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Il ne s'agit pas vraiment de prendre position mais de choisir un expert dont le rapport pourrait avoir plus d'autorité en cas de discussions ultérieures.
La clause est celle du modèle disponible ici même:
"Il sera dressé en début de bail, entre les parties/par expert, un état des lieux détaillé à frais communs, qui sera annexé à la présente convention ; dans le second cas, les parties désignent comme expert M...............................................
Cet expert est chargé de procéder également à l'état des lieux de sortie locative, à moins que l'une ou l'autre des parties ne notifie les coordonnées de son propre expert, et ce, au moins 15 jours avant la date prévue pour le constat.
L'état des lieux de sortie sera effectué à frais communs après la libération des lieux et avant la remise des clés au Bailleur."
Celle-ci est en réalité bien pratique parce que, si je comprends bien, je peux donc changer d'expert.
Merci de m'avoir mis sur cette voie !
Une dernière question.
La personne qui occupe les lieux est problématique.
Elle se positionne constamment en victime éternelle et cherche tous les points d'accroche possible. Dernier exemple en date, elle m'indique ses disponibilités pour l'état des lieux de sortie et exige le remboursement des cinq jours qui suivent puisque le contrat a commencé un peu plus tard.
Tout cela finira, à nouveau, au tribunal. Quel type d'expert devrais-je prendre ?
Bonjour,
Je me retrouve avec un énième problème.
Il s'agit cette fois d'un état des lieux de sortie pour lequel l'experte désignée par le contrat de bail et ayant réalisé l'état des lieux d'entrée ne répond plus après plusieurs tentatives pendant plus de trois semaines.
Je pensais qu'il s'agissait d'une géomètre-expert mais il s'agit en réalité d'une géomètre expert immobilier; au-delà de la question de la confusion sur le titre utilisé, il s'avère qu'elle n'est pas inscrite en qualité de géomètre-expert.
Je dois désormais trouver une personne pour réaliser l'état des lieux de sortie.
Vu le profil de la personne qui occupe le bien actuellement et le fait qu'elle va évidemment se saisir des moindres difficultés pour contester, je souhaite prendre mes précautions.
Pensez-vous que contacter le conseil fédéral des géomètres-experts pour leur demander à eux d'en désigner un soit une mesure appropriée et suffisance pour éviter des contestations par la suite ? L'état des lieux de sortie doit être réalisé fin de ce mois.
Merci
Voici quelques éléments
Suite à plusieurs condamnations de la personne qui occupait les lieux, j'ai mandaté un huissier pour recouvrer les créances. L'huissier a été payé il y a plus d'un an pour procéder à la saisie mobilière. Depuis un an, je le sollicite régulièrement pour savoir où cela en est. Il m'indique qu'il se présente à l'adresse de la personne mais qu'elle n'ouvre pas. Il m'indique également que les services de police ne veulent pas coopérer.
Tout cela dure depuis un an.
Cette semaine, il m'indique que la locataire est partie de l'adresse où elle était domiciliée.
Il ne précise rien de plus.
La personne est au chomage et a déjà plusieurs huissiers aux trousses, apparemment.
Je n'ai pas beaucoup d'expérience en matière d'exécution forcée; auriez-vous de conseils ?
Merci
Pour suivi :
La requête a été introduite au tribunal.
Quelques jours plus tard, les travaux ont été autorisés, non sans mal.
La requête est devenue sans objet de la personne occupante a été condamnée aux frais et dépens.
Cette partie du dossier est clos. Merci pour les avis.
Si votre locataire joue au con, soyez prudent, et faites tout par écrit. Les échanges mails peuvent être produits en justice.
A mon sens aussi, c'est à vous de faire le nécessaire pour que ces travaux soient faits.
Si vous n'avez pas de clé de votre bien, c'est effectivement au locataire à vous en fournir une.
Si votre locataire refuse d'être présent pendant des heures normales de travaux, c'est à vous d'être présent, et au locataire de vous permettre l'accès (donc de vous donne rune clé et l'autorisation d'entrer en son absence)S'il ne vous permet pas l'accès, et refuse d'être présent pendant des heures normales de travail, c'est lui qui est en tort.
