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Taxer les loyers, c'est taxer les locataires. Vous pouvez le tourner comme vous voulez, le résultats est là.
Ok mais on est dans une situtation, constatée par plusieurs rapports internationaux, ou la hausse de l'immobilier est telle qu'il est impossible de louer plus cher pour compenser et obtenir un rendement acceptable.
Dire que l'on va repercuter sur le locataire... oui sans doute c'est logique
- mais il vaut mieux un loyer legerement plus faible mais pas de tracas, et qui est payé régulièrement,
- il y a une intertie propre aux contracts de bails
- on ne pourra pas tjs répercuter sur les locataires....souvent plus précarisés
- a un moment il faudra alors se résoudre a vendre ?
on verra bien ce que l'avenir réserve.... tiens allons faire un tour en Espagne. :0)
il faut penser plus large que son expérience personnelle. Ceci dit, je partage votre avis sur le fait qu'une augmentation de la taxation des loyers devrait faire baisser le prix des maisons, si tout le monde décide de vendre car il serait fort difficile de répercuter la hausse sur les locataires..
D'accord avec Grmff.
La répercussion sur les locataires sera fort rapide pour les nouveaux baux.
La je ne pense pas....
- il faut encore trouver des locataires solvables et sérieux.
- le climat économique est ce qu'il est.
- la demande n'est pas élastique et l'offre pléthorique
ensuite, les contracts font que si vous pouvez louer aujourd'hui à 1200 mais que vous avez loué il y a 4 ans pour 700, ben tant pis pour vous...
- la question n'était pas vraiment sur la rentabilité d'une villa à uccle mais plus sur le traitement des loyers vis à vis du RC indexé avec une certaine fiscalité avantageuse.
- l'exemple de l'achat a st josse confirme mes commentaires plus bas. Je me demande d'ailleurs quel est le RC de cet immeuble.....
Est il en conformité urbanistique ? Cela peut etre le cas mais bcq d'immeubles sont en infraction.
- sur la possibilité de loyer à des prix elevés, oui cela se loue encore, faudrait demander a PIM le sentiment général, mais pour moi cela se loue encore peut être moins facilement. Sans doute plus facilement à 2K€ qu'a 4K€. Pas loin de la maison, des allemands (Commission €) ont loué 2K€/ mois après pas mal de négotiation et des travaux de rafraichissements divers.
Une jolie trois facade de ma rue est restée à louer plusieurs mois a plus de 3500 euros ( les proprio sont Italiens, repartis en Italie ?), sans succès et depuis elle est a vendre dans plusieurs agences à 1M€ et à louer pour 2900€. (cela permet d'avoir des réductions d'impots je pense lorsque l'on prouve que le bien n'est pas occupé et est à vendre et à louer en mme temps)
Une autre 3 facades achetée par des francais je crois, 570K€ est tjs a louer à 3850€ après rénovations par un team de polonais apparement très compétent et rapide. Je me demande ce qu'ils ont touché pour le chantier. Pour avoir vu avant et après c'est pas mal du tout.
Mais bon c'est vrai qu'a voir l'offre pléthorique de bien à 2000€ qui sont honnetement pas mal du tout bien souvent...
En Italie, on rajoute bien la totalité des loyers (36000€ ici) à ce que j'ai compris à vos revenus et avec la dernière réforme IMU vous payez deux à trois plus de précompte immobilier qu'auparavant. Donc on vous taxe sur les loyers et sur le précompte révu fortement à la hausse si la maison n'est pas votre habitation priincipale. De la folie pure.
On parle de rentabilité.... mais quelle rentabilité faut il attendre sur base des taux actuels et de la fiscalité?
5 à 10% ? Bonne chance pour trouver un tel investissement.
Car la Villa du Fort Jaco, à 1.5M €, autant mettre son argent en banque, même a 2%. Zero tracas.
P.
Sinon, y a t'il un fiscaliste dans la salle ? 
Exemple théorique
mais taxer le rc indexé d'une villa du Fort Jaco , disons de 5000 euros X1.4 est quand meme moins que de taxer 12*4000€ - les frais non ?
on préfere ajouter le RC+40% ou les 12*4000€Brut à la base taxable?
Cela reste fort avantageux selon moi.
