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http://www.notaire.be/acheter-louer-emprunter/fiscalite-immobiliere/dispositions-fiscales-sur-la-sincerite-du-prix/amende-en-cas-destimation-insuffisante
Pourquoi ne pas vendre en vente publique (via notaire) ?
l'immobilier va t'il encore gagner du 5% par an ?
l'argent placé en banque sans risques ne rapporte plus rien non plus....
et il faut encore tenir compte de l'inflation en sus....
je dirais que l'emprunt represente un cout , en partie amorti par la déduction fiscale mais c'est très faible.... donc il faudrait voir si l'inflation va compenser le cout de l'emprunt...
1 euro aujourd'hui vaut moins que demain , donc en cas de forte inflation il faudrait emprunter.... mais en cas de faible inflation il faudrait utiliser ses fonds propre mais l'inflatoin reste faible
Tout est dans le sujet!
:0).....
Qu'en pensez vous ?
P.
sur le fond il n'y a jamais de bon ou de mauvais moment pour acheter son lieu d'habitation.....
pour investir c'est différent par contre

ceci étant la hausse des dernières années a été le plus grand hold up du siècle......
pénalisant directement la croissance économique
Merci pour ces précisions..
Faut il (faudrait il ) que l'on instaure quelque chose de similaire en Belgique ?
ps; pas de compromis en cours, juste un peu de contrariété par rapport à certaines pratiques
J'ai donc ouvert un sujet ahhoc sur le m2..... .
La moyenne des prix des maisons a beau avoir eu tendance a augmenter fortement ces dernières années, il y a trop de nébuleuses autour du sujet.
On parle de moyennes de prix de maison qui sont toutes différentes, de superficies différentes, sur des terrains orientés differement, de grandeur différente.... etc et je parle même pas de l'état général à rénover ou pas 
c'est donc fort subjectif.... restes juste à ne pas se faire plummer.
Je continue donc ici une discussion entamée sur un autre sujet (évolution des prix) en ce qui concerne les m2 habitables tels qu'on les retrouve dans les annonces...
Peut on annuler une vente si l'annonce m'indique 200m2 alors qu'au final j'en ai que 150 ?
Je me rappele vaguement quelque chose en rapport avec le fait que la différence ne doit pas excéder 1/12 mais c'est très lointain, et j'ai peur de faire erreure.
Y a t'il un cadre législatif ?
Il suffit de regarder les annonces sur le net pour se rendre compte combien il peut y avoir de différence entre surface habitable réelle et surface construite, et les m2 virtuels...
du genre on compte le garage, la terrasse, la cage d'escaler, l'espace sous toiture en full alors que l'on ne peut se tenir debout .... etc etc etc
PS: en Belgique comme ailleurs le prix de la maison sera le prix que quelqu'un est prêt à payer pour. Il n'y a donc pas vraiment de logique dans tous les cas. Ceci dit, il ne faut pas non plus se faire tromper par certains vendeurs peu scrupuleux et agents immobiliers peu regardant.
Pour les prix, je voudrais aussi dire que trop souvent les gens ne savent pas ce qu'ils achètent en terme de surface reellement habitable. C'est affolant. Maison de 186M2 qui n'en fait que 150M2..... C'est quasimment tout le temps la même histoire.
Il n'y a pas de règles à ce niveau non plus ?
Pourquoi les taux sont toujours plus bas ?
THOMAS,PIERRE-HENRI; GEELKENS,MELANIE; CHARLET,MARC
Vendredi 6 juillet 2012
Ce jeudi, la Banque centrale européenne (BCE) a abaissé son taux directeur, celui auquel elle prête aux banques, à un plancher qu’il n’avait encore jamais connu : 0,75 %, contre 1 % auparavant. Et la BCE a aussi abaissé à zéro le taux auquel elle rémunère les dépôts que lui font les banques qui ont trop d’argent.
