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OK merci.
Il semble donc qu'à ce sujet (les procurations des 2 coproprios nue propriété indivis) les renseignements qu'on m'a fournis sont corrects.
Reste ma dernière question, si je retrouve les quotités attribuées à mon appartement, est-ce que je dois les ajouter à celles de la cave et du garage et inscrire le total sur la procuration, ou seulement les quotités de l'appartement ?
pimpob a écrit :Je vais continuer à éplucher mes documents, et je vous reviendrai si je trouve. Si je ne trouve pas, je laisserai un blanc, le délégué du promoteur n'aura qu'à le compléter. Soit dit en passant, ce n'est qu'une des lacunes auxquelles nous sommes confrontés dans nos relations avec le promoteur.
Et pourquoi donner une procuration ?...
Rien ne vous empêche d'être présente.Et rien ne vous empêche non plus de poser des questions à votre notaire qui a reçu votre acte d'achat, ni à celui qui a rédigé l'acte de base.
lol merci de ne pas retourner la plaie autour du couteau !!
1. Appart acheté à 3 (usufruit + 2 nues proriétés). Selon le délégue du promoteur, chaque copropriétaire peut voter mais pour ce faire il a besoin de la procuration des 2 autres copropriétaires indivis. Ils doivent donc me donner une procuration pour que je puisse voter en A.G. Je serai la seule présente. D'après le promoteur, les 2 époux mariés peuvent être présents à l'A.G. mais un seul d'entre eux peut voter, il faut que l'autre remette une procuration pour sa part indivise.
Merci de corriger le tir si on m'a donné des informations erronées.
2. Mon notaire est très fiable et il a toute ma confiance. Le notaire qui a instrumenté pour le promoteur n'est pas fiable, ni disponible, et la seule fois que je l'ai contacté pour avoir les plans de mon appartement (qui normalement devaient être attachés à l'acte d'achat) il m'a envoyé sur les roses. Alors dans ces conditions, je préfère encore laisser un blanc pour les quotités.
Je me demande comment font ceux (et il sont nombreux !!!) qui n'ont pas recours à un forum comme celui-ci pour la réponse à toutes leurs questions ... Ca ne m'étonne pas que tant de propriétaires donnent des procurations "en blanc" à leur syndic.
Merci pour les réponses, et pardon pour le croisement des sujets.
Si j'ai bien trouvé les millièmes pour ma cave et ceux pour mon garage, je ne trouve nulle part ceux relatifs à mon appartement. C'est en effet inquiétant parce que ceux du garage et de la cave figurent dans l'acte notarié.
L'acte de base est une photocopie reproduite à 133 exemplaires, un pour chaque propriétaire de l'ensemble des appartements vendus (8 phases). Il n'y a donc aucune mention de quotités particulières.
Je vais continuer à éplucher mes documents, et je vous reviendrai si je trouve. Si je ne trouve pas, je laisserai un blanc, le délégué du promoteur n'aura qu'à le compléter. Soit dit en passant, ce n'est qu'une des lacunes auxquelles nous sommes confrontés dans nos relations avec le promoteur.
Merci et à bientôt.
P.S. : si je trouve les millièmes relatifs à l'appartement, dois-je les ajouter à ceux de la cave et du garage et fournir leur somme comme point de référence ?
Bonjour et meilleurs voeux à tout le monde.
Les choses avancent doucement ici. Les travaux de percement du mur porteur ne sont pas encore achevés, j'ai déjà 4 plafonds fissurés et des fissures aux murs du hall et de ma chambre. La suite au prochain numéro, je vous relaterai la fin de l'histoire dans le sujet ad hoc.
Nous allons ENFIN avoir notre 1ère A.G. constitutive à la mi-janvier. Ma question est la suivante.
Dans la procuration figure un terme que je ne comprends pas, j'ai recherché dans l'acte notarié et l'acte de base, et je ne l'ai trouvé nulle part. Il s'agit des "QUOTITES". En substance "Je soussigné XXX co-copropriétaire de l'appartement ZZZ représentant ... quotités, donne par la présente etc".
Ces quotités représentent-elles la part de l'appartement dans l'immeuble ou la part que possède le mandant dans la co-propriété de l'appartement cité ?
Merci d'éclairer ma lanterne.
