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L'association belge des syndics et administrateurs de biens .../... annonce même sa désobéissance (tout en réclamant à l'avance la mansuétude de la justice).
D'où tenez-vous cette information ?
l'ABSA me certifie le contraire.
Il y en a un des deux qui raconte des carabistouilles...
J'ai retrouvé en faisant une simple recherche sur internet avec les mots " comptabilité générale analytique budgétaire" une série de logiciels standards qui coûtent entre +700 (une licence limité) et -1500 (2 licences illimitées) EUR (hors TVA).
Ils permettent de tenir une compta générale, analytique et budgétaire d'une manière intégrée. J'ai pas tenu compte des versions gratuites, ... .
Naturellement si voulez du sur mesure alors vous allez payer le prix fort ...
C'est édifiant de voir que les plus ardents défenseurs de ce PCMN ne savent pas de quoi il parlent.
Aucun logiciel comptable, à l'heure actuelle, n'est capable de reproduire le PCMN applicable aux copropriétés.
Pour la bonne et simple raison que ces logiciels comptables travaillent sur la comptabilité des entreprises.
Ce que nous reprochons au PCMN des copropriétés, c'est qu'il ne se calque en rien sur la comptabilité des entreprises et qu'il crée des nouveaux concepts, tel celui du double centralisateur client (une hérésie en soi).
Toutes les comptabilités classiques n'ont qu'un seul centralisateur client. En conséquence, aucun des logiciels classiques que vous trouvez sur le marché n'est à même d'intégrer ce PCMN.
Du reste, comme je n'ai pas attendu l'obligation de tenir une comptabilité en partie double dans les copros que je gère, je suis déjà équipé d'un logiciel comptable.
Donc, aujourd'hui, si je dois me tourner vers un logiciel "sur mesure", ce n'est pas un choix, c'est la résultante de ce très mauvais PCMN !!!
Bref, je constate que tous les conseilleurs et les défenseurs de ce PCMN n'ont jamais encodé une seule ligne comptable et n'ont jamais préparé les comptes d'une ACP.
Et ça se permet de donner des leçons !
PS : si les logiciels de gestion de copro éprouvent des difficultés à traduire les données vers le nouveau PCMN, ce n'est pas pour des raisons techniques, mais bien parce que ce PCMN est mal pensé et inadapté. Arrêtez de parler de ce que vous ne connaissez pas.
Evidemment, ça fait grincer les vieux, réfractaires au changement. Il y en a même qui l'annoncent avec tambour et trompette (tout en demandant la clémence des tribunaux - rien que ça).
Ce que vous ne voulez décidément pas comprendre, en faisant montre de votre capacité légendaire à avoir un avis nuancé, c'est que ces vieux grincheux réfractaires aux changements, dont je fais partie, n'ont jamais été réticents à l'application de la comptabilité en partie double et même l'ont devancée puisque cette manière de travailler est rencontrée chez les Syndics sérieux.
Ce que vous ne voulez toujours pas comprendre, c'est qu'aucun, je dis bien aucun logiciel de comptabilité actuellement sur le marché n'est capable de traduire les concepts tordus du CNC.
Que le CNC tout organe supérieur soit-il, est bien le seul en ce monde à avoir pondu le concept de double compte centralisateur.
Quel le compte de classe 3 (stock) a disparu alors qu'il était bien utile pour connaître les valeurs stockées.
Qu'un Syndic sérieux qui gère des centaines de lots à travers un logiciel comptable et en bonne intelligence avec un comptable pour les situations particulières, est maintenant obligé d'investir dans un logiciel spécifique de Syndic, et va devoir débourser un minimum de 6.000 € pour l'acquisition de ce logiciel sans compter les dizaines et les dizaines d'heure pour faire migrer ces données.
Que sa majestueuse CNC et tous les troufions qui ont présidé à ce plan comptable n'ont fait aucun test de ce PCMN dans la vraie vie.
Que sa majestueuse CNC et tous ces troufions ne se sont pas même posés la question de savoir comment les sociétés de Syndic sérieuses s'étaient emparées de la comptabilité en partie double et comment elles faisaient, pour certaines, depuis plus de 20 ans.
Que vous oubliez que le métier de Syndic n'est pas de la prérogative des agents-immobiliers et qu'on rencontre d'autres professionnels, dont des comptables, qui exercent ce métier, et très correctement.
