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Si je puis me permettre de donner mon humble avis de locataire, à mon sens Grmff et Luc ont chacun raison à leur manière.
Comme le dit Grmff, beaucoup de baux prévoient que les frais de syndic soit à charge du preneur mais, un peu dans le sens de ce que dit Luc, un syndic est avant tout un confort et un gage de facilité pour un propriétaire/ une co-prop.
Du point de vue d'un locataire c'est d'autant plus spécial qu'il paie pour un service dont il n'est pas le contractant.
D'expérience, il m'est arrivé de me faire envoyer sur les roses par le syndic de mon immeuble alors que je le contactais pour lui demander quelques explications sur des charges communes un peu obscures et pour lui signifier mon mécontantement par rapport aux prestations d'une société mandatée par le syndic pour s'occuper d'une partie de l'entretient des communs.
De fait c'est moi qui paie le syndic mais ce dernier estime qu'il n'a réellement de comptes à rendre qu'a la personne l'ayant mandaté à savoir la copropriété/le propriétaire.
In finé, je trouve que ces frais devraient être partagés entre les parties comme le sont les états des lieux.
En effet, un état des lieux apporte une sécurité aux deux parties contractantes d'un bail tout comme on peut estimer qu'une gestion "professionnelle" apporte la facilité au bayeur et, normalement, une certaine transparance et exactitude le calcul de ses charges pour le locataire.
Un grand merci pour cette réponse claire et précise 
Bonjour,
Je me permets d'ouvrir un petit sujet pour avoir une précision concernant les modalités de résiliation d'un bail de 9ans.
J'ai peut-être mal cherché mais je n'ai pas trouvé réponse à ce point précis dans la FAQ.
Voici donc ce qui me tarabuste:
J'ai, en tant que preneur, un bail de 9 dont la 3iem année est en cours et que j'aimerais résilier durant la 4iem année.
Je sais que, dans le cadre d'un bail de 9ans, durant les trois premières années le preneur est redevable d'une indemnité de X loyé en cas de résiliation du bail durant les 3 premières années (3 mois la première année, 2 la seconde etc).
Dans mon cas, étant donné que je voudrais résilier le bail durant la 4iem année je ne serais donc redevable d'aucune indemnité.
Cependant je me pose la question suivante:
Si je veux mettre un terme au bail en date du premier jour de la 4iem année, je dois signifier mon préavis au bailleur plusieurs mois à l'avance.
Dans ce cas, je dois signifier mon intention de partir dans le courant de la 3iem année.
Est-ce que, de fait, je serais redevable d'un mois d'indemnité ou pas?
En bref, une potentielle indemnité est-elle déterminée en fonction de la datte de signification du préavis ou le jour ou la duréé du préavis prend fin?
Pour illuster:
Disons que j'ai un bail de 9ans signé le 1/1/2007.
Je décide de quitter les lieux le 2/1/2010 soit après la fin de la 3iem année.
Pour ce faire je dois signifier mon préavis 3mois AVANT la fin de la 3iem année.
Suis-je exampté de l'indemnité d'un mois de loyé pour rupture du bail durant la 3iem année d'un bail de 9ans ou dois-je attendre le 2/1/2010 pour signifier mon intention de quitter les lieux aux propriétaire pour ne pas tomber sous le coup de cette indemnité?
Merci d'avance pour vos réponses 
Bonjour,
J'ai constaté il y'a peu dans le bien dont je suis preneur un bien étrange dégat qui se manifeste de manière spontanée, sans raisons apparentes et je ne sais trop quoi faire.
J'ai, dans ma salle de bain, une applique murale avec 3 ampoules halogènes inserrées chacune dans un tube en verre d'une épaisseur d'environ 1.5cm.
Hors, en peu de temps j'ai deux de ces tubes qui se sont cassés tout seuls sans aucune raison.
La première fois que ça s'est produit c'était la semaine dernière, j'étais devant la télévision quand j'ai entendu un bruit venant de ma salle de bain, je suis allé voir et j'ai trouvé un des tubes cassé net a 1/3 de sa longueur en partant de la base et qui était tombé dans le lavabo.