Bonsoir à tous.
Les travaux ont débuté le jeudi 27 octobre. Ils ont été arrêtés sur injonction de ma part le vendredi 4 novembre à midi.
En effet, il apparaît que la réalité du chantier est bien loin de ce qu'on nous avait dit.
En décembre 2010, j'avais sollicité une rencontre avec le maître de l'ouvrage pour qu'il explique à une majorité de copropriétaires la nature exacte des travaux entrepris en vue de relier les appartements. Cette réunion n'a jamais eu lieu, et PERSONNE n'a jamais eu d'explication de l'ampleur du chantier.
Des bruits ont circulé selon lesquels on allait percer "une petite porte" entre les 2 appartements pour les rejoindre.
En réalité, et j'ai appris ça vendredi matin quand j'ai fait stopper les travaux, on est loin du compte : le percement de la "petite" porte n'est pas terminé (il reste environ 30 cm de hauteur à abattre à partir du sol), et la chape du 1er appartement n'est pas encore complètement détruite. Tous les résidents ont les nerfs à vif, le bruit est insupportable. Et nous n'en sommes même pas à la moitié du chantier !!!
J'ai appris qu'une baie serait percée dans un autre mur porteur, et que la totalité des 200 m² de chape seraient détruits à la scie circulaire (impossible au marteau piqueur, ils ont mis le feu à la couverture anti-bruit sous la chape).
Nous sommes donc revenus à la case départ. J'ai envoyé aujourd'hui un mail au propriétaire donneur d'ouvrage, lui rappelant mon message de décembre 2010 réclamant une réunion sur chantier avant de solliciter et d'obtenir l'accord d'une majorité d'entre nous.
Je présume que maintenant ils vont enfin nous convoquer dans les tout prochains jours sur chantier, nous expliquer ce qui a été fait et surtout ce qui reste à faire et durant combien de temps.
A noter que nous avons été prévenus LA VEILLE que les travaux allaient commencer, impossible donc de prévoir une réservation pour échapper aux nuisances sonores.
Au niveau de l'accord de l'urbanisme, j'ai posé la question à l'architecte qui est le fils du propriétaire. Il m'a répondu "il n'y a pas besoin d'autorisation de l'urbanisme, ces travaux s'effectuent dans le cadre de la continuité d'un immeuble non terminé (sic) !
Ca m'étonne, parce que le maître d'ouvrage n'est plus le promoteur, mais le propriétaire, et les entrepreneurs ne sont plus les entrepreneurs agréés par le promoteur, mais ceux du propriétaire. Il me semblerait donc logique qu'une nouvelle demande aurait dû être effectuée au service des travaux de notre commune, ce qui n'a vraisemblablement pas été fait.
Ce dernier point m'inquiète parce que, dans le cas d'un accident majeur à cause du percement de la grande (?) baie, s'il y a des dégâts très importants, voire même des dégâts corporels, et que les assurances doivent intervenir pour un montant très conséquent, ne vont-elles pas jouer sur ce point (manque de demande d'autorisation à l'urbanisme) pour refuser d'indemniser les victimes ?
Remarquez bien si je me retrouve écrasée et morte dans les débris de mon appartement, ce n'est pas grave. Mes héritiers seront déjà enclins à ne pas penser pareil. Et moi non plus si je suis gravement handicapée et que les assurances refusent d'intervenir.
Ce dernier paragraphe est supposé vous faire rire. Si j'ai raté mon coup, désolée ... mais il est vrai que ça fait maintenant près d'un an que cette affaire nous empoisonne l'existence, mes amis copropriétaires et moi.
Bonne fin de w-e tout le monde.
Si pas de news d'ici 3 mois et 10 jours, vous pouvez libérer mon pseudo 
Bonjour à tous.
Vu la difficulté d'obtenir une réponse à ma question, un avocat a été consulté. Sa réponse tient en une ligne :
"Une société qui a construit un bâtiment ne peut être dissoute tant que la garantie décennale n’est pas écoulée."
C'est donc rassurant pour nous, dans la mesure où si le promoteur vient à disparaître ou à être empêché pour raisons de santé, sa société perdurera et devra donc assumer, le cas échéant, pour tous dégâts concernant la stabilité de l'immeuble ou les vices cachés pendant 10 ans, à dater du jour où les communs recevront l'approbation définitive.