Comme de coutume, vous vous focalisez de manière réductrice et limitée sur des cas, certes bien réels, de Syndics incompétents, sans avoir égard à l'expérience accumulée des gens compétents et qui ont à cœur de faire correctement leur job.
Je suis économiste et expert comptable. J'estime que l'AR sur la comptabilité des ACP et le modèle publié par la CNC devraient résoudre tous les problèmes des comptes dans les copropriétés.
Ce que je trouve intriguant, c'est que j'ai entendu des experts-comptables être d'un avis tout opposé au vôtre...
La dépense effectuée pour maintenir en état un bien peut à terme créer de la valeur et/ou du revenu (plus-value réalisée). Je pense ici lors de la revente de l'appartement. Un bien correctement entretenu dans un immeuble correctement entretenu vaudra sans doute plus qu'un bien dans un immeuble où tout est à refaire/renover. Mais je me trompe sans doute.
C'est en lisant ce genre de confusion que je comprends de mieux en mieux ceux qui défendent aveuglément cet arrêté royal.
L'accroissement de valeur des différents appartements n'est pas reflétée par la comptabilité appliquée aux copropriétés.
Si plus-value il y'a, ce sont les différents copropriétaires qui les touchent, jamais l'ACP.
Dernière précision : l'IPI est l'équivalent d'un ordre en tant qu'il est l'organe de contrôle instauré dans le cadre de la la Loi-Cadre de 1976 réglementant la protection du titre professionnel et l'exercice des professions intellectuelles prestataires de services.
Dans la mesure où certaines professions intellectuelles ont été organisées antérieurement à la Loi-Cadre, leur organe de contrôle portait le nom d'ordre.
L'esprit est cependant le même.
Vous avez donc un ordre pour les plus anciennes (médecin, architecte, avocat, notaire, etc.) et un institut pour les plus récentes (agent-immobilier, comptable, etc.)
Et vous avez même une exception pour les géomètres-experts qui sont sous la tutelle du Conseil Fédéral.
Alors, Ordre, Institut et Conseil Fédéral, c'est chou-vert et vert-chou.
Secundo: pas d'accord.
Cette obligation de formation de l'IPI ne se trouve pas dans les lois, AR, ... qui organise l'IPI. Relisez la page 7 du rapport annuel 2011 de l'IPI pour avoir la liste des TROIS missions légales de l'IPI, qui se focalisent sur la déontologie.
L'IPI est une personne morale. Un personne morale ne peut fonctionner que sur base de ses statuts (personne privé) ou lois (personne publique comme l'IPI.
L'IPI peut au maximum surveiller si la formation suivi par l'AI est du niveau requis. La loi lui n'autorise pas à organiser cette formation.
L'IPI n'est pas un ordre des agents immobiliers.
Dans quel monde vit l'IPI?
Luc, vous me fatiguez, sincèrement.
Vous désinformez, faites des lectures biaisées, mélangez tout.
Art. 36 du code de déontologie de l'agent immobilier : "... L’Institut peut lui-même dispenser, sans toutefois pouvoir l'imposer, des formations permanentes ; ..."
Je suppose que vous qui êtes un ardent défenseur des Lois et qui les citez à tort et à travers, n'êtes pas sans savoir que ce code de déontologie est coulé dans un Arrêté Royal.
Bref, vous me fatiguez.
Je cite la phrase clé de la page wikipédia, à laquelle vous référez :
« Le respect (du latin respicere signifiant « regarder en arrière ») évoque l'aptitude à considérer ce qui a été énoncé et admis dans le passé, et d'en tirer les conséquences dans le présent. »
Je pense que vous n'avez pas saisi mon propos : le respect en tant qu'aptitude à considérer ce qui a été énoncé et admis dans le passé, ce respect n'a absolument pas prévalu dans la mesure où à aucun moment la CNC n'a daigné considérer avoir égard à ce qui se faisait - et fonctionnait - dans le passé.
Il est frappant que depuis que l’avis du CNC est publié qu’aucun syndic c’est prononcé sur de forum, ni le comptable-syndic qui donne cours à l’IPI sur la comptabilité ACP style ABSA.
Je suis Syndic, et je me prononce : cet AR est un brol !
Quant aux autres personnes, je leur laisse le loisir d'investir ce forum... ou non.
Et je préfère que certaines personnes consacrent leur énergie ailleurs que sur ce forum, qu'elles investissent du temps là où leur expertise est vraiment utile.
L'IPI n'a aucune autre responsabilité que de surveiller l'application de la déontologie par les AI.
