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Méfiez vous,
déjà si vous voulez mon avis, ne portez jamais plainte à l'IPI,ça sert strictement pas vos intérêts, puis si vous portez plainte quand même, certains syndics sans vergogne vous comptabilise leurs courriers échangé avec l'IPI, en frais privatifs!
elle est pas belle la vie?
Méfiez vous,
déjà si vous voulez mon avis, ne portez jamais plainte à l'IPI,ça sert strictement pas vos intérêts, puis si vous portez plainte quand même, certains syndics sans vergogne vous comptabilise leurs courriers échangé avec l'IPI, en frais privatifs!elle est pas belle la vie?
Le décompte que vous reproduisez ne spécifie pas qu'il s'agit de frais relatifs à des courriers échangés avec l'Ipi: est-ce l'explication que vous avez reçue ?
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copropriétaire engalère a écrit :Méfiez vous,
déjà si vous voulez mon avis, ne portez jamais plainte à l'IPI,ça sert strictement pas vos intérêts, puis si vous portez plainte quand même, certains syndics sans vergogne vous comptabilise leurs courriers échangé avec l'IPI, en frais privatifs!elle est pas belle la vie?
Le décompte que vous reproduisez ne spécifie pas qu'il s'agit de frais relatifs à des courriers échangés avec l'Ipi: est-ce l'explication que vous avez reçue ?
Ecrire IPI comme ça, avec un montant sans détails nous oblige à téléphoner demander des explications qui sera sans aucun doute ajouter à un prochain décompte "frais privatif", et oui, c'est l'explication reçue par le syndic.
C'est assez inouï !
A votre place, je contesterais cette imputation et j'informerais l'Ipi, dans le cadre de la plainte instruite, de cette initiative intimidante du syndic concerné.
C'est ce que j'ai conseillé à la dame qui subit, c'est ma voisine à Schaarbeek lol
elle attend réponse que je mettrai ici...ça va être show chaud!
C'est assez inouï !
A votre place, je contesterais cette imputation et j'informerais l'Ipi, dans le cadre de la plainte instruite, de cette initiative intimidante du syndic concerné.
Exactement le même avis, si effectivement c'est bien des frais liés à la plainte...
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@@@Je vous tiens informé dès que.......
BON, la partie "ipi" a été contestée via le syndic actuel, juste payé son dû , on attend la suite.........
Nous espérons qu'enfin avec un renforcement du droit des consommateurs, l'IPI jouera plus sa mission d'ordre Public et que Test Achats integre aussi le droits des copropriétaires et des locataires. Test Achats jouaient sur les manquements et l'opacité de la loi.
Par Marianne PALAMIDES, Juriste au Syndicat National des Propriétaires et Copropriétaires - Patrick WILLEMS, Secrétaire général du Syndicat National des Propriétaires et Copropriétaires - 23 février 2024
Objectif atteint pour le SNPC : les copropriétés seront mieux protégées à l’avenir !En 2019, le SNPC demandait dans son mémorandum en vue des élections « La reconnaissance des copropriétés comme des consommateurs à part entière, ou à tout le moins l’extension de certaines mesures de protection des consommateurs aux copropriétés. ».
5 ans plus tard, c’est désormais chose faite !
Depuis plusieurs années, sans désemparer, le Président Olivier HAMAL et feu Eric MATHAY n’ont eu de cesse de multiplier les démarches et messages auprès du monde politique pour voir reconnue aux copropriétés et copropriétaires une meilleure protection comme les consommateurs personnes physiques.
Une première proposition de loi dans ce sens a été déposée le 23 juin 2020 (DOC 55 1372/001) par les députés Maxime Prévot et Vanessa Matz (Les Engagés) et Kathleen Verhelst (Open Vld). Bien que n’ayant pas été adoptée, celle-ci a constitué un premier pas.
Ainsi, les contacts se sont poursuivis pour le SNPC, notamment auprès du SPF Economie et les Cabinets du Ministre Dermagne et de la Secrétaire d’Etat Alexia Bertrand en charge de ces matières dans le Gouvernement fédéral.