Les frais de déplacement inutiles du plombier pourront être mis à la charge du fautif. Restera à démontrer qu'il est en faute...
Dans une telle configuration, je n'hésiterais pas à ester en justice de paix afin de mettre fin au bail. En effet, le locataire ne permet pas des réparations, ce qui rend le bien insalubre. Le juge de paix risque bien de demander à chacun d'être raisonnable, et de reporter à une audience ultérieure pour constater que le problème est réglé...
J'apprécie énormément vos interventions; elles sont toujours mesurées et pertinentes.
Je vous rejoins et, après une mise en demeure, j'ai effectivement saisi le juge de paix ce matin en raison des vacances judiciaires qui se profilent. Il est nécessaire d'arrêter ce petit jeu de con où cette personne participe au préjudice dont elle se plaint et m'empêche de le solutionner pour solliciter la rupture du contrat de bail et éviter de payer les indemnités de préavis.
Je suis bien d'accord.
Un plombier a été envoyé hier mais la personne ne lui a pas ouvert alors qu'elle m'avait dit être sur place pour l'accueillir.
Les clés de l'appartement et les heures à laquelle je peux y accéder ont été demandées mais la personne estime que je dois avoir les clés de son appartement en tant que bailleur et qu'elle n'a pas à me les donner.
Super, merci.
vivaqui a écrit :Ma question visait à déterminer s'il y avait une limite aux obligations légales de chacune des parties en matière de travaux urgents et jusqu'où allaient celles-ci
Merci pour ces avis
Mais questions s'inscrivent dans le contexte de ce qui a été affirmé.
Certainement mais je ne vois pas en quoi elles contribuent à y répondre.
Ma question visait à déterminer s'il y avait une limite aux obligations légales de chacune des parties en matière de travaux urgents et jusqu'où allaient celles-ci
Merci pour ces avis
Merci pour cet avis hautement intéressant, rexou.
Merci pour ces avis
Max11: c'est un avis pertinent; je vais me faire remplacer par un intervenant social et raisonner autrement qu'en termes exclusivement juridiques.
J'ai évidemment des raisons sérieuses de ne pas vouloir avoir de contact avec cette personne.
Je suis bien d'accord, c'est renversant.
Je pense qu'il veut juste essayer de bénéficier d'un statut de victime, essayer de partir plus tôt et, pense-t-il, demander des indemnités pour travaux tardifs.
C'est pour cette raison que j'essaie de raisonner en droit
C'est une très grosse copropriété (240 appartements)
Je remets les anciens badges/clés et la mise à jour se fait sur base du nom du nouvel occupant. Il n'y a qu'un seul badge.
Je pourrais redemander un badge à mon nom mais le syndic est en vacances pour le moment et cela me semble tout simplement incompatible avec l'urgence qui nous occupe.
C'est certain mais je ne sais pas ouvrir la porte à l'ouvrier, je travaille à 80 km et la personne me harcèle depuis plusieurs mois (250 courriers électroniques jusqu'à présent) de sorte que je veux éviter tout contact.
Bonjour,
Un locataire m'indique vendredi une fuite de gaz.
SIBELA intervient et clôture les compteurs.
Je prends contact avec un plombier qui m'indique être disponible mardi matin.
Le locataire m'indique qu'il ne peut pas prendre congé et qu'elle ne sera disponible que le week-end ou en soirée.
Le plombier est indisponible à ces moments.
Je lui indique trois autres dates mais elle me répond la même chose.
Il considère que JE DOIS ÊTRE PRÉSENT POUR LUI OUVRIR ET M'OCCUPER DE TOUT.
Pendant ce temps, il n'a pas de gaz.
Je n'ai pas de badge pour accéder l'immeuble (ils sont réservés aux occupants) et je travaille à 80 km.
Il y a un concierge mais il ne veut personne d'autre que moi.
Je lui ai par ailleurs communiqué le numéro de téléphone du plombier pour qu'ils s'arrangent.