Ce qu'ils ont faits dans le cadre de la comptabilité ACP est du ressort des organisations professionnelles comme la CIB, UIB, ABSA, RI, ...
Mais comment est-il diantre possible de formuler pareilles contrevérités ?!?
Relisez le code de déontologie que l'IPI doit faire respecter et vous constaterez que :
Primo : la formation continuée est une obligation déontologique ;
Secundo : l'IPI est fondée à organiser lui-même pareille session de formations continuées
C'est comme si l'ordre des avocats ou l'ordre des architectes n'étaient pas fondés à pouvoir organiser la formation de ses membres !
Dans quel monde vivez-vous ? Il serait temps d’atterrir et d'arrêter de tout mélanger.
@Luc
Quand j'étais petit, on m'a appris à tourner 7 fois ma langue dans ma bouche avant de parler.
Il y a au moins un comptable qui s'est prononcé sur le sujet... (ici, sur ce forum).
Il existe des experts-comptables qui sont aussi agent immobilier.
De nombreux syndics sérieux et compétents n'ont pas attendu l'Arrêté Royal pour appliquer les principes de la comptabilité à partie double, et le font depuis longtemps.
Cette tâche comptable est soit traitée en interne par un comptable, soit sous-traitée à un bureau comptable.
Sans qu'aucune concertation ne réunisse ces syndics, ils ont pourtant tous adopté la même philosophie - preuve que leur approche était fondée par le bon-sens et la raison (ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément).
Je suis abasourdi de lire dans vos propos le terme "respect".
Puisque vous semblez affectionner les assertions construites et empruntées à l'extérieur, je vais donc également vous renvoyer vers Wikipédia : Respect
En quoi la CNC a daigné entendre les professionnels de terrain, qui avaient bâti une expérience ? En quoi a-t-elle envisagé une dynamique de respect ?
Elle s'est drapée dans son orgueil d'organisme qui se croit intellectuellement supérieur.
Je suis quelqu'un de pragmatique, et je constate que des professionnels du chiffre sont particulièrement circonspects, mais également l'ABSA et l'IPI.
Cet AR pose problème, le nier procède d’œillères.
Et vous semblez bien isolé dans votre défense inconsidérée de cet AR.
Il m'apparaît que continuer le débat avec vous est inutile : il tourne en rond et est empreint de psychorigidité.
Votre attitude est partisane et réductrice. j'en veux pour preuve qu'à défaut d'arguments constructifs, vous agitez ce vieux démon des Syndics qui ont quelque chose à cacher. Déplorable !
Les Syndics sérieux étaient et restent demandeur d'une obligation d'utiliser les règles de la comptabilité à partie double.
Ce n'est pas ce principe qui est remis en question, mais ce brol pondu par la CNC et qui n'a ni queue ni tête.
Dernière chose : je ne suis pas membre IPI, mais je ne peux accepter de lire que "l'IPI a créé un problème en donnant des cours sur la compta sans attendre l'avis de la CNC".
L'IPI a pris ses responsabilités (terme qui vous est cher, me semble-t-il) face à la carence de la CNC de prendre attitude dans un délai raisonnable.
L'avis de la CNC est sorti 3 semaines avant l'entrée en vigueur de l'AR.
Les Syndics sérieux ne pouvaient pas se permettre d'attendre !!!
X. NINANE
Mais lisez d'abord le texte du bulletin N° 63 du CNC et rafraîchissez vos notions de comptabilité.
Pour ceux qui ont suivi ce sujet depuis le début, il est parfaitement clair que Luc est un ardent défenseur et de la CNC et du travail - inapproprié - qu'elle a réalisé.
Il est également piquant de lire que des comptables devraient rafraîchir leur notion de... comptabilité !!!
Et je renvoie à cette preuve que la CNC, dans ses exemples, méconnaît la Loi. Ainsi, l'exemple du système de filtration de la piscine, à amortir : l'association de copropriétaires ne peut avoir d’autre patrimoine que les meubles nécessaires à l’accomplissement de son objet.
Elle risque d'être servie...

C'est du turbo grand n'importe quoi !
L'exemple du système de filtration de la piscine, à amortir : l'association de copropriétaires ne peut avoir d’autre patrimoine que les meubles nécessaires à l’accomplissement de son objet.
Or, un système de filtration de piscine est un immeuble par destination, donc hors mobilier, donc hors amortissement !!!
Y'a pas moyen de faire reporter cette AR ?
