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luc a écrit :grmff a écrit :(...)
La seule bonne solution, c'est que l'ACP emprunte et que les CV soient versés sur le compte bancaire de l'ACP, comptabilisés en diminution de charge ou en alimentation de la réserve.La comptabilité, telle qu'imposé par la loi de 2010 et l'AR du 12.07.2018, impose en fait cette solution en cas d'emprunt et/ou CV.
En marge: les CV ne peuvent être comptabilisé dans la comptabilité générale de l'ACP qu'au moment du paiement des CV (recette incertaine).
Si non ils peuvent uniquement être comptabilisé dans la comptabilité budgétaire de l'ACP, si un budget pluriannuel est suivi.
CàDire ? Vous voulez dire que l'option financement par particulier n'est pas autorisée par la loi de 2010 ?
Merci d'expliciter
Le Fruit de la vente des Certificats Verts. (Cad se que l'on va nous payer par certificat.)
Suite de la Saga.
Nous avons eu notre AGE ou l'on nous a presenté la cogénération et ces diverses alternatives de financement. Faut de Quorum on a pas pu voter.
Une nouvelle AG est convoquée pour vendredi.
Deux alternatives ont été dégagées pour le finacanement:
1°La copropriété joue le role de Tiers payant et emprunte la somme nécessaire. Les mensualités sont répércutées sur chaque CoPropriétaire en fonction de son Quota de millièmes.
On a pas décidé encore si le fruit de la vente des CV sera versé sur le compte de la Copropriété ou reversé à chacun en fonction de son quota Millième.
2°Chaque corproriétaire emprunte une somme définie en fonction de son quota de millième. Le fruit de la vente des CV lui sera reversé en fonction de son quota d'endettement.
Depuis l'AGE sans vote, un copropriétaire (non présent à cette AGE) suggère une troisième voie: Un petit groupe de Co Propriétaires emprunte la somme nécessaire et se rembourse sur la vente de CV et voient leurs charges mensuelles adaptées en fonction de l'économie réaloisée grace au nouveau système. Les autre Copropriétaire qui ne participent pas au financement ne recoltent rien (Y compris une baisse de charge fruit de l'économie d'energie résultant du nouveau système). J'ai un doutes sur la légalité de la chose !
Vous en pensez quoi ?
Merci d'avance.
Merci à tous pour vos réponses.
MarcoBrux donc vous n'avez rien payé et cela ne s'est pas refléter dans les charges ? Quid de la fiabilité du matériel ? Taux de pannes ? Quel reflet dans la consommation ? Vous vous êtes adressé à quelle entreprise ?
Merci d'avance.
Suite à d’importants problèmes de chauffage dans notre copropriété, nous avons décidé de changer tout le système lors de la dernière assemblée. Nous avons choisi d’installer la cogénération en remplacement de notre système « classique » (Chaudière à Mazout). Bien entendu ce changement a un coût (+/-110000 €uros). Trois options de financements ont été envisagées lors de l’assemblée *:
Le tiers financement par l’installateur
Le financement en fonds propre par chaque copropriétaire (en fonction des quotités de chacun)
L’emprunt par la copropriété auprès d’un organisme financier.
L’emprunt individuel de chaque copropriétaire auprès d’un organisme financier (montant défini en fonction des quotités de chacun).
*Le choix définitif se fera lors d’une assemblée extraordinaire très prochainement.
Dans le cas de l’option de l’emprunt auprès d’un organisme financier fait par la copropriété il me vient plusieurs questionnements :
1) Une copropriété peut-elle faire un emprunt ? Si oui pour quelle durée ?
2) Qui si un des copropriétaires se trouve dans l’impossibilité de continuer à honorer sa quote part ? (les autres sont-ils solidaires ?)
3) Si un des copropriétaires vend son bien avant la fin de l’emprunt, est-ce le nouveau copropriétaire qui continue à honorer sa quote part ?
4) dans le cas d’une vente avant la fin de l’emprunt, ce dernier a-t-il une influence sur le prix du bien ?
Merci d’avance pour vos réponses.
Non, puisque l’ACP n’a pas suivi la procédure imposé par la loi, entre autres en déléguant la mission d’approbation à un comité.
Je suis perdu là ! Nous avons consulté un avocat qui nous a dit que le vote de l'assemblé n'était pas nécessaire du fait que pour être valable il fallait la présence physique des 23 copropriétaires. Et que dans nombre de cas les copropriétés n'arrivent pas à réunir l'ensemble des copropriétaires. (Chez nous le Quorum est tjs atteind sur le fil du razoir...)
Personnellement, je trouve plus respectueux de la loi mais surtout vis à vis des copropriétaires de faire voter les modifications de l'acte de base en AG.
On a décidé de ne pas le re-soumettre* au vote car il était impossible de réunir les copropriétaires pendant l'été, et que de ce fait on allait devoir passer par acte authentique et frais de notaire....
On est "Short" niveau temps car le syndic avait lui escompté ne rtien soumettre pour approbation et déposer lui même le nouvel acte(En vertu des ses prérogatives relative à la nouvelle loi). C'est le CP qui a exigé qu'il soumette cela à l'AG.
