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Merci pour votre réponse.
Mon inquiétude serait plus que des recommandations de la commune aient étés délivrées et non suivies dans les travaux, et pouvoir me prémunir de cette éventualité.
Que les travaux effectués, ne correspondent pas au plan initial ne me pose pas de problème, c'est plus l'infraction "dissimulée" qui me pose problème et de pouvoir au besoin de m'en protéger.
Mon architecte, m'explique qu'un permis peut-être caduc, si par exemple certaines recommandations ne sont pas respectées, d'où la consultation des plans.
Nous avons récemment eu une très mauvaise expérience avec l'acquisition d'un triplex en totale infraction, du coup, après deux ans de recherche et déceptions, je cherche la petite bête mais le marché est tellement sauvage à Bruxelles qu'il est difficile d'avoir sa chance et de ne pas tomber sur un bien truffé d'infractions.
Merci à vous
Bonjour :
J'entends bien, que dans l'offre j'y mentionne ce que je souhaite, et je crains en effet, qu'une telle clause réduise nos chances.
D'où ma question, si je remets une offre sans conditions, et qu'avant la signature du compromis, je remarque que le bien n'est peut-être pas conforme sur les plans de la commune. Puis-je me retirer de la vente, ou négocier à la baisse, si la possibilité de travaux s'impose ?
En ce qui concerne la commune de Forest, voici les documents exigés :
"la preuve de paiement;
votre titre de propriété, offre d’achat, compromis de vente ou procuration du propriétaire (+ carte ID du propriétaire);
une copie de votre carte d’identité."
Les plans du géomètre, ne m'indiquent pas si les travaux sont conformes au permis déposé en 2010. Aussi est-ce vrai que la commune ne vérifie pas systématiquement les travaux pour lesquels elle délivre des permis ?
Très cordialement.
Bonjour,
J'ai reçu les RU qui montrent en effet que c'est un duplex. L'agence a donné le document qui reprend l'immeuble pour la vente d'un bien à l'étage du dessous l'année dernière, mais où l'on voit clairement que le 3ie est un duplex. On peut y voir également qu'un permis a été délivré en 2010 pour l'aménagement des combles (donc création du duplex).
Seulement dans l'offre, l'agence a joint comme plans des plans réalisés par le géomètre, qui n'ont qu'une valeur indicative. Mon architecte attire mon attention sur le fait qu'il faudrait avoir les plans signés par un architecte qui accompagnent le dis permis de 2010 pour avoir les plans de la situation de droit et comparer ces derniers au bien actuel. L'agence n'a pas ces plans.
Après avoir contacté le service d'urbanisme de la commune de Forêt, ces derniers me disent que je dois avoir une offre signée, ou une procuration du propriétaire pour pouvoir consulter ces plans.
Conclusion, je visite le bien vendredi, mais je n'aurai pas les infos en mains pour avoir la certitude que les travaux ont étés réalisés dans les règles. Puis-je mentionner dans mon offre une clause suspensive sous réserve des plans de la commune. Ou, puis-je poser une offre sans conditions, et lorsque j'aurais une offre signée, consulter les archives à la commune, et me retirer de la vente si la situation de droit ne correspond pas à la situation de faits ?
Merci d'avance.
Bonjour,
Je souhaite avoir votre avis au sujet des duplex vendus à Bruxelles dans les derniers étages d'une maison.
Souvent les RU mentionnent plusieurs logements au sein d'une ancienne maison unifamiliale. Et aux dernièrs étages par exemple : 3iem étage + sous combles + combles/ grenier.
Les agences vendent donc un duplex d'une certaine surface. Or nous constatons que le duplex il faut parfois régulariser le grenier, voire les étages.
Deux questions : D'une part certains duplex sont privatisés au niveau de la cage d'escalier avec des plaques de Giproc et une porte est-ce légal .
D'autre part, une architecte me dit que pour régulariser un duplex, on touche au volume, dés lors l'entièreté de la maison devra être soumise aux normes du SIAMU, ( isolation des étages, plaques de giproc pour compartimenter, et exutoire de fumée), privatiser e duplex par la cage d'escalier deviendrait compliqué, et il faudrait envisager la création d'un escalier à l'intérieur du logement pour ne pas condamner la cage d'escalier.
Tout cela n'est pas expliqué par les agents immobiliers, du coup, j'ai l'impression que ces derniers abusent de la situation de vente sauvage actuelle pour vendre une surface au prix coutant alors qu'elle n'est ni régularisée, ni certaine (hauteur sous le plafond dans les combles par ex).
Qu'en est-il de tout ces duplex privatisés simplement par une porte dans la cage d'escalier, sans création d'exutoire de fumée ?
Dans le cas où j'introduis un permis pour régulariser mon duplex et le privatiser, je peux potentiellement soumettre l'ensemble de ma copropriété à des mises aux normes ?
Merci d'avance.
Nous les attendons.
A Forest cela peut mettre plus d'un mois.
Actuellement le compromis de vente mentionne grenier et non une chambre.
L'expulsion n'est pas possible car la situation sanitaire liée au Covid19, gèle les expulsions.