Pourquoi ? Parce que, ce n’est un secret pour personne, l’Europe va mal. Ce mercredi, trois instituts de conjoncture (l’Insee français, l’Ifo allemand et l’Istat italien) ont prédit une récession dans la zone euro, estimant que l’activité économique serait en recul à la fois au deuxième et au troisième trimestre de cette année. Et chez nous, l’Ires, l’institut de Louvain-la-Neuve, prévoit une croissance très faible : l’économie belge ne devrait progresser que de 0,4 % cette année et 1,2 % l’an prochain. Avec, comme conséquence, pratiquement pas de création d’emplois en 2012 (environ 4.000 selon l’Ires) et donc un taux de chômage en hausse puisque la population, elle, continue de gonfler.
Voilà pourquoi la BCE abaisse son taux. Son président, Mario Draghi l’a encore dit ce mercredi : « Il y a des risques que l’économie européenne se comporte plus mal que prévu. » Les plans d’austérité, la méfiance générale, tout cela pèse en effet sur le moral et la BCE pense qu’en abaissant son taux c’est-à-dire en rendant le crédit moins cher, les gens et les entreprises dépenseront plus et épargneront moins. Et que cela redonnera du tonus à l’économie. .....
Alors bear trap la hausse du second semestre 2012?
Le bon moment pour acheter ?
Pouvoir emprunter à des taux planchers, c’est une bonne nouvelle pour les candidats propriétaires. Encore faut-il que le marché immobilier soit accessible. Dans le cas de notre pays, un mot s’impose : stabilité. Quels que soient les sons de cloches (agents, notaires, banques, analystes…), tous livrent le même message : le marché actuel est calme, serein. « En bonne santé, ajoute Bart Van Optsal, président de la Fédération royale du notariat belge. Il n’y a pas de pénurie de biens en vente, on enregistre beaucoup de transactions, ce qui signifie donc qu’il y a beaucoup d’acheteurs. »
« On constate un grand réalisme, tant de la part des propriétaires que des acquéreurs. Il y a un bon équilibre entre l’offre et la demande, ce qui entraîne une stabilisation des prix », enchaîne Éric Verlinden, administrateur délégué du groupe Trévi. Stabilisation ? « Disons que les prix grimpent moins vite que ce qu’ils n’ont augmenté par le passé », estime Philippe Ledent, senior economist chez ING.
Si, en avril dernier, le traditionnel baromètre des notaires faisait état d’une baisse (la première depuis sa création !) de 2,3 % pour les maisons et de 8,7 % pour les appartements, cela semble n’avoir été qu’un incident de parcours. Le prochain baromètre relatif au deuxième trimestre 2012 ne sera publié que dans quelques jours. « Mais je n’ai pas l’impression que la diminution que nous avions constatée se répétera sur plusieurs trimestres », glisse Bart Van Opstal. Le prix moyen des habitations devrait à nouveau dépasser les 222.434 euros, idem pour celui des appartements (198.372 euros début 2012). Mais cela n’empêche pas les acquéreurs d’investir dans la brique. « Ces derniers mois, moins de crédits hypothécaires ont été souscrits, mais on a enregistré plus de transactions, précise le notaire. On peut en déduire qu’il y a plus d’investisseurs sur le marché. »
Quid de l’avenir ? Éric Gobert et Gilles Gevers, analystes au sein du département Real Estate chez Belfius, s’attendent d’une part à une surchauffe des biens « entrée de gamme » à Bruxelles (« car les futurs projets se concentrent essentiellement sur du moyen et haut de gamme »), et d’autre part à une augmentation des prix des terrains en Wallonie.
Pour Philippe Ledent, les prix restent surévalués : « Mais il ne faut pas s’attendre à une correction brutale ». Et l’économiste d’ING de conclure : « Il ne faut toutefois pas oublier que le moral des ménages n’est pas bon et que leurs revenus ne vont sans doute pas augmenter ces prochaines années. La question sera de savoir combien de temps les acquéreurs pourront encore mobiliser leur épargne personnelle pour compenser la hausse des prix ? »
Essayer de rester discret..... Etre à la frontière de l'illégalité ?
Ce que personnellement je ne ferais jamais. La réalité du marché (des kots notamment) c'est que beaucoup sont à la frontière de ce qui est acceptable par l'urbanisme et les règlements légaux divers lié a la sécurité des occupants....
