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Bonjour,
Je me présente Brièvement étant donné que ceci est mon premier Post.
Donc, j'ai 19 ans et depuis 4 mois je travail.
Je suis militaire de carrière. J'ai un petit salaire d'un peu plus de 1300 euros Net/moisJ'aimerais investir, acheter un appartement...
D'une valeur d'environ 120 000 euros.
Je ne sais pas du tout comment procédé et calculé.
Faire un prèt, oui mais de combien et sur combien d'année ?J'ai pour projet d'acheter et de faire louer directement, ainsi le prèt serais rembourser par les locataire de l'appartement et moi de mon coter je referais un prèt pour acheter un autre logement qui lui sera ma résidence.
Pouver vous me conseiller et m'aider ?
Merci.
Franchement, tu devrais commencer par réfléchir clairement.
Ton projet c'est le monde de bisounours j'achète et un gentil locataire paiera mon emprunt avec plus value.
As-tu examiner le marché locatif au alentour de ton bien ?
Quel fond de roulement as-tu pour pallier à une vacance locative prolongée ?
As-tu l'expérience pour sélectionner les locataires et le feeling adéquat ?
Quels budget de sécurité pour la remise en état de l'appart après un locataire indélicat ?
Quel mise de fonds as-tu pour le prêt ?
Si tu compte emprunter à 125% pour louer, je doute qu'une banque sérieuse accepte sans caution ou d'autre bien immobilier en garantie.
Surtout au vu de ton inexpérience du marché immobilier et de ton âge.
Vu ton salaire avec ce pret, tu atteint déjà voire dépasse ta limite d'emprunt sur 30ans alors imaginer obtenir comme une fleur un autre emprunt dans les 2-3ans qui suivent me semble relever du rêve.
Bref, je serais toi, j'oublierais à moins que tu aies un gros héritage à dépenser mais alors de toute façon tu as intérêts à attendre pour paraitre plus mur vis-à-vis de tes locataires potentiels.
D'un autre côté, depuis 2ans trevi annonce la forte reprise du marché immobilier...
A chaque trimestre reprise en vue avec une nouvelle cause...
Certes le marché ne croule pas mais baisse légèrement et surtout les transactions sont de plus en plus difficiles.
A ce titre, l'aveu de trrevi sur le fait que des propriétaires postposent leurs ventes faute de marché porteur est intéressant.
La question est à quel moment la balance fléchira cad quand les propriétaires devront vendre en raison de la vacance prolongée de leur bien faute de reprise du marché ou au contraire pourront les remettre sur le marché en raison d'un forte évolution du marché.
Sur la peur du acheter maintenant les loyers vont flamber et vous pourrez plus vous loger car incapable d'acheter, la question est dés lors de savoir où se trouveront les locataires et les acheteurs ?
Parce que le logement devient inaccessibles au commun des mortels qui fera les transactions ?
En outre pas un mot ou presque sur le contexte actuel, crédits moins faciles même le crédit social ne va plus sur 125 %, le chômage est réel notamment pour les jeunes, la population belge vieillit, le pétrole risque de flamber dés le moindre début de reprise réel, quid des contraintes écologiques et de leur influences sur le prix de bien de moindre qualité.
Bref, le marché risque de changer et le temps où les nanars de 3ème zone se vendaient à prix d'or en 3 mois dans un marché en pleine folie est semble-t-il enterré.
Inutile d'acheter le Soir il s'agit d'un copier/coller de l'indice trévi et de ses commentaires.
En gros, 2007 stagnation et mi-2008 feu d'artifice.
Et pour justifier, ben les irlandais, espagnols, israéliens investissent en force et concurrencent les français, anglais, allemands.
Les taux d'intérêts vont baisser
La bourse va baisser et donc refuge ds la pierre.
Il est marrant de voir que le même soir d'il y a 15j parlait des bourses qui baissaient en raison de l'inflation qui serait de retour dans les prochaines année en liaison avec la fin du miracle chinois de la croissance sans inflation.
Donc, en gros les taux d'intérêts vont baisser et l'inflation monter.
D'ailleurs, aucuns commentaires sur le pouvoir d'achat des belges, sur les risques de réforme instutionnels pour la wallonie, sur les perpectives d'emploi, sur les risques d'augmentation des denrées de premières nécessité (viande, farine , etc), sur les prix de l'énergie, etc...