Actuellement c'est reporté jusqu'au 15 janvier, et risque d'être prolongé, raison pour laquelle le locataire ne quitte pas les lieux. De source sûre, ce dernier a déjà été expulsé d'autres logements, et connait parfaitement la législation en vigueur et abuse de ses droits pour porter préjudice à d'autres personnes.
Bonjour,
Nous avons posé une offre un Triplex, trois chambres de 142m2 plus une terrasse de 26m2. C'est une belle maison de maître située à Forest.
L'annonce indique une chambre de 42m2 sous velux. 2 chambres au 3 ième avec terrasse et au 2 ieme étage salon, salle à manger cuisine et SDB.
Ce descriptif a été réalisé par une agence, qui nous a fait visiter le bien, qui correspond en effet à ce descriptif, nous avons posé une offre, où il y avait une mention "en cas d'infraction urbanistique, l'acquéreur en fait son affaire". Pensant qu'il fallait probablement régulariser une partie de la terrasse qui s'avère être un toit plat ( toit de la cuisine), mais aussi qu'il y avait douze visites et qu'il y avait un vif intérêt pour le bien, nous ne nous sommes pas plus inquiété.
Dans un premier temps, notre notaire a attiré notre attention sur le fait que la chambre sous velux, serait selon le titre de propriété qui date de 1998, de la vendeuse, un grenier. Et donc un 2 chambres + grenier. Et qu'il n'y a pas de terrasse.
Entre temps, notre architecte, nous a conseillé de faire la demande des plans à la commune de Forest, nous avons reçu hier ces dits plans qui datent pour les plus récent de 1933, un permis d'urbanisme les accompagne, autorisant la construction d'une partie d'étage ( qui constitue auj la cuisine et sdb du 2ièm étage). On peut voir que les chambres au 3ième n'ont pas de lucarnes alors qu'aujourd'hui il y a une lucarne avant qui fait toute la façade, et une lucarne arrière qui donne accès à la dite terrasse.
Ci-joint la photo du plan :
Selon la notaire, et l'architecte, la terrasse, le grenier, et les lucarnes seraient en infraction. Pour Aménager la terrasse et le grenier, un permis d'urbanisme et une régularisation semble réalisable, mais que pensez vous de ce types de lucarnes à Bruxelles? Des plans de la ville indiquent qu'elles étaient déjà là en 1954. La commune pourrait demander aujourd'hui de les modifier si elles ne correspondent pas aux normes du RRU ?
Aussi il semble que et l'agence et la propriétaire nous ait clairement menti sur l'état et la situation juridique du bien.
Les espaces, et sa localisation nous intéresse vraiment, et nous sommes écœurés après des mois et des mois de recherche de devoir laisser tomber l'offre, y a t il moyen de faire baisser drastiquement le prix, sachant de des travaux dans l'immeuble sont prévu, et nous ont étés cachés ?
Cordialement
Leopoldbloom a écrit :J'ai un propre notaire qui m'explique que nous achetons un bien qui juridiquement est un appartement 1 chambre.
Et votre propre notaire de famille que vous avez choisi pour cette opération n'a pas défendu vos intérêts?
Bonjour, justement si. C'est l'appartement d'une connaissance, et donc au départ nous avons faitconfiance au vendeur nous expliquant que le bien était un 1 chambre qu'il est devenu un 2 chambre et que les permis avaient étés accordés.
Seulement l'offre a été acceptée, et avant la signature du compromis, notre notaire qui gère le patrimoine familial depuis deux générations, a attiré notre attention sur la non conformité juridique du bien. Le compromis indiquait :
Titre de propriété : appartement 1 chambre ,....
Actuellement : appartement 2 chambres, ...
Notre notaire a expliqué que cette situation était boiteuse, que le titre devait correspondre à la réalité que vis à vis des tiers, nous achetions un appartement 1 chambre, et qu cela pourrait poser problème à la revente et vis-à-vis des banques. De là j'en pris contact avec ma notaire qui m'a expliqué que j'étais un pigeon si j'acceptais ce bien en l'état. J'ai donc suivi les conseils de ma notaire qui a mis fin à la vente en la classant sans suites.
Depuis ils nous on harcelés de messages téléphoniques et de mails, menacés d'aller en justice. Finalement nous avons vu que l'appartement est à nouveau en vente sur immoweb.
Mais dans votre cas, c'est une modification intérieure avec permis. Pas de quoi fouetter un lama.
Vérifiez le plan dont dispose la commune et consultez le syndic sur les décisions relatives à cette modification.=> L'AG en 2012 confirme que les balcons peuvent être fermés.
Aussi, le vendeur nous a expliqué que ascenseur devait dans les 2 prochaines années être remis aux normes et que cela coûterait 45 à 50k. Nous avons remis une offre le 13 juin, et le 25 juin nous avons reçu les PV et dernières AG où la mise aux normes de ascenseur est estimée à 88k. nous passons du simple au double. A nouveau, le vendeur n'aurait pas du nous donner les informations avant l'offre ? Considérant que ce détail aurait pu entrer en compte dans la remise de l'offre ?