Ce n'est du reste pas mon approche.
Maintenant en essayant de travailler avec la commune on peu se retrouver avec un accord pour 7 kots et travaux en conésquence, pour au final se voir refuser 7 pour seulement 5.... Un parcours un peu difficile donc ou il faut s'armer de patience et faire ses calculs
J'ai également visiter qqes immeuble de rapport à Mons, dont une notamment ou se trouvait un bureau d'avocat..... mais aucun n'étaient en ordre a l'urbanise.... idem sur Namur, c'est très rare d'avoir la cage d'escalier sécurisée, la surface requise pour les logements etc
Le mieux c'est encore de faire profil bas non?
.... le nombre de diminutions de prix de 10% ou 20% que l'on observe et la quantite de bien en vente (au moins sur les communes de bruxelles que je regarde).
Bonjour
de quel quartier ?
est ce simplement un décalage des vendeurs entre la valeur de marché et la valeur de leur bien ?
Bàv
Bonjour
finalement qu'en est il de la loi sur ce sujet ? Les notaires et agents sont ils abilités à procéder à des ventes au plus offrant ?
Merci
il ne faut certes pas toujours croire les experts mais bon..... il y a une tendance de fond et c'est la baisse..... Croissance économique nulle , taxes en hausse, ..... des années de hausse derrière nous avec une bonne dose d'exagération .... donc voila c inéluctable.
de la a dire de combien sera le recul..... je ne suis pas expert je ne peux pas commenter la dessus 
Immobilier: vers une baisse des prix en 2014 ?
Rédaction en ligne
mercredi 16 mai 2012, 16:48
L'accessibilité du marché immobilier a de nouveau baissé l'année dernière, à un plus bas depuis le début des années 80, selon une étude d'ING.
Immobilier: vers une baisse des prix en 2014 ?
DR
L'indice d'accessibilité du marché immobilier se compose de quatre facteurs : les taux d'intérêt, la durée des prêts, les prix immobiliers et les revenus des particuliers.
Si les taux d'intérêt bas ont été un soutien en 2011, surtout en seconde partie d'année, l'apport personnel des emprunteurs a atteint quasiment 40 % en moyenne fin 2011, un niveau obtenu grâce à un afflux d'épargne. Un niveau qui ne devrait pas être dépassé cette année. « L'apport personnel n'est pas possible pour plus de la moitié des acheteurs et il va être impacté par le vieillissement de la population », souligne Julien Manceaux, senior économiste chez ING.
Quant à la durée des emprunts hypothécaires, il est peu probable qu'elle continue à s'allonger en raison du coût des financements à très long terme pour les institutions financières.
Correction des prix en 2014 ?
Une possible hausse des taux d'intérêts, à partir de 2014, pourrait donc conduire à une correction des prix.
2014 sera également synonyme d'une régionalisation accrue et des changements fiscaux sont à attendre, dans une perspective de retour à l'équilibre des finances publiques pour 2015.
Selon ING, des mesures touchant la déductibilité des charges hypothécaires pourraient entraîner une perte de pouvoir d'achat allant de 4 % (abandon de l'indexation du montant déductible) à 20 % (abandon complet de la mesure). Une hausse des droits d'enregistrement n'aurait quant à elle qu'un impact relativement faible tandis qu'une hausse du précompte immobilier, afin de le faire correspondre à la hausse des prix immobiliers des dernières années, représenterait une baisse de 5 % du pouvoir d'achat.
En combinant les changements fiscaux possibles avec ceux d'une hausse des taux, la correction des prix dépasserait 15 %. « Avec une telle baisse, on se retrouverait avec les prix immobiliers de 2006-2007 », indique Julien Manceaux.
Le Brabant wallon toujours au sommet
jeudi 24 mai 2012, 12:36
Quand on parle de communes chères en Wallonie, on pense forcément au Brabant wallon qui place cinq entités dans le top 5 : Lasne, La Hulpe, Waterloo, Rixensart et Chaumont-Gistoux. A Bruxelles, la palme revient à Uccle. En 2011, c'est là que les villas et les terrains ont été les plus chers.
