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grmff a écrit :
Par contre, vous pouvez à tout moment exiger la libération de ce mois de garantie donné en trop. Un conseil: faites cette demande une fois que vous êtes dans le logement....Excellent conseil, mais qui s'adresse au locataire. Ici, il semble que l'intervenant soit le bailleur.
Pas du tout, moi je suis un proprio qui respecte la loi ! Mais je pose ici la question pour ma meilleure amie qui est locataire.
Merci pour vos réponses mais qui me sidèrent : s'ils ne demandent pas le remboursement en cours de bail du 3è mois (ce qui va évidemment les fâcher avec leur proprio), alors un juge peut utiliser ce montant, bien qu'illégal, à l'apurement des dettes (ce qui est le but d'une garantie locative d'ailleurs) ??
Dans ce cas les proprio ont tout intérêt à se rendre illégal et à continuer à exiger 3 mois puisqu'il n'y a pas de sanction (autre que l'hypothétique obligation de rembourser le 3è mois si les locataires vont jusqu'à porter plainte chez un juge de paix).
Il ne sagirait pas de diffuser cette info à grande échelle auprès des proprio...
Le bail stipule 3 mois et la banque, bien qu'affirmant que c'est illégal, accepte le versement des 3 mois des locataires. Ceux-ci veulent absolument louer l'appartement qui est entièrement à leur goût, localisé où ils le veulent et dont le loyer est résonnable. Ils sont donc d'accord de verser le 3è mois (mais savent que cette demande de leur nouveau propriétaire est illégal).
Quelle sont les conséquences juridiques de ce mois supplémentaire versé sur le compte bloqué ? En cas de litige ultérieur, je suppose qu'un juge de paix limiterait le montant maximum dont le bailleur peut disposer en remboursement des sommes dues à maximum 2 mois de loyer (et le 3ème mois + intérêts devra donc être intégralement remboursé aux locataires, même s'ils sont redevables de plus).
Partagez-vous mon avis (de profane) ?
Merci d'avance pour votre réponse.
Un grand merci. J'avais donc bien compris la Loi :-)
C'est l'entrée en vigueur du premier bail qui entre en ligne de compte.
Art. 3, § 6, de la loi : Nonobstant toute clause ou toute convention contraires, à défaut d'un congé notifié dans les délais ou si le preneur continue à occuper les lieux sans opposition du bailleur, et même dans l'hypothèse où un nouveau contrat est conclu entre les mêmes parties, le bail est réputé avoir été conclu pour une période de neuf ans à compter de la date à laquelle le bail initial de courte durée est entré en vigueur (...).
Bail d’un an pour résidence principale du 01/10/2001 au 01/10/2002. Reconduction d’un an, aux même conditions, signé par les 2 parties avant le 01/10/2002.
D’après moi les 2 parties sont donc actuellement liées par un bail de 9 ans qui a commencé le 01/10/2001, et qui se termine donc le 30/09/2010.
Cependant une des parties prétend que ce bail commence le 01/10/2002 (soit à compter de la reconduction), et se termine donc le 30/09/2011.
Qui a raison ? Merci d'avance.
"Alors, si on pouvait arrêter de mettre toutes les agences dans le même sac, cela éviterait de m'énerver avant d'aller me coucher..."
En effet, le problème étant que l'IPI ne fait pas le tri entre le bon grain et l'ivraie...ce qui porte préjudice aux agences honnêtes et pro.
Lors de l'achat de notre maison, l'agence avait inventé de toute pièce une offre supérieure à la notre (fax) pour que nous nous alignions. Je ne l'ai appris bien sûr que plus tard par les vendeurs un peu gênés de cette pratique. Cela vous donne une idée de ma méfiance vis à vis des agences... en absence de régulation de la profession.
J'avais pensé à un transfert de le nue propriété de Monsieur à Madame, Monsieur conservant l'usufruit (pour y habiter); puisque l'usufruit s'éteint sans frais au décès de monsieur. Mais cela induit trop de risque de tension durant le vivant de monsieur (si madame refuse de payer les frais d'entretien qui reviennent à la nue-propriétaire).
Je ne trouve en effet pas de solution dans ce cas-ci :-(((
Monsieur (sans héritier et sans famille) lègue la maison à madame par testament mais après paiement des énormes droits de succession entre tiers, que restera-t-il à madame....
Un grand merci.
1."La limite est donc de 6.250 EUR" : c'est ce que je craignais (bien que madame ai déjà payé 12500 EUR de droits d'enregistrement pour la première aquisition).
2.N'existe-t-il aucun moyen juridique pour que la maison revienne à madame au décès de monsieur sans payer de droits de succession (couple non marié => droits énormes entre tiers) ? Les 2 sont évidemment d'accord sur ce principe, quoi qu'il advienne.
Monsieur et madame ont acheté en 2005 une maison en flandre pour 250.00 EUR. Chacun est propriétaire de 50% (indivision) et une clause de tontine est insérée dans l'acte notarié.
Ils se séparent et monsieur rachète les parts de madame.
Avec ce capital, madame s'achète un appartement en flandre de 160.000 EUR.
1) Madame bénéficie-t-elle d'un report des droits d'enregistrement (déjà payés lors de l'achat de la maison en 2005) de 12.500 EUR (càd le maximum) ou de seulement 6250 EUR ?
2) Même si monsieur devient propriétaire de la maison à 100%, peut-on laisser la clause de tontine si monsieur ET madame sont d'accord ?
Merci beaucoup.