Certains pays assimilent les loyers comme la Belgique considère les loyers commerciaux (j'exagère a peine)
Repercuter sur les locataires ne se fait pas tout de suite, surtout dans un bail à 9 ans.
On a rien sans efforts. Ceci dit si l'on compare la taxation des loyers avec nos voisins, cela reste très faible.
Mon expérience avec l'Italie ou j'ai de la famillle, la dernière réforme fiscale sur l'immobilier est spectaculaire pour les maisons en seconde résidence ou en investissment avec revenus locatifs.
Cela fait des décennies que l'on a pas revu les RCs. On reste un des pays ou l'immobilier est le moins taxé.
Quant aux arguments, ca rapporte mais ca demande des efforts, il faut tenir compte des travaux, du vide locatif, etc, c'est le propre de l'immobilier, et cela ne tiendra pas face a un gouvernement qui coule de partout, le tout est de voir pour combien de temps encore les prix se maintiendront (offre très faible sur le marché je trouve) et le cadre fiscal actual se maintiendra lui aussi..
La plupart des investisseurs à ce jour ont bénéficié d'un climat fiscal idéal, d'une envolée des prix de la brique, donc tout bénéfice. Aujourd'hui, c'est la crise, des gens perdent leur emploi , trouver des locataires solvables ne doit pas etre simple. Autrement dit, investir dans la brique aujourd'hui présente un risque plus elevé que par le passé vu la conjoncture économique et l'incertitude fiscale, et également le fait que nous avons connu une belle envolée des prix ces dernières années. Seul réconfortl le taux du fixe 10 ans fort bas.... mais bon le prêt est un cout supplémentaire 
taxer le rc indexé de 40% et dire que l'on paye beaucoup de taxes.....n'est pas correct.
c'est souvent des clopinettes comparé au revenu généré par les loyers.
un tiens vaut mieux que deux tu l’auras
ou encore a bird in the hand is worth two in the bush :0)
maintenant il y a encore des fous prets a acheter des m....s à des prix fous
Crf vente publique rue pecherie uccle srs 326K€ , une demi maison sans terrain a renover de fond en comble, derriere le train , sans garage ni terrain... il y a encore plein de gens déraisonnables ..
http://www.notbel.be/#8984 (chassis blanc uniquement)
Reste plus qu'a attendre un changement de fiscalité.... comme en Italie..
L'incertitude quand tu nous tiens..... Des que l'on augementera la fiscalité immobiliere, la 'bulle' se percera d'elle même..... Mais il se murmure que DiRupo aurait qques immeubles sur Mons loués en kot.... Idem pour notre ancien Premier lourdement investi en immobilier mais pas sur Mons évidemment
Di Rupo fait peur aux investisseurs immobiliers
Les Belges n’aiment pas parler de leur argent, ni de ce qu’ils gagnent. Et encore moins de leur patrimoine. Mais pour le moment, tout le monde a peur. Et tout cela tient en une seule explication: les plans du gouvernement Di Rupo en matière fiscale.
"Je m’attendais à rencontrer une certaine réticence, mais pas à ce que le sujet soit aussi sensible". Luc Machon, président de l’Institut Professionnel des Agents Immobiliers (IPI) n’en revient toujours pas: après 17 coups de fil passés à ses clients, pour leur demander s’ils étaient d’accord de témoigner comme investisseur immobilier pour le numéro spécial immobilier de Mon argent, 14 ont refusé poliment. "Trois m’ont presque insulté. Par les temps qui courent, étaler leur patrimoine dans un magazine?;Je devais être fou!"
Tous ont refusé de parler. Le monsieur âgé qui a fait un achat scindé: "Comment osez-vous me le demander!" Le directeur d’agence qui a encadré quelques-unes de ces transactions: "Dans ce climat? Hors de question!" Même la dame qui a acheté un ou deux appartements avec l’argent de la vente de la maison de ses parents: "Ils ne doivent pas savoir ce que je possède."
Liste noire
La raison? Les mesures fiscales du gouvernement Di Rupo. Par exemple, la loi anti-abus qui considère désormais comme suspectes des pratiques courantes telles qu’un achat scindé suivi d’une donation.