Aujourd’hui, le Syndicat National des Propriétaires et Copropriétaires recueille le fruit de ses efforts. Une de ses revendications aboutit : l’extension de certaines mesures de protection des consommateurs aux copropriétés et par là même aux copropriétaires !
En effet, le 8 février 2024, le Parlement fédéral adoptait en séance plénière et en urgence un projet de loi « pot-pourri ».
Celui-ci, déposé à la Chambre le 9/11/2023 avec référence DOC 55 3665/001, portait en effet diverses dispositions en matière d’économie. En quelque trois mois, il a fait l’objet de nombreux amendements et a donné lieu à de multiples discussions avant adoption préalable en Commission de la Justice.
Les articles 19, 21 et 22 profitent directement aux associations des copropriétaires.
De quoi s’agit-il ?Considérées comme personnes morales, et par voie de conséquence, comme entreprises, les copropriétés subissaient de plein fouet la loi des contrats et leurs clauses parfois excessives, abusives ou confuses, comme, par exemple, une durée parfois anormalement longue.
Ces situations généraient un frein important en matière de concurrence et une grande insécurité, alors que les copropriétaires doivent disposer de moyens de plus en plus importants pour financer des investissements et faire face au défi énergétique.
Etaient notamment en ligne de mire les contrats d’entretien (ascenseurs, extincteurs) ou de réparation (toitures, travaux de construction).
Pour rappel aussi, une association de copropriétaires, personne morale, n’est donc pas un consommateur par le Code de droit économique, alors qu’elle est composée d’un nombre important de copropriétaires personnes physiques pour l’essentiel et donc des consommateurs.
Ce dilemme est enfin ponctuellement résolu pour les contrats conclus entre les entreprises et les associations de copropriétaires. C’est l’œuf de Colomb qui complète et modifie les chapitres 6 (article VI. 81/1) et 9.
L’association des copropriétaires définie par l’article 3.86 du Code civil dont 75 % des quotes-parts ou plus dans ses parties communes sont attribuées à des lots qui ne peuvent avoir une affectation professionnelle conformément aux statuts de copropriété sera comprise comme un consommateur.
Elle bénéficiera de la protection légale offerte aux consommateurs. Les contrats comportant des clauses abusives ou des durées insensées qu’elle conclut avec des entreprises pourront dorénavant être sanctionnés.
Autrement dit, des clauses abusives d’indexation des prix, des clauses relatives au taux d’intérêt ou des modifications pourront être sanctionnées.
Il en sera de même des contrats de service ou la clause de reconduction tacite (article VI. 91) est dorénavant strictement et formellement réglementée : en gras, dans un cadre distinct au recto, première page, avec mention des conséquences et du délai d’opposition.
Après la reconduction tacite d’un contrat à durée déterminée, le consommateur, et donc l’association des copropriétaires, pourra résilier le contrat à tout moment, sans indemnité, au terme d’un délai de préavis déterminé dans le contrat et qui ne peut excéder deux mois. Autrement dit, les contrats de maintenance avec les ascensoristes par exemple pourront être résiliés malgré une clause de reconduction tacite.
Un bémol encore de taille : L’association des copropriétaires dont plus de 25% des quotes-parts dans ses parties communes sont attribués à des lots qui peuvent avoir une affectation professionnelle conformément aux statuts de copropriété restera considérée comme une entreprise. Elle ne pourra pas bénéficier de la protection légale des consommateurs. Et ce conformément à tout le Titre 3/1, applicable aux contrats conclus entre entreprises qui s’appliquera aussi à cette association des copropriétaires.
Pour l’heure, cependant, réjouissons-nous. Les associations des copropriétaires, majoritairement résidentielles, sont dorénavant protégées légalement et peuvent se prévaloir de leur qualité de consommateur, ce qui est une grande avancée !