Compte tenu du fait que l'approbation provisoire n'a pas encore été faite (je présume qu'ils attendent que les travaux de percement du mur porteur soient terminés), nous sommes donc assurés que la garantie décennale pourra courir pendant 12 à 13 ans, au rythme où vont les choses.
Merci aux intervenants qui ont essayé de répondre à ma question.
Mais oui franchement !!! pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?? où avais-je donc la tête !!!
Donc OK message reçu 5/5 .... Merci !
Message privé reçu (je le sais parce que j'ai reçu un mail d'avertissement) mais je ne sais pas où se trouve ma "boîte mail" sur le forum ... donc voilà 
Je n'ai pas très bien saisi la relation avec ma question sur la garantie décennale ? Dois-je considérer que c'est votre réponse à ma question ????
Je signale que je ne peux pas voir les messages privés, envoyés ni reçus.
Merci et bon week-end malgré la pluie.
C'est étonnant cette définition, dans le cadre précis d'une garantie décennale non ?
Oui tout à fait (loi Breyne).
Pour vous aider à comprendre mon stress, il suffit que je vous cite un seul exemple.
Normalement, l'acte de base (composé de 3 gros livrets reliés) devait être remis à tout candidat acheteur lors de la signature de la promesse d'achat et la remise de l'acompte.
Dans tous les cas que je connais, PERSONNE n'a jamais reçu cet acte de base avant de signer l'acte d'achat. Dans mon cas, c'est encore pire, lors de la passation de l'acte notarié, c'est mon Notaire qui a dû menacer de ne pas signer l'acte si cet acte de base ne m'était pas remis en séance. Le promoteur a donc dû quitter l'étude pour se rendre à son bureau rechercher les 3 livrets, qui m'ont été remis. Bien évidemment, je n'ai pas eu le temps de les lire avant signature.
Après lecture, j'ai compris la raison : cet acte de base est tout simplement léonin, et si je l'avais lu (et c'est ce que disent tous les copropriétaires avec qui j'ai parlé) JAMAIS je n'aurais signé l'acte authentique d'achat, parce que cet acte de base nous place littéralement pieds et poings liés à la merci du promoteur.
Petite leçon pour les forumeurs : si vous achetez ou envisagez d'acheter un appartement dans un building et que vous avez affaire à un promoteur, demandez TOUJOURS à recevoir un exemplaire de l'acte de base complet, éventuellement à disposition quelques jours, AVANT de signer le compromis de vente / achat. Faites-vous assister par votre Notaire (demandez lui de le lire) et s'il vous dit "attention", n'achetez pas.
Sinon vous finirez stressé 
Done. Thanks !!
J'ai trouvé les bilans et je vous remercie. Je n'ai encore examiné que celui de 2010.
Mais je ne m'y retrouve pas !!
La seule valeur comptable que je vois, c'est "valeur comptable nette au terme de l'exercice" qui est égale à la "valeur d'acquisition au terme de l'exercice précédent".
Certains chiffres sont remplacés par des croix à la page "Etat du capital et structure de l'actionnariat".
Bref, je crois que j'ai (encore) besoin de votre aide. J'ai téléchargé le bilan au format .pdf. Puis-je vous l'envoyer ? ou je peux vous donner le nom ou le numéro de la société, mais cela vous obligerait alors à consulter vous-même le site de la BNB ?
A titre d'information lire:
Chaussée de Haecht coupée à Evere
Cet immeuble est situé en face de mon restaurant préféré, et j'ai pu suivre les travaux de rénovation de cet immeuble les années passées et voir l'impact des dégâts.
Tout ce que je peux dire est qu'il est selon moi nécessaire de faire suivre tout changement de la structure ou de l'usage des locaux par un architecte. Non seulement pour le changement lui-même, mais aussi pour l'impact sur l'ensemble.
A ce niveau, nous n'avons plus de souci (tant qu'à présent). Le plan a été fait par un architecte et approuvé par la société en charge de la stabilité de l'immeuble. Le maître de l'ouvrage a souscrit 2 assurances dégâts. Il lui est interdit de toucher aux extérieurs (le bâtiment est tout neuf, pas encore totalement achevé). La seule chose que nous pouvons faire, c'est regretter que les choses aient tant traîné, et que les travaux commencent alors que l'immeuble est totalement habité (sauf les 2 derniers propriétaires qui attendent que les travaux soient achevés avant d'emménager).