Beaucoup de Belges – pas nécessairement très riches – ont fait un achat scindé au cours des dernières années. Via un don manuel, ils ont donné à leurs enfants les moyens d’acheter la nue-propriété d’un bien dont ils acquéraient l’ usufruit à vie. Cette façon – courante et tout à fait légale – de faire baisser les droits de succession figure désormais sur la liste noire de la loi anti-abus. Elle est devenue suspecte depuis le mois de juillet.
Une autre raison d’inquiétude, c’est la façon dont le fisc considère désormais les sociétés patrimoniales et les constructions avec usufruit ou emphytéotiques. La taxe appelée " impôt sur la fortune " de 4% supplémentaires de précompte à partir de 20.020 euros de revenus mobiliers, la taxation plus lourde des voitures de société, et la taxe gigantesque de 309% sur les avantages de toute nature déclarés erronément : tout cela accroît l’inquiétude et incite les Belges à être encore plus discrets à propos de leur patrimoine." Ces personnes ont peur et espèrent passer au travers des mailles du filet fiscal ", poursuit Machon. 
L’obsession du silence
" Le climat politique actuel crée beaucoup d’incertitudes ", constate, lui aussi, Tim Melis, avocat fiscaliste chez Cazimir. " On insinue ainsi que certaines structures patrimoniales parfaitement autorisées autrefois pourraient être contestées. Les incompréhensions et les doutes qui en résultent pourraient être facilement balayés. Mais le gouvernement, qu’il agisse ou non avec une visée électorale, ne le fait pas. En faisant ce choix, il sape le peu de confiance qui existait encore chez les entrepreneurs et les particuliers. "
Bref, toute la Belgique se tait et la méfiance règne.
Quand les prix ont fait X2 et parfois X3 en 10 ans il y a quand même de quoi se poser des questions. Mais bon ce n'est pas uniquement en Belgique.
Surtout qu'en ce moment on entretient une certaine pénurie...
Le dernier supplément du Trends fait état
- d'une stagnation des prix, des baisses un peu partout, peu de transactions, souvent le peu de transactions fait que les moyennes sont peu significatives
- quelques communes s'en tirent mieux que les autres (dont Uccle et Woluwe St Pierre sur Bxl)
- Bxl qui devient un marché d'investisseur 
Je vois du rouge un peu partout, plus que ce que l'on avait auparavant.
Extrait qui m'a fait sourire: A Louvain La Neuve, des biens expertisés correctement sont mis sur le marché à des prix supérieurs de 25% à leur estimation....... Et oui l'offre ne suit pas la demande.
Reste plus qu'a attendre un changement de fiscalité.... comme en Italie..
Attendre avant de faire un achat immobilier est le plus sûr moyen d'enrichir son propriétaire. Et celui-ci vous dit merci.
- sauf qu il y a une évolution continue, et qu'il faut un capital de départ qui ne se construit pas immédiatement.
- les nouveaux primo acquérant sur le marché doivent avoir difficile. Tout le monde n'a pas un chèque de papa et maman de 200 000 euros comme je l'ai vu dans la presse concernant une jeune française (!) venant s'établir en Belgique.
- les loyers sont indexés mais les retours sur investissement aujourd'hui sont loin d'être garantis. Souvent c'est se donner beaucoup de mal pour faire a peine mieux que la banque , si pas moins. Il faudra toujours entretenir son bien et c'est de plus en plus cher.
- c comme en bourse, on achete tant que l'on espère que qqun achetera plus cher plus tard. Et les cycles en immo sont longs. - le vrai problème c'est le manque d'offre sur le marché et la concurrence des étrangers (sur Bxl Est/Uccle/Watermael/Woluwe/ Etterbeek etc)
-En fait le premier besoin c'est de se loger et non pas de faire de la spéculation (pour se préparer une meilleure pension?), et il y a un manque de logement de qualité en suffisance partout.
Quelques échos à mettre en // avec la réalité du terrain ?
Quel est le sentiment général en agence et sur le marché?
Tx
Une villa n'est plus un bon investissement (source lecho.be)
Ces dernières années en Belgique, les propriétaires de villas ont vu la valeur de leur bien s'effriter. Pourquoi ce désamour pour ces fermettes typiques, tellement caractéristiques de nos lotissements?