: Le Soir/René Breny
Qui dit « biens de luxe » en Wallonie dit, évidemment, Brabant wallon. Il n'y a donc rien d'étonnant à retrouver Lasne en tête de notre hit-parade réalisé en collaboration avec Century 21. A elle seule, la commune la plus huppée du pays regroupe les prix moyens les plus élevés en 2011 pour trois des quatre catégories communément admises quand on parle d'immobilier : les villas, les maisons unifamiliales et les terrains à bâtir.
Vu le peu d'appartements disponibles à Lasne (ils sont quasiment inexistants), c'est La Hulpe, commune très recherchée en raison de son accessibilité via les transports publics, qui détient la palme dans ce segment-là avec un prix moyen de 286.911 euros. Lasne reste sans conteste la commune où les exagérations en matière de prix demandé restent les plus fortes. « Entre ce que le propriétaire demande et ce qu'il reçoit à la signature de l'acte, la différence monte de 20 à 30 %, n'hésite pas à déclarer Jean-Pierre Cappuyns, de Century 21BWà Lasne. Qui peut encore mettre un million d'euros pour une maison de nos jours ? »
La majorité des biens datent des années 70-80. Beaucoup nécessitent d'importants travaux de rénovation estimés à quelque 1.000 euros du m2. Ce n'est pas rien. « Certains vendent en espérant faire un 6 au loto pour arrêter de travailler et profiter de la vie mais leur bien n'est pas forcément en bon état ou aux goûts du jour !, tempère notre interlocuteur.
Dans les communes avoisinantes comme Rixensart, par exemple, qui arrive en quatrième position de notre classement et que les spécialistes voient prendre de la valeur dans le futur grâce au passage du RER, les gens sont plus à l'écoute des agents immobiliers. « Souvent, grâce à une légère baisse du prix demandé, la transaction est réalisée rapidement, explique Jean-Pierre Cappuyns. Dans ces communes-là, les gens ont davantage les pieds sur terre… »
C'est encore plus le cas à… Chaumont-Gistoux, étonnant cinquième de notre palmarès. Une commune encore trop méconnue, eu égard aux nombreux avantages qu'elle présente. C'est en tout cas l'avis de David Wolfs, de Century 21 S.B, une agence qui s'est ouverte il y a six mois à Jodoigne. « Chaumont appartient aux Ardennes brabançonnes, s'enthousiasme-t-il. C'est à la fois vallonné et boisé. De plus, la commune est à deux pas de Wavre et est coupée en deux par l'E411. Elle peut être rejointe par trois sorties d'autoroute. Des atouts qui la rendent un peu “tendance” aujourd'hui. »
Entre son centre (Waterloo, Lasne…) et son côté est (Chaumont-Gistoux, Beauvechain, Orp-Jauche, Ramillies…), le Brabant wallon offre une belle brochette de communes plus verdoyantes les unes que les autres. Amorcé au début des années 80, l'exode des Bruxellois vers le « Béwé » reste plus que jamais de mise. « Selon moi, le phénomène s'est même intensifié, explique David Wolfs, mais il s'accompagne à présent d'un mouvement intra-Brabant wallon : les gens changent de communes tout en restant dans la province. »
Plusieurs prédisent un Brabant wallon encore plus impayable dans dix ans qu'aujourd'hui. David Wolfs partage cette opinion. « Je le pense, en effet, même si l'on constate actuellement un tassement des prix. Avant 2008, nous étions en pleine phase ascendante avec des prix complètement fous car les offres étaient nombreuses et les demandes aussi. La crise est venue tout chambouler. Elle a eu pour effet de tasser le tout. Aujourd'hui, on se retrouve avec une demande nettement inférieure à l'offre. »
PAOLO LEONARDI
http://www.lesoir.be/actualite/economie/immo/2012-05-24/le-brabant-wallon-toujours-au-sommet-917755.php
J'ai revé ou dans le trends immo, l'echo, et d'autres publications on était un peu plus tempéré sur l'évolution future des prix.... notamment une phrase du genre ...les candidats acheteurs sont un peu refroidis car ils n'ont plus la certitude de revendre avec une plus value ....
une affaire à suivre donc.
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