Bref, rien de vraimant interressant que trevi ne le fasse pas c'est normal que le Soir ne cherche pas à voir plus loin que le bout des communiqués est décevant.
Pas lu l'intérieur vu la médiocrité de la 1er page mais j'espère au moins une analyse de la raison de la stagnation actuelle evoquée.
Le mot final du Soir c'est vite vite acheter il est pas trop tard mais il est temps qui a dit médiocre ?
Update 'ailleurs, qqun a scané içi l'article qui a été apparemment ecrit par trevi.
Bref, on verra à la mi-2006, personne ne voyait de stabilisation en 2007 mais une croissance molle de 5%
Vu sur lesechos.fr, à propos de Bruxelles:
Citation :Les prix ont plus que doublé en cinq ans mais même s'ils commencent à rattraper leur retard par rapport à d'autres capitales européennes, ils demeurent loin derrière Londres ou Paris
Mais pour une information neutre, il faut aussi citer les sources dont trevi qui parle de flat market et de baisse de leut indice pour fin 2006.
Pour eux l'atterissage en douceur (hausse des prix modérée) n'est + à l'ordre du jour et ils parlent d'une stabilisation dans un marché avec une offre importante.
Alors soft landing, Flat market => Fall Market ?
Par ailleurs groumpf, il est bien gentil de linker les echos.fr mais le journaliste Parsien connait-il le marché belge, les mentalités, les habitudes ?
Ou pense-t-il qu'une chambre de bonne de 15M2 doit se louer 700 € dans un immeuble 1930 ?
Mais je reste etonné du peu d'intérêts des remarques de Trevi
Au fait, personne n'a commenté cette différence de taux entre AXA et les autres banques ?
Ces taux 6,20 % à 20 ans - 6,45 % à 30ans seraient ceux de la rentrée (?)
Si c'est le cas 1% d'augmentation en 1 mois, ca fait mal (!)
Si c'est pour une habitation individuel achetez si vous trouver un bien en bon état dans vos moyens cad que vous pouvez le financer à taux fixe avec une marge manoeuvre en cas de coup dur =>oui.
Par contre, achetez un bien en mauvais état à prix d'or en pensant que demain on ne pourra plus acheter => non.
L'emballement du marché ces dernières années a fait que bcp on acheté des biens surévalués en raison de l'euphorie des taux bas, de la concurence des acheteurs qui poussent à la surenchère et de la peur du lendemain.
Il est quand même anormal qu'un jeune de 24ans avec son premier boulot s'endette sur 30ans pour acheter un appart 2 pièces de 80M2.
Et tant qu'on y est prévoir une vraisenblable augmentation des prix pétroliers dans son budget (chauffage, déplacement)
Je viens de voir une chose bizarre en utilisant le simulateur d'AXA (que je trouvais bien fait) le taux serait passer de 5,40 % à 6,45% pour 30ans(fixe) en moins d'un mois.
Ca me semble énorme comme hausse j'ai pensé à un bug du simulateur mais la fiche pdf reprend ces tarifs http://www.axa.be/pdfs/tarief_fr.pdf
Chez les autres banque les taux tournent tjrs au tour de 5,50% et sur dexia la dernière révision date du 18/07 et donne 5,50% pour 30ans fixe.http://www.dexia.be/wwwdexiabe/media/pa … mal_FR.pdf
C'est étrange cette différence de 1% et ca semble rapide de passer de 5,50 à 6,50 % en un mois.
Sur meilleurs taux online, un emprunt 30 fixe à 125% est à 5,80% ce qui est 0,70% moins cher que axa.
Des idées ?
Bonjour,
Ici un article sur la tendance 2006 pour le prêt hypothécaire à taux variable :
http://www.7sur7.be/hlns/cache/fr/det/art_232911.html?wt.bron=homeHVDNLe taux variable n'est vraiment pas prisé actuellement.
Travaillant dans une banque, je peux vous dire que le taux fixe 20 ans reste le chouchou !
Normal que le fixe 20 ans soit le + couru par les couple à deux revenus.
Mais quand est-il des jeunes voire très jeunes ?
Et puisque vous travaillez dans une banque avez-vous le sentiment d'une acalmie en 2006 par rapport à 2005 et en général.
Ce qui est interlocant c'est que les gens ont souscrit des taux variable alors qu'il avait un taux fixe plancher.