Je ne sais pas, moi, l'IPI et l'ABSA ne peuvent-ils unir leur force pour demander un moratoire ?
Ai corrigé et supprimé les messages qui devaient l'être...
Je tente - et parfois l'exercice est compliqué - de tourner 8 fois ma langue dans ma bouche, et vous remercie du rôle que vous jouez.
J'en profite pour souligner que vous le faites avec nuance, alors que certains propos sont tout simplement passionnels.
Chapeau bas !!!
Le prix du candidat ne devrait pas excéder le prix demandé par le syndic actuel notamment, à prestations égales sur contrat.
Mauvais conseil : une prestation sur contrat est une prestation... sur contrat !
Lorsque je commande des riz de veau au resto, le contrat, c'est d'avoir des riz de veau.
Et si ils sont dégueu parce que j'ai choisi un restaurant où ils sont moins chers, et bien je n'en aurai qu'à m'en prendre à moi même et ma politique du moins disant !
L'adage populaire qui dit qu'on n'est pas assez riche que pour acheter bon marché est un des plus sages qu'il soit.
Je le vois régulièrement dans les offres de prix que je réceptionne pour les ACP.
Dernière en date : remise de prix sans que l'entrepreneur ne s'est rendu sur place.
La moins chère, bien entendu.
Et alors quoi : on va soumissionner cet entrepreneur pour après s'embarquer dans un procès parce qu'il a remis prix comme un clampin ?
Allons, allons, un peu de bons sens.
Et ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. Le plus cher n'est pas nécessairement le meilleur non plus.
Mais, la disponibilité, le service, la compétence, la formation continuée, un souci d'excellence, la tranquillité, cela a un prix. Appelons un chat un chat.
La manière dont vous exposez la situation prête à confusion. Ne le prenez pas comme une attaque personnelle, mais juste comme le ressenti d'un professionnel qui essaie de se faire une religion du cas que vous exposez.
Suite à votre recommandé, vous avez pu prendre connaissance du contrat de 2006.
Tout en même temps, vous faites état d'un contrat (ou offre de services) de 2011. Qu'en est-il de ce document de 2011 ? Comment en avez-vous connaissance ?
Il n'est pas farfelu de penser que cette offre de service de 2011 acceptée forme effectivement un contrat au sens de la Loi.
Il serait donc pertinent d'indaguer sur ce point là.
Nul besoin d'avoir un avis de l'IPI sur les barèmes auxquels il est fait référence : le principe des directives professionnelles en matière d'honoraires (toutes professions confondues) est interdit par l'Europe.
Point barre.
Rien n'empêche néanmoins une organisation professionnelle de formuler des recommandations - tout est toujours dans la finesse...
Vous dites : "Les remarques formulées lors de l’AG 2010 n’avaient d’autres buts que d’éviter de se retrouver dans un flou juridique, elles ne remettaient en cause ni les missions, ni les honoraires, ni les frais administratifs forfaitaires du syndic."
Je lis aussi : "Le syndic facture certaines prestations sur base d’un tarif qu’il est le seul à connaître !"
Il y a bien là un hiatus !
Soit les choses sont transparentes, soit elles ne le sont pas !
De quel contrat parlons-nous ? 2006 ou 2011 ? Qu'est-il prévu dans ce contrat ?
Bref, tout cela m'apparaît particulièrement confus.
Enfin, concernant la juridiction cantonale, qui est quasi systématiquement citée sur ce forum, pour les matières relatives à la copropriété, je vous invite à la plus grande circonspection.
Le tribunal cantonal est compétent pour les matières qui lui sont dévolues. Point barre.
Voyez notamment : http://ejuris.be/page207.shtml
Et je ne cite pas stupidement : les considérations faites sur cette page sont pertinentes.
Dernière réflexion, brute de décoffrage et un peu cassante, je le concède, en regard de votre assertion : "L’avis d’un membre de l’IPI serait ici particulièrement utile, mais l’institut se révèle particulièrement silencieux quand l’un de ses membres semble être mis en cause."
L'IPI, nonobstant les griefs qu'on peut formuler à son égard, ne se prononcera pas sur ce forum : ce n'est ni le lieu, ni la procédure.
Et fort heureusement !
Avez-vous porté vos griefs devant l'IPI ? - autrement que par le biais de ce forum.
Ou formulez-vous votre assertion sur le simple retour du dysfonctionnement dénoncé de manière générale ?