Sans aucune raison, il n'y a pas de grosses différences de t° en cette saison on ne peut donc pas soupçonner la dilatation du verre.
L'éclairage était éteint depuis le matin et n'était pas allumé quand c'est arrivé et, biensur, rien n'a touché ou tapé dans l'applique (j'étais seul a la maison et à l'autre bout de l'appart).
Depuis ça s'est reproduit une fois et un second tube est tombé, cassé net aussi au même endroit que l'autre, je l'ai retrouvé sur la carpette de bain.
Sachant que l'applique est récente (installée y'a trois ans, un an avant mon entrée dans les lieux) je ne sais pas trop quoi faire.
Déclarer le "problème" a mon proprio? il ne va jamais me croire quand je dirais que "ça s'est fait tout seul"
Réparer en recollant les deux morceaux tombés? Suis-je responsable d'un dégât "spontané" et inexpliqué?
Je suis du genre "bon père de famille", je n'ai jamais rien dégradé dans les logements que j'ai loué (ici c'est même le contraire, quand je suis rentré dans les lieux le carrelage de la cuisine était blanc cassé taché par le temps tellement dégueux que le proprio l'a lui même stipulé dans l'état des lieux que le "carrelage de la cuisine jauni et portant nombre de trasse d'usure"et j'ai passé un temps bête à le récupérer au bicarbonate de soude, il est comme neuf maintenant) croyez-vous que mon propriétaire puisse réclamer le remplacement de l'applique (c'est un truc du genre "ikea-massive" à 50euros je doute de trouver juste les pièces "de rechange", il faudrait probablement changer toute l'applique).
Ca peut vous parrêtre stupide de me poser des questions pour ça mais l'idée même que mon propriétaire puisse penser que j'ai dégradé son bien par négligeance me met mal à l'aise.
Cordialement.
Edit: question bonus: à quoi peut-être du un tel problème? fantômes ou ça peut cacher quelque chose de plus "grave"?
Je ne demande qu'a vous croire mais dans une région ou les élus locaux ne sont pas sensés faire n'importe quoi "aisément" pendant 20ans mieux vaut prévenir que guérir.
C'est pour ça que je m'interroge dés maintenant car quand le mal est fait...
Bonsoir à tous,
D'abord, veuillez m'excuser si ce sujet n'est pas en bonne place sur le forum mais je n'ai pas trouvé de section plus appropriée.
j'aimerai ici vous exposer un cas qui risque de toucher plusieurs personnes de ma famille.
Pour faire court:
Mes parents vivent dans une commune du Hainaut dans un quartier exclusivement résidentiel et dont les seuls terrains non bâtis sont des prés et bois classés en "zone verte".
Il y'a peu, voyant un géomètre prendre des mesures face à une de ces zones vertes, ils ont intérogé ce dernier qui leur a expliqué qu'il y avait un projet, de la part d'un entrepreneur local, de venir s'installer dans le quartier et d'y faire construire un "complex" comprenant bureaux ainsi qu'un bâtiment aux dimentions très imposantes (surtout sur la hauteur).
Des dires du géomètre, la classification en zone verte a été faite lors de la réalisation du plan de secteur du quartier dans les années 70 et ce par la commune qui est, selon lui, compétente pour classer et déclasser ce qu'elle veut.
De fait, si les terrains "mesurés" par le géomètre s'y prettent, il n'est pas impossible que la commune déclasse cette zone verte pour laisser y construire un complex qui risque de porter nombre de nuisances au voisinage.
ma question est donc: Que peut-on faire concrètement pour empêcher la réalisation de ce projet (à quelles étapes? à qui s'adresser? etc).
Pour être plus précis il faut tenir compte de nombreux paramètres ne sachant pas lesquels peuvent jouer en la faveur des riverains:
Comme expliqué plus haut, le quartier est exclusivement résidentiel et garnis de villas avec jardins (pour un total d'au moins 115 maisons dont au moins 40 seraient sujettes a toutes les nuisances dont en premier la défiguration du paysage et bien plus si on prend en compte les quartiers connexes sujets à subir une partie des nuisances indirectes comme un surplus de trafic).
