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Le Soleil a rendez-vous avec la Lune qu'il dit... pour dire qu'il l'a eu dans le c...?
Je voudrais pas trop dire, mais j'ai trouvé ceci en jurisprudence sur le site (pas marrant mais parfois zintructif) du Moniteur /www.cass.be/jurisprudence. Il s'agit d'un cas qui semble extrêmement similaire et intéressant car émanant d'une cour d'appel. Rassurant pour les proprios de maison voisines abimées?
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Juridiction : COUR D'APPEL D'ANVERS
-------------------------------------------------------------Chapeau
PROMOTION IMMOBILIERE. - <Promoteur> construisant pour son propre compte sur le terrain d'autrui. - Renonciation au droit d'accession par le propriétaire. - Travaux d'excavation. - Effondrement. - Faillite de l'entrepreneur et du <promoteur>. - Police TRC. - Art. 544 CC.
-------------------------------------------------------------Sommaire
Le propriétaire d'un terrain autorisait un <promoteur> à y construire un immeuble pour son propre compte et renonçait à cet effet au droit d'accession.
Le <promoteur> faisait appel à un entrepreneur pour les travaux d'excavation qui ont causé un effondrement dans l'immeuble voisin. L'entrepreneur ainsi que le <promoteur> ont fait faillite. Les voisins ont entamés une action en justice contre le propriétaire du fonds, le <promoteur>, l'entrepreneur, l'<architecte> ainsi que l'assureur (TRC) dont il résulte que :
1) Le propriétaire est responsable (art. 544 CC) pour la réparation de l'équilibre rompu entre les deux fonds par l'exécution de travaux sur son terrain et ce même si aucune faute ne peut lui être reprochée.
2) Une même action - sur base de l'art. 544 CC - peut être envisagée contre le <promoteur>.
3) L'entrepreneur est responsable de l'exécution défectueuse ou fautive de ses travaux (art. 1382 et 1383 CC).
4) En l'absence d'un contrat écrit avec l'<architecte> on peut présumer que celui-ci était chargé d'une mission complète. Son absence lors du début des travaux et ce au moment d'une phase extrêmement critique doit être considérée comme un manquement à son obligation de contrôle.
5) L'assurance civile assure les victimes et non les assurés de sorte que les paiements effectués par l'assureur ne sauraient entrer dans le patrimoine de l'assuré failli.
-------------------------------------------------------------Base légale
-CODE CIVIL,ART 544
-CODE CIVIL,ART 1382
-CODE CIVIL,ART 1383
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Si la saisie est effective, il peut y avoir vente publique de ce huitième de nue propriété. En ce cas, les 7 autres nu propriétaires pourront racheter le huitième en question. C'est en fait une manière pour le créancier de faire pression sur la famille (car les nue propriété en indivisions sont souvent le fait de famille)
Question subsidiaire à plsu expérimenté: si un quidam rachete ce huitième de nue propriété, peut-il exiger la vente du tout? Ne dit-on pas que nul ne peut être contraint de rester en indivision?
Le cas est pourtant simple.
Monsieur est propriétaire de sa maison deux facades. La maison voisine est rasée, et on y reconstruit une copropriété, un gros batiment avec des fondations de type pieux, bien profondes.
Une fois la construction de la copropriété finie, il apparait de grosses fissures dans la maison du monsieur.
Il se demande ce qu'il doit faire parce que l'affaire, qui est en justice, traîne "un peu" parce qu'elle est "un peu" compliquée.
Parce que le promoteur est en faillite, que l'assureur du promoteur est de mauvaise volonté, que l'architecte ne répond pas au courrier et ne collaborrait pas vraiment au début de l'affaire, parce que celui qui a posé les pieux n'est pas en faillite, qu'il a un assureur, et que plein d'avocats se sont dit que le cas était joli et qu'il faudrait y réfléchir longuement.(les acteurs de cette mauvaise farce sont donc: le curateur de la faillite, l'assureur du promoteur, le pieuteur, l'assureur du pieuteur, le monsieur, la copropriété, et donc bientôt les 30 à 40 propriétaires de cette copropriété, l'architecte de la copropriété, un juge de moyenne vitesse, un expert judiciaire, et des biens immobiliers qui se dégradent...)