Je le répète, le rérépète et le rérérépète, et le rérérérépète : ne vous plaignez pas sur ce forum, plaignez-vous aux autorités compétentes - et après, vous pourrez vous plaindre de ce que votre plainte n'a pas été entendue.
Un dernier pour la route : "Je cherche depuis 6 ans à ce que les lois soient respectées mais peu de propriétaires semblent être sensibles à cet objectif …… leur seul intérêt semble être que les AG soient les plus courtes possible !"
Je ne vis pas en copropriété, mais je vis en société.
Tous les jours je suis confronté à des gens qui ne respectent pas la Loi.
Tous les jours je suis confronté à des décisions démocratiques qui s'imposent à moi alors que je ne suis pas d'accord avec elles.
Tous les jours je suis confronté à des autorités défaillantes qui édictent des règles qu'elles ne savent pas faire respecter.
J'ai trois possibilités :
1/ j'en fais mon affaire et je me concentre sur des choses plus essentielles ;
2/ je m'engage et tente de faire bouger les choses - en acceptant la dose de frustration qui sera nécessairement liée à cette démarche ;
3/ je me place en victime et tout le monde il est vilain, tout le monde il est méchant.
Il en existerait peut-être bien une quatrième dans le cadre d'un copropriété : vendez !
X. NINANE
on voit parfois n'importe quoi comme des rapports en moins de 30 minutes, des rapports copié-collé pour des biens différents,...
Donc, au final, peu de fiabilité pour ce qui y est indiqué.
Il existe tant en RW qu'en RB des organismes de contrôle habilités à recueillir les plaintes.
Comme je n'ai de cesse de le répéter pour les Syndics, je le dis aussi en matière de certification PEB, et pour tous les métiers que j'exerce : arrêtez de vous plaindre sur les forums et utilisez cette énergie pour porter plainte devant les autorités idoines...
Je trouve qu'on (nos dirigeants) devrait mettre en place des controleurs-vérificateurs de syndics, de certificateurs PEB, etc...
En ce qui concerne la certification PEB, les contrôles sont organisés... dans les textes
Tout comme le contrôle théorique en matière de permis de location, en matière d'affichage des loyers demandés sur les annonces, etc.
Je pense que les tempéraments latins sont assez réfractaires aux principes du contrôle et de la sanction 
- Cela étant dit, il convient de respecter l'anonymat et il n'est pas autorisé de 'balancer' ainsi en public un contrat privé, identifiant les parties concernées... surtout s'il s'agit de 'flinguer' l'indélicat ou prétendu tel...
C'était mon quart-d'heure chevalier blanc
Et rassurez-vous, je n'invite en rien à la délation, il m'importe peu de savoir qui est qui, et effectivement, le contrat doit être anonymisé avant d'être produit.
L'avantage de pouvoir prendre connaissance du contrat est de ne pas théoriser dans le vide.
PS : mais où trouvez-vous le temps de lire tous les posts ? 
Suis bien content de ne pas être syndic, moi...
Je les aime bien mes copropriétaires, et (pour l'instant) ils me le rendent assez bien
Et puis, les clients chiants, ça infeste toutes les professions 
On va revivre la même aventure que ce nouveau métier fantastique de "certificateur PEB".
'tention : je suis (aussi) certificateur PEB
- mais sans rancune, ceci dit.
D'après ce que j'ai cru comprendre, un commissaire au compte "professionnel" devrait d'office être un professionnel du chiffre en vertu des prérogatives assurées à leur profession.
Ceci dit, je ne connais aucun comptable qui chôme et je n'en connais pas qui se soit spécialisé dans la vérification des comptes ACP.
Je connais même certains professionnels non comptables qui font de la pub comme commissaire au compte sans qu'ils soent "chatouillés".
Je ne pense donc pas que ces professionnels là risquent de se faire inquiéter par l'IPCF ou l'IEC.
Et, en tout état de cause, un professionnel non comptable peut être chargé d'une mission d'aide et de support pour le commissaire copropriétaire désigné - ce professionnel n'est plus alors le commissaire aux comptes officiel. (et le tour est joué).
Il semblerait qu'aucun report n'est envisagé et il commence à se faire tard pour amender l'AR - mais sait-on jamais, comme cadeau de Nowel...
Je pense que les Syndics qui travaillent déjà avec des logiciels généralistes ne vont pas changer grand chose.
S'ils sont pro dans leur manière de fonctionner, il n'y a pas de raison qu'on lui cherche de noises.
Ceci dit, ces syndics seront cependant dans l'illégalité...