prévue et demandent un délai supplémentaire, ce que j'ai refusé.
Ils prétendent, renseignements pris auprès du syndicat des locataires, qu'ils auraient le droit de rester un mois supplémentaire à condition de m'en aviser au moins un mois avant l'échéance. Mais ils ne me donnent aucune référence légale et je n'ai rien trouvé de mon côté.Je précise que je ne suis pas d'accord de signer un convention d'occupation précaire car il y a un risque de voir requalifié l'occupation en bail, qui devriendrait un bail de neuf ans à compter du début du premier bail. Les conditions pour éviter cette requalification sont diverses, notamment en termes de vocabulaire, mais aussi de paiement : il faudrait diminuer d'au moins 20% le montant du loyer, et il ne serait pas question non plus de garantie locative. Je n'accepte donc pas.
(...)
Je leur ai demandé de me proposer une date pour réaliser l'état des lieux de sortie avant l'échéance prévue mais ils ne veulent pas, même à titre indicatif-prévisionnel.
Vous avez des traces écrites de vos échanges ?
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qui vous conseillera probablement d’aller en validation du congé donné en justice de paix
Je partage cet avis.
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Si j'ai bien compris, ce sont les locataires qui ont d'abord pris des renseignements auprès du syndicat des locataires.
Et ensuite le bailleur :
"Car, dans un esprit constructif, et à l'invitation des locataires, je les ai contactés mais ils ont refusé catégoriquement de me parler car je suis propriétaire.
Dernière modification par GT (08-08-2021 16:09:42)
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Bonjour,
J'ai donné préavis de fin de bail plus de trois mois avant la fin du bail de courte durée (un an déjà renouvelé un an) d'un appartement en région bruxelloise.
Les locataires me disent qu'ils ne pourront pas quitter à l'échéance prévue et demandent un délai supplémentaire, ce que j'ai refusé.
Ils prétendent, renseignements pris auprès du syndicat des locataires, qu'ils auraient le droit de rester un mois supplémentaire à condition de m'en aviser au moins un mois avant l'échéance. Mais ils ne me donnent aucune référence légale et je n'ai rien trouvé de mon côté.Je précise que je ne suis pas d'accord de signer un convention d'occupation précaire car il y a un risque de voir requalifié l'occupation en bail, qui devriendrait un bail de neuf ans à compter du début du premier bail. Les conditions pour éviter cette requalification sont diverses, notamment en termes de vocabulaire, mais aussi de paiement : il faudrait diminuer d'au moins 20% le montant du loyer, et il ne serait pas question non plus de garantie locative. Je n'accepte donc pas.
Ma question est : selon quelle disposition légale ou règlementaire pourraient-ils donc rester dans les lieux ? Un mois, ou davantage ?
Je leur ai demandé de me proposer une date pour réaliser l'état des lieux de sortie avant l'échéance prévue mais ils ne veulent pas, même à titre indicatif-prévisionnel.
Mon intention est de les mettre en demeure un peu plus d'un mois avant l'échéance de me préciser la date d'état des lieux de sortie. Ou alors j'y fixe une date d'office s'il ne me font pas part d'une autre date au plus tard le dernier jour.
Ensuite, s'ils occupent toujours les lieux le lendemain de l'échéance, de les mettre une nouvelle fois en demeure, cette fois de libérer les lieux, et aussi d'introduire une requête devant le juge de paix.De plus, que va-t-il se passer avec l'entrée des locataires suivants ?
Mes loctaires actuels prétendent que le délai d'un mois selon lequel ils doivent me prévenir qu'ils prolongent d'un mois sert justement à éviter ce désagrément. Oui mais, et si je signe le contrat avec les nouveaux avant qu'ils ne me préviennent ?Non, cela ne me semble reposer sur aucune règlementation. Mais plutôt sur une stratégie de conflit organisée par le syndicat des locataires. Car, dans un esprit constructif, et à l'invitation des locataires, je les ai contactés mais ils ont refusé catégoriquement de me parler car je suis propriétaire.
Pouvez-vous m'éclairer ?
Merci beaucoup.
Au lieu de consulter le syndicat des locataires, vous feriez mieux de vous affilier (pas cher) et consulter le SNPC… qui vous conseillera probablement d’aller en validation du congé donné en justice de paix
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Bonjour,
J'ai donné préavis de fin de bail plus de trois mois avant la fin du bail de courte durée (un an déjà renouvelé un an) d'un appartement en région bruxelloise.
Les locataires me disent qu'ils ne pourront pas quitter à l'échéance prévue et demandent un délai supplémentaire, ce que j'ai refusé.
Ils prétendent, renseignements pris auprès du syndicat des locataires, qu'ils auraient le droit de rester un mois supplémentaire à condition de m'en aviser au moins un mois avant l'échéance. Mais ils ne me donnent aucune référence légale et je n'ai rien trouvé de mon côté.
Je précise que je ne suis pas d'accord de signer un convention d'occupation précaire car il y a un risque de voir requalifié l'occupation en bail, qui devriendrait un bail de neuf ans à compter du début du premier bail. Les conditions pour éviter cette requalification sont diverses, notamment en termes de vocabulaire, mais aussi de paiement : il faudrait diminuer d'au moins 20% le montant du loyer, et il ne serait pas question non plus de garantie locative. Je n'accepte donc pas.
Ma question est : selon quelle disposition légale ou règlementaire pourraient-ils donc rester dans les lieux ? Un mois, ou davantage ?
Je leur ai demandé de me proposer une date pour réaliser l'état des lieux de sortie avant l'échéance prévue mais ils ne veulent pas, même à titre indicatif-prévisionnel.
Mon intention est de les mettre en demeure un peu plus d'un mois avant l'échéance de me préciser la date d'état des lieux de sortie. Ou alors j'y fixe une date d'office s'il ne me font pas part d'une autre date au plus tard le dernier jour.
Ensuite, s'ils occupent toujours les lieux le lendemain de l'échéance, de les mettre une nouvelle fois en demeure, cette fois de libérer les lieux, et aussi d'introduire une requête devant le juge de paix.
De plus, que va-t-il se passer avec l'entrée des locataires suivants ?
Mes loctaires actuels prétendent que le délai d'un mois selon lequel ils doivent me prévenir qu'ils prolongent d'un mois sert justement à éviter ce désagrément. Oui mais, et si je signe le contrat avec les nouveaux avant qu'ils ne me préviennent ?
Non, cela ne me semble reposer sur aucune règlementation. Mais plutôt sur une stratégie de conflit organisée par le syndicat des locataires. Car, dans un esprit constructif, et à l'invitation des locataires, je les ai contactés mais ils ont refusé catégoriquement de me parler car je suis propriétaire.
Pouvez-vous m'éclairer ?
Merci beaucoup.
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