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Nous espérons qu'enfin avec un renforcement du droit des consommateurs, l'IPI jouera plus sa mission d'ordre Public et que Test Achats integre aussi le droits des copropriétaires et des locataires. Test Achats jouaient sur les manquements et l'opacité de la loi.
Par Marianne PALAMIDES, Juriste au Syndicat National des Propriétaires et Copropriétaires - Patrick WILLEMS, Secrétaire général du Syndicat National des Propriétaires et Copropriétaires - 23 février 2024
Objectif atteint pour le SNPC : les copropriétés seront mieux protégées à l’avenir !En 2019, le SNPC demandait dans son mémorandum en vue des élections « La reconnaissance des copropriétés comme des consommateurs à part entière, ou à tout le moins l’extension de certaines mesures de protection des consommateurs aux copropriétés. ».
5 ans plus tard, c’est désormais chose faite !
Depuis plusieurs années, sans désemparer, le Président Olivier HAMAL et feu Eric MATHAY n’ont eu de cesse de multiplier les démarches et messages auprès du monde politique pour voir reconnue aux copropriétés et copropriétaires une meilleure protection comme les consommateurs personnes physiques.
Une première proposition de loi dans ce sens a été déposée le 23 juin 2020 (DOC 55 1372/001) par les députés Maxime Prévot et Vanessa Matz (Les Engagés) et Kathleen Verhelst (Open Vld). Bien que n’ayant pas été adoptée, celle-ci a constitué un premier pas.
Ainsi, les contacts se sont poursuivis pour le SNPC, notamment auprès du SPF Economie et les Cabinets du Ministre Dermagne et de la Secrétaire d’Etat Alexia Bertrand en charge de ces matières dans le Gouvernement fédéral.
Aujourd’hui, le Syndicat National des Propriétaires et Copropriétaires recueille le fruit de ses efforts. Une de ses revendications aboutit : l’extension de certaines mesures de protection des consommateurs aux copropriétés et par là même aux copropriétaires !
En effet, le 8 février 2024, le Parlement fédéral adoptait en séance plénière et en urgence un projet de loi « pot-pourri ».
Celui-ci, déposé à la Chambre le 9/11/2023 avec référence DOC 55 3665/001, portait en effet diverses dispositions en matière d’économie. En quelque trois mois, il a fait l’objet de nombreux amendements et a donné lieu à de multiples discussions avant adoption préalable en Commission de la Justice.
Les articles 19, 21 et 22 profitent directement aux associations des copropriétaires.
De quoi s’agit-il ?Considérées comme personnes morales, et par voie de conséquence, comme entreprises, les copropriétés subissaient de plein fouet la loi des contrats et leurs clauses parfois excessives, abusives ou confuses, comme, par exemple, une durée parfois anormalement longue.
Ces situations généraient un frein important en matière de concurrence et une grande insécurité, alors que les copropriétaires doivent disposer de moyens de plus en plus importants pour financer des investissements et faire face au défi énergétique.
Etaient notamment en ligne de mire les contrats d’entretien (ascenseurs, extincteurs) ou de réparation (toitures, travaux de construction).
Pour rappel aussi, une association de copropriétaires, personne morale, n’est donc pas un consommateur par le Code de droit économique, alors qu’elle est composée d’un nombre important de copropriétaires personnes physiques pour l’essentiel et donc des consommateurs.
Ce dilemme est enfin ponctuellement résolu pour les contrats conclus entre les entreprises et les associations de copropriétaires. C’est l’œuf de Colomb qui complète et modifie les chapitres 6 (article VI. 81/1) et 9.
L’association des copropriétaires définie par l’article 3.86 du Code civil dont 75 % des quotes-parts ou plus dans ses parties communes sont attribuées à des lots qui ne peuvent avoir une affectation professionnelle conformément aux statuts de copropriété sera comprise comme un consommateur.
Elle bénéficiera de la protection légale offerte aux consommateurs. Les contrats comportant des clauses abusives ou des durées insensées qu’elle conclut avec des entreprises pourront dorénavant être sanctionnés.