Des acheteurs qui ne savent plus assumer leur achat, il y en a eu de tout temps et cela n’a que peu à voir avec une hausse des taux mais plutôt avec un manque de maturité de l’acheteur qui a eu les yeux plus grand que le portefeuille. Depuis quelques années il y a un engouement pour les taux variables. La mensualité est évidemment plus faible qu’avec un taux fixe et cela permet d’acheter un bien plus beau et plus cher. Revers de la médaille, en cas de hausse des taux on se mord les doigts.
Petit bémol toutefois, le contrat limite la hausse des taux d’intérêt à généralement 2%, je crois. Cela limite très fort l’augmentation de la mensualité.
Très souvent les clients pour ce type de prêt sont assez spéculateurs et choisissent cette formule en ne voyant que l’avantage à court terme. Comme l’acheteur d’une voiture de grosse cylindrée et qui se plaint après de sa consommation. Fallait réfléchir auparavant.
En parlant de maturité des acheteurs, en 2005 bcp de très jeunes gens (25ans) ont acheté selon les statistiques.
Les risques de chômage et de divorce sont élevés pour cette cible sans parler des taux variables.
Ca me rapelle une intervention halucinantes sur BFM en 2004, le spécialiste disait qu'il fallait absolument acheter maintenant même si c'est trop petit car on pourra revendre dans 5 ans avec une plus value et acheter + grand...
Je trouve aussi dommage que l'on ferme ce topic soit disant redondant.
La redondance semblait bcp moins gêner lorsque le marché immo fonctionnait à plein régime avec des propos étayés et motivés du style Bxl rattrapera londres et charleroi sera au prix de bxl.
Par ailleurs, il a été souvent critiqués que les perspectives de baisse de prix n'était pas motivées mais lorsqu'elle le sont personne ne répond.
Sauf à dire, mon bon monsieur l'immobilier n'a jamais baissé et ne baissera jamais.
Aujourd'hui même trevi semble admettre à demi-mot qu'une palier est atteint et que soit le marché stagnera soit baissera.
Après tout, les notaires de Namur prévenait déjà en 2005 que les arbres ne monte jamais jusqu'au ciel.
Enfin, fermer le topic est une forme de censure afin d'éviter les droits de réponse et p-ê de nouveaux avis.
P.S. : j'avais discuté avec différents prof d'unif réputés dans le cadre d'une étude et j'avais évoqué l'immobilier ils étaient assez pessimistes en 2005.
Les messages de cochise sont assez consternant de naiveté (réelle ou de circonstance ?)
Tous les poncifs y passe du rattrappage à l'alongement de la durée du prêt.
Maintenant, la réalité est autre :
- Les gens n'ont pas trop envie de s'endetter sur 40ans voire 50 d'ailleurs le 20 ans fixe est tjrs le chouchou
- La valeur de l'immobilier est différent selon les zones mais globalement tout le monde trouve qu'il est trop cher.
- La fiscalité belge est + lourde qu'au luxembourg et le salaire poche moins élevé
- Le tx de chômage et de pauvreté de la wallonie va crécendo.
- Le prix du pétrole grève le pouvoir d'achat des ménages et les salaires ne montent pas.
- Pire, la BCE se réjouit que l'augmentation de l'énergie ne se répercute pas par contagion au reste de l'économie ce qui signifie de les entreprises la suporte sur leur marge bénéficiaire ce qui entraînera des mesures d'économies et une dégradation de l'emploi.
- La BCE veut lutter contre l'inflation dans la zone euro et continuera l'augmentation de ces taux.
- La population n'augmente plus que marginalement et on arrive bientôt à une inversion de cette tendance.
- Les experts d'ING affirmait qu'une hausse de 1% des taux égalait à un marché survalorisé de 40% et on est presque à ce 1%
- Les délais de vente s'allongent et pour que trévi parle de situation difficile, il faut vraiment que ce ne soit pas reluisant.
- C'est bien beau les propriétaires qui ne veulent pas vendre mais un terrain n'entraine pas trop de frais alors qu'une maison entraine des frais d'entretien pour éviter la dégradation et la dévalorisation.
Bref, la situation n'est plus ce qu'elle était il y a 5ans et avec +-75-80% de propriétaire, les acheteurs solvables deviennent une denrée rare
Puisque personne n'en parle et que l'on se plaint de l'absence de sources.
Le nouvel indice trevi est sorti.
http://www.trevi.be/fr/groupe_indice_fr.php
Apparemment, il y a tjrs hausse mais plus que modérée voire anorexique compte tenu que le second trimestre est le + porteur en terme d'immo.