Ces dix dernières années, les villas ont perdu en Belgique près de 5% de leur valeur. D’après les chiffres du SPF Economie, les acheteurs paient actuellement en moyenne 21,9% de plus pour une villa, un bungalow ou un manoir qu’il y a dix ans. Mais au cours de la même période, l’inflation cumulée (sur base de l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH) entre décembre 2001 et juin 2012, utilisé par Eurostat et la BCE) se monte à 26,4%. La hausse des prix ne suffit donc pas à compenser la hausse du coût de la vie.
Le spécialiste en immobilier de KBC, Johan Van Gompel, est un peu plus réservé. Il s’est plongé dans les chiffres de l’immobilier au niveau européen et a analysé leur évolution dans le temps. " Cette baisse de valeur est correcte si nous nous limitons à cette période relativement courte. Mais si nous remontons quelques années plus loin, la courbe est plus plate. Dans la réalité, le prix des villas suit l’inflation. " La situation est très différente pour les maisons et appartements. Si l’on tient compte de l’inflation, les prix ont augmenté respectivement de 5,1 et 4,2% entre 1995 et la fin de 2011. Au cours de cette période, le prix des villas a à peine augmenté de 0,5%. Entre 1980 et 1995, elles avaient déjà perdu – également corrigé pour l’inflation – 0,3% de leur valeur.
Fermettes
Cette évolution n’étonne pas les spécialistes. Ce sont les villas caractéristiques des années ’50, ’60 et ’70 du siècle dernier qui souffrent le plus. " A l’heure actuelle, les gens tiennent davantage compte des coûts d’entretien et d’énergie " explique Michael Ryckewaert, chercheur à la KU Leuven. Et ne parlons pas des fermettes typiques qui ne brillent pas sur ce plan. Ces villas exigent des rénovations lourdes et - par définition - chères. Et ceux qui pourraient se permettre de faire ces rénovations préfèrent, pour le même prix, construire une nouvelle maison. " La problématique du prix joue très certainement un rôle " poursuit Van Gompel.
Les villas ne sont pas seulement chères, elles répondent aussi de moins en moins aux attentes des jeunes couples actifs : ils accordent beaucoup d’importance aux prestations énergétiques, n’aiment pas avoir un jardin trop grand exigeant beaucoup d’entretien, et ils préfèrent garder suffisamment de moyens financiers pour leurs loisirs. Tout cela joue en défaveur du marché des villas, et un retournement de situation est peu probable. " Les prix vont continuer à baisser " prédit Van Gompel. " Mais plus encore que pour les habitations ‘classiques’, la situation géographique joue un rôle très important. Si vous leur parlez de la baisse du prix des villas à Knokke, ils vous rient au nez. "
LIRE AUSSI: En 10 ans, le prix des maisons a doublé
Marché asséché?
Le marché des villas s’est-il donc complètement asséché? Non, bien entendu. Elles trouvent encore acquéreur, surtout si elles sont bien situées. Mais le raisonnement classique de nombreux occupants de villas – si une maison mitoyenne vaut 200.000 euros, alors ma villa en vaut le double – ne tient plus la route. Les experts en immobilier sont tous d’accord pour dire que les villas se vendent encore, mais uniquement si le prix est correct. " Une minorité de propriétaires acceptent un prix plus bas et les autres attendent, dans l’espoir que le marché se retourne " constate le courtier Steve Aerens de l’Agence Rosseel. Pour les anciennes villas qui ne correspondent plus au mode de vie moderne, c’est probablement un espoir qui ne se réalisera jamais. Cela peut devenir un problème car un cercle vicieux peut s’installer : qui veut encore acheter, sachant que les prix ne monteront plus ? Et que doivent faire les occupants qui souhaitent vendre leur villa pour acheter un appartement ? Les règlementations actuelles n’offrent pas beaucoup de possibilités. De nombreuses règlementations locales en matière de lotissement ne permettent pas de diviser les grandes parcelles en plusieurs morceaux. Et ceux qui veulent transformer un bien en habitation kangourou se retrouvent confrontés à la règle - ‘absurde’ disent les experts - qui interdit de transformer un logement unifamilial en deux logements contigus. " Tôt ou tard, le marché obligera les autorités à trouver une réponse " conclut Ryckewaert.
Sur évalué peut etre mais tout le monde continue de se précipiter pour acheter sur Bruxelles. Des petites maisons à minimum 400 000 euros.