Un état des lieux a été fait pour chaque appartement, avec photos, et s'il y a le moindre dégât aux communs (ascenseur, cage d'escalier, palier) ce sera au maître de l'ouvrage de réparer à ses frais.
A noter toutefois, le bras de fer entre le maître de l'ouvrage et le promoteur a duré plus de 6 mois ... retardant d'autant le début des travaux. Maintenant l'ascenseur a été déshabillé (protections enlevées), les couloirs, entrée, paliers, et cage d'escalier tapissés et peints. On est en train de réaliser les plantations aux abords de l'immeuble.
Au grand dam du maître d'ouvrage, qui se serait bien passé de devoir, en plus, protéger tout cela. Mais c'était sans compter avec le veto tardif du promoteur qui a imposé des règles a posteriori, après que la promesse d'achat a été signée pour les 2 appartements ... Et ce n'est là qu'une des facettes de sa roublardise.
PÏM a raison. Le système utilisé par certains promoteurs immobilier (une firme par projet) est avantageux pour le promoteur, mais le risque d'insolvabilité agrandit.
Je conseille de chercher la firme dans: BCE Public Search.
Dès vous avez trouvé sa fiche, va en bas de cette page, cherche le lien "Publications comptes annuels BNB" et clique dessus. Consultez les comptes annuels 2010 (s'ils ne sont pas là il y a un problème). Lisez les comptes et vérifiez si le capital légal est plus bas que le capital réel. Si non, la société est sous-capitalisée et la garantie réelle en souffre.
Je vais aller consulter cela.
Outre le risque que vous venez de citer, si je comprends bien votre message, le fait que la dernière société en date soit une SPRLU n'ajoute aucun risque supplémentaire en ce qui nous concerne ?
Dans tous les cas, soit la société BATIMAT est correctement capitalisée, et alors que le promoteur soit empêché, décédé ou déménagé ne change rien au fait que nous puissions avoir recours à la garantie décennale le cas échéant, soit elle n'est pas suffisamment capitalisée, et nous devons intervenir maintenant avant de signer la réception définitive des communs ?
Et donc dans aucun cas notre recours ne peut s'étendre vers la société-fille BATIMO, quelle que soit la forme de la société.
Il va sans dire, mais vous l'aurez compris, que nous avons été rendus méfiants au fil des mois en constatant beaucoup d'irrégularités et de promesses non tenues, c'est ce qui nous amène à chercher des renseignements fiables ailleurs. C'est bien regrettable, et il serait grand temps qu'on légifère quant à la transparence des promoteurs, et qu'on les empêche de faire des magouilles sur le dos de leurs clients.
Merci beaucoup, je viendrai vous faire un résumé de ce que j'ai pu trouver sur le lien que vous m'avez donné.
La garantie est donc délivrée par la société anonyme concernée, sans obligation solidaire dans le chef de son administrateur-délégué à titre personnel. Moralité: peu importe qu'il quitte personnellement la Belgique.
Qu'il y ait plusieurs sociétés (probablement une par promotion) est assez courant et limite les risques d'extension à l'ensemble du patrimoine en cas de souci.
C'est une excellente nouvelle, que je vais faire partager à mes amis copropriétaires. Je vous remercie pour votre efficacité et votre rapidité.
A bientôt pour la suite (et fin) de l'autre sujet (percement du mur porteur), en espérant une fin tout aussi positive.
A bientôt et bonne fin de w-e à vous.
"Batimat" (je vous confirme en passant qu'il n'y a effectivement pas lieu de donner ici de vrai nom) est une société ? Ou une simple appellation commerciale du Mr en nom propre ?
BATIMAT (j'ai donc bien fait de ne pas donner le vrai nom) est une Société anonyme.
BATIMO est une SPRLU fondée par la fille du promoteur de BATIMAT.
Le cas n'est pas unique, puisque une série de buildings plus anciens, toujours dans la région mais pas dans la même ville, portait le nom de BATHIMA (toujours nom d'emprunt, pour l'exemple). BATHIMA était également une société anonyme, créée par le promoteur de BATIMAT.