Les commentaires sont assez factuels pas de crach et pas de risque de crach, atterissage en douceur et le marché se durcit.
Mais pas d'analyse de l'influence de la remontée des tx d'intéret ?
Pas d'infos sur le nombre de transactions sauf qu'il y aurait un recul du nombre de vente.
Les biens surévalués ne se vendrait plus très bien voire plus ?
Mais pas d'infos sur l'état des stock et pas trop de pari sur l'avenir sauf que 2007 devrait être moins bonne que 2006.
Bref, la hausse semble terminée et les prix vont-ils se stabiliser ou baisser ?
Tout le problème est sur l'évaluation des biens mais aussi le changement de climat ou l'acheteur ne semble plus pressé d'acheter et surtout pas à n'importe quel prix.
Des rêves de richesse de posseseurs de nanars risquent de partir en fumée.
Néanmoins, il y a pas des indicateurs comme quoi l'immo plafonne.
L'indice Trevi dont j'attends les résultats du second trimestre.
Le nombre d'annonce d'immoweb qui atteint les 70 000 annonces contre 55 000 l'an passée.
Les nanars qui partaient l'an dernier et qui semblent ne plus avoir la quote cette année.
Des options qui finalement ne sont pas concrétisées.
Bref, vu les prix les gens veulent en 2006 des biens sans défauts alors qu'en 2005 il voulait juste un bien.
Maintenant, cette situation plus difficle n'est pas encore intégrée par les vendeurs.
En 2005, les visiteurs affluaient, le offres pleuvaient, en 2006 le calme semble revenu.
Et il ne faut pas oublier que le nombre de propriétaire a fortement augmenté en 5 ans suite à l'effervécence des taux bas et les jeunes ont dans certains semblent-il anticipé leur achats.
En outre, bcp d'investisseurs se sont tournés vers la pierre et les maisons de rapports sans oublier l'augmentation de la constructions d'appartemments.
On a donc un taux de réhailitation de logement importants (investisseurs), un taux de constructions important (appartement) et une base potentiels d'acheteurs ou de locataires qui se réduits.
Quant au nouveaux mode de vie (ménage unifamillaliale, divorce, etc.), ils induisent p-ê un nombre + important de ménage mais une réduction du pouvoir d'achats de ces ménages.
Sans oublier que bcp de jeunes restent longtemps chez leur parents et parfois y vivent en couple.
Bref, difficile de voir voir ce qui alimentera encore la hausse au niveau des fondammentaux démographiques.
Par ailleurs, les experts d'ERA qui prédisent que les gens devront se contenter de volume + petit vu les prix, je me demande ce qu'il vont faire des nombreuses contructions existantes en Wallonie ?
Et en Wallonie, il y a un part de la population non négligeable pour qui 400 € hors charge de loyer c'est lourd alors acheter.
Bref, l'avenir sera au surface petite sans défaut, facile d'entretien, au centre des villes à destination des personnes agées mais c'est un choix plutôt qu'une conséquence de la hausse des prixs.
D'ailleurs, le prix au M2 des pettites surface de plein pied devraient dépassés celles des maisons à étage ou grande surface sur le long terme.
Bienvenu sur le forum! J'apprécie beaucoup votre sens de l'humour. Vous m'avez bien fait rire, surtout le coup des velos.
Je dois avouer avoir ete surpris par ces statistiques qui ne collent absolument pas avec les chiffres publies ces derniers mois. Si je me trompe, je l'admettrai humblement mais quelques chose ne colle pas dans ces chiffres. L'indice Trevi affiche un maigre 6% de hausse pour 2005 et l'article suivant ne fait que confirmer un marche plus que morose:
L’echo April 26: Le marché résidentiel se tasse
L'indice Trevi affiche une hausse des prix de 0,9% au premier trimestre. L’atterrissage en douceur se profile.
le marché immobilier résidentiel prépare son atterrissage en douceur après une année 2005 globalement chaude. C'est l'enseignement que l'on peut tirer de l'indice Trevi. «Nous constatons que l'effet de ralentissement observé en Région bruxelloise en fin d'année dernière tend à gagner l'ensemble du marché», indique-t-on auprès du groupe immobilier. Pour autant que la hausse modérée des prix se maintienne, une hausse des prix de 3,5% se profile pour l'année 2006. «Mais il ne nous surprendrait pas que les neuf prochains mois corrigent encore légèrement cette tendance pour adoucir la hausse», précise-t-on."