Plus recemment a Woluwé St Lambert, du coté Batonnier B, 2 facades avec cour (pres de la rue des Tongres c'est vrai), annoncée à 520, a rénover complètement pour environ 175M2 habitable, sans garage ni jardin donc, vendu à environ 475.... Achetée par qui ? Des Francais qui bossent à la Comission..... Bref... C'est très frustrant sachant que mon prix max était de 420k€ compte tenu qu'il fallait tout refaire et compte tenu de la surface.
Sur Watermael c'est pareil , a croire que plus c'est petit plus c'est cher. Dernier exemple, deux facades sans jardin en bon état , annoncée 500K €....
le moment de passer en taux f ixe ?
18% de crédits hypothécaires en moins en juillet par rapport à 2011
mardi 07 août 2012 à 16h05
En juillet 2012, le nombre des crédits hypothécaires contractés a baissé de 18,2% par rapport à juillet 2011. En revanche, pour la même période, les montants sous-jacents ont enregistré une légère progression de 0,7%, rapporte mardi Febelfin, la fédération-coupole du secteur financier belge.
Le nombre de demandes de crédit a lui baissé de 24,1%. Les montants sous-jacents des demandes de crédit ont diminué de 9,3%, selon les chiffres du baromètre du crédit hypothécaire. Febelfin attribue cette baisse en partie à la suppression d'une série de mesures destinées à stimuler les investissements économiseurs d'énergie, ce qui se traduit par un recul marqué de la demande de crédits à la rénovation. "A côté de cela, le recul du niveau de confiance des consommateurs se trouve probablement aussi à l'origine de cette baisse", ajoute Febelfin.
En 2011, l'octroi de crédits hypothécaires avait atteint un niveau sans précédent, tant en ce qui concerne le nombre de crédits octroyés (325.000 crédits, soit +18%) que le montant sous-jacent de ces crédits (plus de 27 milliards d'euros, soit +4,1%).
Trends.be, avec Belga
Les maisons ont la même valeur fiscale depuis 30 ans...
Le précompte immobilier, calculé sur base du revenu cadastral, n'est plus en phase avec la réalité. Difficile de dire quand cela va changer...
© News
Les revenus cadastraux des maisons et des appartements n'ont pas été revus depuis plus de trente ans, apprend-on dans le quotidien Het Belang van Limburg mercredi. La loi prévoit pourtant qu'une réévaluation doit avoir lieu tous les dix ans, mais, depuis 1979, aucun ministre ne s'y est attelé.
Le précompte immobilier dont le contribuable doit s'acquitter, est calculé sur base du revenu cadastral, mais celui-ci n'est, dans de nombreux cas, plus en phase avec la réalité. Il est en effet calculé sur ce que rapportait la bâtiment en 1975 comme revenu net moyen à son propriétaire pour une location d'un an. Si les maisons sont depuis pourvues de chauffage et de salle de bain, l'administration du cadastre ne le sait que si les propriétaires l'ont fait savoir ou si ceux-ci ont demandé un permis d'urbanisme.
La réévaluation des maisons est inscrite dans la loi depuis 1975. Mais, pour l'exécuter, il faut qu'une décision en ce sens soit prise, et il n'est pas encore certain que le ministre actuel des Finances, Steven Vanackere (CD&V) le prévoie. "C'est une question à laquelle seul le ministre peut répondre, et il est en vacances pour le moment", a répondu son porte-parole.
A noter cependant que depuis 1991 (exercice fiscal 1992) les revenus cadastraux sont indexés annuellement en vue de la taxation. S'il n’y a plus eu de péréquation cadastrale depuis 1975 alors qu’on est supposé en faire tous les dix ans, l’indexation compense l’absence de péréquation depuis 1992.
• Une révision au niveau flamand est possible, car la Flandre lève l'impôt. Le ministre du Budget flamand, Philippe Muyters (NVA), a récemment suggéré d'utiliser une base de données géographique plutôt que le cadastre. "C'est un dossier complexe. Il est encore trop tôt pour faire des déclarations à ce sujet", a déclaré son porte-parole.
Belga
on peut aussi dire que dans l'état actuel, plusieurs personnes souhaiteraient voir l'inflation repartir à la hause, histoire de réduire l'endettement des états .... et que donc il serait bon de prendre une petite part en crédit malgré tout aujourd'hui à taux fixe, très faible.