Autrement dit, des clauses abusives d’indexation des prix, des clauses relatives au taux d’intérêt ou des modifications pourront être sanctionnées.
Il en sera de même des contrats de service ou la clause de reconduction tacite (article VI. 91) est dorénavant strictement et formellement réglementée : en gras, dans un cadre distinct au recto, première page, avec mention des conséquences et du délai d’opposition.
Après la reconduction tacite d’un contrat à durée déterminée, le consommateur, et donc l’association des copropriétaires, pourra résilier le contrat à tout moment, sans indemnité, au terme d’un délai de préavis déterminé dans le contrat et qui ne peut excéder deux mois. Autrement dit, les contrats de maintenance avec les ascensoristes par exemple pourront être résiliés malgré une clause de reconduction tacite.
Un bémol encore de taille : L’association des copropriétaires dont plus de 25% des quotes-parts dans ses parties communes sont attribués à des lots qui peuvent avoir une affectation professionnelle conformément aux statuts de copropriété restera considérée comme une entreprise. Elle ne pourra pas bénéficier de la protection légale des consommateurs. Et ce conformément à tout le Titre 3/1, applicable aux contrats conclus entre entreprises qui s’appliquera aussi à cette association des copropriétaires.
Pour l’heure, cependant, réjouissons-nous. Les associations des copropriétaires, majoritairement résidentielles, sont dorénavant protégées légalement et peuvent se prévaloir de leur qualité de consommateur, ce qui est une grande avancée !
Nous ?
Au nom de qui vous exprimez-vous ?
Qui représentez-vous ?
Dernière modification par GT (06-03-2024 09:34:09)
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Nous espérons qu'enfin ...........l'IPI jouera plus sa mission d'ordre Public
Oui c'est bien vrai ça
https://www.engelvoelkers.com/fr-be/bel … 9gulation/
Il manque une réelle volonté de l'IPI pour faire respecter le texte de la législation du code civil sur la copropriété forcée qui n'est d'ailleurs absolument pas...d'Ordre Public.
Et cela embarrasse tous les juges de Paix ( juge de fond de la matière)).
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Il faut tout de même que PIM donne des renseignements correces sur le systeme en vigueur
L'IPI a été crée comme un OIP, un Organisme d'Intérêt PUBLIC et ce qui a été publié ci-avant met PUBLIQUEMENT en cause son sérieux
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Il faut tout de même que PIM donne des renseignements correces sur le systeme en vigueur
Il faut?
Pim met gracieusement un forum à disposition depuis un temps que les moins de 20 ans ne sauraient connaître, et vous voulez en plus lui en tenir rigueur si des carabistouilles sont racontées sur le forum? Prenez garde qu'en ce cas vous ne soyez éjecté dudit forum...
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Il faut tout de même que PIM donne des renseignements correces sur le systeme en vigueur
L'IPI a été crée comme un OIP, un Organisme d'Intérêt PUBLIC et ce qui a été publié ci-avant met PUBLIQUEMENT en cause son sérieux
met publiquement en cause, organisme d'intérêt public, dispositions d'ordre public, dispositions impératives.
Quel fouillis ! Quel mélange ! pour arriver à la conclusion que PIM donne des renseignements incorrects sur le système en vigueur.
Quel système ?
N'importe quoi !
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G.B. a écrit :
Il faut tout de même que PIM donne des renseignements correctes sur le systeme en vigueur
L'IPI a été crée comme un OIP, un Organisme d'Intérêt PUBLIC et ce qui a été publié ci-avant met PUBLIQUEMENT en cause son sérieux
https://www.ipi.be/agent-immobilier-ipi … et-de-lipi
Quel fouillis ! Quel mélange ! pour arriver à la conclusion que PIM donne des renseignements incorrects sur le système en vigueur.
Quel système ?
N'importe quoi !
Avez-vous relu VOTRE publication ? " porter plainte à l'IPI qu'ils disent, oui mais ça coûte cher!"Méfiez vous,
déjà si vous voulez mon avis, ne portez jamais plainte à l'IPI,ça sert strictement pas vos intérêts"
Il n'est pas envisageable qu'un syndic ne soit pas sous le contrôle d'un Organisme de tutelle publique , à moins que...?