Sachant que dans le projet il est question d'ériger une sorte de "hangar" de très grande hauteur une partie des habitants du quartier vont voir leur "vue" (et quand je dis vue c'est pas ce qu'on voit au lointain mais ce qu'on a au fond du jardin!) poluée.
Qu'il est aussi question de parkings de bonne taille engendrant leur lot de circulation dans un quartier plus que calme.
Que ce quartier est jusqu'a maintenant considéré comme un quartier "de standing" et que l'installation de ce genre de complex tout en nuisant au bien-être et à la qualité de vie engendrera a coup sur une perte d'attrait pour le quartier et donc une perte de valeur pour les maisons.
Sachant aussi que la région est LARGEMENT pourvue en zonings d'activités de tous types dont certains sont actuellement libre à 100% avec toutes les facilités nécessaires à tout type d'entreprise (de service ou de production) et que la seule raison invoquée par l'initiateur du projet est que "être dans la nature est bien pour le standing de son complex"...
Que peut-on concrètement faire pour s'y opposer avec les meilleures chances de réussite.
Aussi, une commune a-t-elle le droit de "déclasser" une zone verte qui a ce statut depuis plus de 30ans pour les raisons invoquées ci plus haut?
NB: Il n'est à cette heure que question d'un "projet", il ne semble pas que la moindre demande officielle ait été introduite au près de la commune ou du moins, aucune information n'a été faite en ce sens ni aucun placard apposé ou que ce soit.
Bonjour,
Mon logement fait environ 70m² dont à peine 5m² de SDB et aucun couloirs sauf le hall d'entrée (a tout casser 3m²).
Au niveau des charges, elles ne sont pas forfétaires, je paye une provision et de toute façon, la seule charge couverte par cette provision suceptible de varier "fortement" avec un second occupant c'est l'eau et je doute qu'une douche en plus par jour fasse grandement varier la note.
Les autres charges de types "consommation" sont hors provision et payées par moi tous les mois (compteur élec/gaz à mon nom).
Me voila donc rassuré!
Un grand merci pour vos réponses rapides, précises et éclairées! 
Bonjour à tous.
Avant tout, bravo pour ce forum super utile, je ne pouvais pas trouver mieux en cherchant une réponse à la question que je me pose!
Ma question est la suivante:
Je suis preneur d'un bail de résidence principale pour appartement que j'occupe depuis un an et j'y suis domicilié.
Ma petite amie est étudiante et, pour lui éviter les frais d'un kot, nous avons décidé qu'elle pourrait habiter avec moi la semaine à partir de la rentrée et passer ses week-end avec ses parents chez qui elle est toujours domiciliée.
Je voudrais savoir si cela peut poser problème ou s'il faut que je fasse l'une ou l'autre démarche envers mon proprio (avenant au bail etc) sachant que:
1) mon bail -enregistré- ne stipule aucune restriction en matière du nombre d'occupant (aucune mention du type "bien destiné à l'occupation/la résidence de X personnes").
2) Je ne "sous-loue" pas, ma copine va juste dormir chez moi les jours de semaine.
3) Nonobstant le fort sentiment qui nous lie, c'est "ma petite amie" il n'y a rien de "formel" entre nous (pas de mariage ou quoi que ce soit).
4) Elle reste domiciliée chez papa-maman et est à leur charge.
pour ma part je pense que je suis libre d'héberger qui je veux chez moi dans la limite du raisonnable (mon amoureuse 5 jours/semaine c'est pas comme si j'avais 5 potes à la maison tout le temps non?).
Cependant, je viens quand même m'informer au mieux car j'ai peur que mon proprio exige un surplus de loyer ou autre s'il sait que nous sommes deux à occuper le bien (qui, par ailleur, est largement adapté pour un couple).
Voila voila, si vous avez la réponse à cette question ce serait très gentil 