J'ai d'ailleurs eu connaissance de BATHIMA tout simplement parce que c'est toujours le nom de cette société qui figure sur la sonnette du bureau commun BATHIMA-BATIMAT-BATIMO.
Ce qui nous interpelle, c'est que le promoteur change d'appellation et de société à chaque construction d'un lot d'immeubles ... et surtout le fait que le dernier en date soit une SPRLU ...
Si cela peut vous rassurer, le percement d'un mur porteur n'est pas du tout un problème technique.
Et à mon avis, ce n'est pas ce qui fera le plus de bruit dans leurs travaux. Je présume qu'ils vont restructurer un peu, avec éventuellement des abattages de murs, des marteaux piqueurs pour bousiller la chappe et revenir aux tuyaux, avec suppression d'une des deux cuisines, suppression d'une des deux chaufferies, etc.
Si vous voulez savoir où il en est, posez lui la question...
Merci bien mais c'est ce que nous faisons depuis plusieurs mois, sans obtenir de réponse.
Bien à vous.
Bonjour. Je me tourne vers vous pour tenter d'avoir une réponse à une question que nous nous posons à propos de la garantie décennale de notre immeuble à appartements multiples.
Nous avons acheté un appartement dans un building faisant partie d'un ensemble de buildings (huit) érigés par un promoteur. Le nom de la Société anonyme créée pour cet ensemble d'immeubles est BATIMAT (nom d'emprunt, car je ne sais pas si j'ai le droit de citer le vrai nom de la Société).
Notre building est en voie de parachèvement, pas encore totalement habité, pratiquement tous les appartements sont vendus, sauf 2 conservés par le promoteur qui les loue. La première assemblée générale constitutive n'a pas encore eu lieu, ni l'acceptation provisoire des communs. Conséquemment, la garantie décennale n'a pas encore pris ses effets.
Or, il s'avère qu'une nouvelle phase de 3 buildings est en voie de construction par la fille du promoteur. La société créée pour cet ensemble de buildings est une SPRLU et porte le nom de BATIMO (toujours nom d'emprunt). Le promoteur de notre phase, BATIMAT, ne fait donc pas partie du C.A. de BATIMO, puisque c'est une SPRLU.
Le promoteur de BATIMAT est d'un âge plutôt avancé, et qui plus est atteint d'une maladie neurologique chronique dégénérative. Des bruits circulent selon lesquels il déménagerait bientôt en France.
La question qui inquiète tous les copropriétaires est la suivante :
En cas de problème à notre immeuble, requérant l'intervention de la garantie décennale, comment pouvons-nous être sûrs de faire valoir nos droits, si le promoteur est a) empêché par sa maladie; b) décédé; ou c) disparu sans laisser d'adresse ? Sachant que le bureau physique de BATIMAT et BATIMO sont les mêmes, mais que la fille du promoteur, agissant au nom de BATIMO, pourrait nous répondre qu'elle n'a rien à voir avec BATIMAT ??
Il va sans dire que nous avons essayé d'avoir une réponse à nos questions, mais que jusqu'à présent elles sont restées sans réponse (le promoteur ignore toutes les questions, particulièrement celles qu'il juge gênantes, et se borne seulement à répondre lorsqu'un avocat entre en jeu).
Je vous remercie de m'avoir lue et pour vos réponses éventuelles.
Bon week-end.
Je n'ai toujours pas de nouvelles, bonnes ou mauvaises à vous fournir au sujet du percement de ce mur porteur. Le maître de l'ouvrage est entré en conflit avec le promoteur, qui a sciemment fait traîner le dossier, c'est tout ce que je sais.
L'affaire semble en bonne voie et les travaux "imminents", nos appartements ont été photographiés et un état des lieux a été réalisé par un architecte, fils du maître de l'ouvrage.
La seule chose que je déplore, c'est qu'on ne soit pas informés de la date du début des travaux, plusieurs d'entre nous auraient souhaité s'absenter durant cette semaine, où les bruits vont être conséquents (le mot est faible). Hélas il semblerait que le maître de l'ouvrage s'en tienne aux seules informations basiques, et le début des travaux ne lui semble sans doute pas une info importante pour nous.
La suite au prochain numéro, en espérant que nos appartements ne vont pas s'écrouler 