Finalement, je souhaitais simplement savoir quand est-il nécessaire de modifier la description précise des parties privatives ? Je peux donc acheter un appartement avec trois chambres qui dans son acte de base n'apparaît que comme un 1 chambre ?
Bien à vous,
Je crains un peu que vous craignez beaucoup...
Vous m'expliquez par là que c'est un détail et que la pratique commune passe outre ces détails ?
Je me renseigne car je suis l'avis de ma notaire. N'y connaissant rien juridiquement dans ce domaine il m'est difficile de persister dans l'acquisition d"'un bien si ma notaire me le déconseille.
J'en comprends que si je veux ce bien je peux l'obtenir, mais que je me retrouve avec la patate chaude, et que je paye un appartement 1 chambre au prix d'un deux chambres.
Lorsqu'on parle d'une somme qui concerne l'achat d'un bien immobilier et les années de crédit qu'il incombe j'estime en effet craindre de vouloir bénéficier d'u bien en ordre comme première acquisition.
mais merci pour vos infos.
LeopolBloom a écrit :Nous n'avons pas les plans, le vendeur et son notaire nous explique qu'ils n'existent pas
- Un permis d'urbanisme sans plans ? Jamais vu ça...
Avez-vous votre propre notaire dans ce dossier ?
(edit: en relisant votre question initiale, vous mentionnez "ma notaire": je suppose donc qu'il s'agit d'un autre notaire que celui du vendeur)
Le notaire du vendeur ne nous fournit pas les plans qui accompagnent la demande de permis, or la commune confirme l'existence de deux plans.
J'ai un propre notaire qui m'explique que nous achetons un bien qui juridiquement est un appartement 1 chambre.
Dans le compromis le bien est décrit comme tel :
Selon le titre : appartement 1 chambre,....
Et Actuellement : appartement 2 chambres.
Si la situation juridique du bien était tout à fait en ordre le bien ne serait pas décrit selon titre et actuellement dans le compromis de vente. Ceci prouve bien que la réalité juridique du bien ne correspond pas à la réalité des faits.
- L'acte de base mentionne le fait qu'on peut modifier le bien sans porter atteinte aux structures.
- Le balcon était une partie commune, selon moi les quotités devraient être revue.
- "Sur le plan ayant fait l'objet d'un permis d'urbanisme, la 2e chambre (6 m²) est mentionnée comme telle ?" => Nous n'avons pas les plans, le vendeur et son notaire nous explique qu'ils n'existent pas. Or nous avons contacté la commune et ces plans existent au nombre de deux. Nous faisons le nécessaire pour les obtenir.
Ne penser vous pas qu'il y a quelque-chose de boiteux dans cette vente ?
Merci à tous pour vos commentaires.
La seconde chambre fait 6m2 et n'est donc pas une chambre vis-à-vis du code du logement.
Et le permis a été accordé car le balcon a été fermé en vue d'agrandir la salle de bain, il était donc nécessaire. Et cela touche le domaine des parties communes de l'immeuble.
La volonté n'est pas de négocier le prix à la baisse, mais d'obtenir un bien qui ne pose pas de problèmes à la revente. Et peut-être aussi que le prix proposé corresponde au bien réel.
Merci pour votre réponse.
En effet je me posais aussi la question.
Mais si le titre de propriété indique 1 chambre ?
Aussi les Assurances du Notariat confirment qu’à moins d’un acte de base modificatif, les notaires qui recevraient un tel acte, engagent leur responsabilité et risquent de ne pas être couverts en cas de sinistre.
Voici la circulaire :
NOTRE CONSEIL
Consultez systématiquement l’acte de base et l’(les) acte(s) modificatif(s) lors de la vente d’un privatif dans une copropriété. Ne vous basez pas uniquement sur le titre de propriété pour vérifier la destination et la description d’un bien. Méfiez-vous surtout des rez-de chaussée, des mansardes et des étages techniques. Demandez au vendeur une copie complète de l’acte de base et de l’(des) acte(s) de base modificatif(s) et leurs annexes et contrôlez-les, ou faites confirmer la destination d’un lot privatif par le service de la commune.
Du coup que faire de cette information ?
Bonjour,
Ma compagne et moi-même nous sommes engagé dans l’acquisition d'un bien. Le descriptif sommaire de l'appartement mentionne que l'appartement est un 2 chambres et nous avons remis une offre qui a été acceptée pour ce bien.
Trois semaines passent et au moment de la signature du compromis ma notaire attire mon attention sur le fait que l'appartement a été modifié en 2015, qu'un permis d'urbanisme a été accordé pour modifications intérieures de l'appartement, mais que sur l'acte de base l’appartement demeure toujours un appartement 1 chambre.
Selon elle, faute d'un acte de base modificatif, cet appartement restera un appartement 1 chambre vis-à-vis des tiers. Le vendeur est pressé de vendre et ne souhaite pas attendre pour modifier cet acte de base.
Quelqu'un est-il en mesure de me confirmer, que l'acte de base et donc la description précise des parties privatives est à modifier si nous souhaitons bénéficier réellement d'un appartement 2 chambres et que l'acte corresponde à la réalité ?
Merci d'avance,
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