Meme le Trends, traditionellement conservateur, titre: "Prix en baisse apres 20 ans de hausse." Je crois que ca se passe de commentaires.
Good night and good luck.
Ces statistiques sont étonnantes mais semblent surtout beaucoup inquiéter le monde de l'immobilier.
En effet, une annonce de +53% sur un an risque de déclencher un sentiment de résignation chez les acheteurs potentiels qui se diront maintenant je peux plus acheter.
Ainsi, sur la RTBF les agences immobilières loin de glorifier ces chiffres les contestent.
Je connais pas la méthodes de calculs mais ils semblerait que les marché Bruxellois a vécus en 2005 des ventes de biens de prestiges pour les maisons 300 000 - 400 000 € voire plus et que les gens se sont tournés vers les apparts dans la tranches 150 000 - 200 000 €.
Ce qui a gonflé la moyenne et indiquerait que seuls les personnes ayant de très gros moyens ont pu acheter des biens de qualité le reste semblant trop chère par rapport à leurs moyens ou la qualité du bien.
Maintenant, les acheteurs avec de très gros moyens ne sont pas un puits intarrissable, loin de là.
Pour le trends, l'article pose les bonnes question, pour une fois à savoir :
-l'influence du coût de l'énergie
-l'influence du vieillissement de la population
et la peur de la hausse des taux d'intérêt qui en cas d'une hausse de 2,7% entrainerait une surrévaluation de 40% des prix.
Scénario qui est improbable selon l'expert d'ING mais quand on voit qu'en six mois les marchés sont passés de la critique de la BCE à son encouragement dans la relève des taux.
BCE qui devrait augmenté de 0,5 % ses taux en Juin avec l'accord de l'ensemble du monde financier ce qui fera une hausse des taux court de 1% en 6 mois.
Je me demande qu'elles en seront les effets sur les taux longs et sur les personnes qui ont souscrit des emprunts à taux révisables annuellement, le tout conjugués à la hausse durable de l'energie.
Pour en revenir au vieillissement, les premiers effets se feront déjà sentir en 2010 et l'inquiétude vient du fait que les experts ne savent pas ce qu'il adviendra de ces logements dont les héritiers ont dans les 40-50 ans et disposent déjà d'un logement.
Sans aller aussi loin dans le changement de société, il semble clair que la société européenne change.
Les prix de l'immobilier ont atteint actuellement des prix faramineux en regard de la qualité aléatoire des biens en question.
Alors qu'en pense les experts ?
Que c'est en raison des taux bas, de la DLU, du krach boursier de l'an 2000 et donc des raisons conjoncturels.
Au niveau structurel et même conjoncturel, la situation est en train de changer par rapport aux siècle passé.
1) la démographie est en repli et dans les 5 prochaines on en verra les prémices avec une hausse des personnes âgées. => réduction de la demande de logement individuel et surtout unifamilial
2) le pétrole est en hausse constante ce qui aura des effets
3) le FMI s'inquiète de la hausse du pétrole qui pourrait causer une crise économique mondiale et l'immobilier comme tout le reste n'en sortira pas indemne
4) les taux montent et pour l'instant il n'y a pas d'étude de cet hausse sur les emprunteurs à taux variables souvent jeunes, endettés pour de longue période et généralement au taquet. Ces ménages ont généralement choisi le taux variable car ils trouvaient le taux fixe trop élevés.
5) le taux de propriété a atteint un sommet en Belgique +-77% ce qui nuit au marché locatifs où des biens restent sur le carreau.
6) les achats ont été grandement anticipés par les jeunes ménages ce qui risque de réduire très fortement le nombre de transaction dans les années à venir amplifié par l'absence de naissance.
7) Les experts explique la hausse par des ménages à une personne qui induit une hausse de la demande mais ces ménages sont censés être moins riches (un seul salaire) et ils alimenteraient la hausse ?
Il y a une belle dichotomique entre ses ménages unipersonnels qui alimente une hausse à 2 chiffres et les études qui les désignent comme les moins bien fournis en pouvoir d'achat et en-tête des risques de précarités
Bref au sortir de cette période de taux bas et de folie immobilière, la situation est plutôt en défaveur de l'immo et des excès commis seront corrigés.
Alors, je dirais de réfléchir avant d'acheter en ayant l'intention de revendre dans 10 ans, de payer au prix fort des nanars ou de se croire un investisseur en achetant un bien immobilier.
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