Voici ce que prévoit le Code civil :
’article 1719, 2° du Code civil prévoit que : « Le bailleur est obligé, par la nature du contrat, et sans qu’il soit besoin d’aucune stipulation particulière d’entretenir la chose en état de servir à l’usage pour lequel elle a été louée ».
L’article 1720, alinéa 2 du Code civil prévoit que : « Le bailleur doit y faire, pendant la durée du bail, toutes les réparations qui peuvent devenir nécessaires, autres que les locatives ».
L’article 1724 du Code civil dispose que : « Si, durant la durée du bail, la chose louée a besoin de réparations urgentes et qui ne puissent être différées jusqu’à sa fin, le preneur doit les souffrir, quelque incommodité qu’elles lui causent, et quoiqu’il soit privé, pendant qu’elles se font, d’une partie de la chose louée. Mais si les réparations durent plus de 40 jours, le prix du bail sera diminué à proportion du temps et de la partie de la chose louée dont il aura été privé. Si les réparations sont de telle nature qu’elles rendent inhabitable ce qui est nécessaire au logement du preneur et de sa famille, celui-ci pourra résilier le bail. »
Je tique sur le "quelque incommodité qu’elles lui causent" et je pense ne pas avoir l'obligation d'être présent.
Nous tournons en bourrique depuis 40 courriers électroniques et nous allons finir devant le juge de paix.
Ais-je raison de considérer qu'il lui appartient de donner un accès au plombier, même en mon absence ?
Merci
Il n'est venu qu'une fois
Bonjour,
J'ai fait réparer la chaudière chez mon locataire.
J'appelle une société, qui se présente le lendemain et qui me facture :
- 75 € htva pour les pièces
- 260 € htva pour la main d'oeuvre.
Le locataire m'indique que le travail a duré moins d'une heure (40 minutes).
Je trouve le montant excessif et je pense qu'il a abusé de la situation. Et vous ?
Je n'ai pas trouvé de conditions générales (le plombier est ne société mais n'a pas de site web)
Existe-t-il des standards pour ce type de prestations ou c'est totalement libre ?
Merci
Bonjour,
Les stauts de mon règlement de copropriété prévoient que :
"les contrats d'assurance doivent couvrir l'immeuble et tous les copropriétaires tant pour les parties privatives que pour les parties communes (...) et que "les responsabilités pouvant naitre du chef des parties tant communes que privatives de l'immeuble sont supportées par tous les copropriétaires au prorata du nombre de quote-parts qu'ils possèdent dans les parties communes, que le recours soit exercé par l'un des copropriétaires ou par un tiers quelconque".
Ils prévoient également que :
"certaines assurances doivent obligatoirement être souscrites aux frais de l'association des copropriétaires", à savoir une assurance contre l'incendie et les périls connexes, à savoir notamment les "dégâts des eaux".
Il s'avère qu'il y a peut-être un dégât des eaux depuis chez moi, dans une canalisation enfouie dans le sol et cela coule un peu chez le voisin du dessous. Rien de méchant pour l'instant mais cela reste des problèmes ennuyeux.
Le syndic me dit que l'assurance souscrite ne couvre pas cette situation alors que je pense pourtant bien comprendre le français.
Je pense que la police d'assurance souscrite ne couvre pas ces dommages en méconnaissance du règlement de copropriété.
Question : on fait comment ? Qui est responsable ? Peut-on me dire qu'on a implicitement dérogé au règlement de copropriété si l'AG a ratifié la police d'assurance ?
Merci
Bonjour,
J'ai une connaissance qui me pose une question mais je ne suis pas sur de la réponse.
La personne a conclu un bail de résidence principale pour une durée de 3 ans le 1er juillet 2014. Il s'est renouvelé automatiquement et il a oublié de donner le congé au locataire avant le 1er janvier 2023,soit 6 mois avant l'expiration du délai de 9 ans. Son bail s'est donc reconduit pour 3 ans. Comment peut il désormais mettre fin à ce bail et dans quel délai ?
Il me semble que le bail est reparti pour 3 ans et qu'il devra atte de deux ans et demi mais je n'en suis pas sûr.
Merci.