* Lors de l'assemblée personne n'avait lu le texte envoyé avec convocation.
Question: votre copropriété est-elle situé dans le région Bruxelloise ou non?
Si oui, une cabane "temporaire" doit je crois aussi avoir un permis d’urbanisme.
Oui elle est en région bruxelloise, plus exactement à Woluwe Saint Pierre.
Une copropriété n'a pas à s'immiscer dans la relation bailleur-locataire. Cette relation se base sur le contrat de bail qui est un acte passé sous seing privé sans que le Syndic ou la copropriété ne s'en mêle.
Au locataire de respecter évidemment l'acte de base et le règlement d'ordre intérieur!
Si le locataire n'a pas remis les lieux en état, c'est à son bailleur à le poursuivre pour qu'il s'exécute! Pas à la copropriété!
Si le locataire n'a pas rempli ses obligations légales et contractuelles, c'est à son bailleur à en supporter les conséquences, évidemment pas la copropriété!
Ok donc si je comprends bien, cela va être un conflit entre coproriétaire. Au regard du bail que j'ai vu, il y avait juste une clause de remise en état, et il n'y avait aucune mention à l'article 12 de l'acte de base qui interdisait toutes construction même en matériaux léger. De toute façon nous avions un conflit avec le bailleur et nous car ce dernier prétend qu'une cabane de jardin n'est pas une construction mais un assemblage temporaire.
Avez-vous déjà blanchi votre syndic en lui donnant quitus et décharge pour la période dans laquelle les faits se sont déroulés?
Si oui, c'est l'ACP qui est maintenant responsable de la situation et qui doit être assignée. Pas le Syndic...
Oui chaque année on donne le quitus. Au regard du paragraphe précédent, qui doit finalement être assigné pour cette cabane, Le bailleur ou l'ACP, voir les deux ?
De votre coté, vous pouvez continuer comme si de rien était tant que ce copropriétaire récalcitrant n'a pas obtenu du Juge que cette décision soit cassée.
Ok merci,
mais si il obtiens gains de cause (ce dont je doute), on devra passer chez notire avec frais ?
Même si on a déjà déposé le nouvel acte au gref ?
Mais au fond quel est son préjudice?
Aucun, il prétend qu'il n'est pas légal de se passer d'acte autentique pour la rédaction d'un acte de base !
Toutes les copropriétés que je connais suivent le processus qui a été choisi dans la vôtre et tout le monde est très content!
Je sais, moi aussi.
Bonjour,
En juin dernier, nous avons postposé l'approbation du nouvel acte de base lors de l'AG. En effet nous avons décidé que soumettre cela au vote était inutile et illusoire car les gens ne l'auraient pas lu (trop technique et rébarbatif).
L'assemblé a donc voté la création d'un groupe de travail qui a reçu mandat d'examiner ce nouvel acte de base et d'amender certaines parties si nécessaire pour ensuite le faire déposé par le syndic au gref pour enregistrement avant la date du premier septembre (pour éviter le notaire).
Personne ne s'y est opposé à ce moment là.
Nous avons donc commencé le travail, et avons presque fini. Mais voilà qu'un copropriétaire revient sur cette décision, contestant sa légalité et souhaitant forcer le passage par une nouvelle assemblée et par le notaire. (Il va ester en justice)
En a-t-il le droit ?
Sa démarche est-elle téméraire et vexatoire ? (Hors délais, volonté de nuire)
Risque-t-il de se retrouver assigné par des copropriétaires s'estimant lésés par sa démarche ? (frais de notaire).
Merci de vos réponses.
Bonjour,
Alors voici la situation:
Il y a d'ici deux ans nous avons par erreur (mauvaise interprétation acte de base) authorisé un locataire à batir une cabane de jardin, suite à cela l'année passé lors de l'AG (Mai 2013)nous avons rectifié la situation en précisant qu'à la fin du bail le locataire devait démonter l'ouvrage.
En novembre le locataire s'en va, faché avec son proprio, avant terme en laissant la cabane de jardin.
En juin de cette année, un copropriétaire demande de mettre le sujet à l'ordre du jour de l'AG afin d'obtenir le démontage de l'ouvrage, le Syndic décide que cela se fera via un vote ! Le vote à lieu et la motion est rejetée.
Aujorud'hui le copropriétaire revient sur le sujet en contestant la méthode, il prétend qu'il est illégal de soumettre au vote un état qui résulte d'une infraction à l'acte de base et souhaite assigner le Syndic devant la justice de paix.*
La démarche est-elle recevable ? **
La justice de paix est-elle compétente pour ce type de dossier ?
Ne doit-il pas aussi assigner le conseil de copropriété (qui avait accordé l'authorisation)?
Le syndic est-il responsable des décision du Conseil de copropriété ?
Si l'un des membre du Conseil de co-propriété a démissioné depuis, peut-il être poursuivi ?
*Je précise que nous n'avons pas encore adapté l'acte de base à la nouvelle loi (c'est en cour)
** Il a signé le PV d'asemblée
Merci pour vos éclairages.
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