Donc il faut dénoncer PUBLIQUEMENT les syndics indélicats sur d'autres sites syndi.be, TA, etc, c'est votre idée ?
Dernière modification par G.B. (25-05-2024 15:03:50)
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Une cp ayant contacté l’IPI suite à un différent avec le syndic, voici la réponse :
Par la présente, nous accusons bonne réception de votre plainte. Celle-ci est transmise au syndic afin d’obtenir sa version des faits.
Nous vous informons toutefois que la compétence de l’Institut, via l’assesseur juridique de la Chambre exécutive, se limite à l’instruction des dossiers disciplinaires. Nous vous invitons à consulter le site de l’IPI pour de plus amples informations (https://www.ipi.be/agent-immobilier-ipi … et-de-lipi).
L’Institut n’est donc compétent que pour examiner des griefs d’ordre déontologique ; il ne peut pas être utilisé pour pallier ou contourner une procédure devant les cours et tribunaux.
L’assesseur juridique vous écrira s’il souhaite obtenir des informations complémentaires. Dans l’intervalle, il vous est loisible de lui faire parvenir tout renseignement et/ou document utile encore en votre possession (exemple : contrat de syndic, facture de commission, PV d’AG, rappels, reçus, e-mails, …). Afin d’accélérer le traitement de votre plainte, veillez à ne communiquer que les éléments relevants.
A l’issue de l’instruction, l’assesseur juridique a deux solutions :
- soit il classe le dossier sans suite et la procédure s’arrête. Il vous informe alors par écrit du motif de sa décision (exemple : manque de preuve, grief non déontologique, etc.) ;
- soit il décide de renvoyer le syndic devant la Chambre exécutive afin qu’elle prononce une sanction disciplinaire (avertissement, blâme, suspension, radiation, etc.). Dans ce cas, vous êtes invitée par écrit à l’audience.
Nous attirons toutefois votre attention sur ce que l’IPI ne peut pas faire pour vous :
· L’IPI ne peut donner de conseils ni d’avis juridiques. Pour cela, vous pouvez consulter un avocat ou, vous adresser à une commission d’aide juridique https://www.avocats.be/fr/bureaux-daide-juridique-baj
· L’IPI ne peut vous accorder une quelconque réparation judiciaire ni contraindre l’agent immobilier / syndic à vous rembourser / indemniser.
· L’IPI ne traite que l’aspect disciplinaire de la plainte :
- L’IPI ne peut rompre votre contrat avec votre agent immobilier / syndic ni intervenir sur les aspects civils d’un litige (exemple : la commission est-elle due, le compromis est-il valable, le contrat de bail peut-il être rompu ? Etc). Ces demandes relèvent de la compétence des tribunaux.
- L'IPI n'est pas compétent pour l'analyse des PV's d'AG's, des décomptes, des charge individuelles, de la comptabilité du syndic ou de l'ACP, des relevés des compteurs, des contrats de fournitures etc, …. ces compétences appartiennent aux tribunaux.
- Une faute professionnelle isolée ne constitue pas nécessairement un manquement déontologique.
· L’IPI ne peut intervenir en tant que médiateur dans le cadre de litiges opposant agents immobiliers et consommateurs.
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G.B. a écrit :
Il faut tout de même que PIM donne des renseignements correctes sur le systeme en vigueur
L'IPI a été crée comme un OIP, un Organisme d'Intérêt PUBLIC et ce qui a été publié ci-avant met PUBLIQUEMENT en cause son sérieux
https://www.ipi.be/agent-immobilier-ipi … et-de-lipi
Quel fouillis ! Quel mélange ! pour arriver à la conclusion que PIM donne des renseignements incorrects sur le système en vigueur.
Quel système ?