Bref un joli cas d'école, bien complet, qui fera une jolie jurisprudence.
Je crois qu'il faut dire au monsieur que tant que la justice n'a pas pris position, rien ne pourra se faire.
Une question cependant: la copropriété n'a jamais été finie. Il n'y a pas de PV de réception définitive. Que dit la loi Breyne en ce cas? L'architecte n'est-il pas responsable de faire que le promoteur était bien assuré? Que risque l'architecte en ce cas?
Compromis vaut vente me semble-t'il. Dès lors que les deux ont signé, ils sont donc tenus de signer également chez le notaire.
S'ils refusent, il faut passer par la justice, hélas. Et cela peut prendre du temps, de l'énergie, et beaucoup de sous (frais d'avocat... et droits d'enregistrement)
Le plus gros danger est de se voir réclamer les droits d'enregistrement et de ne pouvoir les payer faute de prêt valable. Cela dépend bien sûr de vos liquidités. En effet, en mettant l'affaire en justice, l'enregistrement en a automatiquement connaissance. Ils sont en droit de réclamer les droits chez le plus solvable (du vendeur ou de l'acheteur), et apparemment ne s'en privent pas. Quelqu'un en a-t'il eu l'expérience?
Oui, pour répondre à votre question. C'est bien marqué sur le formulaire de déclaration fiscale.
De plus, il faut bien réfléchir avant de déclarer quoi que ce soit à l'administration fiscale.
En effet, en cas d'un premier prêt en cours, la déclaration du deuxième n'apporte rien du tout comme avantage fiscal. Calculez le tout sur fiscobel ou taxweb des AP sur le net.
Par contre, en cas de déclaration, les inconvénients peuvent être de taille. Par exemple, en cas de déclaration de l'assurance "solde restant dû", le bénéficiaire est taxé sur le montant payé par l'assurance, quelque soit l'avantage, nul ou non, dont vous avez bénéficié.
Réfléchissez-y donc.
En complément, je rajouterai que je connais un cas où des biens immobiliers (chapelles, couvents, maisons, appartement en corpriété, etc...) sont en attente d'une attribution depuis près de deux ans. Le tout a été légué à une association paroissiale qui a accepté la succession sous réserve que les héritiers présomptifs s'ils refusent donnent leur accord. Ils sont au nombre de 40 et refusent de même répondre au courrier qui leur est envoyé.
Dixit le notaire, tant que personne ne saisit la justice, rien ne se passera.
Pour régler votre problème, il s'agit donc de les mettre en demeure de prendre position...
Vous pouvez aussi espérer qu'un vol massif de l'ensemble de l'appartement en question se passe par hasard. Ca existe, des gens qui rentrent de congé et qui retrouvent leur appartement entièrement vidé... Plus qu'à souhaiter que cela arrive...
Tant que les héritiers ne sont pas connu de manière sûre, l'héritage est en attente...
Si aucun des héritiers ne se décide, rien ne se passe. Et si un seul héritier refuse de prendre position, il faut hélas saisir la justice pour les forcer à prendre position.
Ceci dit, si l'usufruitière décède, il n'y a pas de question quant à un héritage quelconque. En effet, dès que l'usufruitière décède, les nu-propriétaires deviennent plein propriétaire (=propriétaire de la nue propriété et de l'usufruit)automatiquement.
Incroyable la vistesse de réaction de ce site et de monsieur le modérateur... c'est une passion, c'est sûr...
Il existe un règlement pour les lieux publics en tout cas. La hauteur minimum est de 1.100mm (anciennement 1m. Tout augmente, même la taille de la population)
Une nouvelle norme devrait par ailleurs préciser incessament sous peu la dimension max d'une balle (20cm?) qui ne pourrait passer à travers une balustrade (balle... ou tête d'enfant)
De même, en bas de la balustrade, l'espace libre devrait être de maximum 100mm.
Sous toute réserve et sans reconnaissance préjudiciable...A vérifier donc
Monsieur le modérateur devrait lire le message jusqu'au bout s'il désire enlever toute référence à une société extérieure ... Bonne lecture
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