N'importe quoi !Avez-vous relu VOTRE publication ? " porter plainte à l'IPI qu'ils disent, oui mais ça coûte cher!"Méfiez vous,
déjà si vous voulez mon avis, ne portez jamais plainte à l'IPI,ça sert strictement pas vos intérêts"Il n'est pas envisageable qu'un syndic ne soit pas sous le contrôle d'un Organisme de tutelle publique , à moins que...?
Donc il faut dénoncer PUBLIQUEMENT les syndics indélicats sur d'autres sites syndi.be, TA, etc, c'est votre idée ?
Je n'ai pas lu ce genre de commentaire sous la plume de GT. Ne mélangez pas en plus essuie de cuisine et essui de bain...
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G.B. a écrit :
Il faut tout de même que PIM donne des renseignements correctes sur le systeme en vigueur
L'IPI a été crée comme un OIP, un Organisme d'Intérêt PUBLIC et ce qui a été publié ci-avant met PUBLIQUEMENT en cause son sérieux
https://www.ipi.be/agent-immobilier-ipi … et-de-lipi
Quel fouillis ! Quel mélange ! pour arriver à la conclusion que PIM donne des renseignements incorrects sur le système en vigueur.
Quel système ?
N'importe quoi !Avez-vous relu VOTRE publication ? " porter plainte à l'IPI qu'ils disent, oui mais ça coûte cher!"Méfiez vous,
déjà si vous voulez mon avis, ne portez jamais plainte à l'IPI,ça sert strictement pas vos intérêts"Il n'est pas envisageable qu'un syndic ne soit pas sous le contrôle d'un Organisme de tutelle publique , à moins que...?
Donc il faut dénoncer PUBLIQUEMENT les syndics indélicats sur d'autres sites syndi.be, TA, etc, c'est votre idée ?
A propos de la tutelle .
Qui exerce la tutelle sur l'IPI ? Le ministre des classes moyennes. Actuellement, il s'agit de Monsieur Clarinval.
N'hésitez pas à lui faire part de vos réflexions à propos de l'IPI et, après la formation du nouveau gouvernement, au nouveau ministre de tutelle.
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Mon avis a toujours été qu'il était effectivement inutile de porter plainte à l'IPI contre qui que ce soit, sauf à vouloir jouer les Don Quichotte.
En effet, comme le démontre amplement la réponse faite à Twautele, porter plainte à l'IPI ne vous rapporte rien, si ce n'est le droit d'être éventuellement convoqué à l'IPI et de perdre une matinée de congé.
A mon sens, le seul organe compétent pour protéger les droits des citoyens, c'est le juge de paix.
Je ne dis pas pour autant que l'IPI est un organe inutile. Avant sa création, la faune des agents immobiliers, syndic ou non, était beaucoup plus trouble. N'importe qui pouvait se déclarer Agent Immobilier, quelle que soit son expérience ou sa formation. En outre, les condamnations ne conduisaient pas à la déchéance du droit d'exercer et de continuer à entourlouper. Aujourd'hui, les agents immobiliers qui font n'importe quoi finissent, à la longue, après blame, réprimandes, vacances forcées de 15 jours, à se faire éjecter de la profession par une interdiction d'exercer. Et si c'est certes lent, cela donne un certain poids à l'IPI, ce qui donne un marché plus déontologique...
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En effet, comme le démontre amplement la réponse faite à Twautele, porter plainte à l'IPI ne vous rapporte rien, si ce n'est le droit d'être éventuellement convoqué à l'IPI et de perdre une matinée de congé.
Cher Grmff,
Porter plainte ne rapporte rien car ce n'est pas le but....
Porte plainte est utile pour écarter du marché des agents immobiliers peu scrupuleux.
Et in fine, les plaignants ne sont jamais convoqué à l'IPI. Il dépose plainte et ensuite un inspecteur avec l’assesseur juridique vont instruire le dossier. Ils demanderont, au maximum, des pièces supplémentaires. Car, le plaignant n'est jamais à la cause. C'est toujours l'IPI contre un de ses membres, comme dans tous les ordres.
Bien à vous,
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